Désintox...comment ça se passe?

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Sooo
Nouveau membre
Inscrit le 24 Aug 2011
8 messages
Bonjour,
Voilà  suite a plusieurs problèmes de santé et d'ordre relationnel je dois faire une cure de desintox. Je suis a 78 mg de méthadone par jour et ils vont me sevrer net, plus de métha, plus rien...
Cette idée me terrorise, est ce que qqun a déjà  été dans mon cas?
Comment ce passe un sevrage en milieu hospitalier?
Ils m'ont dit qu'ils me donneraient qques médicaments pour diminuer les symptômes du manque mais qu'il n'y avait pas de miracles et que je serais qd même mal. Je rentre pour plus d'1 mois dés qu'une place se libère, ensuite après l´hôpital je pars pour plusieurs semaines en post-cure.
J'aurais besoin de vos témoignage, histoire de me rassurer.


Merci


PS: J'avais déjà  lancée la discussion mais suite à  un bug elle s'est supprimée, merci à  la personne qui m'a gentiment répondu qu'avec  80 mg s'était hard mais qu'elle me souhaitait bcp de courage :)

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Minette
Nouveau Psycho
Inscrit le 08 Jul 2011
128 messages
Ben, je ne vais pas beaucoup t'aider car je n'ai aucune expérience dans ce domaine...
Je me demande juste pourquoi tu ne réduis pas tranquillement..

Bon courage.

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Las Vegas PaRano femme
PsychoHead
Inscrit le 19 Sep 2010
1147 messages
Pourquoi es-tu obligé de faire un sevrage brutal?
Je ne comprends pas...
En plus, tu dis que cela te terrorise.
A mon sens, tu n'es peut-être pas encore prête...

Consommes-tu encore des opiacés avec ton traitement?

Pourquoi ne pas tenter un sevrage dégressif avec diminution régulière de la consommation sur une durée de quelques jours, semaines ou mois?
CAr au moins, tu n'aurais pas de manque physique ni psychologique...
Car là , 75 mg à  rien, c'est énorme!
C'est clair que ce ne sera pas une partie de plaisir, et même loin de là .
Mais si tu as de la volonté, tout est possible...
Car le volontariat est un des éléments majeurs de la démarche de sevrage.
La fréquence des rechutes et des décès après un sevrage forcé montre que la contrainte et les pressions sont non seulement incompatibles avec l'établissement d'un contrat de soin, mais aussi inefficaces au plan thérapeutique, voire nuisibles.


Mais je voudrais comprendre tes motivations...

Généralement, on peut envisager un sevrage brutal vers 40mg grand maximum, 15/30mg c'est mieux et encore moins c'est encore mieux...^^
C'est pourquoi commencer un sevrage brutal à  partir de 75mg comme dosage de départ me paraît être trés limite...
Mais je ne suis pas médecin, si ils t'on accepté dans leur programme, c'est que c'est ok...
Mais je reste tout de même septique!

Néanmois, je te souhaite de réussir...
Ne te décourage pas, si c'est vraiment ce que tu veux, tu y arriveras.
Mais pour cela, il faut être super motivé, et te préparer à  passer des moments assez dur, même si tu auras une aide médicamenteuse.

Et puis, tu seras suivi par un psychiatre, des psychologues, des infirmières etc... Une équipe pluridisciplinaire à  ton service. Tu auras également des activités etc...
Prepare toi également a ce que tes affaires personnelles soient fouillées lors de ton admission.
Tu auras, probablement, un contrat thérapeuthique, établi entre toi et l'équipe soignante, avec des aspects particuliers. Variable suivant les institutions, il insiste sur le nécessaire respect par le patient de leurs règles de vie. Le contrat comprend habituellement une période de durée variable pendant laquelle tu acceptes une limitation plus ou moins compIète des sorties, des visites, et des appels téléphoniques personnels.
La durée de l'hospitalisation pour sevrage varie selon les patients et selon le produit.

Tu auras également des traitements symptomatiques, qui sont destinés à  atténuer et si possible faire disparaître les manifestations du manque : antalgiques, spasmolytiques antinauséeux, antidiarrhéiques, sédatifs et hypnotiques.
Les produits sédatifs sont le plus souvent indispensables, surtout dans les premiers jours.
Les benzodiazépines sont utilisées dans certains protocoles pour leur effet anxiolytique.
Ces substances s'accompagnant d'un risque propre d'induction d'une pharmacodépendance, il paraît souhaitable de limiter leur utilisation et d'éviter leur emploi chaque fois que cela est possible.

Je te souhaite donc plein de courage, et essaye de ne pas baisser les bras!
Et puis, surtout, n'es pas peur de l'echec! Cela arrive à  tout le monde...

Donnes nous de tes nouvelles!

Prends soin de toi!

Bises

Dernière modification par Las Vegas PaRano (25 août 2011 à  05:36)


Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur, et rien d'autres...

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bighorsse femme
Banni
Inscrit le 19 Mar 2007
8506 messages
c'est jouable mais alors il faut vraiment que l'équipe du centre hospitalier soit compétente dans ce type de sevrage car sinon ce sera la souffrance assurée
quelle idée!

l angoisse est le vertige de la liberté

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Las Vegas PaRano femme
PsychoHead
Inscrit le 19 Sep 2010
1147 messages
Oui c'est jouable!
Mais il faut être volontaire et avoir une volonté d'acier....
Car sinon c'est la rechute assurée...
Et c'est pour cela que je voudrais comprendre tes motivations!

C'est évident qu'une équipe soignante compétente reste indispensable...
Maintenant, est-ce que tu t'es renseigné sur le CH qui va d'accueillir?
As-tu des témoignages de gens qui y sont allés?!?

BREF, pour résumer, avec un volonté de fer, tout est possible (même a un tel dosage)...
Mais dis toi bien que ce sera difficile malgré l'aide médicamenteuse qui te sera apporté!

Je te souhaite plein de courage et de réussir dans ta démarche!
Ce serait sympa que tu viennes nous donner de tes nouvelles a ton retour...

Prends soin de toi.

Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur, et rien d'autres...

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Sooo
Nouveau membre
Inscrit le 24 Aug 2011
8 messages
Merci pour vos réponses...
Je me doute que se sera brutal et si je fais le choix de tout arrêter plutôt que de continuer mon traitement de Métha c'est que ça fait 5 ans que je prend de la Métha et je ne supporte plus du tout le fait de me sentir dépendante de qque chose.
Je ne sais pas si quelqu'un a déjà  été dans mon cas mais le fait de savoir que je dois prendre ma gélule tout les jours pour pouvoir "vivre"normalement me fait déprimer, j'ai besoin de ne plus prendre quoi que se soit, de me sentir libre et de ne plus avoir besoin de médication.
Ca doit surement vous paraitre absurde mais ça fais plusieurs mois que j'y pense.

Merci à  tous en tt cas

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Las Vegas PaRano femme
PsychoHead
Inscrit le 19 Sep 2010
1147 messages
Ce n'est pas absurde, c'est tout simplement ton ressenti!
Si tu as le besoin de ne plus te sentir dépendante, vas-y fonce!
Je suis également sousMTD gélule, et perso, cela ne me pose aucun problème, je me sens 'normal' avec, comme pour des diabétiques qui prennent leur comprimés tous les jours!
Et puis, tu sais, c'est une question de ressenti!

Tu es consciente que ce sera difficile... C'est déjà  ça!
Surtout n'es pas peur de l'échec!
Je te souhaite donc la meilleure réussite du monde!
Tout plein de courage dans ta démarche!

Donnes nous de tes nouvelles, et puis si tu as besoin d'autres conseils, de parler, de partager tes expériences etc... le foum est là  pour ça!

A trés bientôt!

Prends soin de toi!

Amicalement!

Bisous

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Desmundo2
Psycho junior
Inscrit le 11 Aug 2010
315 messages

Sooo a écrit

Merci pour vos réponses...
Je ne sais pas si quelqu'un a déjà  été dans mon cas mais le fait de savoir que je dois prendre ma gélule tout les jours pour pouvoir "vivre"normalement me fait déprimer

Tout le monde, je pense, passe par des phases comme ça au cours de sa subsituttion. C'est normal c'est un processus long, tres long qui prend des années qui parfois dure la vie... et on est souvent tenter de mettre sur le dos du produit tout nos problemes... alors parfois on se sent mal, on cogitte, on aimerait arreter, on se demande comment, et ces pensées nous conduisent à  l'idée qu'on est enfermé dans le produit que celui-ci est plus fort que nous etc... bref à  percevoir la metha comme de la came.

avec un suivi psy adéquat on peut déjouer le truc aisément : par exemple, tu dis que le fait de "prendre un médoc le matin te déprime" ça c'est l'explication consciente mais il est plus probable que tu déprimes pour d'autres raisons mais qu'il est plus simple d'attribuer cette cause à  la metha qu'a toi meme...

bref, quand ce genre de chose arrive, pour ne pas sentir prisonnier, l'idéal est de faire une diminution faisalbe et réaliste. On s'aperçoit que baisser de 10% c'est fado. Ca motive et de fil en fil aiguille, le bonhomme fait son chemin et en quelques mois ou semaines la consommation a diminué des 3/4.

Faire un sevrage depuis 80 mg, d'une part c'est con, souffrir beaucoup et pour rien c'est évident et pas qu'un peu... mais j'ai l'impression que tes médecins ont envie que tu confrontes toi meme à  ça pour comprendre peut etre que tu as vraiment plus besoin de ta gellule que tu ne l'imagines !

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Minette
Nouveau Psycho
Inscrit le 08 Jul 2011
128 messages
Je crois que l'on rêve tous à  un moment ou à  un autre, plus ou moins long, d'être LIBRE ! Mais cette liberté peut s'acquérir avec (plus ou) moins de souffrance. Si ça fait 5 ans que tu prends de la métha, je pense et ce n'est que mon avis que commencer par diminuer est une première option.
Tu as choisi la méthode dure physiquement et probablement psychologiquement ; tu as peut-être besoin de cela.

C'est vrai que de se dire que l'on a besoin de quelque chose pour vivre chaque journée est rageant. Te poses-tu la question lorsqu'il s'agit de prendre une pilule pour ne pas tomber enceinte ? (J'ai cru comprendre que tu es une femme... je suis peut-être dans l'erreur...)
Il y en a qui ont besoin de leur AD voire de leur café le matin...

Enfin, bref, c'est pour beaucoup une question d'acceptation de ce que l'on est.

Je t'ai juste écrit ma façon de voir les choses. Moi aussi je suis pressée d'arriver à  zéro sauf que je dis "non" aux souffrances, ou au moins je veux les réduire au minimum... J'au vécu des moments que je ne veux pas revivre.
Je comprends tout à  fait ton point de vue et je te souhaite beaucoup de courage.

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antoine56
Nouveau membre
Inscrit le 18 Aug 2011
11 messages
Moi je suis totalement a fond avec ta démarche, j'ai exactement le même ressenti que toi et a peu prés le même nombre d'année de metha ou j'en suis arrivé a en être complétement dégouté !!!. C comme si la réussite du servrage était une question de vie ou de mort (j´envenime le truc mais je le vis vraiment mal) c pas facile a expliquer. La je suis a 5 mg, j'ai baissé de 40 à  5 en deux semaine et c'est pas mal hard (j'en ai vraimt chié!) d´où prochaine étape 0, quand mon corps aura accepté les 5mg). Tout ca pour te dire, qu'il faut t accrocher, c rien 2 mois en gros (par rapport a tes propos) pour le reste de ta vie nikel. Tiens nous au jus, chao

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filousky homme
Modérateur
Inscrit le 14 Dec 2008
12273 messages

Minette a écrit

Enfin, bref, c'est pour beaucoup une question d'acceptation de ce que l'on est.

Je t'ai juste écrit ma façon de voir les choses. Moi aussi je suis pressée d'arriver à  zéro sauf que je dis "non" aux souffrances, ou au moins je veux les réduire au minimum... J'au vécu des moments que je ne veux pas revivre.

Je n'interviens que pour recaler le sujet TSO méthadone. Depuis le début de l'utilisation de la méthadone aux États Unis, il a été noté dans tous les pays et tous les cas que les meilleurs résultats étaient obtenus avec les traitements "au long cours" et que le sevrage, si il doit être envisagé doit être le plus lent possible si l'on espère obtenir un résultat durable.

Aujourd'hui, et je ne remets pas en cause la volonté de Sooo ou d'Antoine, je lis souvent le dégout de ce traitement pour lequel nous avons été nombreux à  baver d'envie, voyant les quelques "élus" vivre en toute liberté apparente, alors que nous étions dépendant des arrivages de nos pushers. Vous êtes encore, ou à  nouveau, dans le "tout tout de suite", si proche des prises de produits que votre bonne volonté risque d'être insuffisante.

Cela ne m'empêche pas de vous souhaiter de réaliser vos envies au plus vite et le moins difficilement possible.


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bighorsse femme
Banni
Inscrit le 19 Mar 2007
8506 messages
je suis comme fil, assez dubitative quand j'entend des personnes vouloir absolument arrêter leur TSO trop tôt : mais en même temps pourquoi pas, qui me dit que antoine ou qq un d'autre, n'a pas raison de vouloir vivre sans rien du tout? parfois je me dis que j'en ai tellement vu que je ne rois plus en grand chose;;alors allez y ; faites vous confiance!

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Sooo
Nouveau membre
Inscrit le 24 Aug 2011
8 messages
Quelques nouvelles pour ceux que ça interesse.
Après 5 semaines d'hospitalisation je suis sortie pour retomber dedans directement.
Personnellement ils avaient décidé de me baisser 5 mg de métha par jour jusqu'à  ce que j'arrive à  0. le tout aider de médicaments bien entendu. ( Catapressan, Myolastan, Valium,...) Tout c'est plus ou moins bien passé jusqu'au 2e jour ou j'étais à  0 de métha, j'ai été prise de violents vomissements et douleurs abdominales pendant une semaine.

Par contre j'aurais une question, ça fais 2 semaines que j'ai repris la came et je sens déjà  le manque. Je n'ai pas envie d'être à  nouveau sous métha donc est ce que vous pensez que mon medecin traitant peut me donner des médicaments qui m'aideraient à  calmer le manque, style benzo et somnifère?

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bighorsse femme
Banni
Inscrit le 19 Mar 2007
8506 messages
oui bien sûr ; il peut mais est ce le même qui te donnait la métha avant?
quoiqu'il en soit tu peux tjs dire que tu as des problèmes d'anxiété et de sommeil très importants suite à  ta déccro sans dire nécessairement que tu as rechuté

l angoisse est le vertige de la liberté

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Sooo
Nouveau membre
Inscrit le 24 Aug 2011
8 messages
Voila j'ai été faire une visite chez le dr et en suis sortie avec une prescription de Diazepam 5mg en poche. La journée ça passe, ai l'impression que les symptômes du manque passent un petit peu mais la nuit là  c'est autre chose. Sueur froide, bouffées de chaleur, et que je me tourne et me reretourne... bref une nuit affreuse.
Qqun aurait une solution pour dormir?

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Minette
Nouveau Psycho
Inscrit le 08 Jul 2011
128 messages
Bonsoir Sooo,

Ma réponse ne te conviendra sûrement pas.. Je pense que remplacer la métha par "36" médocs dont tu deviendras dépendante ne résoudra pas le pb : tu voulais ne plus rien prendre et là , tu multiplies les molécules pour en éviter une. Je ne juge pas, loin de là  ! Je me permets juste de penser que la bonne piste, tu l'avais et tu es allée un peu trop vite pour en voir le bout.

D'autres répondront plus précisément à  ta question... J'espère ne pas t'avoir énervée avec ma réponse alors que tu ne veux que dormir.

Bon courage.

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Alain Will homme
ancien Vice-Président
Inscrit le 14 Oct 2008
9618 messages
Salut wink

@soo : si tu reprends de la came, perso, je pense que ce sevrage brutal a été un coup d'épée dans l'eau (inefficace). Faut dire que sevrer "direct" quelqu'un à  environ  80 mg de métha, c'est... comment dire... Enfin rien...

Pour ce qui est de dormir, il existe bien des choses (preuve en est l'heure où j'écris ce post lol ) plus sérieux, j'en ai déjà  parlé sur le forum mais si tu "moulines" des jambes, il existe le ropinirole (Adartrel), mais il est soumis à  prescription hospitalière. Tu peux essayer le Donormyl en vente libre en pharmacie, etc , etc ... Le mieux, je pense, serait de consulter ton toubib addicto et de lui décrire ta situation...

Moi je ne suis pas toubib et le forum n'est pas fait pour faire des prescriptions... Seule toi sait ce que tu ressens... Remarques, si 5 mg de Valium te "satisfont" dans la journée, dis-toi qu'un sevrage "abouti" prends plusieurs semaines ou mois mais il faudrait, humble avis perso que tu puisses dormir et au bon moment (vi je sais il est 5h du mat')... wink

Bon courage, amicalement, Alain W.


Ps : je suis "sidéré" d'un tel sevrage quelque soit le profil ;à  80 de MTD, je me pose de sérieuses questions...)

Il m'arrive de trouver que la vie est une horrible plaisanterie. F. Sagan.

Je vois dans la révolution la revanche du faible sur le fort. La liberté est un mot que j'ai longtemps chéri. Sade (Le marquis de)

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le gecko homme
Banni
Inscrit le 01 Dec 2010
582 messages
Bonjour Soo. Juste une petite suggestion, un TSO à  la buprénorphine serait, peut être, la solution pour toi, quitte à  diminuer ensuite, mais progressivement. Mais je pense que tu as retenu la leçon de ce mois de souffrances pour rien. Parles-en à  ton toubib addicto. bon courage.

La dope fait mieux passer les moments sans argent que l'argent, les moments sans dope.
(Fat Freddy in Freak's brothers)

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