Paracerque nous savons que l’erreur dépend de notre volonté, et que personne n’a la volonté de se tromper, nous nous étonnerions peut-être, qu’il y est de l’erreur en nos jugements, et parce que je ne sais ; comment pourrais-je te comprendre… vous comprendre ! Ton fonctionnement est imperceptible, incompris de tous, ta chimie est inconnue et seul l’essentiel en est retenu. Je ne saurais jamais alors comment être de moi-même, être qui je suis, sans toi, la vie est impossible, sans l’un, les autres en pâtisse inconsciemment, personne ne te saisit, tu est en nous tous, et sans nous, tu n’est rien, tu te débrouille seul, cependant, tu nous est indispensable, ce serait inconcevable que tu n’existes pas ; car sans toi, il nous est impossible de penser, de souvenir, de subvenir et de songer, malgré tout, tu ne nous traite nullement avec mansuétude… seul quelques études… Tu nous torture, nous fais aimer, adorer, détester, tu nous aide constamment et jamais, voici la vague idée que j’ai de toi, mon cher ami, le cerveau.