Ne serait-ce pas beau ; que je puisse me conformer à l’idée d’apprécier, la beauté émise par ma ville, là où une ville si sincère et authentique, n’en réplique que misère et désespoir, un noircissement de son ivoire. J’ai rêvé que ses flaques s’agrandirent et que ses habitants sourirent, j’ai toute fois rêvée, que ses habitants moururent, je me suis noyé dans mes rêves, quellement, que mes mœurs demeurent et que ma ville en crève. Connaitrais-je la finalité, l’assouvissement de ma ville, la fin de ses problèmes, lorsqu’elle atteindra cette vie de bohème. Je puisse m’y avancer, mais à moins de m’y méprendre, ma ville serais parfaite, avec quelques marcheurs insignifiants, ignoré de tous, mais contesté par ma ville, les contestataires seront à jamais contesté et détesté. Les allers seraient floris, les affiches donnerais le sourire et égaillerais les rues de ma ville, les habitants se rueront en dessous des ponts pour plonger dans l’eau et ils iront en haut des toures pour crier leur liberté. Ma ville saura aider malgré qu’elle ne l’ait jamais été. Elle saura donner même si elle n’a plus rien n’a donner et s’endettera pour parfaire son image de soi.