Mon désir 

Jamais n’arriverais-je à aimer, plus qu’une corp ou une âme, mon désir peine à aduler la matrice, le cerveau humain, je le hais, le déteste… ; l’ai-je testé, j’en suis devenu vert et en ai perdu mes vers, nul ne sait le comprendre, nul ne sait le voir et l’adorer comme vous adoreriez l’âmes qui est en nous tous. L’âme d’un être, reflète sur le corps, j’aime le corps et l’esprit, mais ne peux éprouver de sentiments pour la réflexion, pour la possibilité que l’ont puisse penser, réfléchir et songer. J’éprouve un dégout risible envers cette matrice, cette chose nous pousse à mille et une choses, à songer mille et une nuit, à partir mille et un jour, à choisir mille et une possibilités. Mon désir s’arrête a aimer un être, quelque chose de matériel et psychique, tout en ne prenant jamais part des songes, seul les émotions et les sentiments ai-je toujours su comprendre, seulement, lorsque cette chose intervient dans des décisions prise par le cœur, l’incompatibilité entre ces deux être prends part. Par cet approfondissement de cette perception, comment pourrais-je continuer à songer ; je ne le souhaite et me tourmente continuellement par cette faute.