La drogue et moi :-
LA MALADIE -
J'ai commencé à vivre le paradis de la défonce à mes 13 ans avec ma chère Nalbuphine. Rapidement, j'ai un très gros handicap qui fais que je dois être branché 3 fois par semaine a une machine qui filtre mon sang. Du coup j'avais super mal. Car j'ai fait de la chimiothérapie très jeune et mes veines avez vraiment du mal a encaissez. Je n'ai pas tiré le bon numéro.
Les 3 premier mois, je dois serez des dents (Pas dans ce sens la é.é) j'avais souvent mal. Mais bon, il ne voulait pas filer une anti-douleur de post op a une gamine de 13 ans choses que je comprends.
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LA DOULEUR -
Jusque au jour ou les aiguilles planté dans le bras ma donnée, une sensation de brûlure ultras violentes, j'avais l'impression qu'on mettait un fer chaud incandescent sur mon bras. (ça fais plus de 8 ans, je m'en rappelle encore.)J'en est pleuré pendants 2 heures. Mais vue que tes a l'hosto, ton pas trop le choix et de toute façon si on ne fait pas le filtrage ben, tu meures donc bon. Tu es un peux coincer.
Seul le médecin peut prescrire l'antidouleur. Normalement il était présent 1/2h après nous comme ça les infirmières ont le temps de nous brancher. Mais Vu que un malheur n'arrive jamais seul. Et qu'on était en plein hiver le médecin était bloqué dans les bouchons vu qu'il avait neige. Joie.
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ÉTAT POST DÉFONCE -
À ce moment je suis dans un état mental vraiment extrêmes, je vois troubles, j'ai plus de forces, ça fais une heure que j'implore un peux de pitier pour que on me tue, j'ai du mal a voir du au larmes que j'ai devant les yeux. L'une des infirmières me tient pour pas que j'arrache les aiguilles et que je perde 1 litres de sang d'un coup. J'étais tellement minable à ce moment là que j'ai fais vraiment de la peine en infirmières qui s'est excusé d'avoir pue rien faire.
Mon état a beaucoup jouée sur mon appréciation de ma petite Nalbu
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LE DECLIC -
Le médecin arrive en courants une seringue a la main après 2 heures d'attente, il s’excuse et il m’envoie la seringue en 3 minute un gros
BOOM, Écrans noir, j'ai l'impression que toutes mes cellules se mettes a vibres, je commence a avoir chaud ma vision se troubles et tous deviens noir peux a peux. Je m'endors comme un gros déchet. Je venais de goûtée le putain de paradis après êtres sortie de l'enfer et franchement ça fessais vraiment du bien.
J'étais devenue instantanément accro. Après pendants 1 ans 3 fois par semaine, j'en avais même quand j'avais pas mal avec un autres malade, on joue a qui auras le Nubaim en premier. J'avais même finie par aimé allez à l’Hôpital des fois. En rentrant chez moi je tombé de sommeils puis je me réveiller 8h après je vomissais un coup et j'avais la patate.
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LE MANQUE ET LA RECHERCHE DE PALLIATIF -
Du coup quand mon état a permis que je sorte de Dialyse. J'étais une putain de toxico en dépression sévère j'avais 24 médoc à prendre par jour et putain j'avais plus de Nubaim. Du coup fatigué physiquement et psychologiquement sans oublier mes aller-retours incessant a l'hosto. Je ne pouvais pas me droguer et puis surtout, je n'avais pas la force de me faire chiez à en trouver. J'ai rapidement pensé a la bueue. Le souci, c'est que je n'avais pas d'argents, mes amis était encore un peux jeune pour fumé et je les voyais plus depuis 1 an. Donc allez taxer ou acheter était impossible et tapée dans la réserve familial était un coup à me faire exploser par mon père. Assumez que ta gamine est en manque d'
opiacés ça la fous mal.
J'ai eu un ans sans rien, c'était vraiment super dur. Je passais mes journée énervée en manque a tremblée et a me gratter le bras (bien cliché en plus). J'était devenue super fataliste. J'attendais la mort en ayant la flemme de me la données.
Au bout d'un an d'attente c'était le retour à l'école et donc, la bueue me rouvrais les bras. Ont ma surnommée Zombie girl, car j'étais allé 2/3 fois en cours explosé sous Nalbuphine des grand moment de bonheurs. Et après on ma surnommé Robocop la Taxeuse. Car j'arrêter pas de taxer mes potes et que a une époque, j'avais des tuyaux qui sortais du coup.
Le souci, c'est que je n'étais pas remis de mon seuil de tolérance du a la Nalbuphines et au 24 médoc que je prenais tous les jours qui me donnais des petites hallu et une bonne grosse sensation de fatigues. La bueue me faisait rien du tout, pourtant on les chargées comme des porcs et je me fessai bien la moitié du join a chaque fois pendants que mes potes commaté. Du coup, j'étais devenue alcoolique, je piqué de la vodka, du sky, du martini dans les magasin et je me mettais des grosses mines.
Mais ça suffisais pas, j'étais toujours en manque voir même des fois boire me donner encore plus envie de me péter le grandes a la Nalbuphines du coup les seules fois où j'avais de la Nalbuphines c'était quand j'allais me faire opérée. J'avais des négociations et j'obtenais toujours en cas de douleur le Nubaim, bizarrement, j'avais toujours mal aux réveilles
! À chaque fois que on m’annonce que j'allais me faire opérer j'avais un énormes sourire et j'y aller a moitiés en courants.
Mais la bueue fessait toujours rien et l'
alcool ce ne sont vraiment pas le même effets. J'ai d’ailleurs finie par surnommer le
cannabis comme étant une drogue pour enfants.
J'ai continué comme ça plusieurs années mais en parallèles j'ai commencer à faire poussez du pavo somniferum en suivant les conseilles sur ce site. L’alternée aussi les année alcoolo et pas alcoolo, ça dépendais si je me fessai choper ou la correction que je me prenais me fessais suffisamment peur pour que j'arrête pendants un moments avant de reprendre l'
alcool.
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DÉCOUVERTE DU PALLIATIF -
Vue que j’étaie en manque de Nubaim j'ai finie par faire poussé du
pavot et ça c'est trés bien et mal passé. Le Pavo a mis du temps a poussé mais quand il était prés. J'ai direct commencez a consommez. Bordel ma premier fois j'ai fais une Spud :
Je me suis intoxiqué, j'ai risqué l'overdose et je me suis chié dessus, mais c'était super bon. Résultat, j'ai passé mes vacance d'été, genoux sur les chiottes bac a vomis devant moi a comaté contres le mur. Une expérience que je recommande a toutes la famille. Le souci, c'est que je me suis tapé un gros bad. Je mangés quasiment plus j'avais mal au ventre toutes la journée je fessais plus rien. Puis fallais nettoyer le vomis et les chiottes après.
Je me suis vite aperçu que j'arrivais pas à me contrôler et que j'allais finir par crever le cul visé sur mes toilettes. J'ai eu un soubresaut d’instinct de survie et j'ai tous arrêtez. Et putain, ça fessais des année que j’étaie plus en dialyse et pourtant, j'était toujours accros comme un chien.
Bon c'était pour la partie témoignages maintenant on passe a la partie
substitution.
(Je ferrais un témoignage plus complet de toutes mes expériences avec mon amour du premier jour sur un autres partie de blog. La, je suis en décentes d'anesthésie et j'ai grave la flemme. (:...)
Cannabis drogue par procuration -
SEVRAGE ET CANNABIS -
Du coup, les gros
sevrages a la dure, je n'ai rien pris pendants 6 mois, c'était vraiment super douloureux, mais j'ai tenu. Jusque au jour ont mon frère lassé de me voir pester sur la bueue lui qui était un grand consommateur de la plante. J'étais a plus de 4 ans de
sevrages et 6 mois sans
opium en passant par un gros
sevrage moins dur, j'avais aussi beaucoup moins de médicaments.
Tout cela avait fait baisser mon seuil de tolérance. Il a chargé un très gros joins, quasiment pas de
tabac que de la bueue et du
shit. J'ai fumé le joins en 20/30 minute. Je me suis posé devant un film et j'ai commencé à ressentir en beaucoup moins fort, mais quand même une partie des effets de la Nalbuphines. Ce n'était pas un shoot de nubaim, mais on s'en approchait. J'ai le kiff avec une grosse pizza pendant 2 bonnes heures et je suis partie dormir.
Le souci, c'est que le lendemain au réveil, j'avais une énorme envie de Nalbuphine, mais toujours pas d'argents et pas vraiment de moyen d'en trouver. J'ai bien voulue fumé du
cannabis, mais il me fallait vraiment une grosse dose pour êtres un peux défoncer. Donc j'ai refait un
sevrage.
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MDMA -
Quelques mois plus tards, je vais en soirée avec les potes d'un de mes potes et je prends de la D.
Petite claque hallu yeux fermer j'ai passez 2 h à me parler a moi même gros kiff.
Quelques mois encore après je vais en soirée (teuf in door). Je cherchais du
LSD, il n'y en avait pas j'ai juste trouvé de la
MDMA. J'en ai pris une, j'ai kiffé ma soirée j'en ai gardé une pour chez moi.
Je ressentais pas d’accoutumances a la
MD c'était évidents que j’étaie encore accros au
opiacés et a la Nalbuphine.
Par contre quand j'en ai pris seul chez-moi, énorme monté je l'ai ressentie dans le bout de mes os. Le cerveau était vraiment bien. Mais je voulais pas commencer à prendre de la
MD chez moi. Pour pas êtres accros a la
MD et au l'opiacé en même temps et retombé dans mon cercles vicieux. Donc je voulais me drogué en soirée avec du gros sont et pas seul.
- XEU AU
AMPHÉTAMINES -
Suite a ça, j'ai rencontrée un pote qui est un vieux tuffer qui a vers la 40énes et je trouvais la
MD un peux naz en grosse soirée avec gros son après mon expérience en solo chez moi. Sa mettais trop de temps a monté, mais les petites hallu était cool. Et il m'a dit prends un
taz chargée en
amphétamines.
On repère une bonne soirée gros son. On y va. Une meuf nous aborde et nous dit, j'ai des
Donald Trump Great Again. Elle qu'ils sont au Amphete/MD. J'ai direct acheter et bordel.
Wouaw, ça ma rappelez a qu'elle points l'a défoncé, c'était bon. Je suis tombé amoureuse des
amphétamines a ce moment là. C'était la meilleure soirée de ma vie. L'impression dont on m'avait mis un coup de batte dans le crâne pour me faire m’envolais. Depuis
Taz au Amphéte ou rien en soirée.
Les
taz Full
MD je trouve ça naz et le problème, c'est qu'il y a quasiment plus que ça. Va falloir que je me repenche sur
Tor un de ces quartes.
Le souci, c'est que je me connais. J'ai strictement aucune volonté au niveau des addictions. J'ai était alcoolique pendants de bonne grosse année du a l'absence de Nalbu dans ma vie. La j'avais un truck pas chère facile à avoir. Avec un num d'une très jolie fille a appelez en qua de besoin. J'ai direct sentis le piège venir.
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LE CANNABIS PLUS LE SON -
J'ai delete le numéro et je me suis re isolé le probléme, c'est que l'envie était putain de puissant, je trembler et le manque psychologique était hardcore a gérer. Un jour de grosse dech, je me suis dit vais prendre du
cannabis. J'ai pris le
shit de la famille, j'ai coupé un gros morceau et je les bouffer (je m'interdis de fumer pour éviter des problème de santé). 3 h d'attentes, je sentais toujours rien pourtant le morceau était putain d'épais. La mon pote me dis remet toi du son. J'ai mis le son, j’étais plus là.
J'ai redécollé, j'ai serez la mâchoire a en avoir super mal le lendemain. J'avais des hallu œil fermer et je fessais des très jolie smylet sur mes feuilles de dessin. Partous des smiley. :).
Du coup 2 semaine après je les remets pareille je me remets en condition et je me renvoie du son.
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EXPLICATION -
Enfaite mon cerveau a vachement associée la défonce au mélange
MD/Amphétamines ce qui fais que des que je me mets en condition il me fais une remonté vers cette état la. C'est pas ça. Mais j'ai l'impression d'y êtres. Comme ça m'avais fais avec la Nalbuphine a l'époque.
Du coup maintenant, même si le manque des
Opiacés et toujours très présent en moi, il est beaucoup plus gérables et quand le manque des
amphétamine commence à me peser trop lourd sur le cerveau 1 fois par mois a peut prêt je me mets un gros coup de bueue plus son et ça me calmes. (Le manque d'amphét et couplet avec le manque d'
opiacés il est renforcé par celui là parce que je me dis en boucle ta qua prendre un
taz)
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CONCLUSION -
Avec mon expérience atypique la bueue m'avais jamais vraiment fais d'effet. Et pourtant, j'en coulais des
douilles avec mes potes. Mais vue que les
Taz avec les
amphétamines mon explosé le cerveau. Dans un cadre spécifique (devant le mur de son, Putain êtres le son, c'est magique).
Si je me mets en condition, je sens bien le
cannabis comme ça au lieu d'avoir une sensation vraiment naze. Sa m'aide à tenir avant la prochaine prise. Car bordel pourquoi les 3/4 des
taz, c'est que de la
MD sérieux... Je rêve de l'ancienne époque où c'était plus chargée en
amphétamines... Douce époque que je n'ai pas connue.
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BONUS DVD -
Bref, j’espère avoir était compréhensible et pas trop long. J'ai mis ça en témoignages, car en traitement de
substitution même si ça agis comme ça sur moi, j'ai plus expliqué le pourquoi je trouve la bueue vachement surcoter.
Je ferrais un texte sur la Nalbuphine en entier ou je décris mieux les sensations, le manque, le badtrip sous Nalbu etc... Les paranos et les séquelles psychologiques. On ne sort pas de 1 an d'
opiacés dans le cerveau quand ta 14 ans totalement indemnes.