Je me rends compte que j’ai jamais fini l’histoire.
Le jour se lève, je quitte la ferme et fais le chemin retour.
Bien perchée encore, je découvre la beauté de la nature, tout m’émeut et m’émerveille.
J’arrive sur le site, je rencontre des gens qui sont autour d’un feu, ils ont l’air hyper gentils.
Ils sont alsaciens, me parlent de leur ville, Mulhouse, où ils sont mal vus car ils sont en bande et jouent du djembé, et surtout deux d’entre eux sont arabes et victimes de racisme.
Puis ils me parlent d’un endroit, Colmar, où ils vont parfois prendre des acides, qui a un spot idyllique pour une perche.
Je leur raconte alors ma mésaventure, en disant les acides plus jamais.
Ils m’aident à retrouver ma tente, il y a mon amie dedans. Elle a fait sa perche seule dans la tente sans oser en sortir