1
Dernière modification par Bloodysoin (06 juillet 2020 à 04:22)
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Source : rtbf.be
Dernière modification par Teddyappt (06 juillet 2020 à 12:57)
Hors ligne
Hors ligne
Dernière modification par Bloodysoin (06 juillet 2020 à 17:45)
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Bloodysoin a écrit
Bonsoir, désolé pour mon absence je taff, bref on s'en fou en gros je bois de plus et sous Traitement benzo et bubré 125mg de Seresta | 32mg de bupré.
je me demande si s'est grave grave même si je connais ma tolérance aux médocs mais ma principale question s'est la tolérance à l'alcool, du genre au bout de 1 ans à boire, disons 1 pack de heineken 33, es-que'on perd l'effet de l'alcool de façon radicale (-80% des effets) pas la peine de vous le cacher, je cherche le bon dosage d'alcool pour ne pas être obligé d'avoir ma bouteille de 1L de whisky à portée de main tout en essayant de contrôler tout ça et ne pas partir en vrille s'est pour ça que j'ai besoin de conseil quant à l'utilisation de l'alcool et notamment des bières combien?, jour sans ?, en une seul traite ?
Voila je voulais avoir vos avis pour 4 bières par soir? esque s'est de l'alcoolisme ou bien une habitude, avez-vous des conseils pour tout ça ?
Merci d'avance pour vos réponses
Cordialement
Bloodys
Désolé je vais pas répondre à ta question mais juste rebondir sur tes 32mg de sub.
Pourquoi prendre une tel dose ? Un addictologue m'avait dit à l'époque que au dessus de 16mg ça ne servait plus à rien car le sub sature tes récepteurs.
Tu vois un médecin ou c'est un traitement acheté au marché noir?
Désolé pour le hs mais je trouve ça abusé si un médecin te préscrit de tel dose!
Dernière modification par SoulEater (01 août 2020 à 12:49)
Hors ligne
Hors ligne
Bloodysoin a écrit
Bonjour je reviens sur ce post pour vous dire que j'ai réussi à redescendre à 2 bières par jours, je suis assez content de moi, j'ai eu un petit chat il y a pas longtemps et je n'imaginais pas à quelle point ça me manquait, je dors avec et s'est j'ai la sensation que s'est comme une case vide qui se remplit enfin, j'esseye aussi de diminuer le seresta mais s'est aussi ce qui m'aide à garder ce niveau de consommation, enfin j'imagine, voilà s'été juste pour faire un petit retour, et vous remercier encore pour vos conseils qui m'ont permis de tirer la sonnette d'alarme !
Amicalement
Bloodys
Cool pour ton petit chat profite de ce qu’il t’apporte pour te changer les idées et essayer d’espacer un peu tes consommations.
Il est comment ton petit chat ?
Hors ligne
Reah a écrit
Le seul moyen de ne pas avoir une trop grosse tolérance est très simple c’est l’abstinence...
Hum j'ai pas l'impression que ce conseil et cette philosophie soient dans l'esprit Psychoactif ? De plus c'est faux, il y a bien d'autres stratégies que l'abstinence pour éviter de développer une tolérance importante à l'alcool, conscientiser sa consommation, espacer les épisodes d'alcoolisation, réduire la quantité ingérée, ou si on consomme la même quantité le faire sur une durée plus longue, alterner boisson alcoolisée et softs, etc, etc, etc..
Je sais bien que la RdR alcool est un peu le parent pauvre de cette discipline, mais ça existe, si, si !
Hors ligne
Cub3000 a écrit
Reah a écrit
Le seul moyen de ne pas avoir une trop grosse tolérance est très simple c’est l’abstinence...
Hum j'ai pas l'impression que ce conseil et cette philosophie soient dans l'esprit Psychoactif ?
A mon humble avis, tu te goures sur l'esprit du forum. Oui nous avons une éthique bien claire sur l'usage, le sevrage, etc..... Dans cet esprit, l'abstinence a sa place bien sûr. C'est une, des méthodes qui fonctionne pour certains dont je fais partie. J'ai bu mon dernier verre en 1990. Ce qui nous révolte pas mal : les sevrages secs.
Ce que nous combattons est le dictat de l'abstinence absolue, car si cette dernière fonctionne sur certains (moi entre autres), elle a été érigée en dogme. Et ce dogme imposé rend beaucoup d'alcooliques très malheureux dans un monde sans tampon amortisseur. J'ai de très bons potes qui, étant passés par une consommation problématique de l'alcool, ont réussi par un travail sur eux-même à rendre leur consommation non problématique et surtout sans dépendance.
Bloodysoin raconte comment il fait pour réduire à deux bières le soir et c'est une méthode qui fonctionne pour lui, tant mieux. Je l'en félicite pour le résultat de son propre fait.
J'ai été dépendant de l'héroine, suivie de la codéine dans les années 80, puis alcoolique grave en 1989, suite au sevrage des opiacés et des benzodiazépines. Depuis 20 ans, j'ai trouvé un équilibre sans alcool, mais avec méthadone et cannabis qui a une fonction thérapeutique.
Cet équilibre semble stable (20 ans) et le verres passent devant mon nez sans me toucher ainsi que les képas d'héro ou tous les opiacés récréatifs qui ne me font strictement plus rien.
Je ne peux qu'appuyer le post de Prescripteur sur le besoin que tu as, Bloodysoin de te faire aider dans cette polyconsommation dans laquelle l'alcool ne va pas arranger les choses. Bravo pour ton contrôle car tu es à block de Subu et de benzo.
Je te souhaite de bons moments avec ce petit chat.
Amicalement
Fil
Dernière modification par filousky (28 août 2020 à 10:27)
Hors ligne
filousky a écrit
Cub3000 a écrit
Reah a écrit
Le seul moyen de ne pas avoir une trop grosse tolérance est très simple c’est l’abstinence...
Hum j'ai pas l'impression que ce conseil et cette philosophie soient dans l'esprit Psychoactif ?A mon humble avis, tu te goures sur l'esprit du forum. Oui nous avons une éthique bien claire sur l'usage, le sevrage, etc..... Dans cet esprit, l'abstinence a sa place bien sûr. C'est une, des méthodes qui fonctionne pour certains dont je fais partie. J'ai bu mon dernier verre en 1990. Ce qui nous révolte pas mal : les sevrages secs.
Ce que nous combattons est le dictat de l'abstinence absolue, car si cette dernière fonctionne sur certains (moi entre autres), elle a été érigée en dogme. Et ce dogme imposé rend beaucoup d'alcooliques très malheureux dans un monde sans tampon amortisseur. J'ai de très bons potes qui, étant passés par une consommation problématique de l'alcool, ont réussi par un travail sur eux-même à rendre leur consommation non problématique et surtout sans dépendance.
Bloodysoin raconte comment il fait pour réduire à deux bières le soir et c'est une méthode qui fonctionne pour lui, tant mieux. Je l'en félicite pour le résultat de son propre fait.
J'ai été dépendant de l'héroine, suivie de la codéine dans les années 80, puis alcoolique grave en 1989, suite au sevrage des opiacés et des benzodiazépines. Depuis 20 ans, j'ai trouvé un équilibre sans alcool, mais avec méthadone et cannabis qui a une fonction thérapeutique.
Cet équilibre semble stable (20 ans) et le verres passent devant mon nez sans me toucher ainsi que les képas d'héro ou tous les opiacés récréatifs qui ne me font strictement plus rien.
Je ne peux qu'appuyer le post de Prescripteur sur le besoin que tu as, Bloodysoin de te faire aider dans cette polyconsommation dans laquelle l'alcool ne va pas arranger les choses. Bravo pour ton contrôle car tu es à block de Subu et de benzo.
Je te souhaite de bons moments avec ce petit chat.
Amicalement
Fil
Et quand un mec dit que le seul moyen de ne pas développer de tolérance, c'est l'abstinence, ce n'est pas le diktat de l'abstinence absolue ?
Mollo sur les injonctions contradictoires quand même, hein
Hors ligne
15 | ||
[ Forum ] Interaction & Mélange - Boire une bière sous médicaments.
|
11 | |
[ Forum ] Etude - Alcool : Boire de la bière rendrait intelligent
|
0 |