Nan mais renseigne toi un minimum avant...
La Méthadone = TSO ( traitement de substitution aux opiacés.)
Et la cocaïne n'est pas un opiacé.
Il n'y a d'ailleurs pas de substitution pour la CC
PS: moi aussi j'suis pour la 2eme option
Mdr
En bon entendeur....
MM
Dernière modification par Meumeuh (28 janvier 2021 à 22:35)
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Papattaya a écrit
Je juge pas j'essaie de comprendre pourquoi vous vous obstinez a vous croire/voir addict alors que on a toujours le choix dans la vie ?
C'est nouveau ces comportements a par pour l'alcoolisme qui est millénaire d'ailleurs le mot pour qualifier cette maladie est bien spécifique ) .
C'est limite fascinant de voir des gens qui pour justifié des conso déraisonnable on besoin des conseils dun adicto qui lui même a jamais toucher a la drogue ! Par contre il touche un paquet d'oseille pour écouter vos jérémiades eux aussi doivent doucement rire ...
J'en reviens a ma première intuition envie d'exister de se faire remarquer par quelqu'un triste ...
Vous avez pas dautres centre d'intérêt ? la drogue cest cool mais on en fait vite le tour ....
Sauf le lsd qui est vraiment diferent a chaque fois je l'avoue:)
Oui je bois du thé ou du café le matin je dois consulter un spécialiste?
Le mot pour qualifier la dépendance à l'alcool est spécifique , tout comme l'heroinomanie, la cocainomanie , la morphinomanie ...etc
C'est valable pour toutes les drogues qui peuvent induire une tres forte dépendance et non ce n'est pas nouveau , ça fait des siecles si ce n'est des millénaires !
Le fait est qu'il y a d'autres personnes qui partagent ton opinion mais il n'y a pas que sur psychoactif où les gens pensent comme ceux qui t'ont répondu ; il y a des tas de gens qui pensent comme ça !
Arreter d'etre dépendant à une drogue ne releve pas uniquement de la volonté , c'est plus complexe que ça et les médecins le savent pour la plupart et c'est bien pour ça que l'on considere cela comme une sorte de pathologie .
Tu as une vision des choses extremements étriquée et simpliste et le pire c'est que tu es toi meme usager de drogues !
Quant à dire qu'un pote à toi s'est vu prescrire de la methadone pour arreter la cocaine , ça me parait hautement improbable ou alors le médecin qui a fait ça est un charlot !
Les deux n'ont rien à voir !
Il n'y a pas de médicament pour arreter la coke à ma connaissance , sachant de toute façon qu'elle n'induit pas une réelle dépendance physique , contrairement aux opiacés ou à l'alcool par exemple .
Dernière modification par Acid Test (29 janvier 2021 à 01:18)
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Morning Glory a écrit
Sérieux? o__o
Ah, j'aurais peut-être pas dû le tourner en ridicule sur ce point alors si c'est vrai :x
Mais ok certaines personnes cessent les autres drogues quand elles découvrent les opiacés, mais induire volontairement de la metha pour ça... Ca me semble... Risqué oO
Filousky a a été notamment sauvé de son alcoolisme excessif par la methadone hauts dosages, ça a été une véritable bénédiction pour lui, en tout cas c'est ce qui transparaît dans ses propos quand il parle de sa metha qu'il prend entre autres pour son alcoolisme passé.
Et nombre de gens ont baissé la coke, ou l'alcool, ou autre chose avec la methadone, la metha ça sert à biiieeeen plus que de remplacer les opis.
Et son usage pour diminuer les doses d'autre chose que des opis est loin d'être marginal
Et sans dire que les opis c'est "innocent", surtout la metha c'est hardcore un peu quand même comme opi, mais les opis c'est quand même quasiment pas toxique pour le corps et le cerveau si on gère la constipation et la dépendance, et même si en l'occurence la metha c'est un peu plus qu'un opi (opi + NMDA/ISRS/anticholinergique) et que c'est un peu cardiotoxique comparé aux autre opis, mais en comparaison avec l'alcoolisme ou la grosse conso de coke/amphet la metha c'est une miette niveau toxicité.
Dernière modification par L'Apoticaire (29 janvier 2021 à 10:34)
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Dernière modification par prescripteur (29 janvier 2021 à 10:54)
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L\'Apoticaire a écrit
Filousky a a été notamment sauvé de son alcoolisme excessif par la methadone hauts dosages, ça a été une véritable bénédiction pour lui, en tout cas c'est ce qui transparaît dans ses propos quand il parle de sa metha qu'il prend entre autres pour son alcoolisme passé.
Entre autres ! Car j'ai commencé la méthadone en substitution à la codéine, après un accident assez grave avec les I.V. de coke et dans une démarche personnelle de prévention tant pour mon alcoolisme passé que pour une encore plus ancienne dépendance à l'héroïne en I.V.
C'est vrai que j'ai pensé principalement à ces deux produits qui auraient pu tenter ma carcasse.
La vraie démarche était d'obtenir un traitement méthadone 25 ans après la fin de ma dépendance opiacé en I.V. en préventif, car je savais, pour avoir expérimenté, que son action anti dépressive certaine et la saturation de me récepteurs allait submerger les pauvres tentatives de rectification dans le pharmacopée habituelle qui ne m'apportait que de la médiocrité.
Le tout dans une certitude que sans cette aide, j'allais me mettre à consommer quelque chose; Quoi ? Je ne sais pas et ai choisi de prévenir plutôt que de guérir.
Résultat des courses : en vingt ans de TSO méthadone, quelques fêtes très espacées et avec la RDR actuelle, sans bobos, et muni d'un équilibre dont je n'aurai pas osé rêver il y a trente ans. Pas eu une seule tentation avec l'alcool (je ne mens pas), du très bon cannabis pour le fun, c'est tout.
Amicalement
Fil
Dernière modification par filousky (29 janvier 2021 à 10:39)
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Dernière modification par prescripteur (29 janvier 2021 à 13:44)
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Dernière modification par Momo75014 (29 janvier 2021 à 19:28)
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guygeorges a écrit
Effectivement c'est peu orthodoxe, et les 2 actions ont rien à voir, le membre (désolé j'ai oublié le nom) le préviens lui-même très bien.
Je crois que c'est de moi qu'on parle ^^
J'en avais parlé ici (post #13)
https://www.psychoactif.org/forum/t3512 … .html#divx
Effectivement y a 18ans quand je suis aller dans un caarud pour la première fois car j'étais complètement enfoncé dans mon addiction au crack ET a l'hero.
Après discussion franche avec l'addicto elle a compris que ce qui me posais le plus de problème, et c'était le cas, c'était le craving du crack (dettes, risques de tomber, mourir d'OD, et tout un tas de choses complètement nawak que j'ai fait sous craving)
Alors que l'hero ben je prenais une trace de subu et c'est bon je tenais.
Du coup cet addicto vu que j'avais déjà une tolérance opi, que j'avais déjà tapé de la metha de rue, elle m'a inclu dans une sorte de protocole "expé" on était 3 ou 4 et moi je crois.
Nous mettre directement a haute dose de methadone pour que la lune de miel fasse oublier le craving (a l'époque l'hero de rue était 2 fois moins puissante, c'était l'époque ou elle avait chuté à 5/7% aujourd'hui c'est le double voir un peu plus, 15% environ bref)
Du coup passer de came si coupé a 130mg de metha, la lune de miel m'a fait oublier le craving, et je crois que j'ai basé 3 fois dans l'année.
En gros le but est de couper les envies de crack en utilisant la lune de miel relativement agréable quand on passe a ce genre de dosage (j'étais tricar chez 80% des deal de ma ville et j'avais jeté ma carte Sim, donc ca a bien aidé)
La methadone n'agissais en rien comme une substitution, c'était une manière de détourner l'attention de ma recherche de "plaisir artificiel".
Et j'y ai trouvé mon compte, je pouvais être très euphorique et inspiré (utile vu que je composait de la zik, je m'y suis remis a fond), et si je me couché je piquait bien du zen, bref c'était 2 mois bien agréable, et le but était je pense de faire oublier le crack, et ca marché.
Après ce protocole n'était destiné qu'au personnes ayant une bonne tolérance aux opis et la première dose se prenais sur place et on restait toute la journée pour être sous surveillance.
Et je pense qu'il y avait un degré de confiance, je pense qu'il fallait vraiment que l'addicto ai confiance sur ce qu'on disait prendre, notamment la methadone je me souviens qu'elle m'avait demandé "ca ressemble à quoi ? Ca a quel goût ? Etc"
Bref, finalement cela a très bien fonctionné pour moi et pour 2 autres gars que j'avais recroisé, les 2 autres (je crois qu'on était 5 ) je ne sais pas.
Donc "oui" on peux se sevrer de la coke avec la methadone, bon après moi c'était pour le crack je n'ai aucune idée de si ça serait proposé pour une conso sniff uniquement (je ne vois pas pourquoi mais je le précise)
Mais c'est très rare de tomber sur un addicto qui le propose et faut être dans certains critères.
Maintenant une personne qui galère vraiment a sortir du crack peux éventuellement en parler à son addicto, c'était y a 18ans aujourd'hui c'est peut-être plus répandu.
Dernière modification par LLoigor (29 janvier 2021 à 21:23)
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Dernière modification par Morning Glory (03 février 2021 à 14:42)
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Dernière modification par Anaelle (03 février 2021 à 15:01)
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mais franchement dépenaliser les drogues dur en France et sa sera surement le grand nimporte quoi faut pas ëtre naïf
Nope, regarde le Portugal. 20 ans de dépénaliation et ils ont inifinimeent moins de problèmes que nous.
Pour expliquer le phénomène: réééééactaaaaance xD (oui j'ai que ce mot à la bouche >_>)
https://www.psychoactif.org/forum/2021/ … .html#divx
Je ne te compare pas directement à un militant anti-alcool, je dis que la prohibition est un échec total et que si on interdisait l'alcool comme l'est la coke ce serait une catastrophe sanitaire. Ce n'est pas une question de culture, si la coke était elle aussi ancrée dans l'histoire chrétienne ça ne changerait rien à ses propriétés et ses dangers.
Désolée pour ce qui est arrivé à ta famille
Dernière modification par Morning Glory (03 février 2021 à 15:21)
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Anaelle a écrit
mais franchement dépenaliser les drogues dur en France et sa sera surement le grand nimporte quoi faut pas ëtre naïf
heu... c'est un point de vue...., je t'invite dans ce cas à mettre un je devant pour bien montrer que ce n'est que ton avis, pour éviter des généralisations hatives et infondées
et si c'est sur, de mettre des liens vers des sources (sérieuses) qui étayent tes propos
parce que je crois que maintenant ca va faire au moins 20 ans (50?) qu'un nombre conséquents d'articles de recherche, fait par des spécialistes de pleins de disciplines, sérieux, reconnus, ont prouvé que la dépénalisation serait sans doutes une solution humainement plus respectueuses de tous les citoyens
je crois que dans l'espace médiatique ya des journalistes/editorialistes et des hommes politiques avides de raccourcis et de "pense-vite"=clichés, non documentés, n'ayant jamais prêté d'attention poussée à ces questions qui soutiennent la prohibition.... ha oui et pleins de nos concitoyens aussi, pas de leur faute quelque part je leur en veux pas vu qu'ils se tapent ces discours infondés depuis tellement longtemps...
c'est une question complexe c'est sur, donc je pense que c'est pas possible de penser ca en deux deux et de généraliser à partir de nos uniques expériences pour avoir une vision large et complète du problème que pose la prohibition et de la question des drogues
ca me fait penser à ce titre lu récemment dans une recherche en lien avec la question de la répression: "ceux qui aiment la police ne sont pas ceux qui la subissent"
je suis pour la dépénalisation de toutes les drogues
et pourtant des personnes qui m'étaient très proches sont décédées prématurement et étaient usageres, comme pour toi, tristement
bonne lecture sur PA.org, tu verras ya de quoi faire, pleins de choses à découvrir et apprendre pour qui est pret à requestionner ses préjugés
de la lecture sur la dépénalisation au Portugal si ca t'intéresse
https://idpc.net/fr/publications/2014/0 … setlang=zh
https://www.cairn.info/revue-mouvements … age-22.htm
Dernière modification par Plotchiplocth (03 février 2021 à 16:02)
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Le débat sur les drogues peut souvent être passionné et polarisant; pourtant, sur un point au moins, il existe un consensus croissant: la «guerre contre la drogue» a échoué. La prohibition mondiale n'a pas seulement échoué à dissuader une utilisation croissante, elle a entraîné des comportements plus risqués, des produits plus dangereux et des dommages sanitaires plus dévastateurs. Loin de créer un «monde sans drogue», la prohibition a au contraire créé un vaste marché illégal régi par la violence, la corruption et l’insécurité. Le fardeau le plus lourd de cet échec politique s'ajoute aux conditions déjà difficiles des communautés les plus pauvres et les plus marginalisées, en particulier dans les quartiers pauvres et les zones rurales où la production et le trafic de drogues illicites ont tendance à se concentrer. Nous assistons déjà à des progrès constants dans la politique en matière de drogue et la réforme du droit dans de nombreuses régions du monde - mais il reste encore beaucoup à parcourir. La réduction des méfaits, la décriminalisation et le traitement fondé sur des preuves ont fait de grands progrès au cours des dernières décennies, mais trop de préjudices abordés sont causés par la prohibition en premier lieu. Un guide pratique 7La Commission mondiale sur la politique en matière de drogues à laquelle j'appartiens a clairement indiqué depuis sa création en 2011 que le statu quo est intenable et qu'une réforme s'impose d'urgence. Le monde doit s'éloigner des échecs de ce modèle idéologique et criminalisé et se réorienter de manière décisive vers des politiques factuelles ancrées dans les valeurs fondamentales de la santé publique, des droits de l'homme, de l'autonomisation économique, de l'éducation de qualité, de la justice sociale et du développement durable. .
Dans un premier temps, nous devons mettre fin à la criminalisation des personnes qui consomment des drogues. La décriminalisation est en cours dans de plus en plus de pays à travers le monde - et a été approuvée sans ambiguïté par 30 entités des Nations Unies dans leur Position commune des Nations Unies sur la drogue de 2019 approuvée par le Conseil des chefs de secrétariat du Secrétaire général. Pourtant, si la décriminalisation est un catalyseur essentiel de toute réponse significative en matière de santé et de décarcération, elle a peu d'impact sur les marchés de drogues illicites.
L'application punitive de lois injustes est inefficace et contraire à la justice sociale. Nous devons fonder notre réflexion sur la réalité que l’usage de drogues est déjà répandu dans la société. Que cela nous plaise ou non, la consommation de drogue est une réalité qui doit être gérée de manière responsable. Nous ne pouvons pas souhaiter la suppression des drogues - mais nous pouvons les rendre plus sûrs ainsi que leurs modes d’utilisation.
Cela, à son tour, nécessite d'accepter que réglementer légalement les marchés d'accès des adultes pour les drogues actuellement illégales est le seul moyen d'atténuer les dommages causés par le marché illégal. Nous ne pouvons pas choisir si nous vivons dans une société avec ou sans drogues, mais nous avons le choix de savoir si et comment le marché est contrôlé. Au fur et à mesure que le consensus grandit sur l’échec de la «guerre contre la drogue», il en va de même pour la nécessité d’une exploration franche des alternatives. Nous avons tous la responsabilité de réfléchir à ce qui pourrait remplacer le statu quo, et nous devons réfléchir à la manière dont cela s'applique à toutes les drogues. Une exploration significative de la régulation des médicaments stimulants est un élément clé de ce processus.
Dernière modification par prescripteur (03 février 2021 à 17:35)
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Dernière modification par Anaelle (04 février 2021 à 22:39)
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Dernière modification par prescripteur (04 février 2021 à 23:01)
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Dernière modification par Anaelle (04 février 2021 à 22:56)
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Dernière modification par Morning Glory (05 février 2021 à 00:23)
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Dernière modification par supermario64 (05 février 2021 à 00:30)
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la fueille de coca est legal dans presque toute lamerique latine! car justement elle est naturelle
Non, c'est juste une question de dose et dd'absorption, qui limite la toxicité.
http://gayatrek.com/feuille-de-coca/
https://www.phytomania.com/phyto/feuille-coca.htm
J'ai observé que la consommation excessive de coca était une réalité dans les communautés indiennes où les conditions socio-économiques étaient très mauvaises mais sans que l'usage de la coca soit la cause de cette situation désastreuse..... Plusieurs facteurs limitent la consommation de feuilles de coca. La quantité de cocaïne absorbée en mâchant les feuilles est faible et pénètre lentement dans l'organisme. De plus mâcher des feuilles est beaucoup plus contraignant et beaucoup moins facile que d'avaler une pilule ou de "sniffer" de la poudre. Ce supplément de travail lié à la consommation de la feuille de coca est un garde fou naturel à l'augmentation de sa consommation... "
Et,à propos de Pape (je le mets pas là pour m'en moquer mais plutot par admiration pour son humanité).
https://www.ouest-france.fr/monde/boliv … ca-3523433
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (05 février 2021 à 09:30)
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Anaelle a écrit
La cocaïne c'est beaucoup dessence et d'acide ! la fueille de coca c'est 100% naturelle et bien meilleur pour la santé !
Hello ,
Je peux me trompé mais je dirais qu'il ne faut pas confondre extraction avec synthétisation . Dans un cas on extrait avec des produits chimiques qu'on fait ensuite évaporé ce qui au finale si c'est bien fais , ça donne un produit très pure après on y rajoute la coupe mais bref , ce qui au final n'a pas plus de risques que de croqué dans une feuille ( voir même moins de risques car on sais combien on en consomme contrairement à la feuille )
Quand on synthétise un produit la c'est différent et les risque aussi , on par de diverses molécule pour arriver à une autre . Une erreur dans la synthèse peux donner un produit complètement différent.
Take Care
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