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Anaya a écrit
Avez-vous vécu des situations similaires ?
A qui le dit tu ! Forcément en tant que mec l'addiction au sexe est quasi normale tellement c'est encré.
Et puis en tant que mec, jeune, bas dans la hiérarchie sociale, et pas forcément hyper beau gosse ( 90% des mecs quoi ), forcément l'accès à la sexualité est très limité. Donc qu'est ce qui nous reste, le porno, ou les prostitués .. Encore deux vecteurs de potentiel comportement addictif ...
Dernière modification par Anaya (01 mars 2022 à 19:45)
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Anonyme93 a écrit
Anaya a écrit
Avez-vous vécu des situations similaires ?
A qui le dit tu ! Forcément en tant que mec l'addiction au sexe est quasi normale tellement c'est encré.
Et puis en tant que mec, jeune, bas dans la hiérarchie sociale, et pas forcément hyper beau gosse ( 90% des mecs quoi ), forcément l'accès à la sexualité est très limité. Donc qu'est ce qui nous reste, le porno, ou les prostitués .. Encore deux vecteurs de potentiel comportement addictif ...
Nan mais après on peut pas confondre avoir envie de sexe tout les jours et "addiction au sexe".
Dans l'addiction, ou la dépendance, en tour cas définie de façon problématisue, il y a une notion de continuer une pratique, une consommation, malgré des aspect délétère sur la santé ou la vie quotidienne.
Il y a une notion de compulsion, de perte de contrôle, de se mettre dans des situations qu'on sait dangereuse, sans pouvoir s'en empécher, ou très difficilement.
A mon sens, il ne faut pas confondre l'envie fréquente de sexe des jeunes hommes (ce que tu évoques) ou femmes, avec une adiction problématique menant à une recherche continue et impérieuse de partenaires sexuels, avec multiplication des pratiques à risques.
Par exemple si tu te branle 3 fois par jour = ok.
Tu te branle 15 fois par jour sans pouvoir te contrôler, à t'en déchirer la peau de la bite = addiction problématisue avec impact négatif
Tu baise 1-2 fois par jour avec ton/ta partenaire = ok
Tu baises 5 fois par jours, avec 5 partenaires différents et pratiques extrèmes/ dangereuses = addiction problématisue avec impact négatif.
C'est quand même pas pareil pour moi
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AnonLect a écrit
Avoir envie de quelque chose tout les jours, si c'est pas une addiction, je sais pas se que sait alors.
Selon moi tu décris juste le coté soft et le coté moins cool d'une addiction.
En plus la tu nous dis ==> Se branler 3 fois par jours = ok
Excuse moi, mais je trouve sa aberrant
C'est pas parce qu'une pratique régulière ne mène pas à des problématiques de santé que se n'es pas pour autant une addiction
Anonyme93 a écrit
AnonLect a écrit
Avoir envie de quelque chose tout les jours, si c'est pas une addiction, je sais pas se que sait alors.
Selon moi tu décris juste le coté soft et le coté moins cool d'une addiction.
En plus la tu nous dis ==> Se branler 3 fois par jours = ok
Excuse moi, mais je trouve sa aberrant
C'est pas parce qu'une pratique régulière ne mène pas à des problématiques de santé que se n'es pas pour autant une addiction
Entièrement d'accord avec toi, ce n'est pas parce qu'une habitude sur l'instant T n'est pas dangereuse qu'elle est pour autant saine, c'est deux point à dissocier.
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Anaya a écrit
26 février 2022 à 00:19
Je publie ce post car je souhaite que la sexualité des femmes ne soit plus un tabou
Sur quels éléments concrets tu te bases pour affirmer le fait que la sexualité des femmes serait taboue de manière générale ? On est pas encore aux Emirats il me semble non? Ou en Inde par exemple, dans le Tamil Nadu la c'est la sacrée ambiance. Aborder une telle problématique avec un biais d'analyse centré sur son petit système de représentations, c'est occulter la partie immergée de l'iceberg.
Sans nier le fait que ça a pu être le cas pendant quelques siècles auparavant, il faut quand même avoir une clairvoyance sur les évolutions des mœurs depuis le XVIIIème en Europe.
Qui s'est opposé réellement à ta vision de la sexualité au point que cela t'empêche vivre comme tu le souhaitais, à six orgasmes?
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Anonyme93 a écrit
AnonLect a écrit
Avoir envie de quelque chose tout les jours, si c'est pas une addiction, je sais pas se que sait alors.
Selon moi tu décris juste le coté soft et le coté moins cool d'une addiction.
En plus la tu nous dis ==> Se branler 3 fois par jours = ok
Excuse moi, mais je trouve sa aberrant
C'est pas parce qu'une pratique régulière ne mène pas à des problématiques de santé que se n'es pas pour autant une addiction
Et bien si, c'est bien comme ça que ça se définit une "addiction".
Par exemple, pour l'Assurance Maladie fr c'est :
"Une addiction est une dépendance à une substance ou à une activité, avec des conséquences néfastes sur la santé de la personne affectée""La dépendance se caractérise par un désir souvent puissant, voire compulsif, de consommer ou de pratiquer une activité. Cette consommation ou cette pratique entraînent un désinvestissement progressif vis-à-vis des autres activités.Ainsi, une personne est dépendante lorsqu’elle se retrouve dans l’impossibilité de s’abstenir de consommer ; elle perd le contrôle de l’usage d’une substance ou d’un comportement et ce, malgré la survenue de conséquences négatives sur sa santé et sur sa vie sociale."
Wikipedia nous dit que :
"L'addiction, dépendance, assuétude, est l'envie répétée et irrépressible de faire ou de consommer quelque chose en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour s'y soustraire.L'anglicisme addiction est au sens courant souvent synonyme de toxicomanie[1] et désigne tout attachement nocif à une substance ou à une activité. Le terme plus ancien d’assuétude est d'usage courant dans certaines régions de la francophonie, notamment au Québec[2]. Dans d'autres régions, il est vieilli, mais reste parfois utilisé pour qualifier des dépendances faibles comme celle au chocolat.Il peut exister des addictions pour tout ce qui permet de se donner du plaisir : alcool, drogue (en particulier les opiacés), jeux d'argent, jeux vidéo, masturbation, pornographie, nourriture (boulimie), achats (oniomanie), malgré la conscience aiguë qu'a le sujet — le plus souvent — d'abus et de perte de sa liberté d'action, de dégradation de la santé ou de ruine "
Mieux encore, l'Inserm, l'"Institut de la Santé et de la Recherche Médicale" nous donne cette définition :
"L’addiction est une pathologie qui repose sur la consommation répétée d’un produit (tabac, alcool, drogues…) ou la pratique anormalement excessive d’un comportement (jeux, temps sur les réseaux sociaux…) qui conduit à : une perte de contrôle du niveau de consommation/pratiqueune modification de l’équilibre émotionneldes troubles d’ordre médicaldes perturbations de la vie personnelle, professionnelle et sociale."
Plus précisément, et en lien avec le topic, voici comme l'Hôpital Universitaire de Genève défini "l'Addiction Sexuelle" :
"L’addiction sexuelle, ou dépendance sexuelle, se caractérise par la perte de contrôle sur la sexualité et la poursuite du comportement problématique malgré la connaissance et l’expérimentation de conséquences négatives (ex. blessures génitales, prises de risques infectieux). Elle s’accompagne de souffrance, de sentiment de honte, de culpabilité. La sexualité suit un mode opératoire identique, répété de façon compulsive, en solitaire ou avec partenaire"
Et un petit dernier pour la route, un extrait d'un article : "Slam, chemsex et addiction sexuelle". issu de la revue "Psychotrope" : "la revue internationale des toxicomanies et des addictions".
"Il n’est pas aisé de définir l’addiction sexuelle. La sexualité est une activité humaine fondamentale, alors où placer le curseur entre normal et pathologique ? Y a-t-il une sexualité normale ? Et donc une sexualité déviante ?À définir une addiction, on peut craindre une pathologisation de pans entiers de l’existence, avec un retour normatif à la morale et de ses effets aliénants. En effet, selon les cultures, les pays, les communautés et les individus, les repères, us et usages en termes de sexualité peuvent être très différents. Il paraît peu opportun de définir des critères soi-disant objectifs qui, en fait, correspondraient à des dimensions partiales et « autorisées » par un choix dogmatique.Le sentiment subjectif de souffrance du sujet et d’aliénation à ce comportement est le meilleur signe de l’addiction. À ce stade, nos patients nous rapportent dans les entretiens, après l’énoncé de la recherche de plaisir, le sentiment de perte de contrôle, la compulsion de répétition, la fuite de la réalité et un évitement de la souffrance, comme décrits dans les critères de Goodman (Goodman, 1990)."
Bon donc l'"addiction" c'est bien par ça que ça se définit, désolé.
Après en effet, il y a pas vraiment de terme pour désigner "une pratique régulière qui ne pose pas de problème quel qu'il soit", bien qu'une vraie addiction pose, à priori, forcément des problèmes, ne serait-ce que pratico-pratique, comme de logistique pour se procurer l'objet de l'addiction, le temps passé à la satisfaire qui ne peut donc pas être destiné à autre chose etc. Il n'y a pas que des problèmes de santé, très loin de la.
A mon sens la différence c'est qu'une vraie addiction t'es quasi obligé à un moment de renoncer à faire quelque chose qui, normalement, te plait pour satisfaire cette addiction. Ou alors à minima de prendre le temps pour trouver le moyen de satisfaire ton addiction dans diverses situation, ce qui est plus ou moins galère, et il faut pas qu'il y ait de problème imprévu.
Imaginons qu'on t'invite à une soirée par exemple, dans le cadre de notre exemple hypothétique de tout à l'heure. Ca va être compliqué car normalement disons que, durant ce temps que durera la soirée, tu dois te branler au moins 2 fois, sinon t'es pas bien.
Ben concrètement, si t'es pas réellement addict tu t'en fous, tout simplement. Tu penseras à autre chose pendant la soirée et voila.
Par contre si t'as vraiment une addiction y aurait, en gros, trois options :
- t'y vas pas.
- t'y vas mais il faut que tu trouves un partenaire.
- Si tu trouves pas, soit tu vas être obligé à un moment d'aller voir une prostituée par exemple, soit tu vas devoir te branler vite fais pendant la soirée.
Donc dans tous les cas c'est galère.
Bon ça paraît un peu tiré par les cheveu, mais c'est un exemple un peu caricatural.
Pareil, même si tu peux être un "heureux accrocs" à une drogue, qui n'a pas d'impacte sur ta Santé, ton morale, ta vie de famille… Va toujours y avoir des galères en tout genre, ne serait-ce que pour voyager par exemple. Ou toujours prévoir une pharmacie, un dealer, ou des réserves, ou que tu sois, le temps que ça prend etc.
Alors qu'un non addict, un simple "afficionados" on pourrait dire, qui prend régulièrement sans être "addicte", ben il s'en fout ! Il va partir 1 mois en voyage, une semaine en vacance en famille ou ce que tu veux sans problème car durant ce laps de temps il pourra tout simplement se passer de consommer sans vrai problème quelconque, ce qui n'est pas possible pour quelqu'un de vraiment addicte à mon sens.
Je sais bien que dans le langage courant on dit des trucs genre "jsuis addicte au coca, au mac do, au sport, au chocolat.... au sexe (:))", mais pour moi c'est clairement des abus de langage, et 95% de ceux qui disent ça ne sont pas vraiment "addicte" ou "dépendant".
Et enfin pour finir ce court message, j'ai l'impression que ma définition rejoint bien plus ce que veut signifier l'auteure du topic dans son poste, une vraie addiction problématique engendrant une prise de risque et ayant un impacte de manière générale dans le déroulée de sa vie, répondant à un comportement compulsif... En tout cas dans les derniers stades avant arrêt.
Donc désolé, mais ce qui est "aberrant" pour moi, c'est de comparer cette situation à celle, selon toi, "[de tous les mecs]", pour lesquels : "l'addiction au sexe est quasi normale tellement c'est encré. (sic)"
Et tant que j'y suis, "l'accès à la sexualité" n'est pas "limité pour 90% des mecs", WTF ? Enfin à 15 ans peut être, mais jveux dire, "l'accès à la sexualité" est plus compliqué si tu veux, il faut se le provoquer et/ou avoir un peu de chance quoi, oui, d'accord, mais bon… C'est pas si compliqué que ça en vrai, sauf cas particulier.
Dernière modification par AnonLect (02 mars 2022 à 00:10)
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Psilosophia a écrit
Anaya a écrit
26 février 2022 à 00:19
Je publie ce post car je souhaite que la sexualité des femmes ne soit plus un tabouSur quels éléments concrets tu te bases pour affirmer le fait que la sexualité des femmes serait taboue de manière générale ? On est pas encore aux Emirats il me semble non? Ou en Inde par exemple, dans le Tamil Nadu la c'est la sacrée ambiance. Aborder une telle problématique avec un biais d'analyse centré sur son petit système de représentations, c'est occulter la partie immergée de l'iceberg.
Sans nier le fait que ça a pu être le cas pendant quelques siècles auparavant, il faut quand même avoir une clairvoyance sur les évolutions des mœurs depuis le XVIIIème en Europe.
Qui s'est opposé réellement à ta vision de la sexualité au point que cela t'empêche vivre comme tu le souhaitais, à six orgasmes?
Dernière modification par Anaya (02 mars 2022 à 00:25)
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Dernière modification par anonyme784532 (02 mars 2022 à 00:46)
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krakra a écrit
Salut,
tu avais une addiction à l'orgasme et ou c'était un besoin de séduction et ou un besoin de s’avilir ?
tu a réussis à rompre cette addiction grâce à une rencontre ou un autre déclic?
Il est vrai que pour trouver du porno respectueux des femmes il faut bien chercher
Merci pour le témoignage
Coucou,
Oui j’avais une addiction à l’orgasme. En fait c’était toujours au moins 5-6 par rapport et parfois plusieurs partenaires et rapports dans la même journée. Mon compagnon actuel au début de notre relation était complètement épuisé par ce mode de fonctionnement. C’était des réveils la nuit, des demandes avec insistance pendant la journée avec très peu d’autres sujets de conversation que le sexe.
A l’époque je voulais que ce soit brutal, après on reprends, encore, encore, jamais fatiguée, mais ensuite plus d’énergie pour rien.
Alors oui, j’attends les remarques sarcastiques du style « oh non le pauvre quelle victime, il est avec une folle de cul !!»; eh bien je vous assure que c’était envahissant, il en avait marre.
J’ai appris à me canaliser d’abord avec un seul partenaire. Au début je me voyais vraiment pas baiser juste 2-3 fois par semaine c’était inconcevable. Ma vie se résumait à ça.
Quand je travaillais sur mon ordi, j’avais des pulsions qui me coupaient complètement et j’étais obligée de m’arrêter. Pareil en contexte pro réel, le mental qui part ailleurs et des flash que j’essayais de contrôler.
Aujourd’hui je supporte plus de baiser à la chaîne j’ai le sentiment d’être une machine. Pareil pour la douleur, je me suis déshabituée, il refusait de me faire mal de toute façon.
La douleur me procurait un apaisement, un bien être, une sorte de transe. Pour le coup c’était vraiment le fait d’avoir mal. Mais j’étais prête à ne pas aller en cours ou perdre une journée de travail pour aller jusqu’au bout de ma pulsion. Je préférais sortir et prendre diverses drogues puis finir avec des partenaires multiples que de manger avec ma famille ou aller au cinéma. Cette addiction a fini par m’isoler de tout, jusqu’à ce que je devienne une hermite blottie dans son appart en bordel.
On ne peut pas faire la confusion avec un simple choix de vie. A l’époque c’était une compulsion.
Dans ce contexte je souffrais plus de la solitude et de l’enfermement lié a l’addiction, la perte de mes amis, leurs reproches, jugements et le rejet. Ils ont essaye de me réveiller à leur manière et ont fini par jeter l’éponge.
Je pense qu’il faudrait développer la RDR sur l’addiction sexuelle, aller même plus loin que la prévention des maladies, comment on retrouve une capacité de choix, le faire de manière safe au sens large.
Par contre le but du propos n’est pas de rentrer dans les détails des pratiques, pour ça il y a les sites spécialisés !
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Dernière modification par zizitaupe_meilleure_bande (02 mars 2022 à 10:08)
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Anonyme93 a écrit
En plus la tu nous dis ==> Se branler 3 fois par jours = ok
Excuse moi, mais je trouve sa aberrant
Soit je ne comprends pas ce que tu veux dire dans ce contexte, soit j'ai soudain l'impression de ne plus être sur Psychoactif mais sur un site de l'église catholique romaine.
En quoi ça peut poser un problème de se branler 3 fois (ou plus) par jour du moment que ça se passe dans le cadre de l'intimité ou entre personnes consentantes ?
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Cub3000 a écrit
Attention tu te méprends Cube
Chacun à la droit de faire se qu'il veut de son corps . Je suis pas dans un jugement de valeurs morale.
Maintenant .. Il me semble, que lorsque l'on est plus un adolescent, se masturbé 3 fois par jours devant des pornos, n'es pas forcément très sains et productif. Tan sur le plan psychologique, physique et spirituelle.
Pour moi se masturbé autant traduit une insatisfaction non réalisé dans la vrai vie.
Quelque part sa pousse à l'inaction, dans la séduction, et dans un spectre beaucoup plus globale dans ta vie tout court. Après une branlette ta rarement envie de faire plein de choses.. L'expression "être un branleur" ne sort pas de nulle part.
Tu es beaucoup plus satisafait après avoir séduit une nana qu'après avoir trempé tes draps tout seul.
Et attention encore une fois je ne suis pas dans le jugement. Je suis le 1er à consommer du porno régulièrement et à pratiquer les plaisirs solitaire, et c'est bien parce que j'en subit les inconvénients et que j'ai lu et vu des dizaines de témoignage que je me permet de dire tout cela.
Rien de tout ça n'es très sains ( et pour la 3eme fois je ne fais pas de moral ). Et aujourd'hui il y a les études pour l'appuyer, ce n'es pas nouveau.
Après ceux qui le vivent normalement .. grand bien leur fasses j'ai envie de dire !
Mais à mon avis se sujet relève bien plus d'un problème de société que se vous ne laisser faire entendre.
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Anonyme93 a écrit
L'expression "être un branleur" ne sort pas de nulle part.
effectivement.
elle prend racine dans la condamnation religieuse de l'onanisme et du plaisir de manière plus générale, au profit d'une mise en valeur de plaisirs qui viendraient après la vie et qui seraient mérités en récompense du labeur, des souffrances et d'une forme d'abnégation attachés à la "vie terrestre" comme rédemption des péchés.
L'expression "être un branleur" dans sa dimension péjorative, invalidante et de condamnation morale vient de là. (comme l'essentiel des condamnations morales en cours dans notre société, dont celle de l'usage de substances en raison de leur lien au plaisir, un héritage de la "tradition chrétienne" et de son "traitement moral" du plaisir)
(en tout cas il me semble que c'est ce qu'en dit M. Foucault de facon très résumée dans l'histoire de la sexualité)
Dernière modification par Plotchiplocth (05 mars 2022 à 11:43)
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Anonyme93 a écrit
Cub3000 a écrit
Maintenant .. Il me semble, que lorsque l'on est plus un adolescent, se masturbé 3 fois par jours devant des pornos, n'es pas forcément très sains et productif. Tan sur le plan psychologique, physique et spirituelle.
Pour moi se masturbé autant traduit une insatisfaction non réalisé dans la vrai vie.
Quelque part sa pousse à l'inaction, dans la séduction, et dans un spectre beaucoup plus globale dans ta vie tout court. Après une branlette ta rarement envie de faire plein de choses.. L'expression "être un branleur" ne sort pas de nulle part.
Tu es beaucoup plus satisafait après avoir séduit une nana qu'après avoir trempé tes draps tout seul.
Parles seulement pour toi même s’il te plaît, comme ailleurs sur le forum. Chacun peux décider ce qui lui convient dans la vie. Moi même je trouve que se branler plusieurs fois par jour ça me convient. Je trouve ça très sain pour moi, et je suis très satisfait dans ma vie (et si j’étais pas satisfait il y aurait aucun lien pour moi). Je trouve que “séduire une nana” me fait pas du bien. Si je suivait ton logique et au lieu de me branler je sortais "séduire des nanas" je ne serais rien que malheureux, ayant entrainer des nanas dans ma vie seulement pour avoir un sens d'accomplissement. Et les nanas seraient egalement malheureuses vu que jaurais besoin daller en trouver de nouvelles a seduire toutes les huit heures (3x par jour, non?)… bref sans blague, chacun fais ce qu'iel veut avec sa chaglinette et son zob et on oublie le jugement, stp.
Dernière modification par zizitaupe_meilleure_bande (05 mars 2022 à 17:22)
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zizitaupe_meilleure_bande a écrit
Chacun peux décider ce qui lui convient dans la vie. chacun fais ce qu'iel veut avec sa chaglinette et son zob et on oublie le jugement, stp.
Oui tout à fait je parle en mon nom. Regarde, j'utilise les termes tel que "il me semble" , "pour moi", ce qui prouve que je parle en mon nom. Et tu remarqueras aussi qu'au moins trois fois j'ai bien précisé que je n'était pas dans le jugement de valeur.
Va falloir faire un effort et relire un peu mieux la prochaines fois.
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zizitaupe_meilleure_bande a écrit
Tant mieux si tu le dit, mais relis toi même, tu écris « tu » es « on » …
« Tu es beaucoup plus satisafait après avoir séduit une nana qu'après avoir trempé tes draps tout seul. »
« que lorsque l'on est plus un adolescent, se masturbé 3 fois par jours devant des pornos, n'es pas forcément très sains et productif. »
Bonjour,
Je crois que ce qu'il veut dire c'est que l’excès en tout est un défaut.
Je pense aussi qu'il veut signifier que TROP se masturber peut nous détourner des rapports traditionnels que l'on entretien de coutume avec l'autre sexe, par là nuire à nos relations sociales et à notre développement personnel, ainsi qu’au désir que l'on peut avoir de créer un couple.
En outre, il me semble que des conditions psychologiques structurantes et favorables à l'individu se rencontreront plus souvent dans un couple que pour une personne affectivement isolée se masturbant x fois par jour.
C'est pas complètement déconnant et ça a déjà été théorisé (voir les besoins fondamentaux chez Maslow et sa pyramide, ou même Freud dans un autre genre, il y en a d'autres)
Bonne journée.
PS: regular psyche s'exprime globalement en ”je” depuis le début, son ton est mesuré, est-ce utile de le reprendre sur 2 phrases qu'il est trop facile de mettre en exergue simplement par vexation ou opposition systématique ?
En tout cas, ça n'a rien d'une contre-argumentation, ça ne sert à rien. Faut-il à ce point surveiller sa propre graphie, à la chasse du moindre ”on” dans le but de bannir ce dernier ?
Je comprends le travail sur la généralisation, les clichés, les stéréotypes et toussa, c'est honorable, digne et utile, mais l'excès en tout est un défaut comme je le disais au début. Ça devient souvent un argument (et pourtant ce n'en est pas un) pour simplement et définitivement discréditer la rhétorique de ” l'adversaire”. Trop facile d'utiliser un argument qui se suffit à lui-même.
J'ai même vu des posts dans lesquels l’OP met le ”JE ” en majuscules, je comprends pas bien ce qu'il redoute avec des minuscules à moins d'être déjà traumatisé, enfin c'est pour dire que ça va loin.
Dernière modification par Échec Scolaire (06 mars 2022 à 11:17)
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Échec Scolaire a écrit
B
zizitaupe_meilleure_bande a écrit
Tant mieux si tu le dit, mais relis toi même, tu écris « tu » es « on » …
« Tu es beaucoup plus satisafait après avoir séduit une nana qu'après avoir trempé tes draps tout seul. »
« que lorsque l'on est plus un adolescent, se masturbé 3 fois par jours devant des pornos, n'es pas forcément très sains et productif. ».
désolé d'avoir merdé le message, je ne suis plus habitué aux balises depuis au moins 15 ans, je n'ai pas trouvé comment supprimer
Dernière modification par Échec Scolaire (06 mars 2022 à 09:31)
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Échec Scolaire a écrit
B
Je crois que ce qu'il veut dire c'est que l’excès en tout est un défaut.
Je pense aussi qu'il veut signifier que TROP se masturber peut nous détourner des rapports traditionnels que l'on entretien de coutume avec l'autre sexe, par là nuire à nos relations sociales et à notre développement personnel, ainsi qu’au désir que l'on peut avoir de créer un couple.
Et puisque je suis clairement qqn qui fait une fixette sur les mots (ici au moins, car le sujet me passionne), c’est quoi cette phrase: « rapports traditionnels que l'on entretien de coutume avec l'autre sexe, par là nuire à nos relations sociales et à notre développement personnel, ainsi qu’au désir que l'on peut avoir de créer un couple». On est de nouveau en étude de bible ici? On est au 21e siècle, nom de vingt dieux d’ours! Pourquoi on parle de « rapports traditionnels » et de « l’autre sexe »? Puis, pour certains, developper sa sexualité ou simplement se perdre dans l’hédonisme pur de l’onanisme, ça tombe dans la catégorie de « développement personnel ». Et pourquoi doit on créer un couple? Il y a plein de gens très bien qui s’en foutent d’être en couple, qui ont abandonné l’idée. Certes il y a des études qui montrent qu’on vit plus longtemps en couple, qu’il y a tels ou tels avantages de la vie en couple. Mais ça ne change rien pour un individu qui n’a pas envie d’être en couple, car pour cette personne en particulier, la vie de couple la rends malheureuse.
Si j’insiste la dessus, c’est car je crois que beaucoup de problèmes sexuels arrivent du fait que la société associe certaines aspects de la sexualité avec le « mal ». Si on dit on gens que se branler trop souvent c’est mauvais pour la santé mentale, les gens auront honte de « trop » se branler. L’église a bien fait des dégâts déjà pendant longtemps, et ça continue de nos jours. Encore une fois je ne dis pas que se branler beaucoup c’est forcément bien, juste que c’est à chacun de découvrir de soi même ce qui leurs convient, sans le jugement des autres.
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zizitaupe_meilleure_bande a écrit
Peut être j’ai trop ciblé le langage, désolé, mais le propos de base je trouve tellement absurde. Même si c’était prouvé que la masturbation fréquente soit nuisante à la santé— ce qui n’est pas le cas d’après ce que je sais (désolé mais Maslow et Freud ne me servent pas comme base de référence sur le sujet, mais si t’as des études, je suis friand)—qu’est-ce que ça change? Si ça rends un individu heureux, qui est on pour juger, trouver ça trop? C’est à chaque personne d’apprendre par lui même ce qui est trop de masturbation. Ce qui m’a gêné depuis le début c’est que psyché ne dit pas « 3x par jour c’est trop pour moi, je préfère aller séduire, ça me rends plus heureux. »
Échec Scolaire a écrit
B
Je crois que ce qu'il veut dire c'est que l’excès en tout est un défaut.
Je pense aussi qu'il veut signifier que TROP se masturber peut nous détourner des rapports traditionnels que l'on entretien de coutume avec l'autre sexe, par là nuire à nos relations sociales et à notre développement personnel, ainsi qu’au désir que l'on peut avoir de créer un couple.Et puisque je suis clairement qqn qui fait une fixette sur les mots (ici au moins, car le sujet me passionne), c’est quoi cette phrase: « rapports traditionnels que l'on entretien de coutume avec l'autre sexe, par là nuire à nos relations sociales et à notre développement personnel, ainsi qu’au désir que l'on peut avoir de créer un couple». On est de nouveau en étude de bible ici? On est au 21e siècle, nom de vingt dieux d’ours! Pourquoi on parle de « rapports traditionnels » et de « l’autre sexe »? Puis, pour certains, developper sa sexualité ou simplement se perdre dans l’hédonisme pur de l’onanisme, ça tombe dans la catégorie de « développement personnel ». Et pourquoi doit on créer un couple? Il y a plein de gens très bien qui s’en foutent d’être en couple, qui ont abandonné l’idée. Certes il y a des études qui montrent qu’on vit plus longtemps en couple, qu’il y a tels ou tels avantages de la vie en couple. Mais ça ne change rien pour un individu qui n’a pas envie d’être en couple, car pour cette personne en particulier, la vie de couple la rends malheureuse.
Si j’insiste la dessus, c’est car je crois que beaucoup de problèmes sexuels arrivent du fait que la société associe certaines aspects de la sexualité avec le « mal ». Si on dit on gens que se branler trop souvent c’est mauvais pour la santé mentale, les gens auront honte de « trop » se branler. L’église a bien fait des dégâts déjà pendant longtemps, et ça continue de nos jours. Encore une fois je ne dis pas que se branler beaucoup c’est forcément bien, juste que c’est à chacun de découvrir de soi même ce qui leurs convient, sans le jugement des autres.
D'accord pour les rapports traditionnels et l'autre sexe, c'est maladroit de ma part, et je me suis aperçu trop tard que ce sont des expressions qui peuvent apparaître comme douteuses ici.
Je n'ai pas de lien sur des "études" et je suis pas là pour en chercher, je parle en JE comme qui dirait, c'est mon avis et il ne vaut peut-être pas plus que ce qu'il coûte. Par contre, je t'ai cité un grand psychologue ( Maslow ), il y en a d'autres, libre à toi de t'informer, je peux pas le faire à ta place. Pour simplifier, il dit qu'il y a des besoins fondamentaux, le sexe entre partenaires en fait partie, mais aussi la famille et d'autres comme le sentiment de sécurité ou d’amour/appartenance. Si ces besoins ne sont pas satisfaits, d'autres besoins plus évolués, plus haut dans la pyramide, ne pourront pas émerger. J'ai résumé vite fait.
Je ne dis pas que la masturbation c'est mauvais pour la santé mentale, personne de sensé ne dit ça.
C'est une pratique aussi répandue que normale.
Par contre, quand c'est trop, à mon avis ça peut détourner des relations avec d'autres partenaires qui sont la norme chez les humains, et aussi plus satisfaisantes.
Ce que je pense simplement, en dehors de tout jugement ou idéologie, encore moins religieuse, c'est que TROP se masturber c'est le signe de problèmes psychologiques voire psychiatriques (ou même peut-être neurobiogiques, ça j'en sais rien).
Si ça prend une dimension compulsive, ce n'est pas normal.
Je sais bien aussi qu'on peut se trouver heureux et accompli seul, cependant je continue de croire que le couple revêt une dimension de stabilité que le célibat n'a pas, ne serait-ce que par son écrasante majorité représentative, mais je peux me tromper. D'ailleurs c'est aussi mon expérience, je trouve la vie en couple plus enrichissante, pour diverses raisons. Jamais je ne reviendrai au célibat, surtout à mon âge.
Sois assuré que je n’ai aucun jugement moral sur la masturbation, moi aussi ça m'arrive et même souvent, mais perso je m' inquieterais si ça prenait trop d'importance dans ma vie, comme pour d'autres choses.
C'est gentil d'être revenu argumenter, bonne fin de journée !
Dernière modification par Échec Scolaire (06 mars 2022 à 17:52)
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Échec Scolaire a écrit
D'accord pour les rapports traditionnels et l'autre sexe, c'est maladroit de ma part, et je me suis aperçu trop tard que ce sont des expressions qui peuvent apparaître comme douteuses ici.
Je n'ai pas de lien sur des "études" et je suis pas là pour en chercher, je parle en JE comme qui dirait, c'est mon avis et il ne vaut peut-être pas plus que ce qu'il coûte. Par contre, je t'ai cité un grand psychologue ( Maslow ), il y en a d'autres, libre à toi de t'informer, je peux pas le faire à ta place. Pour simplifier, il dit qu'il y a des besoins fondamentaux, le sexe entre partenaires en fait partie, mais aussi la famille et d'autres comme le sentiment de sécurité ou d’amour/appartenance. Si ces besoins ne sont pas satisfaits, d'autres besoins plus évolués, plus haut dans la pyramide, ne pourront pas émerger. J'ai résumé vite fait.
Je ne dis pas que la masturbation c'est mauvais pour la santé mentale, personne de sensé ne dit ça.
C'est une pratique aussi répandue que normale.
Par contre, quand c'est trop, à mon avis ça peut détourner des relations avec d'autres partenaires qui sont la norme chez les humains, et aussi plus satisfaisantes.
Ce que je pense simplement, en dehors de tout jugement ou idéologie, encore moins religieuse, c'est que TROP se masturber c'est le signe de problèmes psychologiques voire psychiatriques (ou même peut-être neurobiogiques, ça j'en sais rien).
Si ça prend une dimension compulsive, ce n'est pas normal.
Je sais bien aussi qu'on peut se trouver heureux et accompli seul, cependant je continue de croire que le couple revêt une dimension de stabilité que le célibat n'a pas, ne serait-ce que par son écrasante majorité représentative, mais je peux me tromper. D'ailleurs c'est aussi mon expérience, je trouve la vie en couple plus enrichissante, pour diverses raisons. Jamais je ne reviendrai au célibat, surtout à mon âge.
Sois assuré que je n’ai aucun jugement moral sur la masturbation, moi aussi ça m'arrive et même souvent, mais perso je m' inquieterais si ça prenait trop d'importance dans ma vie, comme pour d'autres choses.
C'est gentil d'être revenu argumenter, bonne fin de journée !
Ca m’amuse beaucoup d’argumenter la dessus! N’est-ce pas une sorte de… branlette mental? En tout cas ta phrase sur les relations traditionnelles avec l’autre sexe, c’était du pain béni (bain pénis?) pour moi, ça m’a fait rigolé.
Sans étude clair pour la souligner (comme j’ai dit j’ai du mal avec Maslow, car j’ai du mal avec la psychologie peu empirique), je ne peux pas adherer a cette idée qu’une certaine quantité de masturbation par jour et trop, et je tiens à ce que je dis depuis le début, que seulement trop c’est trop, pas plus ni moins. Pour certains 3x par jour c’est trop. pour moi 3x c’est pas trop, car quand j’ai le temps ça ne nuit pas à ma vie par ailleurs, ni à mes relations affectueuses/sexuelles.
Eke n’ai rien contre l’idée qu’une majorité des gens dans notre société ont besoin d’une relation, mais ça ne change rien au fait que plein de gens ne veulent pas de relation. Je peux penser à 4 personnes dans ma vie, dont 2 proches, qui pour telle ou telle raison n’ont pas envie de partenaire, et ils sont plus heureux ainsi. d’ailleurs on est nombreux a être ou à avoir été dans une relation pourrie car on a peur d’être seul, ou pour des raisons financières, ou que sais je, mais finalement une relation pourrie est bien plus néfaste que la solitude. Bref c’est beaucoup plus nuancé que la manière que tu le présente, le rôle que la relation a dans nos vies.
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Dernière modification par zizitaupe_meilleure_bande (08 mars 2022 à 00:38)
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Anonyme93 a écrit
Masturbation = Perte d'énergie = faiblesse du système immunitaire = maladie .
HAHAHAHAHAHAHA
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Anonyme93 a écrit
A aucun moment il n'était question de religion dans mes propos.. Ou plutôt au tabou du Christianisme sur le sexe au quels vous avez décidez de nous affiliez. Alors que je suis complètement a des années lumières de sa.
Moi je me rapproche plus du point de vue Hindouiste. Religion ou le sexe n'es pas du tout un tabou. Et ou il est question de parler d'énergie. Energie qu'on décide ou non de gaspiller. Y a aussi le courant Taoiste par exemple, qui vise à terme, à ne quasiment plus éjaculer. Car le sperme, selon se courant, serait une source d'énergie énorme qu'il ne faudrait pas gaspiller, pour s'accomplir plus facilement dans sa vie de tout les jours, et aussi pour éviter des soucis de santé.
Masturbation = Perte d'énergie = faiblesse du système immunitaire = maladie .
Y à même des écrits qui parle de l'aspect du sperme et qui l'associe à des états de santé.
Tu demandes des études .. Tu demandes des études... On fait des études poussé pour savoir si le soleille est jaune ? Nan sa tombe sous le sens. Et bah la perte d'énergies après s'être masturbé beaucoup trop de fois c'est pareille. C'est un constat que n'importe qui à déjà pu faire.
Et puis franchement entre nous j'aimerais bien savoir a quoi ressemble la vie d'un gars qui se tire sur le haricot 3 fois par jours 7/7.. A mon avis celui qui s'adonne à sa doit pas avoir une vie des plus remplie.. Et encore une fois... putin sa devient chiant de se justifier, libre à celui qui s y adonne, jmen branle moi. Mais maintenant en faire l'apologie... c'est pas forcément très malin..
Oui donc c'est pas une histoire de religion... Mais finalement si, car ce que tu sors la c'est de la pure croyance religieuse, étayée par absolument rien... le sperme serait ton energie vitale maintenant ? Ejaculer la viderait ?
Tu te rends compte quand même que c'est peu crédible et 100% de la croyance religieuse quand même ?
Ça n'a rien à voir avec un fait observable de prime abord comme : "le soleil est jaune" ...
Désolé mais ce que tu dis la, je peux te dire que je n'ai jamais expérimenté ou entendu un propos qui pourrait ne serait-ce que se rapprocher de ce que tu affirmes tranquillement comme une évidence
Alors oui, quand tu ejacules tu as une "perte d'energie" de quoi .. 30 seconde ? 1 minute ? Moi je te dirai au contraire que ça redonne de l'energie, de la "clartée mentale". Après cette minute de "fatigue"
Et se branler 3 fois/jour encore c'est que dalle, c'est vite fais
Quel putain de rapport avec une vie remplie ou pas ? Ça prend combien de temps ? 5-10 min ? Un peu plus selon les circonstance et la "méthode" ?
Tu crois que ça vide ton energie au point de ne plus pouvoir rien faire ?
Wtf ?
Et ça diminuerait ton envie de séduire des gens ?
Wtf ?
Et je passe sur le coup du système immunitaire ! Je suis jamais malade perso, znfin pas depuis l'age ou je me branle en tout cas. Je pourrais donc affirmer l'inverse de ton propos comme une evidence ? J'affirme donc que ça renforce le système immunitaire ! (Spoiler : non)
Désolé, mais ce qui pour toi, apparemment, sont des "evidences" ne le sont absolument pas, bien au contraire... . C'est bien la première fois que j'entend ça.
Dernière modification par AnonLect (12 mars 2022 à 21:08)
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