Mon addiction aux stimulants
Publié par Nonono,
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#stimulants #ritaline #cathinone #3-MMC
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- Nonono
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Hello.
Je viens ici vous partager mon histoire pour qu'on puisse s'échanger nos expériences, se soutenir, se conseiller. Alors moi c'est Nono, 24 ans. J'ai une relation compliquée à la drogue. J'ai testé à peu près tout : md, lsd, truffes magiques, ghb, 2cb, 6apb, cannabis fumé et en Space cake, ké, coc, 3mmc (du moins ce que les dealer vendent sous ce nom, je sais que cette molécule n'est plus trouvable en Europe de base donc j'ai probablement jamais consommé de vraie 3). J'ai été addict à la nicotine pendant 1 an 1/2 aussi mais là j'ai arrêté de fumer depuis 8 mois et j'ai toujours eu une relation complexe avec l'alcool. Y a des périodes où je consomme normalement donc rarement, que avec d'autres gens et max 2 verres et d'autres périodes (généralement quand je suis en état dépressif) où je bois tous les jours pendant plusieurs mois. Là je suis revenu à une conso normale/rare depuis 8 mois.
Je suis pas quelqu'un de mentalement très stable. Je suis borderline, j'ai un syndrome du stress post traumatique, des tca et j'ai un tdah ce qui fait que je suis beaucoup plus facilement addict que la moyenne. En plus la génétique joue plutot contre moi : j'ai des parents addicts, des grands parents addicts et j'avais même mon arrière grand père qui était addict.
Donc de base je consomme très rarement des drogues dures et toujours de manière la plus safe possible. Sauf qu'en août dernier ma copaine (avec qui je vis) est rentrée quelques jours dans sa famille et le fait d'être seul chez moi m'a vraiment angoissé. De base ça arrive jamais, on vit ensemble depuis plusieurs années maintenant. Donc en août j'étais angoissé au possible et donc je me dis que pour me détendre et penser à autre chose je vais consommer de la drogue. Donc j'achète de la 3 pour la première fois, j'avais envie de tester. Eh bah ça a pas manqué, dès la première prise j'ai été addict. J'en ai repris 10 jours plus tard et j'ai fait une overdose. Après ça j'ai réussi à être sobre pendant un mois puis fin septembre rebelote, je me sens mal donc je recommande de la 3. Et là j'ai vraiment n'importe quoi. J'en ai consommé pendant 3 semaines non stop, je prenais 1g par semaine avec des redescente de plus en plus horribles. Je me suis rendu compte que ça m'apportait plus de mal que de bien et donc j'ai décidé de me sevrer à nouveau. Là encore j'ai pas consommé pendant un mois et puis j'ai eu un flash back du trauma que j'ai vécu qui m'a donné des PTSD. Je me sentais tellement mal que j'ai racheté de la 3 alors que j'avais même pas envie d'en prendre. Donc en 2 jours je consomme 1g, je fais une overdose et je finis aux urgences. Je veux plus consommer de 3. J'ai failli mourir, encore. Et pourtant j'arrive pas à penser à autre chose que reprendre de la 3, comme si j'apprenais jamais de mes erreurs. Donc je recommande mais cette fois je jette la moitié du gramme dans les toilettes pour pas être tenter de tout finir et de refaire une overdose. J'ai aussi bloqué et supprimé tous les numéros de dealer que j'avais et j'ai personne dans mon entourage qui consomme donc au moins je sais que personne va me filer ses contacts.
Quelques jours après la seconde prise de 3 je vois une psy qui déclare que j'ai sûrement un TDAH et elle me prescrit de la ritaline à prendre "pour tester". C'était la première fois que je la voyais et elle m'a prescrit ça comme des bonbons alors que j'ai quand même plusieurs contre indication à prendre de la ritaline (anorexie, dépression, trouble de la personnalité bordeline). Donc je commence mon traitement lundi. Les deux premiers soirs je fais une crise psychotique, paranoïa, je dormais pas chez moi et j'étais persuadé que le coloc de mon amie allait m'assassiner dans mon sommeil, j'ai des hallu bref. Un plaisir. Au fur et à mesure que les jours passent j'ai de nouveaux effets secondaires comme des grosses crises d'angoisse par exemple qui durent plusieurs heures puis je commence à avoir des idées suicidaires, à avoir des sautes d'humeur, des crises d'anorexie parce que la ritaline est coupe faim. Mais surtout je me sens vraiment pas bien parce que je sens ce stimulant peu dosé en moi. J'ai envie d'en prendre de plus en plus. Et là ce soir c'est vraiment allé loin.
J'ai consommé 50mg de ritaline en gélules LP et 40mg en para avec les billes écrasées. Et j'arrive plus à m'arrêter. J'ai envie de continuer encore et encore de prendre de la ritaline. J'ai envie d'être défoncé pour oublier ma vie et mes traumas pendant quelques heures. Au moins j'ai pas envie de 3, c'est déjà ça. Mais donc voilà pour mon parcours et mes addictions
Je viens ici vous partager mon histoire pour qu'on puisse s'échanger nos expériences, se soutenir, se conseiller. Alors moi c'est Nono, 24 ans. J'ai une relation compliquée à la drogue. J'ai testé à peu près tout : md, lsd, truffes magiques, ghb, 2cb, 6apb, cannabis fumé et en Space cake, ké, coc, 3mmc (du moins ce que les dealer vendent sous ce nom, je sais que cette molécule n'est plus trouvable en Europe de base donc j'ai probablement jamais consommé de vraie 3). J'ai été addict à la nicotine pendant 1 an 1/2 aussi mais là j'ai arrêté de fumer depuis 8 mois et j'ai toujours eu une relation complexe avec l'alcool. Y a des périodes où je consomme normalement donc rarement, que avec d'autres gens et max 2 verres et d'autres périodes (généralement quand je suis en état dépressif) où je bois tous les jours pendant plusieurs mois. Là je suis revenu à une conso normale/rare depuis 8 mois.
Je suis pas quelqu'un de mentalement très stable. Je suis borderline, j'ai un syndrome du stress post traumatique, des tca et j'ai un tdah ce qui fait que je suis beaucoup plus facilement addict que la moyenne. En plus la génétique joue plutot contre moi : j'ai des parents addicts, des grands parents addicts et j'avais même mon arrière grand père qui était addict.
Donc de base je consomme très rarement des drogues dures et toujours de manière la plus safe possible. Sauf qu'en août dernier ma copaine (avec qui je vis) est rentrée quelques jours dans sa famille et le fait d'être seul chez moi m'a vraiment angoissé. De base ça arrive jamais, on vit ensemble depuis plusieurs années maintenant. Donc en août j'étais angoissé au possible et donc je me dis que pour me détendre et penser à autre chose je vais consommer de la drogue. Donc j'achète de la 3 pour la première fois, j'avais envie de tester. Eh bah ça a pas manqué, dès la première prise j'ai été addict. J'en ai repris 10 jours plus tard et j'ai fait une overdose. Après ça j'ai réussi à être sobre pendant un mois puis fin septembre rebelote, je me sens mal donc je recommande de la 3. Et là j'ai vraiment n'importe quoi. J'en ai consommé pendant 3 semaines non stop, je prenais 1g par semaine avec des redescente de plus en plus horribles. Je me suis rendu compte que ça m'apportait plus de mal que de bien et donc j'ai décidé de me sevrer à nouveau. Là encore j'ai pas consommé pendant un mois et puis j'ai eu un flash back du trauma que j'ai vécu qui m'a donné des PTSD. Je me sentais tellement mal que j'ai racheté de la 3 alors que j'avais même pas envie d'en prendre. Donc en 2 jours je consomme 1g, je fais une overdose et je finis aux urgences. Je veux plus consommer de 3. J'ai failli mourir, encore. Et pourtant j'arrive pas à penser à autre chose que reprendre de la 3, comme si j'apprenais jamais de mes erreurs. Donc je recommande mais cette fois je jette la moitié du gramme dans les toilettes pour pas être tenter de tout finir et de refaire une overdose. J'ai aussi bloqué et supprimé tous les numéros de dealer que j'avais et j'ai personne dans mon entourage qui consomme donc au moins je sais que personne va me filer ses contacts.
Quelques jours après la seconde prise de 3 je vois une psy qui déclare que j'ai sûrement un TDAH et elle me prescrit de la ritaline à prendre "pour tester". C'était la première fois que je la voyais et elle m'a prescrit ça comme des bonbons alors que j'ai quand même plusieurs contre indication à prendre de la ritaline (anorexie, dépression, trouble de la personnalité bordeline). Donc je commence mon traitement lundi. Les deux premiers soirs je fais une crise psychotique, paranoïa, je dormais pas chez moi et j'étais persuadé que le coloc de mon amie allait m'assassiner dans mon sommeil, j'ai des hallu bref. Un plaisir. Au fur et à mesure que les jours passent j'ai de nouveaux effets secondaires comme des grosses crises d'angoisse par exemple qui durent plusieurs heures puis je commence à avoir des idées suicidaires, à avoir des sautes d'humeur, des crises d'anorexie parce que la ritaline est coupe faim. Mais surtout je me sens vraiment pas bien parce que je sens ce stimulant peu dosé en moi. J'ai envie d'en prendre de plus en plus. Et là ce soir c'est vraiment allé loin.
J'ai consommé 50mg de ritaline en gélules LP et 40mg en para avec les billes écrasées. Et j'arrive plus à m'arrêter. J'ai envie de continuer encore et encore de prendre de la ritaline. J'ai envie d'être défoncé pour oublier ma vie et mes traumas pendant quelques heures. Au moins j'ai pas envie de 3, c'est déjà ça. Mais donc voilà pour mon parcours et mes addictions
Dernière modification par filousky (03 décembre 2023 à 09:53)
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Bonjour, revois ta psychiatre ou vas consulter ton medecin traitant, un CSAPA ou un addictologue. Tu as besoin d'aide ! Amicalement
S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
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Bonjour,
J’me présente je suis consommatrice de 3mmc quotidiennement depuis 2 ans, je fait ce message car je ne sais plus comment m’en sortir, malgré tous les problèmes de santé que ça m’a engendré, j’ai de plus en plus de mal à aller au toilette normalement, je ne ressens plus l’envie d’uriner et il faut que je me force pour réussir, j’ai souvent les mains et les doigts bien bleu violet et congelés c’est tous les signaux d’alerte et je suis culpabilise chaque jour, les toc et l’habitude on pris le dessus sur tous ça malgré que j’ai conscience du danger et que je n’ai que 23 ans, je n’ai jamais fait de cure car ça me terrorise, de plus je n’ai plus de famille, rien j’ai mon appartement et mon travail en intérim à gérer alors je ne peux pas me permettre de m’absenter même pour ma santé, je suis totalement désemparée par le fait que je ne réussi jamais arrêter depuis depuis peut quand j’essaie de faire des pauses je ressens du manque physique que je n’avais pas avant, envie de vomir, mal au ventre, mal dans mes muscles, mon cœur ce mets à palpiter uniquement quand je ne prends rien mais bats normalement quand je prend
Je n’arrive plus à me nourrir du tout car ça me donne la nausée, j’ai perdu mon odorat et ma peau cicatrise de plus en plus mal, alors je sais que c’est pas ici que je trouverai la solution miracle car elle peut venir que de moi mais j’avais besoin d’en parler car ça m’attriste de continuer et de ne pas savoir quoi faire
Force et courage à toute les personnes du site on réussira un jour j’en suis sûr
J’me présente je suis consommatrice de 3mmc quotidiennement depuis 2 ans, je fait ce message car je ne sais plus comment m’en sortir, malgré tous les problèmes de santé que ça m’a engendré, j’ai de plus en plus de mal à aller au toilette normalement, je ne ressens plus l’envie d’uriner et il faut que je me force pour réussir, j’ai souvent les mains et les doigts bien bleu violet et congelés c’est tous les signaux d’alerte et je suis culpabilise chaque jour, les toc et l’habitude on pris le dessus sur tous ça malgré que j’ai conscience du danger et que je n’ai que 23 ans, je n’ai jamais fait de cure car ça me terrorise, de plus je n’ai plus de famille, rien j’ai mon appartement et mon travail en intérim à gérer alors je ne peux pas me permettre de m’absenter même pour ma santé, je suis totalement désemparée par le fait que je ne réussi jamais arrêter depuis depuis peut quand j’essaie de faire des pauses je ressens du manque physique que je n’avais pas avant, envie de vomir, mal au ventre, mal dans mes muscles, mon cœur ce mets à palpiter uniquement quand je ne prends rien mais bats normalement quand je prend
Je n’arrive plus à me nourrir du tout car ça me donne la nausée, j’ai perdu mon odorat et ma peau cicatrise de plus en plus mal, alors je sais que c’est pas ici que je trouverai la solution miracle car elle peut venir que de moi mais j’avais besoin d’en parler car ça m’attriste de continuer et de ne pas savoir quoi faire
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je n’ai jamais fait de cure car ça me terrorise, de plus je n’ai plus de famille, rien j’ai mon appartement et mon travail en intérim à gérer alors je ne peux pas me permettre de m’absenter même pour ma santé,
Bonjour, si tu avais une fracture ou une appendicite tu serais forcé de t'arreter. Là l'urgence est de retrouver un etat ou une consommation non nocive. Tu peux consulter dans un CSAPA. La plupart ont des assistantes sociales qui peuvent t'aider à concilier soins et ressources financieres. Je repete c'est l'urgence.
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (02 janvier 2024 à 09:12)
S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
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prescripteur a écrit
je n’ai jamais fait de cure car ça me terrorise, de plus je n’ai plus de famille, rien j’ai mon appartement et mon travail en intérim à gérer alors je ne peux pas me permettre de m’absenter même pour ma santé,
Bonjour, si tu avais une fracture ou une appendicite tu serais forcé de t'arreter. Là l'urgence est de retrouver un etat ou une consommation non nocive. Tu peux consulter dans un CSAPA. La plupart ont des assistantes sociales qui peuvent t'aider à concilier soins et ressources financieres. Je repete c'est l'urgence.
Amicalement
J’ai déjà essayé la csapa il y a 1 an assistante sociale et psychologue mais chaque rendez-vous me rappelles pourquoi j était de plus je n’ai jamais été prise au sérieux dans mes appels au secours j’avais beau parler de mes consommation excessive rien n’a jamais bougé, il faut savoir que je suis diagnostiqué tdah depuis mes 8ans suivi à la ritaline de mes 9 ans a 13 ans, j’ai donc mis un dernier espoir dans me faire un dossier mdph et espérer reprendre mon traitement à la ritaline cette fois ci comme substitut
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Hello ma belle, je te comprends j’ai 21 ans et je suis sobre depuis le 18 décembre et comme tol j’étais dans une situation ou je me disais que c’était impossible de m’en sortire malgré tout les signes que mon corps m’envoyait !! (Maintenant j’ai des problèmes cardiaque a vie, mon poid a baissé jusqu’a 39kg un moment…) et lors de mon sevrage j’ai eu les meme symptômes que toi, impossible de manger vomir avoir super froid a en trembler mais transpirer de chaud, etc… j’avais déjà essayé un autre csapa il y a 2 ans, et ecoute ne lache pas prise,il y a 2 mois j’ai perdu mon travail a cause de tout ca alors le 17 decembre j’ai dis stop je suis partie aux urgences a 1h du matin j’ai tout expliqué ils m’ont vraiment aidé,j’ai enfin trouvé un csapa bien, au cas ou moi pour mon sevrage le Valium m’avais vraiment beaucoup aidé alors meme si c’est pas bien dis leur que en plus t’es en manque de valium tu vera ca enlèvera les vomissements les crampes et les mal de muscles, vas voir une assistante sociale, un psychiatre, tu es vraiment dans un etat D’URGENCE , et je me suis vraiment reconnue dans ton texte n’hésite pas a venir me parler en privé si tu a besoin de discuter ou de plus d’informations !!
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Petit update, presque un an après :
Après un nouveau traumatisme hardcore je suis retombé bien sévère dans la 3. J'en ai pris énormément entre janvier et juin au point où j'ai déjà consommé 4g en 48h. Me demandez pas comment je suis vivant. Finalement fin juin j'ai enfin quitté mon ex violente (c'est grâce à elle le nouveau trauma entre autre yeay), je me suis installé dans une ville où j'ai pas de contact pour la 3 (et pourtant c'est pas faute d'avoir essayé mdr), j'ai repris des études qui me passionnent, j'ai juste repris de la 3 le 8 septembre parce que j'étais à Marseille et ça se trouve facilement là bas visiblement. J'ai eu une descente atroce où je me suis rappelé tous mes trauma, j'ai pleuré pendant presque une semaine donc ça m'a calmé. Là ça fait donc plus d'un mois que je suis sobre et je commence un suivi au CSAPA de la ville où j'ai emménagé (y a eu beaucoup d'attente mais j'ai enfin eu mon premier rdv psy et ça m'a fait du bien). La 3 commence à me manquer un peu quand même, j'ai souvent des pics de craving au bout d'un mois. Je compense beaucoup avec l'alcool. C'est pas une solution mais je sais pas trop quoi faire d'autre. Comment vous gérez le craving ? Comment vous faites pour pas avoir envie de reprod ?
Après un nouveau traumatisme hardcore je suis retombé bien sévère dans la 3. J'en ai pris énormément entre janvier et juin au point où j'ai déjà consommé 4g en 48h. Me demandez pas comment je suis vivant. Finalement fin juin j'ai enfin quitté mon ex violente (c'est grâce à elle le nouveau trauma entre autre yeay), je me suis installé dans une ville où j'ai pas de contact pour la 3 (et pourtant c'est pas faute d'avoir essayé mdr), j'ai repris des études qui me passionnent, j'ai juste repris de la 3 le 8 septembre parce que j'étais à Marseille et ça se trouve facilement là bas visiblement. J'ai eu une descente atroce où je me suis rappelé tous mes trauma, j'ai pleuré pendant presque une semaine donc ça m'a calmé. Là ça fait donc plus d'un mois que je suis sobre et je commence un suivi au CSAPA de la ville où j'ai emménagé (y a eu beaucoup d'attente mais j'ai enfin eu mon premier rdv psy et ça m'a fait du bien). La 3 commence à me manquer un peu quand même, j'ai souvent des pics de craving au bout d'un mois. Je compense beaucoup avec l'alcool. C'est pas une solution mais je sais pas trop quoi faire d'autre. Comment vous gérez le craving ? Comment vous faites pour pas avoir envie de reprod ?
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