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Yann_AU a écrit
J'envisage même un recours judiciaire, je veux donner de la valeur à ma parole. Mais les témoignages de certains proches, les humiliations, les trahisons et les manipulations dont je vais prendre connaissance vont me faire sombrer. J'ai besoin d'aide. Du fait de ces retours de flamme, quatre mois après la rupture, je bascule dans l'anxiété, les crises d'angoisse se multiplient. Je suis au cœur d'un mensonge monstrueux.
Je suis pas très au clair avec cette partie. Un recours judiciaire pourquoi ? Un mensonge monstrueux concernant ? Si tu veux en parler bien sûr.
Franchement je trouve la vie suffisamment compliquée pour refuser l'aide qu'on nous propose. Si tu as peur de ne plus pouvoir t'en passer sur le long terme, parle-en à ton médecin et fixez-vous ensemble une "deadline".
Je te souhaite le meilleur dans ton intérêt
Bien à toi,
Stelkr
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Dernière modification par Yann_AU (26 juillet 2024 à 16:19)
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Yann_AU a écrit
J’ai malgré tout plein d’espoir: un heureux événement est à venir. Bonne continuation
L'espoir c'est la clé ! Bonne chance dans tes ambitions :)
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Yann_AU a écrit
j’aurais du être plus précis: la cocaïne incite au mensonge
Salut,
Alors c'est un peu trop facile de mettre tout sur le dos de la coke.
C'est plus un problème de couple amha
J'ai eu des ex copines pour l'usage et d'autres contre mais c'est pas aussi simple que ta phrase :
La coke inscite aux mensonges.
Perso en plus de 25ans j'ai jamais menti sur ma conso de coke, ou après que j'ai eu consommé de la CC
par contre plus jeune je l'ai fait mais pour l Héroïne ... car je m'y suis retrouvé forcé de le faire à juste 2 ou 3 personnes et non à tout le monde.
Car l'héro est vu comme le stigmate du junkie
Bien plus que la coke ( après cela dépend si les personnes connaissent un minimum) et surtout car on a voulu décider à ma place ou me suis retrouvé forcé à faire un sevrage d opis (et j'étais bien majeur : 29ans) que moi je ne voulais pas encore arrêter !![/b]
C'était juste mon avis personnel, n'y vois rien de personnel mais la MDMA c'est pas pire ou mieux que la coke
Et pour toi tu dis après la perte de ton frère qui doit être dur:
Yan_AU a écrit
La MDMA s'installe, mais de façon plutôt raisonnée, sans basculer dans la perte de contrôle
Mais sans être dans une perte de contrôle, certaines personnes peuvent avoir des effets secondaires :
Effets secondaires [label=/sujet/mdma a écrit
MDMA[/label] possible ( cf Psychowiki) ]Le MDMA serait neurotoxique : en cas d'usage répété, les effets à long terme de la consommation d'ecstasy peuvent être l'amaigrissement, l'affaiblissement, l'irritabilité, l'insomnie, l'anxiété, la dépendance, voire des troubles de la personnalité et des anomalies des valves cardiaques (comme le Mediator). À moyen et à long terme, nous ne savons pas actuellement si les taux de sérotonine et dopamine reviennent à leur niveau normal et, si oui, en combien de temps. Il y a aussi de plus en plus d'évidence que la MDMA serait hépatotoxique.[10].
https://www.psychoactif.org/psychowiki/ … 9moignages
Donc voilà de quoi, réévaluer ta situation actuelle enfin les causes.
Après il y a peu d'informations sur ta conso. Car La MDMA est parfois plus à risques que la cocaïne.
Merci de ne pas diaboliser les produits licites et illicites comme ici la cocaïne
Bien à toi
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Dernière modification par Nineta (30 juillet 2024 à 11:27)
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Nineta a écrit
On ne connaît pas la vie des gens
Toi la première,
J'ai rien dit contre lui , j'ai même nuancé ok.
Mais si tu parles pour les champis, au final il n'y a rien d'agréssif ou alors si tu penses que c'est de l'agressivité... ben pose toi des questions.
Bien à toi
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Nineta a écrit
il le ressent comme ça lui appartient et sur PA c'est normal de le reprendre sur ce genre de propo exactement comme l'a fait meumeuh!
J'ai dit que ton message était top!!! C'est les deux champis jaunes qui m'agace pas toi Meumeuh au contraire même je trouve ta réponse très pertinente
Dernière modification par Nineta (30 juillet 2024 à 11:41)
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meumeuh a écrit
Nineta a écrit
On ne connaît pas la vie des gens
Toi la première
C'est pour ça que j'ai écrit "ON"..
C'est pas grave je crois qu'il ya un malentendu.
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meumeuh a écrit
Mais si tu parles pour les champis, au final il n'y a rien d'agressif ou alors si tu penses que c'est de l'agressivité, pose-toi des questions
Et oui des champis pas signés sans explication je trouve ça agressif. Je peux me poser des questions si tu veux néanmoins tu ne m'enlevera pas cette impression désolée meumeuh. Je trouve que ce n'est pas fair-play de faire ça, ça me regarde et j'ai le droit de le dire.
Bien à toi
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Yann_AU a écrit
Bonjour Stelkr, merci pour ton message.
Je fais appel à toutes les aides possibles (thérapie, EMDR, TCC, magnétisme,…)mais essaie, pour l’instant, d’éviter l’usage des benzodiazepines. Pour répondre rapidement à tes questions, l’un de mes thérapeutes avait suggéré un recours pour reconnaissance des préjudices psychologique, physique, moral et financier. Je n’ai pas donné suite. Concernant ce mensonge, j’aurais du être plus précis: la cocaïne incite au mensonge. Et j’en ai fait les frais. J’ai malgré tout plein d’espoir: un heureux événement est à venir. Bonne continuation
Bonjour Yann_AU !
J'ai lu votre description qui, pour détaillée qu'elle soit, fait une sorte d'impasse qui actuellement, dans la situation post traumatique effective où vous vous trouvez, car vous y serez tant que vous n'en serez pas sorti, et cela, selon un psychiatre californien auteur d'un best seller qui vient seulement d'être traduit en français, je vous en recommande chaudement la lecture, ainsi qu'à toute personne ayant vécu un trauma, qui parfois est tout à fait minime par rapport aux vôtres, et pour autant, sont tout aussi graves. En effet, l'une des dimensions les plus troublantes de ces situations, que nous sommes parfois tous appelés à connaître, mais dont le hasard parfois nous permet aussi de sortir, moyennant ouverture d'esprit aux extraordinaires ressources de nos êtres, ici de nos corps et cerveaux primitifs, c'est Réveiller le Tigre de Pierre A. Levine. Il est présenté sur Youtube par le Professeur Shittecatte, Belge, qui a largement contribué à le faire connaître pour son exceptionnelle approche dénuée de TOUT préjugé, et surtout, délivrant ainsi des générations au prises avec ce qu'il appelle les dégâts trans-générationnels d'un traumatisme non résolu. Il s'appuie en cela sur le comportement de l'animal que nous sommes, face à un danger mortel, adopte, et prend l'exemple d'une souris qu'un chat attaque, d'une gazelle qu'un lion attaque, bref, c'est tout à fait concret. Dans tous les cas, la proie a trois choix observés chez les animaux : fuir, combattre, ou "faire le mort", ce qu'il désigne par "le figement". Dans une majorité de cas, c'est "le figement" qui convient le mieux, sauf la gazelle mieux conçue pour voler à des vitesses fantastiques. Alors "le figement". C'est aussi ce qui prévaut chez l’être humain. Sauf que, contrairement à la souris qui "figée", n'intéresse pas forcément le chat, repus, et même semble-t-il comme tout prédateur, repoussé par un cadavre,… la souris une fois le chat parti, sort aussi vite de son "figement" qu’elle y est entrée,, se secoue et évacue par là même la formidable énergie qu'a créé la course, la peur etc, et signe le « défigement » (comme Lévine le constate dans sa pratique). Comme le chien, le cheval, s’ébrouent, c’est le signe d’une détente corporelle évacuant un excès d’énergie bloquée dans le corps, d’un « défigement »… et c'est fini ! la vie reprend son cours, son capital est intact. Chez l'humain c'est le Cortex qui complique tout, et empêche ce "défigement" libérateur et sain, car l'homme, en rationalisant, engramme en "ses "nombreux cerveaux » un maximum de traumas, qui se renforcent parfois quand dans le louable but de s’en libérer le convoque au présent sans mener à la réponse instinctive, qui je le répète, ne procède d’aucune volonté, n’est accessible à aucun raisonnement, ni même sentiment, il n’y a que l’essentielle confrontation dans le présent de vie / mort, et cela ne se commande pas. Alors l’être humain reste prisonnier d'une rigidité qui d'ailleurs transparait dans votre récit, Yann, quand vous renvoyez sur cette femme une supposée perversité de sa part, c’est de la vôtre dont vous parlez, nous ne sommes pas en capacité d’enfreindre les défenses puissamment élaborées de la psyché d’autrui, son regard noir sur vous, c’est le vôtre, sur sa toxicomanie… Vous êtes si proche et si éloigné de la vérité, encore un autre indice passionnant, qui signe la nature fondamentalement instinctuelle de votre rapport à cette femme, dont vous ne voyez plus que le toxique, qui la condamne, et vous excuse… Il est d’ailleurs bien possible que la schizophrénie de votre frère et sa fin tragique, soient directement causée par un trauma trans-générationel caché dans le passé, mais qui vous concerne tous dans le présent, être taiseux en est un symptôme s’ll en est, d'un non-dit du roman familial, d’un honte, sentiment affreux et auto destructeur, donc porteur d’un possible culpabilité, bref, et le problème de s'en tenir là, est que malgré votre joie d'un heureux événement, comme je vous sens, encore plein de colère et de ressentiment envers une femme soi-disant toxique, quand toxicomane aurait suffit et dit un minimum d’empathie envers elle, que par ailleurs vous dites avoir follement aimée, et c’est vrai… Le scientifique en vous sait peut-être ou s’intéressera au fait qu’en tant que toxicomane, un autre grand traumatisé mais néanmoins psychiatre, documente au travers de cas étudiés, à partir d’une intuition née de ses propres traumas, comment tout toxicomane ne fait rien d’autre que choisir d’instinct parmi tout ce qui peut être toxique, soit à peu près tout, ce qui, in fine, lui permet de vivre sans succomber, ni menacer la société qui pourtant le condamne ? Comment ne pas s’émerveiller de la sagesse partout à l’oeuvre y compris pour réparer les outrages de l’outrecuidance caractéristique psycho-rigide de la petite-bourgeoisie perpétuellement préoccupée de sauver ses apparences, comme seules valables, alors même que terrifiée devant la grandeur de la vérité, quitte à commettre, les pires forfaits envers l’intelligence même, la science, trafiquer l’histoire, et nos consciences ? Cette chaine qu’ils représentent également ne prend fin que dans un "défigement" de la même nature que le "figement" d’origine, ce qui est hors de toute atteinte humaine individuelle volontaire notamment visant une profit égoïste. Encore une preuve de comment fonctionne la résilience, des possibilités qu’elle recèle, de la nécessité d’en prendre acte avant d’avoir fini son temps sur terre ! A vrai dire, il n’y aura pas d’alternative… Non pas intellectuel, émotionnel ou autre, mais strictement lié à l'instinct qui seul, face au danger de désintégration physique par la mort ou symbolique par la fragmentation du moi, l'instinct donc, détient la toute puissance du choix vital, et surtout, agit dans une immédiateté qui est un autre temps, et le domine et le modifie, celui qu’appréhende avec peine car selon le lois étroites de l’honnêteté scientifique qui cette fois seront peut-être dépassés, la physique quantique ! Nul autre composante de notre être ne permet ni ne connait dans son évidence, LA réponse qui sauve. N’est-il pas plaisant que le plus primitif de nos cerveaux, le reptilien, soit probablement à l’origine, peut-être par hallucinations, de l’intuition la plus poussée du moment, le monde quantique, et que comme par hasard la nébuleuse du fantasme du Reptilien y trouve une inspiration - et une adhésion des masses ? Et ce depuis déjà bien longtemps à l’échelle de la vie d’un individu, la voix de l’inspiration trouvait dans la science fiction, ou l’ultra lucide, de présumées fantaisies qui s’avèrent progressivement parmi les plus audacieuses supputations… Nous sommes au sein, d’une nouvelle « révolution copernicienne », puisse-t-elle advenir pour la paix, le bien être de tous, sans exception, la nature est généreuse, féconde, et réhabilitera même ceux qui s’en reconnaitront les bourreaux, dès lors qu’ils auront le courage de s’en déclarer responsables ! .
La place de la toxicomanie en tant que telle, fait partie des stratégies millénaires de survie aux traumatismes inévitables que la vie elle même impose. Même certains mammifères animaux y ont recours, et des expériences ont montré que sans explication, des rats de laboratoires choisissaient la mort par overdose à tout autre choix. On a conclut à ce qu’on voulait obtenir de telles expériences, à la nocivité du toxique, basta ! sans questionner une seconde le fait reconnu que dès lors qu’on l’observe, le fait n’a pas le même comportement que celui qui se produit spontanément hors observation ? et on parle de particules élémentaires ! Pour en revenir aux bienfaits de la toxicomanie - d’ailleurs pratiquée par nombre d’espèces éminemment sociales, comme les fourmis, qui auraient à nous en remontrer, c’est dans un processus d’auto-délivrance qu’elle nait, pour permettre à la personne traumatisée, la meilleure réponse, inconsciente, pour vivre avec son trauma et par là même continuer malgré tout à la vie de l’espèce en société..Thèse brillamment défendue et validée par un autre bienfaiteur des souffrances humaines, canadien cette fois, le Dr Gabor Maté, qui a d’ailleurs, comme initié par le bien connu Alex Shulgin dont les travaux avec les hallucinogènes visaient le bien être, la libération, le déconditionnement, l’accès à d’autres modes de pensées de nos consciences assoiffées de beauté et de visions inspirantes, bref de plaisir non toxique du point de vue biologique, n’en déplaise aux réactionnaires de tous pays. Et la plupart l’ont bel et bien rencontrée, et continuent, on le lit,, ici même, un magnifique trip report témoigne de ce qe nous sommes nombreux à avoir intégré, qui a définitivement élargi et je dois dire, rempli sa mission même si je devais mourir dans l’instant. Cette dimension où tout es un, tout communique, tout fait sens, le produit n’en est qu’une partie, le reste est partout, en nous, ans les atomes qui flottent et bien au delà de cela encore. C’est un autre aspect qui m’interroge sur l’intention qui vous a dicté de publier ici, votre récit… Aucun hasard, mais au contraire la volonté délibérée de contester la valeur du soutien de Psychaunaute, saluée dans le monde entier, aux usagers de drogues… Pourtant, ce faisant, vous faisiez l’inverse, reconnaître en eux les seuls, peut-être, capables de vous entendre… Tout comme Gabor Maté s’est fié, pour un temps, à son intuition que ses usages de l’ayahuasca, mélange de plantes hallucinogènes puissant, à ds fins de libération de nature shamarniques d’un trauma que seule leur toxicomanie rend tolérable, défendu au Canada, à Vancouvers au coeur même du quartier des plus déshérités d’entre eux, en dépit des mêmes préventions symptomatiques de la peur devant l’inconnu, d’une société modélisée par la violence et la coercition, et non la compassion et la guérison. Gabor Maté, a d’abord, comme les médecins de l’Égypte ancienne, expérimenté son approche intuitive - l’intuition étant de nature tout aussi « Felt sens / Grand Tout » que le travail de Peter Levine dépeint, sur son propre trauma, majeur, d’enfant Juif poursuivi par la mort nazie en Europe, confié par sa mère au secours de l’exil au Canada. Ce trauma, toujours vivant, mais désormais constitutif d’une reconnaissance incorruptible des motifs surhumains de sa mère, les cérémonies d’ayahuasca ayant livré leur combat et lui ayant montré « son trauma », elles ne lui sont plus qu’un volet de sa pratique. Hors, ça n’a jamais été la Shoa, son traumatisme, mais bien ce que tout enfant d’homme et de femme vit comme une mise en danger directe de sa survie, l’abandon (apparent) du parent. Pour lui, l’ayaahuasca a permis le « défigement » de Peter Levine, comme, sans doute, sous d’autres noms, est inscrit en chacun de nous, qu’un trauma va déterminer les choix d’une vie, d’une lignée., d’un peuple, etc. Je veux juste montrer ici que ces gens ne sont pas des idiots, et que quelque part les temps sont murs pour une pas évolutif déterminant. Notre survie à tous, en tant qu’espèce, en sera et maintenant on le perçoit en tout, joué. De retour à Lévine, il démontre que dans cette situation de mort immédiate, l'instinct prend les commandes, et j'ai pu le vérifier l'autre nuit où j'ai failli m'étouffer avec un trop gros morceau de viande, tout processus vital, y compris la respiration une fois compris que l'air ne passsait plus, se sont arrêtés, nous ne sommes alors plus QUE l'endroit précis où ça se passe... Et ça explique tout. En ralentissant le métabolisme basal, il donne très brièvement le temps à la totalité de nos ressources, soit tous focalisés sur le problème, de se coordonner pour l'UNIQUE geste qui peut sauver. Cela, en effet, ne laisse alors pas de traumatisme, mais permet l'incroyable travail de concert de notre totalité, rarement remarquée, et qui pourtant effectue 99% des tâches qui nous tiennent en vie et en bonne santé, heureux même. C'est le "Felt sens", soit en français, le "sens de Soi" comme Soi total, et non soi freudien. On le sent parfaitement. Par contre tout ce qui n'est pas le "Felt sens" disparait de la conscience. Les bruits, le besoin de respirer automatique, tout cela s'arrête. Et c'est dans une sorte de ralenti que les seuls gestes à faire le sont, avec une concentration maximale, une perception stupéfiante, et une précision qui n'a pas droit à l'erreur, car dépassé quelques minutes maximum, l'oxygène viendra à manquer, la vue se brouiller, etc. Et c'est alors probablement la mort à très court terme. Mais là encore, il éclaire sur ses sentiments quasiment extatiques des EMI, que connaîtraient également les proies dans la nature. Au moment de mourir, une douche d'endorphines et d'ocytocine ravit la conscience en dehors du lieu de son exécution, dans un bonheur extatique réservé à cette fin, dans tous les sens du terme ! Je ne saurais que très chaudement recommander à qui lira ceci de se procurer ce livre, écouter Schittecatte qui fait des conférences partout, car il est indéniable que ce sont des clés majeures, qui fonctionnent à un tas d'échelles dont ces fameuses guerres nées de la nuit des temps et qui continuent de ravager et empêcher la Terre de connaitre le vrai bonheur, celui d'un monde pacifié parce que tous sont eux-mêmes pacifiés, car la sortie du "figement" qui signe le règlement fantasmé du trauma, libère instantanément chez celui qui le vit, tout son potentiel, son "Felt sens" qui est le véritable destin de la vie et de l"incarnation. Le principe de tout ceci repose sur un réinvestissement massif du corps, corps dénigré corps martyr, corps négligé... Ce qui se passe avec les dites drogues, est d'une injustice et d'une hypocrisie sans bornes ! Si véritablement c'étaient "les produits psychotropes" qu'il fallait dénoncer, pourquoi alors l'alcool, le tabac, seraient autorisés, et pour quelle raison, si ce n’est un infâme profit, qui confine à l’abomination de l’anthropophagie ? Alors que l'Opium est le plus vieux médicament du monde, qu'il a soulagé tant de souffrance, et sans parler de l'usage scélérat qu'en ont fait les occidentaux envers les Chinois, ne sentons nous pas toute la machination ridicule du mensonge à l'oeuvre ? Car là oui, il y a mensonge ! La prohibition de l'alcool aux USA, plus désastreuse que n'importe quelle autre période en ce qui concerne la criminalité et la corruption, est en train de se jouer, toujours à leur initiative, exactement aussi vainement et faussement contre "la drogue". Le problème continue d'être pris totalement à l'envers. Car le pire « drogueur » en général, c'est l'Etat, avec ce qui l''arrange ! Il est démontré que l'héroine de bonne qualité est moins toxique que la Méthadone, fruit de Big Pharma, dont j'ai entendu qu'il y aurait de potentielles modifications génétiques sur le long terme, et surtout, aucune possibilité de jamais s'en sevrer ! C'est autrement grave que le peu de bonne héroïne que le cerveau a choisi, justement, comme le meilleurs pour lui permettre de supporter les incessantes attaques contre ce que l'esprit a de plus nécessaire, la liberté, la créativité, le beau, etc. Cet héroïnomane, là, son quart de g par jour, s'il n'a pas besoin de lui courir après, il n'y pensera même plus, et avec ou sans, il ne sera plus envahi par la difficulté de se la procurer, qui est le vrai problème. il finira même par l'oublier, le jour béni ou par le « Felt sens » il retrouvera l’usage de toute sa nature, avec la possibilité de se réaliser par tout moyen forcément favorable à tous ! Bref, chacun disposant de toutes ses facultés pour donner le meilleur de son vivant, réglant d'avance les questions de culpabilité, de transmission, et même de mort puisque ne disparaissant pas d'un bon souvenir qu’on laisse, là est l'éternité, et cela sera, quand le corps sera reconnu par soi même comme la merveille qu'il est, notre alpha et notre oméga...
Voilà ce que je voulais dire en vous lisant Monsieur, vous êtes pharmacien, ça devrait éveiller votre curiosité scientifique et personnelle, car croyez moi, tant que vous serez dans l'erreur de croire que tout est advenu d'une femme parce qu'elle prenait de la cocaïne n'a pas de sens. Elle prenait de la cocaïne parce qu'elle allait très mal, et encore, pardonnez moi mais ce ne sont que vos dire d’homme provocateur, confère votre coup de gueule dans cet espace tout à fait exempt de prosélytisme, que vous avez sciemment choisi pour y répandre la division et peut être comme certains, l’infection, car le but de la commission d’études du Sénat ne m’a quant à moi pas échappé… Cependant, dans l’ultime espoir d’une vision un peu plus élevée des choses, je persiste, et vous invite surtout à lire ce livre, vous serez naturellement conduit à vous pencher sur votre famille et votre frère, car finalement, ces choses étaient antérieures à la cocaïne, et je dis qu'il n'est pas exclu que votre frère ait payé de sa vie le trauma qui perdure, Monsieur, et qui continuera d'endeuiller votre vie, si vous n'y remédiez pas vous mêmes avec les outils que malgré vous, votre « Felt sens » vous a porté à rencontrer et naturellement, à utiliser pour votre propre "défigement », celui de votre entourage, de vos clients… Venu avec quelque chose de bloqué dans votre expression, que nul ne peut juger mieux que soi même... Vous repartez avec l’opportunité d’atteindre à la bonté, tout n’est que de votre intime conviction, ! C’est une évidence, non?
Espérant par ceci redonner plein espoir à tous ceux qu'un "figement" comme celui que j'ai connu à la perte de mon grand amour en janvier, vécu très exactement comme un « stop » ! de statue de sel, une sidération, ne mangeant plus car repliée dans un in métabolisme minimal, endormie dans un hivernage du coeur et de l'esprit, sans en subir aucune conséquence autre qu'une pert de poids qu'on ne remarque même pas...
Mes voeux les plus sincères à tous ceux qui ont le désir sincère est de vivre leur "plus grand Tout" ! Ils y trouveront toutes les solutions, réponses, soutiens…. car tout est lié !
Dernière modification par Baba Ya (30 juillet 2024 à 20:25)
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Dernière modification par Nineta (30 juillet 2024 à 16:26)
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Baba Ya a écrit
Car le pire drogueur en général, c'est l'Etat, avec ce qui l''arrange ! Il est démontré que l'héroine de bonne qualité est moins toxique que la Méthadone, fruit de Big Pharma, dont j'ai entendu qu'il y aurait de potentielles modfications génétiques à terme, et surtout aucune possibilité de jamais s'en sevrer
Gros HS désolée... mais tu as plus d'informations à ce sujet ? Sur un autre topic si il le faut, mais cette affirmation m'interroge un peu...
Merci de ta compréhension
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Yann_AU a écrit
J’aurais sans doute du mesurer la teneur de mes propos. L’addiction, parce que c’est bien elle que je dénonce, induit des troubles du comportement. Le mensonge en fait partie, parfois. Bonne continuation à tous
Hell'O
Okay j'entends, je vais nuancé dans certains cas, plus précisément
Suivant la PUD une addiction peut être vécu et ressenti différemment, et pour aller plus loin.
L'environnement dans le quel on vie vas avoir un impact directement sur une addiction.( en bien , en mal .. ) Il y a tout le côté psycho social et pas seulement le produit et la PUD
Loin de moi l'idée de te faire culpabiliser juste j'essaie de comprendre.
Euh pas génétique plutôt épigenetique ce qui pourrais expliquer le PAWS
Amicalement
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pierre a écrit
C’est la stigmatisation qui rend les PUD indignes.
Indignes ou victimes?
Est ce que ça ne fait pas partie des missions de PA que de justement aider ces PUDs à sortir de cette vision biaisée qu'elles ont sur la drogue?
Je ne dis pas qu'il faut tout laisser passer, ne pas bronché n'est pas une option, je suis d'accord. Par contre ouvrir un débat constructif, ça peut, à mon avis, vraiment faire avancer la cause sans avoir forcément à rentrer dans un combat....
On doit se rallier pour faire avancer les choses et ne pas prendre tous ces commentaires à cœur. Une personne en détresse ne vient pas intentionnellement s'inscrire sur ce forum pour nous juger en disant que la drogue c'est de la merde, elle vient demander de l'aide c'est tout.
Et l'auto support c'est aussi et avant tout pour moi de l'entraide.
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Nineta a écrit
Baba Ya a écrit
Car le pire drogueur en général, c'est l'Etat, avec ce qui l''arrange ! Il est démontré que l'héroine de bonne qualité est moins toxique que la Méthadone, fruit de Big Pharma, dont j'ai entendu qu'il y aurait de potentielles modfications génétiques à terme, et surtout aucune possibilité de jamais s'en sevrer
Gros HS désolée... mais tu as plus d'informations à ce sujet ? Sur un autre topic si il le faut, mais cette affirmation m'interroge un peu...
Merci de ta compréhension
Chèèr
Nineta a écrit
La prohibition de l'alcool aux USA, plus désastreuse que n'importe quelle autre période en ce qui concerne la criminalité et la corruption, est en train de se jouer, toujours à leur initiative, exactement aussi vainement et faussement contre "la drogue". Le problème continue d'être pris totalement à l'envers. Car le pire « drogueur » en général, c'est l'Etat, avec ce qui l''arrange ! Il est démontré que
Oui Ninetta, c'était d'ailleurs mon intention, mais je cherchais par où m'y prendre n'ayant jamais initié d'échange, et vu la teneur éminemment actuelle et opérative des choses, je pensais d'abord prendre contact avec l'équipe de PA.
Bisou !
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meumeuh a écrit
Yann_AU a écrit
J’aurais sans doute du mesurer la teneur de mes propos. L’addiction, parce que c’est bien elle que je dénonce, induit des troubles du comportement. Le mensonge en fait partie, parfois. Bonne continuation à tous
Hell'O
Okay j'entends, je vais nuancé dans certains cas, plus précisément
Suivant la PUD une addiction peut être vécu et ressenti différemment, et pour aller plus loin.
L'environnement dans le quel on vie vas avoir un impact directement sur une addiction.( en bien , en mal .. ) Il y a tout le côté psycho social et pas seulement le produit et la PUD
Loin de moi l'idée de te faire culpabiliser juste j'essaie de comprendre.Euh pas génétique plutôt épigenetique ce qui pourrais expliquer le PAWS
Amicalement
Non non justement, concernant le sevrage oui c'est d'ores et déjà admis, mais une causerie à ce sujet sur France Culture ou autre, faisait directement allusion à une possible mutation du génome, bien qu'en l'état, ce soit prospectif. Considérant les PAWS précisément, les erreurs grandissantes de réplications génétiques incluant les récepteurs opioïdes, mais, et là j'avoue mes limites en la matière, par d'autres mécanismes, c'est très sérieusement qu'il n'est pas exclu qu'à sa mort, un homme avec lourd traitement, emporte des modifications génétiques. C'est sur le nombre que l'hypothèse prend de l'ampleur... Sur ce nombre, un partie va se reproduire, possiblement entre parents sous traitement, produisant un nourrisson que le degré ingérable de sevrage obligera à traiter, etc etc. Bien sûr, ce n'est pas prouvé, et heureusement, car il faudrait que la chose soit consommée...
Mais le M. là, qui ne répond pas d'ailleurs, n'a qu'une FORMATION de pharmacien, il bosse à Lyon, où il y a bcp de chimie... Puis en Suisse... Et là, moi je peux vous en parler... J'ai assisté à des choses... Dramatiquement non éthique pour ne pas dire plus...
Et sa conclusion du 1er post bah... c'est cousu de fil blanc.
Amicalement aussi !
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pierre a écrit
C’est juste notre boulot central de relever et de dénoncer les préjugés sur LA drogue. C’est la stigmatisation qui rend les PUD indignes.
Et surtout ici, nous ne sommes pas là pour se prendre tout les préjugés de la société sans broncher !
Je trouve qu’un champi jaune c’est gentil…
La stigmatisation est l’arme de la prohibition et L’autosupport est un sport de combat !
Toutafait Pierre !
on est trop gentils... on va finir par mordre !
C'est important de mesurer AUSSI les capacités de malfaisance...
Signé Furax
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Baba Ya a écrit
meumeuh a écrit
Yann_AU a écrit
J’aurais sans doute du mesurer la teneur de mes propos. L’addiction, parce que c’est bien elle que je dénonce, induit des troubles du comportement. Le mensonge en fait partie, parfois. Bonne continuation à tous
Hell'O
Okay j'entends, je vais nuancé dans certains cas, plus précisément
Suivant la PUD une addiction peut être vécu et ressenti différemment, et pour aller plus loin.
L'environnement dans le quel on vie vas avoir un impact directement sur une addiction.( en bien , en mal .. ) Il y a tout le côté psycho social et pas seulement le produit et la PUD
Loin de moi l'idée de te faire culpabiliser juste j'essaie de comprendre.
Euh pas génétique plutôt épigenetique ce qui pourrais expliquer le PAWS
AmicalementNon non justement, concernant le sevrage oui c'est d'ores et déjà admis, mais une causerie à ce sujet sur France Culture ou autre, faisait directement allusion à une possible mutation du génome, bien qu'en l'état, ce soit prospectif. Considérant les PAWS précisément, les erreurs grandissantes de réplications génétiques incluant les récepteurs opioïdes, mais, et là j'avoue mes limites en la matière, par d'autres mécanismes, c'est très sérieusement qu'il n'est pas exclu qu'à sa mort, un homme avec lourd traitement, emporte des modifications génétiques. C'est sur le nombre que l'hypothèse prend de l'ampleur... Sur ce nombre, un partie va se reproduire, possiblement entre parents sous traitement, produisant un nourrisson que le degré ingérable de sevrage obligera à traiter, etc etc. Bien sûr, ce n'est pas prouvé, et heureusement, car il faudrait que la chose soit consommée...
Ah et puis au dernières "nouvelles", les femmes devraient pouvoir "stopper" leur ovulation... Encore une grandiose avancée de BigPharma... Mais concrètement, ça revient à garder indéfiniment son stock d'ovules, et de gamètes, et et et ... Qui va en faire quoi ? Vu que par défaut on fait don de ses organes, comme chacun NE LE sais PAS...
Mais le M. là, qui ne répond pas d'ailleurs, n'a qu'une FORMATION de pharmacien, il bosse à Lyon, où c'est plei de chimie... Puis en Suisse... Et là, moi je peux vous en parler... J'ai assisté à des choses... En direct, au plus haut niveau... Peut-être où il sévit d'ailleurs... C'est pas l'éthique qui les étouffe...
Et sa conclusion du 1er post bah... j'ai du mal...
Amicalement aussi !
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Baba Ya a écrit
Mais le M. là, qui ne répond pas d'ailleurs, n'a qu'une FORMATION de pharmacien, il bosse à Lyon, où il y a bcp de chimie... Puis en Suisse... Et là, moi je peux vous en parler... J'ai assisté à des choses... Dramatiquement non éthique pour ne pas dire plus...
Et sa conclusion du 1er post bah... c'est cousu de fil blanc.
Amicalement aussi !
Avouer ses limites en la matière c’est bien. J’apprends moi-même beaucoup ici. Suggérer que je viens ici pour provoquer, ce n’est pas acceptable. Je dissocie la condition de la personne, les troubles de l’humain. Ma « formation » ne justifie en rien ce que je peux ou ai pu ressentir. Et non, rien n’est cousu de fil blanc. Je vais vous relire.
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pierre a écrit
La stigmatisation est l’arme de la prohibition et L’autosupport est un sport de combat !
yep. mon "Felt sens" approuve, persiste et signe !
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Dernière modification par Yann_AU (30 juillet 2024 à 22:10)
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Baba Ya a écrit
surtout, aucune possibilité de jamais s'en sevrer
Je suis sevrée de la methadone et je suis loin d'être la seule...
so
Baba Ya a écrit
Mais le M. là, qui ne répond pas d'ailleurs, n'a qu'une FORMATION de pharmacien, il bosse à Lyon, où il y a bcp de chimie... Puis en Suisse... Et là, moi je peux vous en parler... J'ai assisté à des choses... Dramatiquement non éthique pour ne pas dire plus...
Et sa conclusion du 1er post bah... c'est cousu de fil blanc.
C'est très accusateur ce que tu écris QUE PASA?
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Yann_AU a écrit
Je ne veux pas stigmatiser. Je veux qu’elle me lise. Et je vous lirai aussi.
Mais tu le fais, via des Stéréotypes qui sont en toi je ne dis pas que tu est conscient de l'être,mais moi et à bdp d'autres ça saute aux yeux.
d'ailleurs en quoi tu serais ou (aurais été)un bon usager et pas elle ?
Nineta a écrit
Je suis sevrée de la methadone et je suis loin d'être la seule...
Tu as des sources avec les chiffres ?
Car vous êtes amha minoritaires, après cela dépend de bcp de paramètres , j'ai un traitement metha également
Dernière modification par meumeuh (30 juillet 2024 à 22:27)
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