Catégorie : Tranche de vie - 26 janvier 2023 à 17:40
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Yoane2a a écrit
parfois après des heures je fini par jouir un orgasme très long une sensation d'être au bord de la jouissance sans y parvenir qui dure pendant des heures puis la délivrance (j'adore ça)
ça par contre je connais bien ! Plutôt avec des opiacés par contre (même s'ils n'ont pas de réputation de drogues "sexuelles", moi j'adore pour ça, ça ne me coupe pas du tout l'envie, au contraire...mais assez compliqué de jouir, et des fois ça peut prendre des heures dans des ébats enflammés et quand l'orgasme/les orgasmes arrivent c'est absolument ouf (j'avais commencé à écrire un billet là dessous...je me rends compte que j'accumule les brouillons
Perso, je n'ai pas de pénis, alors le seul point négatif des orgasmes retardés c'est que les opis assèchent pas mal les muqueuses...et ça m'est déjà arrivé de m'en rendre compte un peu trop tard (irritations, brûlures, voire infections urinaires). Vive le lubrifiant alors !!!
Après j'ai l'impression que c'est tout à fait normal de ne pas se sentir bien après une nuit blanche (et comme je le disais ailleurs, finalement prod ou pas prod...même si c'est probable que les altérations de la dopamine/sérotonine toussa ça doit pas aider à être serein).
Quant au dégoût de soi, j'ai l'impression que c'est une représentation qu'on se porte et qui est finalement bien plus une construction morale qu'autre chose...je veux dire pour moi on vit dans une société fortement influencée par la morale (chrétienne) où le sexe, les drogues et plus largement le plaisir c'est « mal ». Mais je me questionne vraiment pourquoi ça serait mal de se faire plaisir !