Comment se rendre à la fumerie d'Opium du 17eme à Paris
Bonjour !
Aujourd'hui, nous vivons dans un monde difficile, c'est pourquoi certaines personnes aiment bien se détendre ; certains font du sport, d'autres jouent de la musique ou alors se défoulent sur des jeux vidéo, mais nous, les « OpioMans », on se détend avec le pavot et tout ce qui en découle.
Un jour, mon pote m'a parlé d'une fumerie d'opium qui se trouve dans la capitale, dans le 17e arrondissement. Elle est tenue par une famille de Chinois. Pour y entrer, il faut montrer patte blanche, car, d'après les rumeurs, l'opium est d'une qualité pharmaceutique. J'en salive d'avance. Cette même famille est implantée à Paris depuis plusieurs générations et fait tourner la fumerie depuis des années. Le grand-père a démarré la boutique après la Seconde Guerre mondiale, pour pallier le manque d'aide psychologique des soldats de retour du front.
Mais aujourd'hui, la police rôde, les balances sont de sortie. Comment faire confiance à quelqu'un qu'on ne connaît pas ? Difficile, en effet. Mais le gérant a ses astuces, diverses et variées. On ne peut entrer dans cette fumerie sans passer par plusieurs étapes cruciales.
Ici, l'argent n'est pas un problème, on paye à l'heure, et on peut y rester le temps qu'on veut. On peut manger, dormir, et bien sûr fumer sur place ! Le rêve.
Une fois les étapes franchies, le Graal est à portée de main. Pour ma première session de fumette, j'arrive en mode décontracté, un peu stressé, mais on m'accueille bien. L'endroit est propre, il n'y a pas beaucoup de monde. La femme à l'accueil me demande combien de temps je souhaite rester, si si je souhaite me poser avec les autres ou me mettre à l'écart. Je préfère me poser à côté d'un vieux monsieur qui m'a l'air sympa et enclin à discuter de tout et de rien.
Un peu comme dans un bar à chicha, on m'apporte le matériel et le produit, mais je ne sais pas comment m'y prendre. On me montre alors les premiers gestes, et c'est parti.
Histoire brève et fictive !
Mon rêve.
Catégorie : En passant - 05 septembre 2024 à 07:48
#Opiul
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Si ça existe, c'est incroyable sérieux. Après, j'imagine que ce n'est plus vraiment ce que c'était dans les siècles derniers. Ca m'étonnerais pas que ça soit vraiment en "soum-soum", et c'est entièrement compréhensible.
Mais faut savoir de quoi on parle aussi. Les tenants de cette boutique, ainsi que l'ensemble du personnel risque un procès pour trafic de stupéfiants, import/export de substances stupéfiantes, blanchissement de fonds en provenance d'un crime, et (pour rigoler par rapport à la gravité pénale du trafic de stupéfiants), vente non-autorisée et peut-être quelques fraudes sur la TVA et les déclarations de revenues.
Mais bordel en fait pourquoi c'est pas encadré et autorisé ? C'est mon rêve d'aller dans un endroit comme ça. Un club cannabis, oui ! Pourquoi pas un club opium.
Les bars, les clubs, etc. c'est pour s'alcooliser et peut conduire à développer une dépendance à l'alcool. Alors pourquoi pas l'opium ? Même conditions, même principe et bah non, vu que c'est une "DR0GUE", on à pas le droit...
Parfois j'envie ma lointaine famille. Le laudanum en pharmacie pas cher, la fumerie d'opium au coin de la rue, la cocaïne en chewing-gum...La belle vie pour nous les fameux grands "t0x1c0mane" ahahah.
Sincèrement l'ami, si un tel lieu existe, pour la gloire de notre combat, reste dans ce magnifique secret pour qu'un lieu si incroyable puisse continuer à avancer !
J'espère trouver cet endroit un jour
Dans des pays comme la Birmanie, ou le Laos peut être ? dans les campagnes au fin fond de la jungle ^_^
Les clubs cannabis existent, mais les fumeries d'opium, niet, pourtant on donne de l’héroïne médicale en Suisse, ça viendra peut être un jour, qui sait
a écrit
Birmanie, ou le Laos peut être ? dans les campagnes
Ciao
Jy etais tres longtemps avant et pas trouvé: il y en a mais tres cachés et avant de faire rentrer un blanc...bcp d'eau doit passer sous les ponts!
Par contre en Inde et Sri Lanka sont plus facile à trouver,mais sont des petites "PMI" à conduction familiale,les vendeurs du coin qui te font consommer dans une piece ton opium acheté et qui s'etonnent quand tu sort la seryngue, cuillere et que tu leur demande du citron..
Marco 68 a écrit
a écrit
Birmanie, ou le Laos peut être ? dans les campagnes
Ciao
Jy etais tres longtemps avant et pas trouvé: il y en a mais tres cachés et avant de faire rentrer un blanc...bcp d'eau doit passer sous les ponts!
Par contre en Inde et Sri Lanka sont plus facile à trouver,mais sont des petites "PMI" à conduction familiale,les vendeurs du coin qui te font consommer dans une piece ton opium acheté et qui s'etonnent quand tu sort la seryngue, cuillere et que tu leur demande du citron..
Salut,
Super témoignage ! Je suis en ce moment en Amérique du Sud (Brésil), et tout ce qui est héroïne, opium, c'est niet ! Le marché est focalisé sur les stimulants...
Marco 68 a écrit
qui s'etonnent quand tu sort la seryngue, cuillere et que tu leur demande du citron..
j'imagine la tête du mec quand tu lui demandes du citron ahah
Ciao
M'étonne bcp ça!! En Colombia je sais ils le produisent,et même de très bonne qualité, et pas que quelque grammes..
Salut,
Je suis ébahi ! Il existe vraiment un commerce d'opium/héroïne en Amérique du Sud ? Je pensais que cela ne se faisait pas/plus, à cause du prix et/ou de la demande... Tu penses que s'il est possible d'en acquérir en Colombie, il en est de même au Brésil ?
Bonne après-midi/soirée,
a écrit
Tu penses que s'il est possible d'en acquérir en Colombie, il en est de même au Brésil ?
Ciao
Aucune idée sincerement
J’ai lu un article intéressant qui détaille le trafic de drogue à Sao Paulo et donc dans les cracolandia l’héroïne devient de plus en plus commune.
Elle serais vendu par des nigérians (selon l’article du journal) et une dose d’héroïne coute 5x plus chère qu’une dose de crack.
A titre informatif une dose de crack c’est 10reais (2€ selon le taux de change de l’€).
Donc une dose d’héroïne 50reais 10€.
Sa me fait toujours rire de pensé au taux de change quelques part c’est comme si la coke été côté en bourse.
Sa c’est pour Sao Paulo après concernant le territoire entier je ne pense vraiment pas que le commerce d’héroïne soit aussi démocratisé que celui du crack ou de la cocaïne.
En fait II semble même que Sao Paulo soit un des seuls et unique pôle de distribution d’héroïne. Même devant Rio de Janeiro.
Ritinha a écrit
Marco 68 a écrit
Ciao
M'étonne bcp ça!! En Colombia je sais ils le produisent,et même de très bonne qualité, et pas que quelque grammes..Salut,
Je suis ébahi ! Il existe vraiment un commerce d'opium/héroïne en Amérique du Sud ? Je pensais que cela ne se faisait pas/plus, à cause du prix et/ou de la demande... Tu penses que s'il est possible d'en acquérir en Colombie, il en est de même au Brésil ?
Bonne après-midi/soirée,
I
Salut w biensur que si ça se fait le pavot est cultivé du Mexique à la Colombie le trafic d'opium et d'héroïne est consommé consommer majoritairement par les sud-américains et nords américains eux-mêmes
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