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- deepinside
- Nouveau membre
- Inscrit le 03 May 2013
- 5 messages
Bonjour à tous , je me suis déjà présenté dans la section prévue à cet effet .
Mais pour résumer je m' appelle Alex j' ai 29 ans et j' habite à l' île de la Réunion..
Après quelques années d' héro , je suis un traitement métha réduit à 80 mg par jour.
Et la semaine dernière , après avoir rencontré une femme extra avec qui je vis une relation magique depuis 1 mois et demi ( qui ne m' avait rien demandé je précise ) je me suis mis en tête de me sevrer à la dure de la Méthadone , afin de me prouver ( de lui prouver ) je ne sais quoi de pas très intelligent. Je me suis déjà sevré à la dure de la came deux fois donc je me suis dit : allez ! En avant camarade , ça pourra pas être pire ! J' ai donc jeté toute la métha qui me restait pour une semaine . Bien mal m' en a pris....
J' ai vécu 7 jours de manque les plus atroces de ma vie !!!! Beaucoup plus insidieux que la came , le manque de metha arrive beaucoup plus " crescendo " , et au bout de 6 jours je n avais pas encore atteint le pic ..... J' ai bien failli me foutre par la fenêtre tellement je vrillais intérieurement ( et physiquement je n' en parle même pas ) . Je sais que plusieurs personnes ont déjà évoqué le sujet sur ce forum , mais je tenais à ajouter ma pierre à l' édifice.
Jamais de sevrage " sec " !!!! J' ai cru que j' allais crever ..... Ayant déjà des problèmes cardiaques dus à d' autres substances ravageuses ( crack etc... ) , mon coeur faisait des pauses de 3-4 sec à cause de la douleur , je m' étouffais litérallement.....
J' ai repris mon traitement illico depuis mardi , mais mon cerveau garde un grave traumatisme de ces quelques jours...
Ma copine avec qui je suis depuis 1 mois et demi , qui n' y connait absolument rien aux drogues quelles qu' elles soit ( elle n' a même jamais fumé un joint ) s' est occupée de moi jours et nuits sans comprendre réellement ce qui m' arrivait ( même si je lui avait longuement expliqué ) , a rester auprès de moi , à me couvrir de tendresse et de mots gentils , de câlins ( même si le moindre geste sur moi me crispait de douleur et de froid ) , attentive a mes moindres faits et gestes ........ Je lui suis tellement , mais alors tellement reconnaissant ..... Une femme incroyable <3 <3 <3. Et je la remercie du fond du coeur . Jamais je n' ai recontré une personne aussi douce et compréhensive... Heureusement qu' elle était là car sinon je pense qu' il serait arrivé un drame .
Merci pour votre écoute...
Alex
Mais pour résumer je m' appelle Alex j' ai 29 ans et j' habite à l' île de la Réunion..
Après quelques années d' héro , je suis un traitement métha réduit à 80 mg par jour.
Et la semaine dernière , après avoir rencontré une femme extra avec qui je vis une relation magique depuis 1 mois et demi ( qui ne m' avait rien demandé je précise ) je me suis mis en tête de me sevrer à la dure de la Méthadone , afin de me prouver ( de lui prouver ) je ne sais quoi de pas très intelligent. Je me suis déjà sevré à la dure de la came deux fois donc je me suis dit : allez ! En avant camarade , ça pourra pas être pire ! J' ai donc jeté toute la métha qui me restait pour une semaine . Bien mal m' en a pris....
J' ai vécu 7 jours de manque les plus atroces de ma vie !!!! Beaucoup plus insidieux que la came , le manque de metha arrive beaucoup plus " crescendo " , et au bout de 6 jours je n avais pas encore atteint le pic ..... J' ai bien failli me foutre par la fenêtre tellement je vrillais intérieurement ( et physiquement je n' en parle même pas ) . Je sais que plusieurs personnes ont déjà évoqué le sujet sur ce forum , mais je tenais à ajouter ma pierre à l' édifice.
Jamais de sevrage " sec " !!!! J' ai cru que j' allais crever ..... Ayant déjà des problèmes cardiaques dus à d' autres substances ravageuses ( crack etc... ) , mon coeur faisait des pauses de 3-4 sec à cause de la douleur , je m' étouffais litérallement.....
J' ai repris mon traitement illico depuis mardi , mais mon cerveau garde un grave traumatisme de ces quelques jours...
Ma copine avec qui je suis depuis 1 mois et demi , qui n' y connait absolument rien aux drogues quelles qu' elles soit ( elle n' a même jamais fumé un joint ) s' est occupée de moi jours et nuits sans comprendre réellement ce qui m' arrivait ( même si je lui avait longuement expliqué ) , a rester auprès de moi , à me couvrir de tendresse et de mots gentils , de câlins ( même si le moindre geste sur moi me crispait de douleur et de froid ) , attentive a mes moindres faits et gestes ........ Je lui suis tellement , mais alors tellement reconnaissant ..... Une femme incroyable <3 <3 <3. Et je la remercie du fond du coeur . Jamais je n' ai recontré une personne aussi douce et compréhensive... Heureusement qu' elle était là car sinon je pense qu' il serait arrivé un drame .
Merci pour votre écoute...
Alex
Choisis des amis qui t' aiment pour ce que tu es , pas pour ce qu' il voudraient que tu sois.....
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- prescripteur
- Modérateur
- Inscrit le 22 Feb 2008
- 12147 messages
Merci de ton témoignage. Souhaitons qu'il permette à d'autres de ne pas faire cette expérience douloureuse et totalement inutile. Toutefois, il faut savoir que la Methadone peut tres bien se sevrer en prenant le temps, en général en baissant de 5 mg toutes les 3 semaines.
Amicalement
Amicalement
S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
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- deepinside
- Nouveau membre
- Inscrit le 03 May 2013
- 5 messages
Merci Prescripteur !
Oui ! Ce message était surtout destiné à ceux qui souhaiteraient faire les héros ( sans mauvais jeu de mot ) et décrocher à la Bruce Willis. J' ai voulu le faire , croyant que j' étais plus fort que tout le monde et que c' était pas ça qui me ferai flancher.. QU' est ce que j' ai été con !!!
Mieux vaut rester encore quelques mois dépendant d 'un médicament que se suicider dans 2 jours.....
Oui ! Ce message était surtout destiné à ceux qui souhaiteraient faire les héros ( sans mauvais jeu de mot ) et décrocher à la Bruce Willis. J' ai voulu le faire , croyant que j' étais plus fort que tout le monde et que c' était pas ça qui me ferai flancher.. QU' est ce que j' ai été con !!!
Mieux vaut rester encore quelques mois dépendant d 'un médicament que se suicider dans 2 jours.....
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- Kevin
- Psycho junior
- Inscrit le 15 Apr 2012
- 472 messages
Ah oui, c'est vraiment pas le truc à faire. Heureusement, tu avais la chance d'être bien entouré.
Espérons que cette expérience puisse servir à d'autres...
Espérons que cette expérience puisse servir à d'autres...
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- Alain Will
- ancien Vice-Président
- Inscrit le 14 Oct 2008
- 9618 messages
Merci 
pour ton témoignage Deepinside ; tu as eu beaucoup de chance d'avoir ta compagne auprès de toi, d'autant plus si tu as des problèmes cardiaques. Elle aurait pu alerter... Heureusement, cette malheureuse expérience est du passé 
J'espère et souhaite que tu ne gardes pas de séquelles psychologiques...
Amicalement, Alain W.
pour ton témoignage Deepinside ; tu as eu beaucoup de chance d'avoir ta compagne auprès de toi, d'autant plus si tu as des problèmes cardiaques. Elle aurait pu alerter... Heureusement, cette malheureuse expérience est du passé J'espère et souhaite que tu ne gardes pas de séquelles psychologiques...
Amicalement, Alain W.
Il m'arrive de trouver que la vie est une horrible plaisanterie. F. Sagan.
Je vois dans la révolution la revanche du faible sur le fort. La liberté est un mot que j'ai longtemps chéri. Sade (Le marquis de)
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- Fabrice
- Psycho junior
- Inscrit le 25 Jan 2013
- 306 messages
Deepinside comme tu le soulignes dans ton post il était parfaitement inutile voir dangereux d'interrompre un traitement de substitutions à un tel dosage.
J'ai vécu de nombreux sevrages douloureux sans tso pour rechuter rapidement les jours suivants.
Le sevrage est l'étape facile quoi qu'en disent certains car malade et en souffrance on se fait une raison.
On sert les dents jusqu'à se rétablir physiquement.
Dans mon cas je regagnais une liberté qui prenait la forme d'une réalité bien amère. Ma réalité n'avait plus aucune actualité. L'héroine laissait place à un vide sidéral, un quotidien du néant: aucun projet, aucune actualité.
C'est donc l'esprit anxieux l'âme en peine, dépressif, au sortir d'une sorte de longue convalescence que je prenais conscience du gâchis, de la misère sociale affective financière et l'état plus ou moins déplorable du logement ainsi que mon allure.
Le choc est si violent que j'ai rapidement rechuté dans l'héroine.
C'est l'une des raisons qui me laisse à penser qu'un tso doit être maintenu sur de longues périodes jusqu'à être réinséré totalement dans notre société et psychologiquement bien dans sa peau.
Deepinside, je pense que tu as fait le bon choix en reprenant ton traitement. Cela te permet de ne pas souffrir du manque, mettre à profit cette semi-liberté retrouvée à l'amélioration de ta condition sociale et repartir dans la vie sur de solides bases.
J'ai vécu de nombreux sevrages douloureux sans tso pour rechuter rapidement les jours suivants.
Le sevrage est l'étape facile quoi qu'en disent certains car malade et en souffrance on se fait une raison.
On sert les dents jusqu'à se rétablir physiquement.
Dans mon cas je regagnais une liberté qui prenait la forme d'une réalité bien amère. Ma réalité n'avait plus aucune actualité. L'héroine laissait place à un vide sidéral, un quotidien du néant: aucun projet, aucune actualité.
C'est donc l'esprit anxieux l'âme en peine, dépressif, au sortir d'une sorte de longue convalescence que je prenais conscience du gâchis, de la misère sociale affective financière et l'état plus ou moins déplorable du logement ainsi que mon allure.
Le choc est si violent que j'ai rapidement rechuté dans l'héroine.
C'est l'une des raisons qui me laisse à penser qu'un tso doit être maintenu sur de longues périodes jusqu'à être réinséré totalement dans notre société et psychologiquement bien dans sa peau.
Deepinside, je pense que tu as fait le bon choix en reprenant ton traitement. Cela te permet de ne pas souffrir du manque, mettre à profit cette semi-liberté retrouvée à l'amélioration de ta condition sociale et repartir dans la vie sur de solides bases.
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- bilou
- Nouveau Psycho
- Inscrit le 17 Apr 2007
- 179 messages
C'est sur qu'il ne faut pas arrèter la métha brutalement.
Mais quand le lis:"il faud savoir que la metha peut très bien se sevrer",je tique un peu.
Pour ma par,plus les années passent,et plus je pense que ça sera jusqu'à la fin.
J'ai beau etre stabilisé depuis longtemp,je ne peux pas descendre en dessous de 40mg.
Mais quand le lis:"il faud savoir que la metha peut très bien se sevrer",je tique un peu.
Pour ma par,plus les années passent,et plus je pense que ça sera jusqu'à la fin.
J'ai beau etre stabilisé depuis longtemp,je ne peux pas descendre en dessous de 40mg.
j'ai souvent envie d'envoyer tout ballader.Le probleme,c'est qu'après,ilfaut tout ramasser
Bilou
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- Fabrice
- Psycho junior
- Inscrit le 25 Jan 2013
- 306 messages
Bilou tu n'arrives pas à descendre sous les 40mg; pour ma part j'ai les pires difficultés à descendre sous les 10mg. J'ai stabilisé une fois autour des 7,8mg mais guère plus.
Comme j'ai des fioles de 60mg, je fais 4 fioles de 15mg par exemple et j'essaye de faire 2 ou 3 jours par fiole.
De toute façon sevrer la méthadone n'est pas une absolue nécessité. Chacun voit midi à sa porte.
Les raisons de vouloir mettre un terme à un tso sont diverses et une autre discussion contient des liens sur une étude à ce sujet.
La raison qui me pousse à vouloir arrêter la méthadone est l'obligation de prendre tous les jours son traitement sous peine de souffrir d'une crise de manque. Vivre avec cette épée de Damoclès au dessus de la tête après des mois ou années de traitement à prendre un médicament qui ne procure aucun effet euphorisant, peut être une source de stress au quotidien.
A cela il y a le regard des autres vis à vis de la méthadone et le sentiment personnel de me voir encore comme un toxicomane qui me motivent à diminuer les doses et arrêter le traitement.
J'ai aussi l'impression que la méthadone anesthésie les sentiments, les émotions et la libido.
On peut vivre également tout à fait à l'aise en prenant son traitement à vie.
Pour en revenir au sujet je n'ose pas imaginer la douleur à décrocher la méthadone à un dosage de 80mg/jour.
Je l'ai fait une fois à 10mg, j'ai ressenti les symptômes de manque pendant plus de 45 jours.
Je pense décrocher la méthadone autour des 4 mg en prenant un jour sur deux puis sur trois sans jamais ressentir aucune gène liée à la diminution du produit.
Comme j'ai des fioles de 60mg, je fais 4 fioles de 15mg par exemple et j'essaye de faire 2 ou 3 jours par fiole.
De toute façon sevrer la méthadone n'est pas une absolue nécessité. Chacun voit midi à sa porte.
Les raisons de vouloir mettre un terme à un tso sont diverses et une autre discussion contient des liens sur une étude à ce sujet.
La raison qui me pousse à vouloir arrêter la méthadone est l'obligation de prendre tous les jours son traitement sous peine de souffrir d'une crise de manque. Vivre avec cette épée de Damoclès au dessus de la tête après des mois ou années de traitement à prendre un médicament qui ne procure aucun effet euphorisant, peut être une source de stress au quotidien.
A cela il y a le regard des autres vis à vis de la méthadone et le sentiment personnel de me voir encore comme un toxicomane qui me motivent à diminuer les doses et arrêter le traitement.
J'ai aussi l'impression que la méthadone anesthésie les sentiments, les émotions et la libido.
On peut vivre également tout à fait à l'aise en prenant son traitement à vie.
Pour en revenir au sujet je n'ose pas imaginer la douleur à décrocher la méthadone à un dosage de 80mg/jour.
Je l'ai fait une fois à 10mg, j'ai ressenti les symptômes de manque pendant plus de 45 jours.
Je pense décrocher la méthadone autour des 4 mg en prenant un jour sur deux puis sur trois sans jamais ressentir aucune gène liée à la diminution du produit.
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- psychoniac
- Psycho junior
- Inscrit le 01 Feb 2013
- 252 messages
Salut
Je prend de la métha depuis environ 6 an, avec des baisses de dosage j'ai réussi à descendre jusqu’à 40mg mais ayant repris de l'héro, je suis souvent revenu à mon dosage de départ qui est de 120 mg.
Aujourd'hui j'en suis à 80 mg (en gélules) tous les matins.
En ce moment j'ai du mal à vivre sans rien prendre d'autres que du shit, pourtant ce n'est pas la défonce qui me manque c'est surtout qu'en ce moment je me sent mal, alors je cogite beaucoup, du coup mercredi soir je me suis dit que j'allais stopper la métha.
Je ne sais pas trop pourquoi j'ai décider cela je crois que j'en avais marre de tout.
Le jeudi matin je n'ai donc pris que quarante mg, et ce matin je suis parti sans rien prendre, heureusement j'avais rendez-vous avec mon éducatrice, je lui ai explique, et avec l'infirmier du centre ils m'ont convaincu de reprendre le traitement.
En lisant vos messages ce soir je me rend compte, qu'en ce moment vu mon état d'angoisses et de déprime je n'aurais pas tenu le coup face à la putain de crise de manque qui me serait tomber dessus dans les prochains jours.
Je crois que j'ai éviter un sérieux problème, et ce soir en lisant vos messages je m'en rend encore plus compte.
Merci à tous, bonne soirée.
Je prend de la métha depuis environ 6 an, avec des baisses de dosage j'ai réussi à descendre jusqu’à 40mg mais ayant repris de l'héro, je suis souvent revenu à mon dosage de départ qui est de 120 mg.
Aujourd'hui j'en suis à 80 mg (en gélules) tous les matins.
En ce moment j'ai du mal à vivre sans rien prendre d'autres que du shit, pourtant ce n'est pas la défonce qui me manque c'est surtout qu'en ce moment je me sent mal, alors je cogite beaucoup, du coup mercredi soir je me suis dit que j'allais stopper la métha.
Je ne sais pas trop pourquoi j'ai décider cela je crois que j'en avais marre de tout.
Le jeudi matin je n'ai donc pris que quarante mg, et ce matin je suis parti sans rien prendre, heureusement j'avais rendez-vous avec mon éducatrice, je lui ai explique, et avec l'infirmier du centre ils m'ont convaincu de reprendre le traitement.
En lisant vos messages ce soir je me rend compte, qu'en ce moment vu mon état d'angoisses et de déprime je n'aurais pas tenu le coup face à la putain de crise de manque qui me serait tomber dessus dans les prochains jours.
Je crois que j'ai éviter un sérieux problème, et ce soir en lisant vos messages je m'en rend encore plus compte.
Merci à tous, bonne soirée.
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- prescripteur
- Modérateur
- Inscrit le 22 Feb 2008
- 12147 messages
Comme le manque de Metha vient assez tardivement (3 jours environ) beaucoup d'usagers qui ont sauté un jour ou deux se disent qu'ils peuvent se sevrer. mais le sevrage est à son maximum à une semaine (voire +) et dure près d'un mois, donc il faut vraiment baisser progressivement et partir de bas (10 mg au pire) pour pouvoir reussir.
Donc Psyconiac, tu as pris la bonne décision.
Amicalement
Donc Psyconiac, tu as pris la bonne décision.
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (18 mai 2013 à 09:41)
S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
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