Première prise MDMA "180mg"

content que ton expérience fut une réussite, lors de ma première prises, j'étais en polyconsommation, bue toute la journée de la vodka redbull (lake parade) fumé un joint au bord du lac léman au couché du soleil, et pris un truc chez un revendeur à  l'affut de client.

Des monté pire qu'en montagne russes, une hypersensibilité tactile (je touchais tout ce que je croisait pour sentir la texture sur ma peau) je me susi sentie trop bien la musique ressenti 400x surtout dans la voiture de ma chérie qui me ramenait que du son que j'aimais et je me cramponnais au siège lors des montées, mais c'était gérable.

Pusi après je l'ai littéralement violée, mais pas réussis à  atteindre l'orgasme, elle part contre je l'ai ruinée complétement c'est elle qui m'as demandée d’arrêter car elle allait mourir.

les points négatifs, je me suis bruler le palet et la langue, je frotais de manière compulsive ma langue dans ma bouche, contre les dents et aussi contre le palet (Il a fallue 2 jour poru que je retrouve des sensation de gout)

serrage de machoires, j'essayais au maximum de me décrisper, mais ce n'étais pas le pire, aujourd'hui ça fait 5 ans pour cette expérience, j'ai une consomation d'une pilule par an par plaisir. mais il est vrai que maintenant elà  fait 3 ans que j'en ai pas pris, et ça me taraude de retrouver un trippes pareil, ou peut êtr ememe meilleurs.

Mais celà  montre un comportement addict mais raisonné.

Bref fait toi plaisir mais comme pour l'alcool avec modération

Salut !

Le ressenti de la musique tu veux dire ? En fait j'ai distingué perso deux points :
- la sensibilité à  la musique proprement dite : ici je rendrais grâce particulièrement à  la MDMA et au LSD ;
- l'ivresse du rythme, du son, de la stimulation du corps : ici je vois le speed, la cc, mais aussi dans une large mesure la MDMA. Les amphets en règle général. Le LSD beaucoup moins.

Figure toi si tu veux, que la sensibilité à  la musique est plus abstraite, subjective, ressentie, tandis que l'ivresse de la musique et du corps a plus une composante concrète, objective reposant sur la stimulation de ton corps comme s'il devenait tout d'un coup une pile électrique +++++++ (il n'y en aura jamais assez pour exprimer ce Hummmmm ).

Je dirais que dans le cas du speed etc, ce n'est pas l'essence de la musique que tu vas vivre, mais son énergie et son souffle. C'est plus euphorisant mais moins "raffiné" qu'avec de la MDMA ou du LSD. Sous speed on peut découvrir les merveilles du corps humain, quelle portée et performance il peut atteindre quand il se trouve dopé à  l'état pur. On ne vit plus au sein de la musique mais comme en compétition avec elle. C'est la dépense totale, tu fais corps avec elle pendant un laps de temps que tu vas vivre (très joyeusement) comme un compte à  rebours.

Au contraire sous MDMA ou LSD j'ai plutôt l'impression que le corps s'envole et est porté par la musique, tu sens que tu es en train de vivre quelque chose d'autre, comme si tu découvrais quelque chose de caché, faisais une heureuse découverte : c'est plus conscient, introspectif, personnel, et c'est tout de suite très porté vers le futur : tu as l'impression de devenir meilleur, et comme si la musique s'exprimait désormais au travers de toi et que tu avais une vision globale du monde alentour (comme entrer en symbiose).

Je ne sais pas à  quel point l'association de MDMA, LSD, et de Speed ou cc, peut être démoniaque du point de vue de l'expérience, mais en tout cas je redouterais vraiment la surchauffe. Beaucoup solliciter l'esprit ou le corps on peut, on résiste, en revanche penser qu'on est inépuisable ou avoir la sensation qu'on peut tout comprendre, ça me paraît dangereux (le corps n'est pas infaillible, le monde a ses mauvais jours, et il y a des cons - méfiance !). Quand on stimule trop à  la fois corps et esprit, et que ceux-ci viennent à  se mélanger on peut vite croire que plus rien n'est impossible, c'est ambitieux mais périlleux.

Dernière modification par ezar (12 juillet 2016 à  10:26)

:)

Après évidemment ton trip dépendra de la qualité du produit, de la disposition de ton corps, du contexte et d'une abstinence antérieure suffisante (pour ne pas créer d'accoutumance). Et en règle générale aussi de ta sensibilité, et de quelle quantité te va le mieux. On peut supposer que pour arriver à  un certain point d'harmonie avec un produit il ne faut pas se goinfrer. Bien sûr si l'on se goinfre la montée risque d'être plus forte mais ça sera pas forcément meilleur - la défonce ça fait rire, ça rend heureux (au mieux), mais tu subis quand même, t'as pas les reines, alors bien sûr tu fais l'expérience intime avec les effets du produit sur ton corps et ça peut être intéressant. Mais en comparant à  la quantité vraiment adapté qui te rendrait très sereine et très sensible à  ce qui se passe autour, c'est vraiment pas la même chose ! Pour imager ça revient un peu à  la différence entre le poison et l'essence.

Je n'ai fait que des interprétations à  partir de mes propres expériences et conclusions, ça n'engage que moi évidemment et je n'en sais pas trop pour les autres. Il faudra rester humble et se préparer à  vivre des soirées de merde.

Si je comparais sommairement le LSD et la MDMA, je dirais que le LSD est la Nature, la MDMA le Ciel. Ca paraît con mais ça provient que de mes ressentis profonds. Ce ne sont que des mots après, ça peut vouloir dire beaucoup de choses mais c'est plaisant, c'est comme ça que moi je postule des choses à  partir de ce que je vis, et que je vise des expérimentations, au fond.

Dernière modification par ezar (12 juillet 2016 à  14:16)