Coup de gueule ! Nos droits et leurs devoirs face au sevrage

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Lea2108 femme
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Bonjour,
Ayant retrouvé une qualité de vie tout à fait normale j’ai décidé de m’attaquer aux empoisonneurs ou autrement appelés médecins ou psy(chopathes)

Vous savez ces médecins dealeurs vous mettant dans la drogue à votre insu et qui vous font endurer un véritable calvers à l’arret de la benzo par cas de conscience « Ah merde j’ai mis une personne normale dans la drogue » ou par pur plaisir.

Aujourd’hui je me révolte contre le déni médical qui est fait sur les répercussions et la difficulté d’un syndrome de sevrage.

Des éléments de la Haute autorité de la Santé :
( je pourrais en fournir les liens personnellement je les ai imprimés pour un petit inconscient qui se sentirai de bousiller ma vie gratuitement )

Trois cas s’opposent les personnes le prennant par besoin contre l’anxieteou autres, ceux qui ne veulent pas subir le syndrome de sevrage et l’usage récréatif.

Deux cas ceux voulant se sevrer ceux ne le voulant pas.

Règle applicable à tous les patients depuis Juin 2015 : Dire au patient ce qui se passe en cas de prise prolongée dont la dépendance et le syndrome de sevrage pas encore assez reconnu aujourd’hui.

Ceux qui ne le veulent pas :

Une personne est considérée prête au sevrage si :
Elle y consent
Et est motivée
N’a pas rencontré de problèmes de sevrages ultérieurs
A le cadre environnemental adéquat

Rôle du médecin :
Ne pas mettre de pression au patient.
Devant un refus de sevrage ne pas réitéré la demande avant plusieurs consultations ( pas de harcèlement moral )

Risques :
Troubles cognitifs ( personnes âgées ),risque à la conduite,
la tolérance et interaction ( alcool par exemple )

Symptômes :
Je préfère mettre un lien sur la HAS :

https://www.has-sante.fr/portail/upload … epines.pdf

Bénéfice : Ne pas subir le syndrome de sevrage injustement, ne pas s’infliger des souffrances, médicament peu toxique comparé à la cigarette ou a l’alcool qui provoquent eux des cancers.

Parfaitement acceptable les symptômes ci-dessus selon eux du moment que ce n’est pas sévère ! Que du bonheur !
Dans un autre document de la HAS que je mettrais en lien plus tard il y est stipulé que les symptômes peuvent durer de quelques mois à des années.
Les médecins sont sensés soignés pas nous rendre malade ? Vrai ou faux ?

Moi j’ai décidé de leur dire merde ils ont foiré m’ont jamais parlé de ça et je ne souhaite en aucun cas subir cela par négligence de leur part.

Ceux qui le souhaitent :

En cas d’utilisation supérieure à 3 mois à 1 an : passage au diazepam considéré comme plus facilement arretable.

Restez maître de votre sevrage, leur sevrage en 10 semaines n’est qu’illusion et vous amènera tout droit à prendre plus au final juste pour pouvoir fonctionner.

Lisez attentivement le protocole de sevrage du docteur Ashton qui lui reconnaît la difficulté d’arret de ces produits.

Lien du manuel : http://psychotropes.info/brochures/Manu … e_2017.pdf

Substitution : 1/4 de votre dose par semaine doit être remplacé par la dose de diazepam adéquate ( équivalente ou à la baisse car avec ce médicament plus hypnotique nous en prennons moins ) jusqu’à la totalité de la dose en diazepam puis stabilisation de 3 semaines.

Sevrage : 7 à 5 % de la dose par palier de 8 jours ( je conseille la formule goutte pour ceci )
3 % par palier de 7 jours et même plus bas en fin de sevrage.
Cela se joue à la demie goutte près.

Besoin : Cadre environnemental et social adéquat ( aide médicale, aide de la famille, environnement non stressant ) de préférence.
Obligation d’aide du medecin et d’aide non medicamenteuse

Bénéfice : Ne plus être dépendant de prescriptions médicales et plus particulièrement de la molécule et meilleure motricité, meilleure memoire.
Personnellement pas eu ces problèmes peut être pour les grosses doses

A faire : À toutes personnes volontaires, aux femmes enceintes, aux personnes en tolérance eprouvant le besoin d’augmenter leurs doses, aux personnes utilisant d’autres psychotropes type alcool car dangeureux pour la santé dans ce cas.

Dans les deux cas réfléchir à la balance bénéfices / risques en cas de sevrage ou non

TRÈS IMPORTANT : Ne pas ajouter d’autres psychotropes dans la mesure du possible du type AD ou neuroleptiques qui eux aussi entraînent une dépendance et qu’il faudra sevrer par la suite avec symptômes bien plus sévères.
Les AD sont à réserver aux personnes en réelle dépression menant à un danger pour elle même ou les autres.
Idem pour les neuroleptiques.

Voilà vous voici entièrement informés ne vous faites plus avoir par vos médecins, c’est votre cerveau pas le leur, c’est votre vie pas la leur, contrôlez un maximum ce qu’on vous refourgue.

Je dispose de tous les liens vers les articles de la HAS bible du médecin et du manuel du professeur Ashton qui est vraiment la meilleure méthode pour ceux ayant du mal à qui cela altère beaucoup la qualité de vie.
Vous pouvez aussi pour ceux qui ne souhaitent pas utiliser un substitut utiliser la méthode tritation à 3% pour les demies vies courtes.

Les liens de la HAS :
Version courte : https://www.has-sante.fr/portail/upload … _06_16.pdf

Version longue ( beaucoup plus interessant ) :
https://www.has-sante.fr/portail/upload … _06_17.pdf

Petit lien sur les documents de l’HAS :
https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c … mbulatoire
Dont un manuel de suivi du sommeil donc un suivi encadré médicalement tout en restant maître de votre sevrage.

Dormons un peu moins ignorants ce soir et je suis incluse dans le lot ne nous laissons plus faire et courage à tous.

Bonne journée

Dernière modification par Lea2108 (27 août 2018 à  12:29)

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Lea2108 femme
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Au temps pour moi,
Les méthodes de sevrages sont possibles mais le patient n’a aucun droit sur le maintien du traitement.
J’ai eu confirmation de l’ordre des médecins.
Le médecin est libre de prescriptions.
Le patient libre d’en changer.
Rien sur le fait qu’ils nous mettent dans l’addiction et qu’ils nous forcent à en sortir au prix de souffrances innommables.
Je suis totalement dégoûtée abasourdie triste affolée en colère tout à la fois.
Je comprends pas comment cela peut être admissible de tels symptômes sur une durée pareille.
Je suis au bout du rouleau j’ai tout essayé et on va me foutre ma vie en l’air.
Tant pis pour moi.

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Lea2108 femme
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Je ne reviendrais plus étant donné que je suis piégée je n’ai plus le choix il ne me reste que 15 jours à vivre normalement alors je vais en profiter à fond et puis m’en foutre royal de tout maintenant je suis foutue au revoir les amis merci quand même de tout ce que vous avez essayer de faire pour moi.
Je ne prendrais pas ce Valium.
Je n’aurais plus de lexomil.
Je sais que ça me provoquera des convulsions voir pire je laisse les choses se faire.
Bonne soirée

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Massa femme
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Léa, les benzos ça fait mal mais c'est temporaire. Un orage qui fini par passer, même si cela semble insurmontable. Le truc c'est de s'accrocher a son divan et d'attendre que ca passe, moi je devenais folle mais ca n'a pas duré, je me suis très bien remise et ça fini par être du passé.

ne désespère pas, j'ai du arrêter des grosses doses de Lorazepam ( Temesta ) et de Xanax, après des années ça doit bien valoir le Lexo ( On ma dit que le Bromazepam était un des plus costauds et le témesta est très costaud  )


Quelques jours épouvantables, quelques semaines difficiles, quelques mois de rémission, je parle bien entendu pour moi.

Live and let die

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Anonyme1756
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Lea2108 a écrit

Je ne reviendrais plus étant donné que je suis piégée je n’ai plus le choix il ne me reste que 15 jours à vivre normalement alors je vais en profiter à fond et puis m’en foutre royal de tout maintenant je suis foutue au revoir les amis merci quand même de tout ce que vous avez essayer de faire pour moi.
Je ne prendrais pas ce Valium.
Je n’aurais plus de lexomil.
Je sais que ça me provoquera des convulsions voir pire je laisse les choses se faire.
Bonne soirée

Lea2018, tu seras d'accord, il n'y a rien à répondre puisque tu ne nous laisses pas la possibilité de réagir autrement qu'en confirmant sans nuance ton opinion sur le sujet.

Prends bien soin de toi.

 

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Sangdencre femme
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Bonsoir les benzos addicts, je ne répondrais pas à Léa en particulier, déjà je ne suis absolument pas okay avec certaines de ses affirmations, ni dans certains préjugés dans les liens fournis. Et ce flou quant à ta disparition prochaine... A moins qu'une grave maladie aura raison de toi, je doute fort que ce soit l'arrêt des BZP, qui sauf OD n'auront pas ta peau.... les crises de convulsions, c'est très impressionnants pour les spectateurs, mais, tu ne te souviens de rien, à part l'air ahuris des gens autour de toi, oui, quelques courbatures, sans gravité.
Stop! les toubibs-dealers sont nos amis au fond, sinon pourquoi y retourner ? Quand on est addict aux BZP, c'est notre vouloir, point.
Tu veux décrocher ? Fort bien vas-y, perso, je n'arrive pas à diminuer, donc quand il est temps de stopper, je vais décrocher dans une clinique d'addictologie. Parce-que le sevrage est non seulement très impressionnant, mais il vous faut quelqu'un, ne serait-ce pour manger (quand le moment arrive) Le 1er mois, je ne suis pas sortie de mon lit, je n'ai même pas fumé de clopes, ce n'était pas mon 1er sevrage, jusqu'à là toujours ambulatoire. Mais cette fois, j'avais la trouille, je ne voulais que ma fille de 10 ans se réveille avec le cadavre de sa maman.
Et voilà, 3 mois de souffrances, de sommeil de 5 à 10 min pendant 1 mois 1/2, j'ai refusée toutes aides chimiques, même la mise sous perf pour "accélérer le processus" Je n'en voulais pas, je voulais absolument vivre ce sevrage avec tout ce que ça impliquait, mais ceci est vain, on oublie ces souffrances et on replonge... Mais, tout ceci est si personnel, chacun est seul face à un sevrage. Bien sûr les symptômes se rejoignent, mais en ce qui concerne son appréhension chacun à sa propre histoire et c'est à toi de te trouver.

La malédiction de l'espèce humaine c'est qu'elle prend la haine comme une forme de communication
Gogol.

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Lea2108 femme
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Me disputer avec toi Sangdencre ne me servira à rien.

Par contre j’aimerais comprendre les préjugés de mes liens ?
1- Les liens sont des liens de HAS seul document valable aux yeux d’un médecin. Donc je ne citerais pas de liens qui ne sont pas en rapport avec la HAS car ceux-ci ne seraient pas valables aux yeux d’un médecin ce qui était le but premier du post.
Je suis également pas d’accord avec pas mal de choses écrites là-dedans et cela ne protège pas vraiment le patient.
Quant à leur sevrage en 10 semaines je ne me prononce même pas sur la bêtise de ce genre de cure inhumaine auquel toi ou Massa a participé je n’ose imaginer qu’elle torture vous avez endurer et sachez que vous vous en sortez bien si aujourd’hui vous n’avez plus de symptômes de sevrage.
2- Moi je ne juge personne ici entendez le bien libre a celui qui souhaite arrêter ou ne pas arrêter telle ou telle substance.
Ceux qui connaissent un minimum mes écrits blogs sauront à quel point je ne juge aucune addiction même si je n’y suis pas moi même.

Par contre là où je vais être en total désaccord c’est quand tu dis je cite « on est dépendant car on le veut » Pardon ?
Moi on ne m’a jamais dis ça à la prescription on ne m’à jamais informé des conséquences derrière sinon je peux te jurer que prescrit dans le cadre d’une colopathie, jamais j’aurais touché à ça.
Avec d’autres problèmes peut être avec des crises d’angoisses ou autres mais avant prise j’avais un etat tout à fait normal niveau angoisse ect a part le ventre donc je te remercierai de ne pas me juger et de croire que tout ceci je l’ai voulu.

C’est justement en ayant vécu un sevrage comme le vôtre en moins pire car par en hôpital ou j’ai seulement enlevé 1/4 sur 1 comprimé de lexomil que j’ai eu des symptômes qui n’ont jamais cessé en 3 mois.

Je ne peux pas me résigner à me dire : Ok c’est super c’est parti pour souffrir pour des mois et des années, je peux pas partir dans un optique de m’infliger une souffrance gratuitement surtout étant au courant de rien ( Excuses ma naïveté devant une prescription médicale que je croyais sans danger jusqu’à il y a 3 mois )
On est sensé avoir confiance en eux ce n’est plus le cas aujourd’hui.

Je ne peux pas jouer avec les prochains mois ou années de ma qualité de vie comme on joue un poker.

J’ai énormément galerer dans ma vie vraiment, j’estime avoir droit au bonheur aujourd’hui et ne pas avoir à subir l’incompétence totale de ce médecin qui ne m’a pas informé des conséquences.

Je voulais simplement avoir des éléments pour ceux qui ne veulent pas se sevrer qui ne veulent pas en passer par vos souffrances justement moi je ne le supporterais jamais ni mentalement ni physiquement j’ai déjà du mal à me remettre de ces 3 mois d’enfer.

Je pensais que nous avions plus de droit par rapport au fait de ne pas être d’accord sur un sevrage imposé ou insisté grandement par un médecin qui me harcèle moralement avec cela.

Nous n’en avons aucun j’ai même cru que, comme mon père ( sevrage alcoolique ) on pouvait nous forcer à aller en cure en hôpital heureusement que non.

Je ne suis pas d’accord avec la décision du sevrage maintenant que je suis au courant de la souffrance que ca implique je pensais que c’etait mon droit nous n’en avons pas.

PS : Mon avis sur les neuroleptiques et AD est basé sur du vécu, une mère qui vomi et terriblement malade à chaque manque de prise de son AD = dépendance.
Neuroleptiques = syndrome malin des neuroleptiques où mon mari a failli mourrir à cause d’un psychiatre psychopathe comme je les appel avant le syndrome malin plusieurs tentatives de suicide et une agressivité hors du commun c’est simple je ne l’ai pas reconnu. Il n’y a eu que le moment où il m’a réveillé pour me dire brûlant de fièvre qu’est-ce qu’il m’arrive ? Je me sens mal je l’ai mené à l’hosto direct = syndrome malin des neuroleptiques.
C’est pas anodin ces traitements et ils sont beaucoup trop facilement prescrit personnellement plutôt mourir que prendre un AD ou un neuroleptique.

Bref face à mon manque de droit total étant sous le libre arbitre des médecins je me sens piégée et ne sait plus quoi faire pour ne pas subir ce sevrage.

Je ne le veux pas.

Je m’y refuse catégoriquement.

Donc au lieu de me juger si quelqu’un sait quel organisme contacter dans ce cas ce serait sympa merci à tous et à bientôt

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Lea2108 femme
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Me disputer avec toi Sangdencre ne me servira à rien.

Par contre j’aimerais comprendre les préjugés de mes liens ?
1- Les liens sont des liens de HAS seul document valable aux yeux d’un médecin. Donc je ne citerais pas de liens qui ne sont pas en rapport avec la HAS car ceux-ci ne seraient pas valables aux yeux d’un médecin ce qui était le but premier du post.
Je suis également pas d’accord avec pas mal de choses écrites là-dedans et cela ne protège pas vraiment le patient.
Quant à leur sevrage en 10 semaines je ne me prononce même pas sur la bêtise de ce genre de cure inhumaine auquel toi ou Massa a participé je n’ose imaginer qu’elle torture vous avez endurer et sachez que vous vous en sortez bien si aujourd’hui vous n’avez plus de symptômes de sevrage.
2- Moi je ne juge personne ici entendez le bien libre a celui qui souhaite arrêter ou ne pas arrêter telle ou telle substance.
Ceux qui connaissent un minimum mes écrits blogs sauront à quel point je ne juge aucune addiction même si je n’y suis pas moi même.

Par contre là où je vais être en total désaccord c’est quand tu dis je cite « on est dépendant car on le veut » Pardon ?
Moi on ne m’a jamais dis ça à la prescription on ne m’à jamais informé des conséquences derrière sinon je peux te jurer que prescrit dans le cadre d’une colopathie, jamais j’aurais touché à ça.
Avec d’autres problèmes peut être avec des crises d’angoisses ou autres mais avant prise j’avais un etat tout à fait normal niveau angoisse ect a part le ventre donc je te remercierai de ne pas me juger et de croire que tout ceci je l’ai voulu.

C’est justement en ayant vécu un sevrage comme le vôtre en moins pire car par en hôpital ou j’ai seulement enlevé 1/4 sur 1 comprimé de lexomil que j’ai eu des symptômes qui n’ont jamais cessé en 3 mois.

Je ne peux pas me résigner à me dire : Ok c’est super c’est parti pour souffrir pour des mois et des années, je peux pas partir dans un optique de m’infliger une souffrance gratuitement surtout étant au courant de rien ( Excuses ma naïveté devant une prescription médicale que je croyais sans danger jusqu’à il y a 3 mois )
On est sensé avoir confiance en eux ce n’est plus le cas aujourd’hui.

Je ne peux pas jouer avec les prochains mois ou années de ma qualité de vie comme on joue un poker.

J’ai énormément galerer dans ma vie vraiment, j’estime avoir droit au bonheur aujourd’hui et ne pas avoir à subir l’incompétence totale de ce médecin qui ne m’a pas informé des conséquences.

Je voulais simplement avoir des éléments pour ceux qui ne veulent pas se sevrer qui ne veulent pas en passer par vos souffrances justement moi je ne le supporterais jamais ni mentalement ni physiquement j’ai déjà du mal à me remettre de ces 3 mois d’enfer.

Je pensais que nous avions plus de droit par rapport au fait de ne pas être d’accord sur un sevrage imposé ou insisté grandement par un médecin qui me harcèle moralement avec cela.

Nous n’en avons aucun j’ai même cru que, comme mon père ( sevrage alcoolique ) on pouvait nous forcer à aller en cure en hôpital heureusement que non.

Je ne suis pas d’accord avec la décision du sevrage maintenant que je suis au courant de la souffrance que ca implique je pensais que c’etait mon droit nous n’en avons pas.

PS : Mon avis sur les neuroleptiques et AD est basé sur du vécu, une mère qui vomi et terriblement malade à chaque manque de prise de son AD = dépendance.
Neuroleptiques = syndrome malin des neuroleptiques où mon mari a failli mourrir à cause d’un psychiatre psychopathe comme je les appel avant le syndrome malin plusieurs tentatives de suicide et une agressivité hors du commun c’est simple je ne l’ai pas reconnu. Il n’y a eu que le moment où il m’a réveillé pour me dire brûlant de fièvre qu’est-ce qu’il m’arrive ? Je me sens mal je l’ai mené à l’hosto direct = syndrome malin des neuroleptiques.
C’est pas anodin ces traitements et ils sont beaucoup trop facilement prescrit personnellement plutôt mourir que prendre un AD ou un neuroleptique.

Bref face à mon manque de droit total étant sous le libre arbitre des médecins je me sens piégée et ne sait plus quoi faire pour ne pas subir ce sevrage.

Je ne le veux pas.

Je m’y refuse catégoriquement.

Donc au lieu de me juger si quelqu’un sait quel organisme contacter dans ce cas ce serait sympa merci à tous et à bientôt

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janis femme
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Coucou Léa,

Je comprends et j entends ta colère et ton amertume, ta peur aussi.. mais traiter les membres du corps médical de dealers et de psychopathes ne me semble pas la bonne approche. Ce serait oublier que les médecins sauvent des vies au quotidien.

Tu as reçu un traitement au sujet duquel tu n as pas suffisamment été informée. C est un fait. Depuis tu galères entre consultations, syndrome de sevrage et nouveau traitement.

Pour comprendre la situation il faut sortir d une pensée binaire: la drogue ce n est pas le mal absolu et les médicaments ne représentent pas le bien absolu.

Les drogues illégales peuvent faire du bien et il ne dépend que de décision politique pour qu elles reviennent dans le champ médical et les médicaments, souvent, sont addictifs et peuvent s apparenter, au niveau des effets secondaires, à des drogues. Tout est drogue et médicament, tout dépend du contexte d utilisation, des doses prescrites et de leur finalité.

Souvent les patients n ont pas ça en tête et pensent que les médicaments ne leur feront que du bien

Là où tu peux te révolter c est au niveau du manque d informations sur les sevrages et/ou la nécessité à long terme de changer de médicaments, de l erreur médicale sur ton taux de fer et sur ta prise en charge générale qui n a pas été bonne jusqu'à la consultation en addictologie.

Mais ne mets pas tous les médecins en accusation stp.

Prends soin de toi

Coucou sangdencre,

Tu ne peux pas dire qu on est dépendant si on le veut. Rares sont les personnes qui se lèvent et se dise "aujourd'hui je deviens dépendant aux benzo". Faut arrêter les préjugés en tous genres.
On n est pas dépendants au AD et autres par sa propre volonté !

C'est inhumain de dire ça! Et revient à nier la souffrance physique et mentale de nombreux patients !

Et non les convulsions ce n est pas qu un phénomène un peu spectaculaire. Ce n est pas anodin pour le cerveau.

Prends soin de toi
Janis

Dernière modification par janis (29 août 2018 à  09:46)


J'ai pour me guérir du jugement des autres, toute la distance qui me sépare de moi-même

A. Artaud

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Mauddamier femme
Au pays imaginaire
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Léa, tu réalises par combien d’émotions tu passes depuis un mois ? Parfois plusieurs dans la meme journee

Un coup tu veux switcher lexo/valium, puis sevrage (avec ta fixation d’un enfer qui va durer 3ans, tu étais persuadée que ta vie était terminée. Ensuite tu décides de ne plus aire ce sevrage et de continuer au lexomyl : ça a duré 2jours !

Et maintenant c’est la faute du corps médical. T’es sûre ?
T’as pas besoin de ces médicaments ? Clairement ils t’ont été presscrits pour de bonnes raisons. Tu te fais vivre l’enfer et aujourd’hui tu cherches un coupable.

Mais ce n’est pas parce que toi, tu ne vas pas bien que nous devrions tous nous méfier. Regarde quand tu as été aux urgences psy, ça t’à rassurée de voir un médecin.

D’accord ils ne sont pas tous compétents mais sans ma psy et les somnifères, je serai folle, probablement dépressive et suicidaire.
Ces gens sont des professionnels, pour autant ils ne peuvent pas entrer dans ta tête. Ils essaient d’aider.

Un coup tu veux switcher, puis te sevrer, puis tu vas aux urgences, ensuite tu te mets en tête que ta vie ne sera plus jamais la même. Mais comment quelques lexo peuvent avoir tant d’impact sur ta vie ?

Je ne pige pas ta fixation. Un moment tu dis que tu vas parfaitement bien, que le lexomyl te réussit et que tu vas le garder. Garde le ! Si grâce à lui tu peux fêter noël et partir en Espagne, garde le.

Pas besoin de tester le valium. Mais sérieusement, tu devrais sûrement parler à quelqu’un de confiance ou envisager une thérapie. Tu gardes tant de peurs en toi qu’elles ont’ pris le contrôle.

Tu n’as pas à vivre avec cette douleur insupportable.

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Lea2108 femme
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@ Janis il est vrai que j’ai développé une véritable haine envers le corps médical qu’il soit généraliste ou psychiatrique.
Sauf csapa seul médecin compétent que j’ai eu à ce jour depuis cet arrêt de lexomil.
Je suis d’accord sur ce que tu as dis au sujet drogues dites illicites et médicaments qui maintenant que je connais mieux puisque je vis le problème sont très similaires et il est vrai que dans certains pays tel médicament va être autorisé un autre qualifié drogue.
Je suis totalement d’accord avec toi là dessus.
J’ai parlé à un juriste de l’ordre National des médecins en tant que patient le seul droit pur que nous avons est de refuser une ordonnance ou hospitalisation c’est déjà une chance de pouvoir refuser AD et neuroleptiques mais ne pouvons pas forcer la prescription bien que comme tu le dis je suis furieuse du manque d’informations à ce sujet.
Et de mon suivi catastrophique également.

Merci à toi et bonne journée Janis


@ Mauddamier

Tout dépends des nouvelles que j’apprends je peux passer de calme et appaisé si je sais qu’on ne me force pas au sevrage puis exemple mail du conseil départemental de l’ordre des médecins m’expliquant cela et voilà stress maux de ventre peur.

Depuis cet arrêt de lexomil je n’ai plus la vie légère j’en conviens.

Par rapport aux décisions de sevrages ou pas ce n’est pas moi qui les prends depuis le début en premier mon mari en mai, ensuite les médecins juin juillet et maintenant le csapa en aout.

Comment ? Vas sur le sujet Lexomil mon enfer et tu verras tout ce que j’ai traversé pendant cet arrêt de lexomil entre vertiges, nausées, vomissements, angoisse, insomnies, réveil à 4h tout les matins avec coeur qui palpite j’en passe et des meilleurs j’ai passé le mois de juin et juillet enfermé chez moi à cause de cet arret de lexomil plus de vie sociale, plus de qualité de vie dans son ensemble perte de 5kg un véritable choc pour moi.
Voilà pourquoi cela influe tant dans ma vie.

Ma vie avant cet arrêt me plaisait parfaitement, elle me plaît aussi aujourd’hui mais je suis tellement méfiante envers les médecins que je cherche à savoir ce qu’ils ont comme droit sur moi.

Non les psychopathes accroc à prescrire du neuroleptique très peu pour moi.

Moi je vais te dire la vérité Mauddamier je veux garder le lexomil je ne veux pas sevrer moi dans ma tête c’est super clair mais le médecin s’il veut plus prescrire ? Car moi il me harcèle là dessus.

De plus il compte en parler à ses confrères je ne peux même pas changer de médecin sans avoir peur qu’il raconte sa vérité.

Et très sincèrement de toi à moi avant je n’en avais pas besoin mais aujourd’hui je pense que oui et j’ai peur qu’on me l’enlève.

Tu as de la chance entre guillemets que ton médecin accepte de te prescrire ton somnifère mais s’il veut plus que feras tu ?

Ça ça m’angoisse depuis je veux plus revivre un tel calvers ma décision moi dans ma tête elle est claire mais on est pas décisionnaire des ordonnances tu comprends ?

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Mauddamier femme
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Garde bien tes ordonnances (même si elles ne sont plus valables). Ça permet d’avoir un historique.

Si le lexomyl te convient, il n’y a pas de raison qu’on t’en prive. Ma psy me prescrit mes somnifères, et quand elle n’est pas là c’est mon médecin traitant.
Tu peux également aller dans un centre.

Il est clair que si tu veux un traitement’ sur le long terme, il te faut un médecin référant.

Tu avais l’air si’ « libérée » quand tu as décidé de repousser le sevrage. A mon avis, prends tout le temps dont tu’ as besoin. Je sais c’est facile à dire, tu as peur de ne plus avoir de prescription et de devoir arrêter du jour au lendemain. Mais quand on te lit, on préfère te voir positive que défaitiste.

Ta vie ne s’arrête pas. Le lexo n’est pas la cause de tous ces maux. Il faut essayer d’être stable avant d’envisager un sevrage.

Tout ça, ça craint vraiment et je pense qu’aucune molécule ne nous rendra jamais heureux. Je ne les appelle « psy-chopathes » mais clairement pour eux c’est un emploi tandis qu’il s’agit de notre vie.

Je te l’ai deja dis en mp mais : garde ton lexo comme j’ai du xanax, ce qu’il faut c’est des projets (toutes c’est choses que tu imagines ne plus pouvoir faire), prouve toi que tu es forte.

Bonne chance Léa

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Lilas24 femme
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Bonjour,

Comme souvent je rejoins Maud sur ce qu'elle te dis Lea.

Te voir ainsi switcher en quelques jours d'une pensée à l'autre, d'une opinion à une autre nous ramène une fois de plus à cette idée peut être pas si saugrenue que tu es très anxieuse en ce moment.

Alors que tu sois anxieuse parce que tu as peur du sevrage, que tu es en colère de te sentir forcée ou bien pour les raisons de fond qui t'ont poussée à prendre du Lexomil au départ (dont tu ne parles pas, mais Léa, on ne prend pas ce benzo parce qu'on a mal aux dents, il y a toujours une raison derrière), peu importe, cette angoisse te fait réagir d'une manière très excessive.

J'ai parfois la dent dure moi aussi contre le corps médical pour d'autres raisons mais ce que tu dis est plus qu'excessif et ne t'aideras jamais à aller mieux.

Surtout, je considère que nous sommes responsables de nos actions et personnellement, je n'ai jamais accusé qui que ce soit de mon addiction, c'est un choix que j'ai fait, poussé par une nécessité personnelle, mais personne ne m'a induit en erreur ou poussée à la consommation.

Tu peux voir les choses autrement, mais je crains que les ruminations ne t'aident pas à aller mieux sur le long terme.
Reputation de ce post
 
J’adhere complètement

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Lea2108 femme
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Bon maintenant stop à me faire traiter de menteuse j’en ai assez stop.

On m’a JAMAIS INFORMÉ DE LA DÉPENDANCE QU’ENTRAINE LE MÉDICAMENT JAMAIS ON A ABORDÉ CE SUJET AVEC MOI

De plus la prescription fais suite à des nausées et maux de ventre quotidiens, rien dans les analyses bien poussées donc il m’a dit c’est du stress = Lexomil.

Jusque là ça va ? C’est compréhensible ?

Sauf que le lexomil en question ni la domperidone ou motilium n’a fait cesser ces nausées et maux de ventre et constipation jamais donc erreur de prescription car le lexomil N’A SERVI À RIEN ! 

Alors oui maintenant j’ai peur oui je suis anxieuse aujourd’hui avec ce qui m’est arrivé c’est on ne peut plus normal.

Et non ça devrait pas être automatique un anxiolytique car on sait pas ce que la personne elle a.

La colopathie/dispepsie j’arrive à vivre avec maintenant et à force j’ai des stratégies pour contrer les nausées dont des boites de vogalenes ect.
Puisque les nausées venait du stress soit disant pourquoi j’ai toujours eu les nausées sous prises ?

Donc stop à me prendre pour une menteuse ça par contre j’en ai assez si ton saint médecin fait bien son taf pour toi tant mieux mais moi je vais d’erreur en erreurs médicales et je ne tolère plus qu’on me traite de menteuse.

Je quitte votre forum qui n’est pas pour moi puisque vous m’avez juger sans connaître ma situation mais si moi je devais en juger ici j’en aurais pour la semaine alors ça va bien merci.

Je ne vous souhaite rien à part Janis et Maud.

Et rappelle toi ce pauvre type qui s’est fait prescrire ça pour douleurs musculaires alors arrêtez avec les médecins ont toujours raison non parfois ils ont tord ! Et ça peut aller loin alors stop maintenant je préfère partir parce que vous m’énervez certains ici à me traiter de menteuse j’en ai assez.

Puis comme ce mec je me fournirais sur le web au cas où.

Bonne journée à certains et aux autres basta adieu

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Massa femme
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Oui c'est pas faux, les médecins en général, c'est mon impression, prescrivent trop facilement les benzos qui sont des drogues dures, sans en informer sérieusement des conséquences. C'est aussi mon sentiment.

Pour ma part c'était nécessaire. Mais bref, ciao :)
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Merci Massa, bien sûr si nécessaire c’est autre chose ! Merci bonne route à toi

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Nils1984 homme
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Massa a écrit

Oui c'est pas faux, les médecins en général, c'est mon impression, prescrivent trop facilement les benzos qui sont des drogues dures, sans en informer sérieusement des conséquences. C'est aussi mon sentiment.

Pour ma part c'était nécessaire. Mais bref, ciao :)

100 % d'accord Massa

Le jour où tu rencontres un toubib qui présente le seresta comme une "merveille"
Quand tu lui expliques tes tourments & co
Tu suis le truc, "ah ouai ça c'est vrai que c'est une merveille je suis tombé dans le trou"

/forum/uploads/images/1535/a-0.jpg


Et quand tu décides par toi même de devoir éviter ce cabinet par précaution, tu réalises qu'en fait ce toubib est autant accro aux benzos que toi

bisOo ^^

Dernière modification par Nils1984 (29 août 2018 à  16:28)

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Merci de le reconnaître

- Le chemin pour monter est le chemin pour descendre -
(Trois Stèles de Seth)

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Lilas24 femme
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Bon, une dernière pour la route et après je laisse tomber.

Personne ne te traite de menteuse Léa mais chacun a le droit d'avoir sa propre perception des choses et personnellement j'estime être la seule responsable de mon addiction, c'est d'ailleurs une des raisons qui m'a permis, après de longues années d'errance, de trouver la force d'en sortir.

C'est vrai que pour les benzos certains médecins ont la main lourde comme le dit Massa. Ce n'est pas le cas de ma généraliste du tout qui aurait tendance à l'inverse et qui n'en prescrit que sur de courtes durées avant de renvoyer le patient sur un psychiatre mieux à même de gérer l'origine de la prise.

On ne peut donc pas généraliser.

Je te souhaite Léa de parvenir à calmer ta colère et ta rancoeur. Je les comprends, même si je ne partage pas ton opinion.

Ne perds pas ton énergie sur des ruminations mais tente de trouver ton équilibre, c'est ce que je peux te souhaiter de mieux. Si tu veux rester comme ça, fais comme tu peux pour trouver un médecin qui acceptera et continue à avancer.

Un jour, peut être dans des années, tu verras les choses autrement, c'est tout ce que je peux te souhaiter car nous on se contente de te lire, mais toi tu te fais du mal à ruminer comme ça. Alors les propos de certains d'entre nous ne te plaisent peut être pas, même si paradoxalement ils sont bienveillants à ton égard car au lieu de s'en foutre et de rigoler en douce parce que tu traites les médecins de psychopathes on essaie de te dire de t'occuper de toi au lieu de chercher des responsables à ta dépendance.

Elle est là et c'est à toi maintenant et à toi seule de décider de ce que tu vas en faire, qu'un médecin soit à l'origine ou que tu te sois laissée allée par nécessité, le résultat est le même, rester en l'état ou essayer d'en sortir et comme l'a dit quelqu'un d'autre, il n'y a rien de binaire sur les produits psychoactifs du moment qu'on s'assume.

Il y a des gens ici qui se disent bien dans leur dépendance ou leur consommation récréatives et d'autres qui le vivent comme un calvaire. Il n'y a pas à juger, c'est ça qui est bien sur ce site.

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