Tabac. Un composant du LSD pour soigner l’addiction à la nicotine ?
Publié par krakra,
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- krakra
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https://www.ouest-france.fr/sante/tabac … ne-5951471
Tabac. Un composant du LSD pour soigner l’addiction à la nicotine ?
La psilocybine, une molécule présente dans le LSD et les champignons hallucinogènes serait efficace dans le traitement de l’addiction au tabac.
La psilocybine, une molécule présente dans le LSD et les champignons hallucinogènes serait efficace dans le traitement de l’addiction au tabac.
Des scientifiques américains ont redécouvert et analysé plusieurs études datant des années 1950 et 1960 sur les effets bénéfiques des psychotropes. Ces tests prouvaient l’efficacité de la psilocybine, une molécule présente dans le LSD et les champignons hallucinogènes, dans le traitement de l’addiction au tabac et de la dépression chez les malades du cancer. Des études plus poussées sont encore nécessaires.
Le LSD servira-t-il un jour à traiter certaines pathologies ? Pas tout de suite, mais des chercheurs étudient actuellement avec beaucoup d’intérêt les effets bénéfiques de la psilocybine, un psychotrope présent dans le LSD et les champignons hallucinogènes, sur certains types de patients, rapportent Les Échos.
Aux États-Unis, plusieurs médecins et psychiatres ont récemment redécouvert un énorme corpus d’études cliniques réalisées dans les années 1950 et 1960 sur ce sujet. À l’époque, « le LSD et la psilocybine étaient vus comme des médicaments miracles » par les psychiatres, explique Michael Pollan, journaliste et auteur d’une enquête sur le sujet.
Des résultats probants
Ces études présentaient des résultats exceptionnels quant aux bénéfices de la psilocybine sur certains patients. Ainsi, dans le traitement de l’addiction à la nicotine, 80 % des personnes traitées avaient arrêté la cigarette au bout de 6 mois, un chiffre à peine rabaissé à 67 % au bout de 12 mois. Un score inégalé dans ce domaine de recherche.
Une autre étude avait été réalisée sur 80 personnes, toutes atteintes d’un cancer en phase terminale et souffrant de dépression. Après administration régulière et dosée de psilocybine, les chercheurs avaient observé une « réduction significative de l’anxiété » chez 80 % des patients.
De nouvelles études en cours
Illégale dans la plupart des pays, la consommation de drogues comme le LSD ou les champignons hallucinogènes pourrait peut-être trouver là sa rédemption. De plus, ces psychotropes « ne sont pas addictifs et ne peuvent pas provoquer d’overdose », précise David Nutt, professeur britannique de pharmacologie, cité par Les Échos.
Intriguée par ces résultats, l’agence américaine du médicament (FDA) a, en 2017, demandé à l’université de New York (NYU) d’élargir ses recherches cliniques à toute la population. De nouveaux tests sont en cours sur les effets de la psilocybine sur des adultes autistes, ou encore sur les personnes souffrant de troubles alimentaires.
Tabac. Un composant du LSD pour soigner l’addiction à la nicotine ?
La psilocybine, une molécule présente dans le LSD et les champignons hallucinogènes serait efficace dans le traitement de l’addiction au tabac.
La psilocybine, une molécule présente dans le LSD et les champignons hallucinogènes serait efficace dans le traitement de l’addiction au tabac.
Des scientifiques américains ont redécouvert et analysé plusieurs études datant des années 1950 et 1960 sur les effets bénéfiques des psychotropes. Ces tests prouvaient l’efficacité de la psilocybine, une molécule présente dans le LSD et les champignons hallucinogènes, dans le traitement de l’addiction au tabac et de la dépression chez les malades du cancer. Des études plus poussées sont encore nécessaires.
Le LSD servira-t-il un jour à traiter certaines pathologies ? Pas tout de suite, mais des chercheurs étudient actuellement avec beaucoup d’intérêt les effets bénéfiques de la psilocybine, un psychotrope présent dans le LSD et les champignons hallucinogènes, sur certains types de patients, rapportent Les Échos.
Aux États-Unis, plusieurs médecins et psychiatres ont récemment redécouvert un énorme corpus d’études cliniques réalisées dans les années 1950 et 1960 sur ce sujet. À l’époque, « le LSD et la psilocybine étaient vus comme des médicaments miracles » par les psychiatres, explique Michael Pollan, journaliste et auteur d’une enquête sur le sujet.
Des résultats probants
Ces études présentaient des résultats exceptionnels quant aux bénéfices de la psilocybine sur certains patients. Ainsi, dans le traitement de l’addiction à la nicotine, 80 % des personnes traitées avaient arrêté la cigarette au bout de 6 mois, un chiffre à peine rabaissé à 67 % au bout de 12 mois. Un score inégalé dans ce domaine de recherche.
Une autre étude avait été réalisée sur 80 personnes, toutes atteintes d’un cancer en phase terminale et souffrant de dépression. Après administration régulière et dosée de psilocybine, les chercheurs avaient observé une « réduction significative de l’anxiété » chez 80 % des patients.
De nouvelles études en cours
Illégale dans la plupart des pays, la consommation de drogues comme le LSD ou les champignons hallucinogènes pourrait peut-être trouver là sa rédemption. De plus, ces psychotropes « ne sont pas addictifs et ne peuvent pas provoquer d’overdose », précise David Nutt, professeur britannique de pharmacologie, cité par Les Échos.
Intriguée par ces résultats, l’agence américaine du médicament (FDA) a, en 2017, demandé à l’université de New York (NYU) d’élargir ses recherches cliniques à toute la population. De nouveaux tests sont en cours sur les effets de la psilocybine sur des adultes autistes, ou encore sur les personnes souffrant de troubles alimentaires.
Dernière modification par krakra (05 septembre 2018 à 17:49)
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- Jimmyletox
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La psilocybine, une molécule présente dans le LSD et les champignons hallucinogènes
"sois courageux quand le ciel se fâche et tape du pied même en sandale même si t'a mal sois bon et fais preuve de compassion envers tes frères devant les caisson et n'oublie pas la donation" Lucas RHT
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Jimmyletox a écrit
La psilocybine, une molécule présente dans le LSD et les champignons hallucinogènes
Et le principe actif des champignons, c'est le LSD 
.
Il devrait boire un verre de monoxyde de dihydrogène avant d'ecrire eux 
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- ramtha
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"la psilocybine, un psychotrope présent dans le LSD "!...ah bon, c'est nouveau ça.
sacrés journalistes de ouest-france !
sacrés journalistes de ouest-france !
" L'Univers conspire à ton bien, Tout est divin, À toi d'entendre. "
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Je crois bien que le mot générique qui manquait à ce rédigeur d’articles est : "tryptamine".
Du coup, on peut mettre dans le même tiroir pas mal de molécules dont la science ne devrait pas se priver d'étudier au grand jour les propriétés sur les addictions.
Du coup, on peut mettre dans le même tiroir pas mal de molécules dont la science ne devrait pas se priver d'étudier au grand jour les propriétés sur les addictions.
Dernière modification par Mister No (05 septembre 2018 à 21:07)
Just say no prohibition !
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- ramtha
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malheureusement à partir du moment où il y à un classement d'une molécule ou d'une plante dans la même catégorie que la morphine, la cocaine ou l'héroine, il me semble que de fait il ne peut plus y avoir de recherches dessus, bon je ne suis pas certain pour la France mais c'est le cas pour les Usa au niveau théorique( voir wikipédia convention internationale des psychotropes ou titre approchant.)
bien que depuis quelques années aux usa la recherche sur les psychédéliques à repris.
L'iboga est inscrit officiellement sur la liste des produits stupéfiants en France. « Au regard des préoccupations de santé publique », cet arrêté a été confirmé par le Conseil d'État le 20 mars 2009 (n° 305953).
donc à priori pas de recherche possible, l'agence (afsap ?) à l'origine de cette classification est vraiment de mauvaise foi car elle a balayé d'un revers de main les nombreuses études publiées pendant des années à l'étranger sur l'intérêt de l'iboga pour lutter contre l'addiction aux opiacées et ce de manière remarquable, -iboga concurent possible et donc indésirable du subutex et autre méthadone commercialisés par les labos ? pas impossible.
Un autre exemple l'ayahuasca qui est déclaré patrimoine de la nation au Pérou est classifié et assimilé à un stupéfiant en France, là encore les personnes à l'origine de cela ont ignoré les trés nombreuses études publiées pendant des années sur le fort potentiel thérapeutique de cette plante ( certes dans le cas d'une utilisation rituelle, comme c'est aussi le cas du Santo Daime qui utilise cette plante dans son culte su Brésil, pays qui à reconnu son usage comme positif et donc autorisé . idem pour le peyote classifié en France comme stupéfiant, idem pour les psylocybes alors que de récentes études aux usa montrent sont grand intérêt en cas de dépressions sévères. Plutôt que de classer de telles plantes enthéogènes comme produits stupéfiants, il serait plus judicieux d'éventuellement les classifier( encore que bon, pourquoi ?), mais sur une liste différente de celle des stupéfiants( ce qu'elles ne sont pas, car pas de dépendance avec elles, donc c'est un mensonge), et ainsi permettre la recherche scientifique.
la recherche sur les psychédéliques et autres molécules semble reprendre depuis quelques années aux Usa( mdma contre syndrome de stress post traumatique, les psylocybes contre la dépression sévère et aussi le lsd pour les patients atteints de cancer terminal, ce ne semble pas être l'orientation actuelle dans notre pays.C'est se priver d'outils pouvant être trés utiles en médecine, psychothérapie et probablement psychiatrie et neuro-sciences.
bien que depuis quelques années aux usa la recherche sur les psychédéliques à repris.
L'iboga est inscrit officiellement sur la liste des produits stupéfiants en France. « Au regard des préoccupations de santé publique », cet arrêté a été confirmé par le Conseil d'État le 20 mars 2009 (n° 305953).
donc à priori pas de recherche possible, l'agence (afsap ?) à l'origine de cette classification est vraiment de mauvaise foi car elle a balayé d'un revers de main les nombreuses études publiées pendant des années à l'étranger sur l'intérêt de l'iboga pour lutter contre l'addiction aux opiacées et ce de manière remarquable, -iboga concurent possible et donc indésirable du subutex et autre méthadone commercialisés par les labos ? pas impossible.
Un autre exemple l'ayahuasca qui est déclaré patrimoine de la nation au Pérou est classifié et assimilé à un stupéfiant en France, là encore les personnes à l'origine de cela ont ignoré les trés nombreuses études publiées pendant des années sur le fort potentiel thérapeutique de cette plante ( certes dans le cas d'une utilisation rituelle, comme c'est aussi le cas du Santo Daime qui utilise cette plante dans son culte su Brésil, pays qui à reconnu son usage comme positif et donc autorisé . idem pour le peyote classifié en France comme stupéfiant, idem pour les psylocybes alors que de récentes études aux usa montrent sont grand intérêt en cas de dépressions sévères. Plutôt que de classer de telles plantes enthéogènes comme produits stupéfiants, il serait plus judicieux d'éventuellement les classifier( encore que bon, pourquoi ?), mais sur une liste différente de celle des stupéfiants( ce qu'elles ne sont pas, car pas de dépendance avec elles, donc c'est un mensonge), et ainsi permettre la recherche scientifique.
la recherche sur les psychédéliques et autres molécules semble reprendre depuis quelques années aux Usa( mdma contre syndrome de stress post traumatique, les psylocybes contre la dépression sévère et aussi le lsd pour les patients atteints de cancer terminal, ce ne semble pas être l'orientation actuelle dans notre pays.C'est se priver d'outils pouvant être trés utiles en médecine, psychothérapie et probablement psychiatrie et neuro-sciences.
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