ça s appelle l acoutumance,prendre des somnifère plus fort tu peut essayer.ça va marcher un temps et puis retour au point de départ.y a t'il quelqu'un a qui tu peux en parler,quelqu'un du domaine médical?
La médecine répond à l'insomnie avec des somnifères, mais sur la boite il est bien marqué que ce doit être utilisé pour une période restreinte. On sait très bien pourquoi : après ça ne fait plus d'effet du tout, mais on en a besoin. Il y a une autre raison : la qualité du sommeil est diminuée par ces produits, on dort plus, mais moins bien, c'est moins efficace, moins reposant.
Il y a d'autres approches -sans médicaments ou peu de médicaments- pour lutter contre l'insomnie mais elles demandent des efforts personnels. Sans doute que ces efforts valent la peine, une simple recherche ton moteur de recherche habituel avec "insomnie naturelle" en mots clés te donnera des milliers de pages de pistes diverses et variées.
Le fait est : sans effort personnel, en utilisant un médicament, la victoire contre l'insomnie est toujours provisoire. On peut l'utiliser pour traverser une crise passagère, c'est dans cette optique que ces médicaments sont mis sur le marché car on sait très bien que pour pour lutter contre l'insomnie au long terme, ils ne servent à rien.
Ce qui m'étonne c'est que ton médecin ne soit pas au courant et ne t'ait pas prévenue de ça et continue de prescrire des quantités croissantes sans se poser de question et sans te parler des solutions personnelles.
En tout cas c'est ce que j'en ai retenu :)
Dernière modification par Syam (06 avril 2016 à 18:07)
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En fait l'insomnie peut venir de deux raisons principales. L'une qui est neurologique, avec un organisme qui ne sécrète pas les endorphines correctement et n'induit donc pas le sommeil, car c'est comme avec un anesthésique, dès qu'il est inoculé, l'endormissement est très rapide. Sinon, normalement c'est le corps qui va naturellement déclencher la sécrétion de mélatonine et c'est le gros dodo. D'où parfois la gueule dans le cul le matin car la drogue est toujours présente et n'a pas était entièrement assimilée.
La deuxième c'est un mental agité, c'est à dire que ton attention habituellement portée sur lui, va engendrer un tel flot de pensées, créatrices d'émotions, quelles vont empêcher l'endormissement par la sécrétion d'adrénaline par exemple. Si je repense au mec qui ma coupé la route en bagnole ce matin et qui m'a traité de grosse merde, la simple mémoire de cet évènement, va produire un bon nombre d'hormones de stress et mettre le corps en position de réactivité guerrière..
La solution pour la première problématique, est de consulter un spécialiste du sommeil, pour qu'il te prescrive une série de tests et voir si un traitement peut être plus adapté que toutes ces pilules devenues inefficaces.
La deuxième problématique peut se traiter avec des remèdes naturels, comme l'utilisation de techniques de relaxations, de méditations, de yoga différents, de répétition de mantra, de respirations cycliques contrôlées, de sophrologie, en fait tout ce qui pourra concentrer ton esprit sur l'espace contenant du mental et du mouvement des pensées et donc, des émotions qui agitent.
Tu as besoin de détente dans ta vie. Tu as raison de prendre au sérieux cette problématique, car le sommeil est primordial pour remettre les choses à zéro et repartir dans la fraicheur d'un jour nouveau.
Connaissant très bien 2 des molécules que tu as cité je suis sur le derrière que ça ne te fasse rien mais je sais (pour avoir abusé des fois) que si on en prend beaucoup en fait c'est l'effet inverse qui se produit. Il faut que tu vois un spécialiste, que tu fasses "une nuit de sommeil" à l'hopital.
Autrement comme somnifères assez costauds en vente libre j'en connais un mais je ne sais pas si ce serait te rendre service de te le dire. Ton cas est quand même peu banal.
Amitiés
Bug Matriciel; Eternel Raver Nous vivons dans une projection informatique de triangulation holographique matricielle dont certains ont cracké le code...
La plus simple est évidente façon de le contrôler, c'est de ne plus croire pouvoir le contrôler. Le mental est bien comme le vent qui souffle et peut-on l'arrêter, l'attraper ou l'enfermer ? Non et c'est bien pour cela que le mieux est de le laisser souffler, car il vient de nulle part et ne va nulle part, sa nature est de souffler tout comme le mentale est celui de nommer et de décrypter les pensées. Les pensées sont comme le vent, elles n'ont pas de propriétaire, elles font partie du monde et jamais ne le quitteront. Elles viennent de nulle part et ne vont nulle part
A quoi sert la méditation ? Revenir à ce qui est A quoi sert le mantra ? Revenir à ce qui est A quoi sert la présence d'un maître ? Revenir à ce qui est A quoi servent les exercices de respiration ? Revenir à ce qui est A quoi sert le yoga ? Revenir à ce qui est
A quoi cela sert de revenir à ce qui est ? Seule la conscience est, et ses attributs sont l'amour et la paix. Depuis cet espace, le vent parait un jeu magnifique des éléments, qui ne gène nullement.
Lorsque j'enlève mes habits, je suis nu comme le vent. Quel délicieux spectacle que d'être soi, avec ou sans moi.
Merci pour tout vos conseils vous êtes adorables, en ce qui concerne les surdoses de médicaments évidemment que mon médecin n'est au courant de rien puisque je me fais prescrire tout ça par des copains internes dans un CHU. Toutes mes nuits sont devenues des moments d'angoisse, de peur viscérale de me coucher parce que je sais que je ne peux plus me passer de ses saletés et qu'elles ne font plus effet.
Dernière modification par CARLAFAIRY (10 avril 2016 à 00:57)
En fait l'insomnie peut venir de deux raisons principales. L'une qui est neurologique, avec un organisme qui ne sécrète pas les endorphines correctement et n'induit donc pas le sommeil, car c'est comme avec un anesthésique, dès qu'il est inoculé, l'endormissement est très rapide. Sinon, normalement c'est le corps qui va naturellement déclencher la sécrétion de mélatonine et c'est le gros dodo. D'où parfois la gueule dans le cul le matin car la drogue est toujours présente et n'a pas était entièrement assimilée.
La deuxième c'est un mental agité, c'est à dire que ton attention habituellement portée sur lui, va engendrer un tel flot de pensées, créatrices d'émotions, quelles vont empêcher l'endormissement par la sécrétion d'adrénaline par exemple. Si je repense au mec qui ma coupé la route en bagnole ce matin et qui m'a traité de grosse merde, la simple mémoire de cet évènement, va produire un bon nombre d'hormones de stress et mettre le corps en position de réactivité guerrière..
La solution pour la première problématique, est de consulter un spécialiste du sommeil, pour qu'il te prescrive une série de tests et voir si un traitement peut être plus adapté que toutes ces pilules devenues inefficaces.
La deuxième problématique peut se traiter avec des remèdes naturels, comme l'utilisation de techniques de relaxations, de méditations, de yoga différents, de répétition de mantra, de respirations cycliques contrôlées, de sophrologie, en fait tout ce qui pourra concentrer ton esprit sur l'espace contenant du mental et du mouvement des pensées et donc, des émotions qui agitent.
Tu as besoin de détente dans ta vie. Tu as raison de prendre au sérieux cette problématique, car le sommeil est primordial pour remettre les choses à zéro et repartir dans la fraicheur d'un jour nouveau.
Bien à toi
J'ai un test du sommeil programmé à l'hôpital le 25 mai, j'y passe la nuit et une partie de la journée du lendemain. Mais je ne sais pas si ils m'autoriseront à prendre mes médocs ou si ils me retireront tout d'où l'insomnie assurée.
Connaissant très bien 2 des molécules que tu as cité je suis sur le derrière que ça ne te fasse rien mais je sais (pour avoir abusé des fois) que si on en prend beaucoup en fait c'est l'effet inverse qui se produit. Il faut que tu vois un spécialiste, que tu fasses "une nuit de sommeil" à l'hopital.
Autrement comme somnifères assez costauds en vente libre j'en connais un mais je ne sais pas si ce serait te rendre service de te le dire. Ton cas est quand même peu banal.
Je vais surement passer pour le casse-couille de service, mais merci d'écrire en noir, car là , c'est illisible, obliger de surligner avec le curseur pour lire...
Plus on prend de benzo moins ils font effet ..en apparence du moins..car tu ne dors pas mais ton cerveau ne fonctionne plus normalement , tu ne peux plus lire , te concentrer, tu deviens nerveux voir irrascible , peu patient avec les autres ..tu peux avoir des trous de mémoire etc... Il vaudrait mieux reconsulter fs un centre du sommeil ou un spécialiste ... À quoi sont dûes ces prises ? D ou ça vient ?
Effectivement comme dit par Bibine, merci d'éviter d'écrire vos messages avec une autre couleur que le noir.
Ceci afin de faciliter la lecture de tous.
Merci également de ne pas écrire les sujets des messages en majuscule. Écrire en majuscule sur internet et par extension sur les forums, équivaut à crier.
(ou vouloir être sur qu'on verra bien son message, mais si tout le monde le fait, le forum et notamment sous sa forme mobile devient moins harmonieux visuellement)
Désolé d'être tatillon, mais cela fait partie des règles du forum.
Concernant ton problème, et spécifiquement le zolpidem.
En prendre plus de 2 comprimé ne sert à rien, si tu n'arrive pas à dormir, si ce n'est exploser ta tolérance et augmenter encore plus le problème.
Après que ce soit le zolpidem ou autre médicaments pour dormir.
Il faut toujours s'assurer de les prendre au moment du couché uniquement, quand tu te sent fatigué, dans le noir donc sans télé.
Après étant sujet à des problèmes de sommeils depuis très longtemps, mon soucis était uniquement pour à m'endormir. (impossible de mettre le cerveau en "off" en somme)
Pour d'autres c'est de dormir sans se réveiller, ou plus longtemps, etc.
Tu peux donc voir un spécialiste du sommeil, qui t'aidera à y voir plus clair.
Le zolpidem par exemple, aide surtout à "provoquer" l'endormissement, mais vu qu'il n'agit que 4h environ (et ceux même si on prend plusieurs, d'ou l'inutilité d'en prendre plus de 2 par jours. D'ailleurs c'est pourquoi aucun médecin n'en prescrira plus de 2/jours à un patient) pour les gens dont le problème est d'avoir une longue nuit réparatrice il n'est pas forcément indiqué.
De même qu'effectivement et comme dit précédemment tout ces médicaments ne doivent être pris que pour une courte durée (facile à dire j'en conviens vu que j'en suis à presque à 15 années d'utilisation )
Alors imagine avec ta tolérance du zolpidem qui comme moi est à son maximum, si tu cumule (moi je prends également 20mg de tranxene avec mes 2 zolpidem et 40mg dans la journée bref) les sevrages seront multiples et parfois pas de tout repos.
Je ne m'en préoccupe pas trop parce que j'ai la methadone comme objectif quand-même en tête.
Mais il faudra que j'y songe.
Et cela ne me tarde pas
Je crois qu'il y a une vidéo qui avait été posté, montrant les difficultés qu'on peut avoir à se défaire d'une bonne addiction au lexomil quand on fini par en prendre beaucoup.
CARLAFAIRY, Ne laisse personne arreter brutalement tes consommations, même à l'hopital. A ce niveau il y a un reel risque de sevrage grave (convulsions notamment). Ce qui suppose evidemment que tu informes les soignants. Toute baisse (souhaitable bien sûr) doit etre progressive. Je suppose que tes doses actuelles ne sont pas prescrites et qu'elles sont le résultat de tes efforts pour "résoudre le problème". Il faut donc que tu constates bien que manier ces produits sans avis médical peut conduire à de gros errements. Essaie donc à l'avenir de ne pas faire ta cuisine sans avis ni contrôle !! Tu ne dis rien de tes journées (travail, autres..) et tu n'as pas besoin de le faire ici mais c'est évidemment aussi un aspect important du problème. Amicalement (un autre casse couilles de service)
Dernière modification par prescripteur (10 avril 2016 à 09:41)
S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
Je pense qu'elle a mal pris l'histoire des majuscules etc... Carla y a dix personne qui essaient de t'aider et toi tu te focalises sur les deux qui te demandent d'arrêter les majuscules et couleurs car c'est dur de relire sur la version mobile, y a rien de méchant. Par contre ça montre que t'es a fleur de peau,très suceptible, rt que tu te focalises sur le mauvais sans voir le bon,surement que ça joue dans les insomnies. Tu claques la porte pour une petite remarque alors que 90% des messages sont là pour essayer de t'aider, tu crois que c'est pas insultant pour ceux qui ont donné de leur temps pour essayer de trouver une solution?
Amicalement, j'espère que tu trouveras une solution car j'ai aussi été insomniaque et c'est vraiment, vraiment horrible comme situation, on devient fou et on supporte plus rien.
L'héro c'est fabuleux mais quand t'arrêtes faut redécorer.
change de molécule genre neuroleptique, il n'y a pas de syndrome de sevrage avec les neuro et ça peut assommer un cheval..
Laisse tomber les benzo, avec ce que tu prends beaucoup serait déjà à l'hosto!!
Bonjour,
Vrai pour "assomer un cheval", faux pour l'absence de sevrage de la plupart des neuroleptiques. Puisqu'aux doses qui "assoment un cheval", la chimie du cerveau est déjà pas mal perturbée. L'usage de cette famille de médicaments peut être intéressant pour le sevrage des BZD, mais peut induire elle-même une forme de dépendance (certes moins forte, mais tout de même !), augmentant avec la durée de prescription, sans oublier les risques de syndrome malin ou de dyskinésie.
Dernière modification par BaranDrake (18 septembre 2016 à 18:25)
Bonjour, J'ai à peu près le même soucis... Mes médecins ne font pas attention (Comme si nous étions des pompes à frics et tant pis si nous sommes accros)
J'ai débuté par lexomil ... très mauvais souvenir on commence par 1 quart ... j'ai fini par avalé toute la boîte je ne dormais pas .... évidemment par contre quand je le suis rendu compte que c'était la boîte je suis aller me faire vomir...
Mon but n'est pas de mourrir mais de dormir ...
J'ai eu le stilnox par la suite .... Comment expliquer ... Je dormais du manière comateuse c'était dangereux et certains de mes ex attendaient que je les prennent pour pouvoir faire se qu'ils voulaient de moi ...
Mon psy m'en a prescrit un autre puisque maintenant il est considéré comme opiacés dur ....
Il m'a mise à l'imovane ... 7.5 mg dose dont j'ai lu que l'on donner aux personnes de 65 ans ... Sauf que 1 seul ne me suffit plus ...
J'ai beau demander un sevrage, le psy ne me considère pas comme prête .... en même temps le phénomène de rebond c'est pas top ... j'en ai pas envie mais si il faut passer par la ...
Je n'en peux vraiment plus de tout ces médicaments, de ce que ça implique... 9 ans ... Aucun de mon entourage me comprennent ils me disent juste d'arrêter mais si il savaient ....
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