Bonjour
Je suis en désaccord sur le fond et la forme sur pas mal de chose, résumé en deux points :
1) - Au niveau du ressentis, la
DMT (fumarate/hcl/freebase)
c'est très différent des plantes qui contiennent la
DMT 2)
DMT, un psychédélique
pour les débutants? Je pense que oui ! (donc fumée...on va éviter les injections pour un neophyte).
Avec un dosage faible, l'usager s'investis très peu et risque peu.
Attention
DMT n'est pas égal à mimosa (ou autres plantes contenant
dmt) car là on passe à"""" l'
Ayahuasca """""! De plus
les plantes impliquent une consommation orale ET un IMAO sinon ça ne marche pas. Or
DMT+IMAO= Trip très différent, "shamanique".
Attention sur la RDR => Effets secondaires, effets différents "+enthéogène".
La durée est plus importante que la dmt fiùée. dosage méconnue...
-Alors que
DMT pur en poudre pour fumer/vap' => facile à doser, pas les effets auss fortsi mentaux/profonds/enthéogènes des mélanges avec
IMAO... Il y en a, mais pas autant et sur une durée short. Pour moi , la
dmt fumée c'est avant tout visuel PUIS mental si on pousse le produit autrement qu'avec la première vitesse de la twingo.Alors qu'avec l'
imao voie oral, genre de l'harmal, la liane caapi on passe directement à la troisième vitesse avec nitro. Pour les souces
dmt : Mimosa.H ou la liane sacré.
Je dirais que le Mimosa et les autres plantes riches en
DMT sont
potentiellement plus traître que la DMT !
car
DMT= COURT trip , court effets post trip (ex fumée: trip dure quelques minutes puis on redescend quasiment clean ; oral = durée de plusieurs heures! et potentiellement autant visuel voir plus, en fonction du dosage , eh oui... attention!!)
Tout sera question de dosage, de la concentration de ton mimosa (il y a des vendeurs spécialisés, d'autres qui ont du faux mimosa hostilis/très peu concentré)
Sinon la
DMT comme premier hallucinogène?! Perso je pense que la
DMT fumée peut être excellente pour un néophyte, c'est surtout visuel et ça brasse pas énormément mentalement (fumée toujours, pas l'
ayahuasca).
A CONDITION de trouver un dosage faible/adaptée ! Perso je trouve que le
LSD ou pire le
LSA ,
Champis sont potentiellement plus badant... et ça dure. Alors que là on part pour même pas une demi heure de trip et le trauma sera aussi très court. Pour moi la
DMT fumée se rapproche de la
salvia, en moins chaotique et dark. Par contre si on pousse les dosages, le produit est potentiellement l'un des plus profond et fort.
Bref si un débutant ne se trompe pas et ne surdose pas, voir prend une dose de débutant sage et intelligent c'est à dire FAIBLE, je pense fermement que la
DMT est loin d'être le plus risqué des psychédéliques pour un débutant.
Moi même j'ai essayé la
DMT fumée vers 18ans et je m'attendais vraiment pas à ça et j'ai trouvé le truc très facile quoi.
On peut faire une extraction très simple du mimosa pour obtenir de la
DMT (fumarate,freebase,hydrochloride) et fumer le produit (ou se l'injecter? sauf la fumarate)
découvrir la
dmt ainsi permet de triper quelques minutes à peine.
Par contre par voie orale, grâce à l'
imao on peut digérer lentement la
dmt et avoir un trip très mental et très visuel. Certaines
ayahuasca manquent de
dmt et sont peu visuelles, ça dépend des dosages du shaman et ce n'est pas du mimosa bien entendu dans les recettes sudamericaine traditionnel c'est de la liane (plusieurs variétés) et le mimosa n'a pas de liane.... d'où les surnoms "liane sacré" etc qui entoure l'
ayahuasca/yagé
source wiki https://fr.wikipedia.org/wiki/Ayahuasca … n_végétaleSpoiler Composition végétaleDans un contexte traditionnel, l’ayahuasca est une décoction préparée à partir de l’écorce et des tiges d’une liane du genre Banisteriopsis et d’un additif nécessaire pour l’effet psychotrope. La composition du breuvage varie grandement selon les groupes ethniques. Deux espèces de Banisteriopsis sont particulièrement importantes : Banisteriopsis caapi et Banisteriopsis inebrians. Localement, on utilise parfois aussi Banisteriopsis quitensis, Mascagna glandulifera, Mascagna psilophylla, Tetrapteris methystica et Tetrapteris mucronata4. Toutes ces plantes sont de grosses lianes de la forêt appartenant à la même famille. Banisteriopsis caapi et Banisteriopsis inebrians sont souvent cultivées.Les additifs les plus courants sont des Rubiacées du genre Psychotria, particulièrement Psychotria viridis. D’autres espèces semblent également être employées, spécialement Psychotria leiocarpa ou Psychotria carthaginensis. Dans le nord-ouest de l’Amazonie, particulièrement dans le Putumayo colombien et en Équateur, les feuilles de Diplopterys cabrerana, une liane de la même famille que Banisteriopsis, sont ajoutées au breuvage à la place des feuilles de Psychotria4. Mais ces plantes possèdent le même alcaloïde et l’effet au niveau pharmacologique est le même.Plantes sources de ?-carbolines:Banisteriopsis caapi (Banisteriopsis) ;Banisteriopsis inebrians (Banisteriopsis) ;Banisteriopsis muricata (Banisteriopsis) ;Banisteriopsis quitensis ;Mascagna glandulifera ;Mascagna psilophylla ;Tetrapteris methystica ;Tetrapteris mucronata ;Peganum harmala (Zygophyllaceae) ou Rue de Syrie, bien que comportant les mêmes principes actifs IMAO que le Banisteriopsis caapi, n'est historiquement pas utilisée dans le breuvage, car elle est originaire des régions du sud de la Méditerranée, et non d'Amérique latine.Plantes sources de DMT:Psychotria viridis (Psychotria) ou chakruna en quechua ;Psychotria leiocarpa ;Psychotria carthaginensis ;Diplopterys cabrerana (synonyme : Banisteriopsis rusbyana) ;Mimosa hostilis (Jurema preta).En plus des deux constituants de base, il arrive aussi que l’on y mêle d’autres plantes pour en modifier les effets, selon le contexte magique, médical ou religieux dans lequel le breuvage doit être consommé. Des espèces appartenant à la famille des Solanaceae des genres Nicotiana, Brugmansia ou Brunfelsia peuvent être ajoutées. Ces Solanacées sont connues pour renfermer divers alcaloïdes tels la nicotine, l’atropine et la scopolamine affectant la neurotransmission adrénergique et cholinergique des systèmes nerveux central et périphérique. D’autres plantes comme Erythroxylum coca ou Ilex guayusa qui renferment cocaïne ou caféine sont aussi utilisées. Au total pas moins de 97 espèces de plantes sont susceptibles d'être mélangées à Banisteriopsis caapi8.Le breuvage de l'ayahuasca est divisé en sous-types dont les mélanges, les effets et les rituels d'utilisations varient d'une société amazonienne à l'autre. Au Pérou il existe par exemple différentes formes d'ayahuasca selon la couleur du breuvage : jaune, rouge, blanc, noir. Ces variations correspondent le plus souvent à l'addition ou non d'autres plantes psychotropes.Exemple :
Si on me met un revolver sur la tempe, et qu'on me dit :
"Tu vois cette personne extrêmement fragile psychologiquement et qui n'aimera jamais les psychédéliques?"
Grougrou:" Comment tu sais , t'es 'Mamie voyante' ou..?"
Jean Raclure : " Ferme là ! Soit tu lui donne [choix1], soit tu lui donne [choix2] et si tu coopères pas je vous tue tous les deux
Choix 1 : une dose moyenne de
DMT fumée
Choix 2 : une dose moyenne de
LSD OU de champignons OU de
LSA OU de
mescaline OU de DOx (doc/dom/doi, etc.) OU de
tryptamines synthétiques (4acodmt, etc.) OU de phénéthylamines (2CB, etc.) . . .
Et bien je choisirais le choix 1 car le temps qu'il monte, qu'il prenne sa claque et qu'il redescende, l'exposition au risque sera tellement courte et l'intensité pas assez suffisante pour un traumatisme psychologique entraînant des soins en psychiatrie ou autre.
Spoiler Pour le choix 2, idéalement de la salvia non extraite, c'est pas mal aussi après ça dépendra du trip car si il se tape un plateau important malgré la dose moyenne et qu'il se tape un SALVIA HOLE plateau 5 avec dieu , l'univers, le temps qui se dilate * chose classique avec la salvia* et il trip pendant 2semaines en ressentis -> il en ressortira moins indemne qu'une dose intermédiaire de dmt. A part si il se tape un trip dantesque de dmt mais bon..
merci pour votre lecture
mon message ne représente que mon avis personnel.
Cordialement
grougrou
Edit: à savoir sur le fonctionnement de l'
ayahuasca :
Spoiler Mode d'action des principales ?-carbolines: harmine, harmaline et tétrahydronaphtalineL’inhibition des monoamine oxydase (MAO), enzymes présentes chez l'humain et responsable de la dégradation de certains neurotransmetteurs, par les ?-carbolines fait augmenter les niveaux de sérotonine dans le cerveau en prévenant sa déamination et donc sa dégradation. À des concentrations élevés ces alcaloïdes exercent un effet psychoactif par eux-mêmes et pourraient contribuer à l’activité psychotrope du breuvage, cependant il n’est pas correct de caractériser les propriétés psychotropes des ?-carbolines comme hallucinogènes ou psychédéliques.Dans l’ayahuasca, l’action principale des ?-carbolines est l’inhibition des MAO-A périphériques, en particulier par l’harmine et l’harmaline dont la capacité inhibitrice est plus puissante21 protégeant ainsi le DMT de la dégradation périphérique, le rendant actif oralement en lui permettant d’atteindre les sites d’actions du système nerveux central sous une forme intacte. La tetrahydroharmine (TTH) ne semble pas jouer de rôle significatif dans l’inhibition des MAO, mais contribue probablement indirectement à l’activité neurologique en inhibant sensiblement la recapture de la sérotonine aux sites pré-synaptiques et dans les plaquettes22. En conséquence, la demi-vie du DMT est prolongée car le blocage de sa recapture intra-neuronale empêche son inactivation par les MAO localisées dans les mitochondries à l’intérieur des neurones. D’un autre côté, les hauts niveaux de sérotonine dans la fente synaptique, résultant de l’inhibition de la recapture par le THH, semblent également jouer un rôle par compétition avec le DMT pour la liaison aux sites récepteurs post-synaptiques.Mode d'action de la N,N-diméthyltryptamine (DMT)La DMT est un agoniste des récepteurs de la sérotonine, dont la structure s’apparente à ce neurotransmetteur. De manière identique à certains agents psychédéliques bien caractérisés tel le LSD et la mescaline, elle se lie sur le récepteur 5-hydroxytryptamine 2A (5-HT2A) dans le système nerveux central et provoque des modifications de perception de la réalité accompagnées d’images mentales complexes23. Ordinairement, la DMT est rapidement oxydée en un métabolite inactif par les MAO périphériques fonctionnelles. Pour cette raison, elle est inactive lorsqu’elle est absorbée oralement, même à des doses supérieures à 1000 mg24. Par voie parentérale, cependant, les effets commencent à se manifester à partir de 25 mg. Diverses méthodes d’administration parentérales sont employées par les usagers de DMT. Dans la société occidentale, de la DMT de synthèse sous forme de base libre est parfois fumée pour produire un épisode psychédélique intense de courte durée (5–15 minutes). L’effet est caractérisé par l’apparition d’images colorées en mouvement, observées les yeux fermés25. Les Indiens Yanomami préparent une poudre à priser à partir de plantes du genre Virola contenant de grande quantités de DMT et de dérivés tel la 5-MeO-DMT, elle aussi inactive par voie orale26.Cependant le breuvage ayahuasca est le seul psychédélique traditionnel qui utilise le principe d’une enzyme inhibitrice d’une plante pour faciliter l’activité d’une substance hallucinogène présente dans une autre plante. La découverte de cette association synergique par des indigènes vivant dans la forêt amazonienne a beaucoup intrigué nombre de scientifiques et anthropologues et continue encore de surprendre. Dans le texte que Richard Evans Schultes écrit, au milieu des années 1980, sur cette incroyable association, il conclut : « Cela reste une énigme27 ».PréparationComme sa composition, la préparation varie en fonction des groupes ethniques.Ainsi l'écorce est préparée en infusion dans de l'eau froide dans la partie extrême occidentale de l'Amazonie[réf. nécessaire] alors que dans d'autres endroits cette infusion se prépare par une longue ébullition des tiges et de l'écorce28. Dans le secteur de la haute Amazonie Péruvienne, à la liane Banisteriopsis Caapi sont ajoutées les feuilles d'une plante contenant de la diméthyltryptamine (en général Psychotria Viridis en masse égale à la liane). Le Caapi se présente sous la forme de tronçons de liane brun clair qu'il faudra écraser voire réduire en petits morceaux, pour augmenter la surface d'échange avec l'eau. Les plantes sont disposées dans un récipient qui sera rempli d'eau à hauteur d'une fois et demi le volume de plantes ; le récipient repose ensuite à couvert une nuit avant d'être chauffé à feu doux pendant 3 heures en remuant de temps en temps. Le liquide est filtré et récupéré alors que le matériel végétal subit deux ou trois autres cuissons supplémentaire. Après les cuissons le liquide de chaque extraction est rassemblé puis réduit à feu doux jusqu'à atteindre une texture brun foncé. C'est ce liquide qui sera ingéré lors des cérémonies[réf. nécessaire].EffetsL'ingestion d'ayahuasca qui est purgatif et hallucinogène entraîne une sorte d'ébriété (mareacion), avec des nausées et vomissements. En raison de son amertume, l'écorce fraîche est parfois chiquée ou réduite en poudre pour être prisée comme c'est le cas dans certaines parties de l'Orénoque. La prise de la plante se fait dans un cadre rituel, de préférence dirigé et contrôlé par un chaman. Lorsque l’ayahuasca est consommé en groupe dans un rituel, les vomissements sont considérés comme faisant partie de l’expérience.Les effets apparaissent rapidement après ingestion (à partir de 30 minutes) et se poursuivent pendant plusieurs heures. On distingue deux types d'effets : les effets psychotropes centraux et les effets périphériques.Effets psychotropes (centraux) apparition de phosphènes29 ; modifications de la perception, amplifications des perceptions auditives et visuelles28 ; hallucinations, incluant des visions multicolores en mouvement29,30 ; épisodes de « rêves »29 ; changements de la perception du soi et de la réalité: processus de pensée complexes et état général de prise de conscience30 ; sentiments de vigilance et de stimulation29 ; effets cognitifs non perceptuels: idéations intellectuelles et spirituelles31 ; expériences mystiques31 ;Les effets varient selon les méthodes de préparation, l’environnement, la quantité ingérée, le nombre et les types d’additifs, le propos de son utilisation et le contrôle cérémoniel exercé par le chaman.En une même cérémonie, les personnes présentes vivent des processus très différents. Selon l’anthropologue Kenneth M. Kensinger, qui entre juillet 1955 et août 1968, a passé plusieurs années de recherches linguistiques et ethnographiques parmi les Cashinahua du Pérou, c'est la pertinence entre les hallucinations et les actions individuelles qui pousse les participants a réitérer l'expérience de consommation, parfois désagréable et effrayante. Les Cashinahua boivent le yage pour apprendre sur les choses, les personnes et les évènements effacés par le temps et/ou l'espace et qui pourraient affecter la société entière32.Cet hallucinogène procure des « visions », interprétées comme des phénomènes de clairvoyance et souvent considérées par certaines sociétés amazoniennes comme plus réelles que le monde du quotidien33. Selon les Amérindiens, les visions sont généralement induites par le chaman; elles se présentent fréquemment, soit comme des scènes avec des animaux (jaguars, serpents) soit sous forme de paysages ou de villes34.De nombreux témoignages font état d'expérience mystique et de transformation des rapports avec le monde, sentiments forts éloignés d’une confusion mentale à l’égard des personnes, de l’espace ou du temps. C'est pourquoi l'ayahuasca est souvent qualifié comme enthéogène, adaptogène ou empathogène.Effets périphériquesLa consommation d'ayahuasca s'accompagne de différents effets périphériques physiologiques : accélération modérée du rythme cardiaque (5-15 bpm)29,30 ; augmentation de la fréquence respiratoire29,30 ; élévation de la pression sanguine (10 mmHg)29,30 ; dilatation de la pupille (mydriase)29,30 ; potentialisation des médicaments sérotoninergiques ;Chez la plupart des individus, l'ayahuasca cause des : nausées transitoires30 ; vomissements30 ; diarrhées 30 ;Il semble que les effets purgatifs soient toniques plutôt que toxiques. Ces effets sont probablement le résultat des niveaux élevés de sérotonine non métabolisés pendant la phase aigüe de l’expérience. Les vomissements, par exemple, résultent de l’augmentation de la stimulation vagale par le système sérotoninergique central, alors que l’augmentation de la sérotonine périphérique peut stimuler la motilité de l’intestin, provoquant des diarrhées30.Toxicité à court, moyen et long termePlusieurs cas de décès ont été rapportés suite à l'ingestion d'ayahuasca, comme Kyle Nolan, jeune anglais de 18 ans, mort au Pérou en 2012. Il aurait ingéré cette plante dans le cadre d'un rituel chamanique. Son décès serait dû à un mauvais dosage, établi par un soi-disant guérisseur. D'autres cas de décès ont été constatés, comme celui d'une touriste française de 43 ans, également au Pérou36. Cependant, la seule complication aiguë sérieusement documentée et publiée concerne l'interaction entre l'ayahuasca et certains ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine), prescrits dans la médecine occidentale comme antidépresseurs37. Le risque étant de voir survenir un syndrome sérotoninergique grave, évènement rare dont l'issue peut être fatale38.L'ensemble des études pharmacocinétiques et psychologiques conduites par des chercheurs de différents pays et pratiquées sur des sujets humains ont conclu que l'ayahuasca ne présentait pas de toxicité, ni aiguë, ni à long terme29,30,39,40. L'ayahuasca est de plus reconnue comme non addictive.Dès lors, s'il n’est pas possible de parler de toxicité de l’ayahuasca à ce jour, il existe cependant des cas moins documentés ou plus rares de complications proches du trouble de stress post-traumatique1 entrainés par l'intensité parfois surprenante du "voyage intérieur".source :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ayahuasca … naphtaline
Dernière modification par groovie (26 mai 2018 à 20:55)