Yop !
Je pense savoir, puisque j’ai été confronter à une situation en certain point similaire.
C’est bien malheureux, mais pour certains addicto plutôt vieille école, ou en tout cas fermer à une approche
RdR de leur pratique, peuvent considérer qu’injecter, ou snifer son ttt est, et là je cite ce que le mien m’avait dit
« Une contrindication majeur à la prescription de
subutex » et comme je ne voulais pas de
méthadone, je me suis donc vu prescrire du
suboxone (c’etait Avant la sortie d’orobupré)
Alors peut être que je me trompe mais je dirais que ce médecin a suivi le même genre de raisonnement ! selon moi particulièrement contre productif d’ailleurs
Mais plutôt que de prescrire orobupré qui pourrait aider à se détacher du
sniff pour le patient, à son rythme etc
Il a préférer un médoc qui « empêche » le
sniff (bien que ce soit faux d’ailleurs la
suboxone s’injecte et se
sniff sans problème)
Peut être que je me trompe, mais je n’vois pas vmt d’autre raison; il y’a une différence de remboursement, orobupré n’etant Pris en charge par la sécu qu’a 30% mais j’imagine que tu aurais précisé si le problème pouvait éventuellement venir de la
En tout cas ce genre de principe, qui consiste à imposé un médicament afin d’empecher Une pratique, est je pense un excellent moyen de mener le suivi vers un échec, voir un abandon des soins ...
et voir ça en
csapa en 2019, c’est franchement triste/décevant/révoltant
Zaz