La créativité et les drogues

Chouette, cette petite vidéo de France Cu que je visionne en prenant mon café du matin... Bonjour Janis.

J'y ai appris que "grâce à la frénésie apportée par la cocaïne, Robert Louis Stevenson aurait écrit en 6 jours et 6 nuits les 60000 mots de son récit d'épouvante", L'étrange cas du docteur Jekyll et de Mr Hyde. Ce récit me parle beaucoup, et je ne suis certainement pas la seule, ayant toujours été surprise et parfois horrifiée par l'existence de deux personnes aussi antagonistes en moi.

Note : tu m'étonnes qu'en 1886, qui fût aussi l'année de l'invention du Coca-Cola, la cocaïne devait être pure de chez pur !

Dernière modification par Anonyme Acculée (15 octobre 2019 à  10:30)

Cosmococcyque a écrit

Sur le sujet des liens féconds entre substances psychoactives et littérature, il y a un énorme ouvrage qui a été publié il y a peu et dont j'ai entendu parler à la radio : Ecrits Stupéfiants, de Cécile Guilbert

Je ne me le suis pas encore procuré, je ne saurais donc émettre de critique - bonne ou mauvaise - mais celles que j'ai pu entendre étaient plutôt positives. Après, ce n'est pas un roman ou un essai, plutôt une oeuvre encyclopédique de référence (plus de 1300 pages)...

Merci pour la référence, il est sorti en septembre.

sud 2 france a écrit

Hello, j'ai lu le livre donc, Dr Jekyl and Mr Hide; et on croirait lire l'histoire de quelqu'un qui sombre petit à petit dans le produit, avec les périodes de révolte "non je ne veux pas en devenir esclave", et de faiblesse.
LE premier roman parlant de toxicomanie mais par une voie détournée. Facilement lisible, je recommande.

Bien, hein !?

Dernière modification par Anonyme Acculée (15 octobre 2019 à  23:42)