Sevrage Oxycodone, Xanax IR/ER, Truxal. Rechutant, seule et désespérée
Publié par Kayla3213,
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TL;DR : Déprimée, en galère et je ne sais pas comment résumer tout ça.
Bonsoir PsychoActif,
Je fais ce post, dans l'espoir pratiquement ultime de trouver une solution qui m'aurait échappée.
J'ai 25 ans et je suis tombée dans les drogues assez sérieusement (polytoxicomanie) depuis mes 19-20 ans et ensuite plus spécifiquement dans l'oxycodone depuis maintenant 2 ans.
J'entreprends un sevrage de plusieurs substances (oxycodone et xanax, principalement) depuis maintenant bientôt 7 mois, en suivant les conseils de mes médecins complètement dépacés par la situation.
Après avoir réussi à arrêter l'oxycodone complètement pendant 1 mois, grâce au Xanax, Truxal et une armée insensée d'autres médicaments tous préscrits par mon, maintenant ancien, psychiatre, pour une raison que même lui ignore sûrement, je me retrouve à devoir effectuer un sevrage de benzodiazépines, mon psychiatre m'ayant donné des doses trop élevées pendant trop longtemps de plusieurs benzodiazépines, entre autres. J'ai aussi eu une très mauvaise réaction à des hautes doses d'Atarax et/ou de distraneurin; ma peau pelait, ils ne sont donc plus une option. Et bien d'autres encore, mais je vous épargne l'AVC de lire la liste complète des médicaments et de mes overdoses et autres aventures associées à ce "médecin" incompétent et abusant de sa situation.. mais bref.
Mon généraliste, quant à lui, complètement perdu, refusait de me donner une aide pour arrêter le Xanax (j'étais à plus de 30-40mg par jour) avant de ne pas avoir arrêté plusieurs substances. J'ai donc dû "cold turkey" mes neuroleptiques et descendre de plus de 30mg de Xanax par jour avant de pouvoir avoir une aide. Et le problème est que mon médecin généraliste refuse de me donner une autre aide que de l'Oxycodone pour terminer ce sevrage... (je crois que vous commencez à comprendre mon problème si vous me lisez encore)
Me retrouvant donc dans cette boucle et n'arrivant pas à convaincre mes médecins d'essayer d'autres traitements, je ne sais plus ce que je pourrais leur proposer.. Je retombe rapidement dans l'addiction à l'oxycodone, étant trop faible pour contrôler mes pulsions de croquer les pilules pour les rendre instantanées quand il s'agit d'oxycodone et de respecter les doses prescrites. Les doses quotidiennes, ma depression et la haine envers moi-même de ne pas réussir à me contrôler, augmentent très très rapidement.
De plus, je souffre de, ce que je décrirais comme "état de psychose induit par les drogues" lorsque je suis en sevrage d'oxycodone, me semble-t-il (les médecins ne savent pas la cause exacte...), de tremblements, d'hallucinations, restless legs, etc lorsque j'essaie de m'endormir, me forçant à devoir prendre du Truxal. (Venlaflaxine 250mg, Xanax 2x2mg retard, xanax 2x0.5mg instant de fixe par jour, les doses d'oxycodone explosant de jour en jour et le truxal variant).
En temps "normal", lorsque je faisais un sevrage, lorsque je prenais encore des drogues non-prescrites, j'arrêtais brusquement la substance en question, pour la remplacer pendant ~7 jours par du Xanax et/ou Cannabis ou par de l'adderall. Mon psychiatre m'ayant donné la liste entière des médicaments qu'il connait depuis son entrée à l'université, je ne vois pas d'autre solution que quelque chose comme de l'adderall.. Ou peut-être y aller "cold turkey" et de pousser un peu les doses de truxal pour essayer de "m'assomer" en gardant un Xanax retard/jour, je ne sais plus..
En espérant n'ayant pas été trop longue à décrire ma situation; Merci d'avance pour vos réponses.
P.S : Voulant éviter un internement qui serait néfaste pour mon état mental de par mon passé (je passe les détails) et ma "situation", ayant 25 ans et étant mannequin, mes troubles anxieux généralisés, et dans ce cas, plus spécifiques, seraient très compliqués à gérer dans un établissement psychiatrique où je ne peux pas fermer la porte de ma chambre à clef... Voilà pourquoi, entre autres raisons, j'essaie d'éviter de me retrouver internée, sauf si je n'ai vraiment absolument plus le choix, voulant éviter de potentielles situations de se reproduire.
Bonsoir PsychoActif,
Je fais ce post, dans l'espoir pratiquement ultime de trouver une solution qui m'aurait échappée.
J'ai 25 ans et je suis tombée dans les drogues assez sérieusement (polytoxicomanie) depuis mes 19-20 ans et ensuite plus spécifiquement dans l'oxycodone depuis maintenant 2 ans.
J'entreprends un sevrage de plusieurs substances (oxycodone et xanax, principalement) depuis maintenant bientôt 7 mois, en suivant les conseils de mes médecins complètement dépacés par la situation.
Après avoir réussi à arrêter l'oxycodone complètement pendant 1 mois, grâce au Xanax, Truxal et une armée insensée d'autres médicaments tous préscrits par mon, maintenant ancien, psychiatre, pour une raison que même lui ignore sûrement, je me retrouve à devoir effectuer un sevrage de benzodiazépines, mon psychiatre m'ayant donné des doses trop élevées pendant trop longtemps de plusieurs benzodiazépines, entre autres. J'ai aussi eu une très mauvaise réaction à des hautes doses d'Atarax et/ou de distraneurin; ma peau pelait, ils ne sont donc plus une option. Et bien d'autres encore, mais je vous épargne l'AVC de lire la liste complète des médicaments et de mes overdoses et autres aventures associées à ce "médecin" incompétent et abusant de sa situation.. mais bref.
Mon généraliste, quant à lui, complètement perdu, refusait de me donner une aide pour arrêter le Xanax (j'étais à plus de 30-40mg par jour) avant de ne pas avoir arrêté plusieurs substances. J'ai donc dû "cold turkey" mes neuroleptiques et descendre de plus de 30mg de Xanax par jour avant de pouvoir avoir une aide. Et le problème est que mon médecin généraliste refuse de me donner une autre aide que de l'Oxycodone pour terminer ce sevrage... (je crois que vous commencez à comprendre mon problème si vous me lisez encore)
Me retrouvant donc dans cette boucle et n'arrivant pas à convaincre mes médecins d'essayer d'autres traitements, je ne sais plus ce que je pourrais leur proposer.. Je retombe rapidement dans l'addiction à l'oxycodone, étant trop faible pour contrôler mes pulsions de croquer les pilules pour les rendre instantanées quand il s'agit d'oxycodone et de respecter les doses prescrites. Les doses quotidiennes, ma depression et la haine envers moi-même de ne pas réussir à me contrôler, augmentent très très rapidement.
De plus, je souffre de, ce que je décrirais comme "état de psychose induit par les drogues" lorsque je suis en sevrage d'oxycodone, me semble-t-il (les médecins ne savent pas la cause exacte...), de tremblements, d'hallucinations, restless legs, etc lorsque j'essaie de m'endormir, me forçant à devoir prendre du Truxal. (Venlaflaxine 250mg, Xanax 2x2mg retard, xanax 2x0.5mg instant de fixe par jour, les doses d'oxycodone explosant de jour en jour et le truxal variant).
En temps "normal", lorsque je faisais un sevrage, lorsque je prenais encore des drogues non-prescrites, j'arrêtais brusquement la substance en question, pour la remplacer pendant ~7 jours par du Xanax et/ou Cannabis ou par de l'adderall. Mon psychiatre m'ayant donné la liste entière des médicaments qu'il connait depuis son entrée à l'université, je ne vois pas d'autre solution que quelque chose comme de l'adderall.. Ou peut-être y aller "cold turkey" et de pousser un peu les doses de truxal pour essayer de "m'assomer" en gardant un Xanax retard/jour, je ne sais plus..
En espérant n'ayant pas été trop longue à décrire ma situation; Merci d'avance pour vos réponses.
P.S : Voulant éviter un internement qui serait néfaste pour mon état mental de par mon passé (je passe les détails) et ma "situation", ayant 25 ans et étant mannequin, mes troubles anxieux généralisés, et dans ce cas, plus spécifiques, seraient très compliqués à gérer dans un établissement psychiatrique où je ne peux pas fermer la porte de ma chambre à clef... Voilà pourquoi, entre autres raisons, j'essaie d'éviter de me retrouver internée, sauf si je n'ai vraiment absolument plus le choix, voulant éviter de potentielles situations de se reproduire.
Dernière modification par Kayla3213 (12 novembre 2021 à 06:33)
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Bonjour, tu ne parles pas de CSAPA ou de medecin addictologue (ou equivalent si tu n'es pas en France). Je pense que ce serait bien d'en voir un. Pour les opiacés la premiere ligne c'est buprenorphine ou Methadone. L'oxycontin est plus difficile à gerer.
Amicalement
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (12 novembre 2021 à 08:17)
S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
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Salut,
Effectivement tu te classes comme polytoxico, mais de ce que tu racontes c'est avant tout des médecins pas très competant s à la prescription facile sans savoir trop où ils vont.
Je ne peux pas te donner de conseil médical, mais je peux te dire ce qui m'a dit mon addicto :
À son avis, il vaut mieux pas se précipiter dans un sevrage. C'est le bon moment ? C'est ce qu'on veut ? C'est le bon produit ?
Car pour ne pas se précipiter, l'addicto me conseille d'arreter un produit à la fois et pas de vouloir tout arrêter d'un coup...
Pour les opiacés à l'effet rapide (ex héro mais aussi oxy), il m'a conseillé de passer sur une molécule LP pour être stabilisé, ne pas sentir de rush qui mènent à la surconso (et ça peut être les molécules typiques des tso ou du dicodin pour moi) mais ne pas en chier non plus. Une fois stabilisé pouvoir descendre petit à petit...
Pour les benzo sincèrement je ne sais pas, ça a l'air bien galère...mais si le forum il u a des protocoles de sevrage doux et progressif. Et pareil souvent j'ai vu switcher sur des molécules à la demie vie longue (valium/lisanxya) pour diminuer doucement (voire même avec des gouttes).
Bref, à mon avis déjà ne culpabisise pas.
Demande toi si tu veux arrêter et pourquoi...et si tu veux arrêter, quoi tu veux arrêter en premier (après t'es pas forcément obligé d'arrêter, surtout si t'arrives à être stabilisé avec des molécules LP/longue demi vie)...ne précipités pas et ne te fais pas mettre la pression par les médecins qui t'on écrit des médocs qu'ils ne connaissaient pas vraiment
Bon courage et bonne continuation au cas où
Effectivement tu te classes comme polytoxico, mais de ce que tu racontes c'est avant tout des médecins pas très competant s à la prescription facile sans savoir trop où ils vont.
Je ne peux pas te donner de conseil médical, mais je peux te dire ce qui m'a dit mon addicto :
À son avis, il vaut mieux pas se précipiter dans un sevrage. C'est le bon moment ? C'est ce qu'on veut ? C'est le bon produit ?
Car pour ne pas se précipiter, l'addicto me conseille d'arreter un produit à la fois et pas de vouloir tout arrêter d'un coup...
Pour les opiacés à l'effet rapide (ex héro mais aussi oxy), il m'a conseillé de passer sur une molécule LP pour être stabilisé, ne pas sentir de rush qui mènent à la surconso (et ça peut être les molécules typiques des tso ou du dicodin pour moi) mais ne pas en chier non plus. Une fois stabilisé pouvoir descendre petit à petit...
Pour les benzo sincèrement je ne sais pas, ça a l'air bien galère...mais si le forum il u a des protocoles de sevrage doux et progressif. Et pareil souvent j'ai vu switcher sur des molécules à la demie vie longue (valium/lisanxya) pour diminuer doucement (voire même avec des gouttes).
Bref, à mon avis déjà ne culpabisise pas.
Demande toi si tu veux arrêter et pourquoi...et si tu veux arrêter, quoi tu veux arrêter en premier (après t'es pas forcément obligé d'arrêter, surtout si t'arrives à être stabilisé avec des molécules LP/longue demi vie)...ne précipités pas et ne te fais pas mettre la pression par les médecins qui t'on écrit des médocs qu'ils ne connaissaient pas vraiment
Bon courage et bonne continuation au cas où
fugu kuwanu hito niwa iwaji
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- Stelli
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Ouep, il te faut absolument un médecin spécialisé dans les troubles addictifs, donc un addictologue, ou un médecin d’un centre spécialisé dans le traitement des addictions (CSAPA en France).
Et ok aussi que tout arrêter d’un c’est aller dans le mur... il vaut mieux arrêter les prods un par un, en commençant par ex par celui qui pose le plus problème au quotidien, ou par le plus simple à arrêter par ex.
Déjà stop la culpabilité. Tu en es là en partie à cause de médecins incompétents dans ce domaine, et qui n’ont pas su passer la main à un spécialiste. Tu ne peux plus jouer les cobayes, ta santé est trop importante pour la laisser entre les mains de ceux qui ne savent pas ce qu’ils font.
Où vis-tu? En France? Autre pays? Ça pourrait nous aider à t’orienter.
Courage. Essaie juste pour commencer de limiter les dégâts, et dis-toi que tout ça n’est pas une fatalité. Avec les bonnes personnes et les bons outils, tu peux retrouver un équilibre (avec ou sans produits, l’essentiel c’est de te sentir mieux!).
Et ok aussi que tout arrêter d’un c’est aller dans le mur... il vaut mieux arrêter les prods un par un, en commençant par ex par celui qui pose le plus problème au quotidien, ou par le plus simple à arrêter par ex.
Déjà stop la culpabilité. Tu en es là en partie à cause de médecins incompétents dans ce domaine, et qui n’ont pas su passer la main à un spécialiste. Tu ne peux plus jouer les cobayes, ta santé est trop importante pour la laisser entre les mains de ceux qui ne savent pas ce qu’ils font.
Où vis-tu? En France? Autre pays? Ça pourrait nous aider à t’orienter.
Courage. Essaie juste pour commencer de limiter les dégâts, et dis-toi que tout ça n’est pas une fatalité. Avec les bonnes personnes et les bons outils, tu peux retrouver un équilibre (avec ou sans produits, l’essentiel c’est de te sentir mieux!).
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Bonsoir,
Tout d'abord, merci pour vos réponses.
Pour répondre à vos questions, je vis en Suisse. J'ai maintenant coupé les Xanax instantanés, me limitant donc aux 2 retards, et à de l'Oxycodone (ne prenant plus de Truxal non plus).
Serait-il possible de faire cela un peu "à la dure". Donc de couper l'Oxycodone (40/50mg par jour, à la place de 20/30mg de la prescription, n'arrivant pas à ne pas le détourner) et les Xanax retard restants en remplaçant le tout pendant ~10 jours par une substance capable de "m'assomer", comme le Truxal, par exemple.
Si oui, quelle substance recommendez-vous ? N'aimant pas les neuroleptiques et ne voulant pas prendre de poids si je devais dépasser les 10 jours (étant mannequin, je ne peux pas me le permettre) je me demandais si quelque chose d'autre que je n'ai pas déjà essayé existait. Atarax, Distraneurin, Lorazepam, Alprazolam (Xanax), Venlaflaxine, Truxal.. ayant eu des effets secondaires relativement graves avec l'Atarax, Distraneurin et Truxal (sur le long terme concernant le truxal). Les barbituriques ont une cross-tolerance avec les benzodiazépines et ne sont donc pas une option pour en finir avec l'addiction aux benzodiazépines. Ou alors ai-je tord concernant les barbituriques ?
Merci d'avance <3
Tout d'abord, merci pour vos réponses.
Pour répondre à vos questions, je vis en Suisse. J'ai maintenant coupé les Xanax instantanés, me limitant donc aux 2 retards, et à de l'Oxycodone (ne prenant plus de Truxal non plus).
Serait-il possible de faire cela un peu "à la dure". Donc de couper l'Oxycodone (40/50mg par jour, à la place de 20/30mg de la prescription, n'arrivant pas à ne pas le détourner) et les Xanax retard restants en remplaçant le tout pendant ~10 jours par une substance capable de "m'assomer", comme le Truxal, par exemple.
Si oui, quelle substance recommendez-vous ? N'aimant pas les neuroleptiques et ne voulant pas prendre de poids si je devais dépasser les 10 jours (étant mannequin, je ne peux pas me le permettre) je me demandais si quelque chose d'autre que je n'ai pas déjà essayé existait. Atarax, Distraneurin, Lorazepam, Alprazolam (Xanax), Venlaflaxine, Truxal.. ayant eu des effets secondaires relativement graves avec l'Atarax, Distraneurin et Truxal (sur le long terme concernant le truxal). Les barbituriques ont une cross-tolerance avec les benzodiazépines et ne sont donc pas une option pour en finir avec l'addiction aux benzodiazépines. Ou alors ai-je tord concernant les barbituriques ?
Merci d'avance <3
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Bonjour, les barbituriques ne sont pas en effet une option pertinente, car ils risquent d'etre inefficaces , de donner des effets négatifs, et de déboucher sur une addiction encore pire.
Telle que tu décris la cuisine que tu envisages, tu prends de forts risques de ne pas y arriver et en plus de faire des degats, y compris OD. L'aide d'un médecin est donc AMHA indispensable, mais peut se faire sans hospitalisation. Amicalement
Telle que tu décris la cuisine que tu envisages, tu prends de forts risques de ne pas y arriver et en plus de faire des degats, y compris OD. L'aide d'un médecin est donc AMHA indispensable, mais peut se faire sans hospitalisation. Amicalement
Dernière modification par prescripteur (18 novembre 2021 à 08:17)
S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
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je suis à peu près dans la même situation, même âge, même problèmes, sans les neuroleptiques et avec 8 fois plus d'oxy, parcontre le xanax ne me pose pas trop de soucis, j'ai déjà réussi à arrêter mais j'en ai souvent besoin pour l'angoisse. je vais bientôt voir un addictologue car les médecins généralistes et psychiatres ont plus tendance à empirer le problème qu'à m'aider à le régler. je vais quand même voir un nouveau psychiatre pour voir, sinon je me dirigerais plus vers un psychologue spécialisé dans les addictions (j'ai vu une super psychologue mais elle n'y connaissait rien dans ce domaine malheureusement)
Pour le sevrage, évite les sevrages trop rapides, les rechutes sont beaucoup plus courantes, le meilleur moyen est de diminuer petit à petit, mais il faut apprendre a gérer les consommations impulsives (c'est ça qui m'empêche de diminuer pour l'instant, d'ou le projet addicto + nouveau psychiatre, je sais pas si ça va fonctionner mais il faut essayer sinon je vais juste sombrer encore plus)
en tout cas essaie d'être bien entourée au niveau médical, n'hésite pas à changer de médecins, c'est ton droit, et même ton devoir quand ils deviennent néfastes, ce qui a l'air d'être ton cas
courage
Pour le sevrage, évite les sevrages trop rapides, les rechutes sont beaucoup plus courantes, le meilleur moyen est de diminuer petit à petit, mais il faut apprendre a gérer les consommations impulsives (c'est ça qui m'empêche de diminuer pour l'instant, d'ou le projet addicto + nouveau psychiatre, je sais pas si ça va fonctionner mais il faut essayer sinon je vais juste sombrer encore plus)
en tout cas essaie d'être bien entourée au niveau médical, n'hésite pas à changer de médecins, c'est ton droit, et même ton devoir quand ils deviennent néfastes, ce qui a l'air d'être ton cas
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