Le marketing de la
coke….
J’ai connu les daubes mal coupées, produisant des
descentes horribles et d’autres montrant quelque part d’autres versions du produit, au point d’en arriver à ne plus voir la
coke comme une truc unique mais possédant des variations de qualité mais seulement au niveau de la
coupe ou pas. Donc Bonne
coke : peu ou pas coupée, coupée avec des prods aux effets non délétères (comme la sociale).
Je me demande même si la pureté n'est pas parfois une obsession, et des mélanges seraient même gages de meilleurs
cokes (comme un cocktail).
Les dealer d’aujourd’hui ne sont plus ceux des années 2000, grosse capacité à enrober leur produit de repères et soucieux du qualitatif (surtout sur le DM).
Vient ce marketing d’aujourd’hui où la question d’avoir de la
coke directement du bloc ne se pose plus (les multiples écailles etc un peu surfait). Le qualitatif sera sur l’origine du bloc et précisant que ça varie (qu’ils n’y peuvent rien). Donc ils te promettent un morceau du bloc. Et ce bloc sera plus ou moins bons.
Je n’ai pas suffisamment de savoir sur ces variations (qualité de la coca ? Qualité de la transformation ? Des agglomérants ?)
Arrive ces
coke marketées « végétales ». Je les connaissais et si au test chimique elles étaient à quasi 90%, la texture, l’intensité, et les lendemains étaient parfaits. Avec 1g, tu doublais sans hésiter le rapport. Soit valant un 2 grammes de « classique ». Vendues plus chère 100 euros.
Mais c’est quoi une
coke végétale ? Limite certains te parlent de bio (avec du kerozen bio ?)
Viennent ensuite l’origine, la péruvienne, la bolivienne.
J’avoue que les produits sont très correctes (presque doux, effet plus équilibré, mais pas de montée puissante), mais un peu dubitatifs sur cette réalité.
J’ai eu un dealer sur le DM qui m’a proposé 3
cokes pour tester deux boliviennes, une péruvienne) . Pas la même texture pour les trois et je n’ai pas eu la capacité de différencier. Parce qu’une fois lancé, il faut rester sur la même (pas comme du vin), et les lendemains dépendent aussi des jours précédents (effets moindre, accoutumance etc). Seules qualités évidentes : hyper agréables et très neigeuses. Et pas besoin de gros traits. Une pub aurait dît "le plaisir du
sniff" avec une femme en voilage.
Un pote lui, gros conso, me parle du produit comme pour du pinard, Il préfère telle
coke pour travailler, et telle autre pour les soirées, kiffe la peruvienne... me balancent que les colombiennes sont beaucoup plus
speed.
Seules certitudes : une bon
coke ne produit pas de
descente, et les lendemains sont faciles, le nez n’est pas surchargé. Seule une fatigue très gérable est présente.
Les
coke de merde : il faut taper de gros traits, des
descentes désagréables, des effets de plus en plus courts et des lendemains difficiles.
Question : avez -vous cette capacité à distinguer ces qualités ?