[ Expériences ]

TR: Decouverte des bienfaits du 3-MMC et du 4-MMC après une session de crack

Bonjour à vous,

Sachez d'avance que si quelques confusions apparaissent dans ce TR, cela est involontaire, car au moment de sa rédaction je suis encore sous prods.

- Début de session 13h30
---- 0.5 crack
---- 750mg de 3-MMC
---- 600mg de 4-MMC
---- 30 clopes
---- 2 bière 8,6
---- 9mg de bromazepam
- Fin de Session "A définir"

Une rapide présentation:
- Homme de 42ans, 1m72, 62kg, célibataire de nature solitaire ayant pris la mauvaise habitude de vivre ces addictions seul.
- De mes 5 ans à mes 19 ans, je suis addict au sport individuel.
- De mes 19 ans à mes 28 ans, je suis addict au cannabis.
- De mes 23 ans à mes 31 ans, je suis addict à l'acool.
- De mes 20 ans à mes 31 ans, je suis addict au tabac.
- De mes 31 ans à mes 36, je suis parfaitement abstinent de tout toxique.
- De mes 36 ans à 41 ans, je developpé un tabagisme et un alcoolisme chronique.
- A partir de Janvier 2023, je replonge dans le shit, mais je me débarasse de l'alcool.
- A partir de Juin 2023, je deviens accros au crack fumant au moins une dizaine de pipe par jours, je découvre aussi les Taz, le popper, et le sel de cocaïne.
- A partir de mi-Aout 2023, comprenant que le crack, c'est pas jolie, jolie, j'entreprend et réussit un sevrage de 10 semaines, à l'aide de benzo et de sport.

Le premier Novembre je rechute et retombe dans le crack à hauteur d'une session par semaine. Effet domino, comme la descente de crack est brutal, 7 jours sans fumer de galette, délai séparant deux sessions successives, alors tous mes précédentes addictions viennent combler les vides, cannabis, alcool, tabac et benzo. Me voilà, polytoxicomane!

A partir de là fasciné par le bordel que fout le crack dans ma vie, et sachant qu'il nexiste pas de traitement de substitution, je me décide de vous lire afin de découvrir de nouvelle drogue, ainsi que des stratégies pour survivre aux addictions et in fine de me débarasser de ce caillou maudit.

De fils en aiguille, je décide il y a une semaine, via un ami, de me faire commander:
- 1g de 4-MMC
- 1g de 3-MMC
- 0.5 d'une coke premium (péruvienne à 93% lab tested).

Ce Lundi, j'ouvre ma boîte aux lettres et oh surprise du destin, les trois prods sont arrivées en même temps.
J'établie donc le plan suivant:
- Là, je cuisine la coke et la fume.
- Mardi, je test la 4-MMC
- Mercredi, je test le 3-MMC

Ok, c'est parti:
- 13h00, début de la cuisine
- 13h30 le cailloux est prêt, j'y vais mollo, la coke est surpuissante et délicieuse je savoure. Mais voilà, un cracker comme moi ne peut pas s'arrêter tant qu'il y a du produit. Je n'arrive pas à dominer les troubles compulsif qui se manifeste en amonts de la descente.
- 18h00, Au milieu, de la séance je prend 3mg de bromazepan.
- 22h30 fin de la session de crack, pendant l'heure qui suit je suis incapable de penser à autre chose qu'a refumer du crack, encore et toujours ces toc. C'est pénible me voilà transformé en un cracker agité, jouant à la chasse au trésor. Quelle infâmie! Le crack fait de moi une bête.
- 23h30, Au diable le plan de départ, le craving me rend fou, je décide de me faire un rail de 100mg de 4-MMC; ma narine droite subit un viol.
- 00h00, Je ressent pas d'effet immédiat mais constate que le craving du crack a disparût, toutes les pensées intrusives et obsessionnelles, toutes mes raideurs musclaire et mes agitations irrationnelles se sont volatilisées. Je me sent serein, reposé mais je reste frustré par cette demi-victoire. Où est donc le rush de bonheur promis par la 4-MMC. Ne voulant pas en rester là, je décide de m'envoyer un nouveau rail de 150mg de 4-MMC.
- 00h30, J'ai froid, mes mains sont moîtes, je transpire, ma peau est chaude, mon coeur bat la chamade. Mais pas de rush de serotonine. Pas d'effet MDMA, elle est où ma vague de bonneur????
- 01h00, A la recherche du bonheur chimique, déçu de la 4-MMC, je me mets un rail de 150 mg de 3-MMC, la monté est limpide, je plane enfin.
- 01h30, Je suis sur un nuage, la 4-MMC avait annulé les souffrances de ma descente de crack, plus de toc, cependant j'avais pas eu droit à son elixir et en lieu et place j'ai gouté certains de ces effets secondaires (je transpire toujours, j'ai chaud et en même temps je frissonne de froid, mes main sont bleu et moites). Maintenant la 3-MMC annule les effets secondaires de la 4-MMC et m'offre un rush de bonheur, je sent naitre en moi une félicité, ça picotte dans le caleçon, j'ai envie de prendre des gens dans mes bras, sauf que je suis seul. Je me pose sur mon canapé et la je me dit "j'ai envie d'un calin et de faire dodo".
- 02h00, Finalement, sans personne pour me faire un calin, je refuser de céder à morphé et décide de profiter un maximun de cet état de bonheur et de le savourer, donc je reprend un rail 150 mg 3-MMC. 
- 02h30, je me surpend à être incroyablement actifs, je lis partiquement tous les thread sur les Rc, en particulier ceux à propos des molécules 3-MMC et 4-MMC. Depuis ma rechute dans le crack, ma motivation était à zéro et j'avais du mal à me focus sur des tâches "cérébral" (lire, écire, dessiner ...), si bien que ma situation n'avancée pas, enfoiré de crackinou toujours à me mettre des batons dans les roues.
- 03h00, je vais m'acheter 2 bieres 86 et des clopes, je sens que le run va durer et je veux en profiter au maximum. Les cigarettes ont bon goûts, je fume plus par plaisr que par manie. De l'alcool j'attend une douce euphorie et un effet myorelaxant.
- 03h30, mon focus est intense, je me sens renaître, je dévore les discussion et témoignage sur le forum. Et, je me dit "Allez, elle le mérite bien, met toi un petit rail de 100mg de 3-MMC". Je sens la monté, c'est plus timide. Mon corps accuse la séance de crack, il est fatigué, je fais un peu de tachycardie, mes battements se stabiliseront dans les 3 prochaines heures autour de 120 bpm. Bien que, je ressent nombre d'effet indésirables, je ne suis absolument pas angoissé, j'ignore tous de ces deux produits et j'ai pas moindre idée des doses que je m'administre, et pour être honnête le monde des drogues dures, est quelque chose que j'ai découvert, il y a seulement 5 mois (si on exclut l'alcool).
- 04h30, Comme j'ai atteint le plateau, et que je suis motivé comme jamais, je me dit "soyons fou" et donc prépare un rail mélange de 100mg 4 et 100mg de 3. Soit 200mg que je sniff, en commençant par ma narine gauche et en terminant par ma narine droite. Je sens deux monté disctinct, la 4 est rapide et vivace et agit en quelques minutes, la 3 est discrète mais finis par m'envelopper au bout d'une dizaine de minutes.
- 04h35, je me souviens avoir lu sur le forum que les parachutes étaitent un mode d'administration incontournable pour les MMC. Je me me fais donc un para contenant 50mg de 4 et 50mg de 3.
- 08h00, je commence à sentir un début de descente, je prend 6mg de bromazepam et sort marcher 30 minutes.
- 08h30, retour à mon étude des MMC, du crack, de la meth et des Rc. Mon esprit reste vivace et mon focus est le même que lorsque je j'avais 20 ans.
- 12h00, je commence à être brouillon, je me disperse, de plus je suis comme bloquer, cela fait 1h que je me dit qu'il me faut boire mais rien ni fait, je me comporte comme un autiste, je suis totalement absordé par la tâche que je me suis fixé "Est-il possible de mieux gérer le craving du crack à l'aide de stimulant que de sédatif, d'opiode et autres déprésseur du système nerveux centrale?"
- 13h00, une relance s'impose, comme constaté plus tôt, je suis dans un état d'hypnose, je perd donc mon élan. Un petit rappel à base de rail de 100mg de 3-MMC s'impose naturellement.
- 15h00, j'encaisee bien, mais de mauvais synptômes apparaissent; failblesse et raideur musculaire, machoire sérré ?bruxisme?. Qu'importe, je veux être productif donc produire, cela m'impose de rester encore éveillé quelques heures, va pour un rail de 150mg de 4-MMC
- 17h00, l'idée de partager mon témoignage fait son chemin, comme je suis un bleu depuis le début de mon trip, je suis complétement à côté de la plaque niveau rdr. Je viens de découvrir cette acronyme, pour féter cela, je fait péter un rail de 100mg de 3-MMC. Et réalise que le craving des MMC est vicieux, je suis en plein dedans, j'arrive pas à m'arréter. Je suis pas un cracker pour rien... En même temps, je commence à m'informer sur les rdr;
---- tester si on est allergique
---- pas mélanger les produits
---- définir au début d'une session une quantité limité et rendre inacessible le reste
---- lire la matrix des interactions néfaste entre produits avant de prendre différents prod dans une même session.
---- Y allez molo, lorsque l'on découvre un produit.
---- Utiliser du matériel adapte; pipe à crack au lieu de boutielle, bicarbonate au lieu d'ammoniaque...
---- Vérifier que le produit livré est bien ce qui est attendu (se munir d'un test).
---- En cas de nouveau batch, faire analyser un échantillon pour savoir s'il ne se trouve pas quelques produits de coupepotentiellement fatal, type Fentanyl.
- 18h00, je pars me fumer une clope et me dit que je me drogue vraiement comme un gland; seul et au doigt mouillé...
- 18h30, je commence à écrire mon témoignage, ne sachant pas ce que la descente me reserve bien que je me sente en super forme, lorsque je marche je déambule comme si j'avais 2gr dans le sang, mes jambes me porte fébrilement bien que je me sente léger comme l'air.
- 20h45, la première partie du témoignage est écrite je m'en vais créer un compte et le poster.

Cependant, je prevois y donner une suite avec:
---- une seconde partie à propos, de mon ressenti sur les MMC
---- une troisième partie à propos, de ma descente qui s'annonce douloureuse à en croire les témoignage lu à droite et à gauche.
---- une quatrième et dernière partie à propos, d'un protocol à base de 3-MMC, 4-MMC et 4-MMA pour gérer les troubles compulsif qui accompagne toute fin de session de crack.

Dernière modification par meumeuh (20 décembre 2023 à  13:35)