Les effets du
speed sont assez grossiers disons par rapport à d'autres substances, c'est un gros rebdull euphorisant, tu deviens une pile,
speed quoi. Mais la pile peut disjoncter (bon, en fait non techniquement mais euh, on m'a compris haha).
A noter que l'euphorie tu la ressens surtout dans la montée, alors que l'effet stimulant lui reste bien plus longtemps, sans forcément que tu t'en rendes compte, et s'accumule à chaque
redrop. Du coup le petit problème du
speed c'est que t'as tendance à prendre une trace par ci par là pour ressentir l'euphorie de la montée et après tu te retrouves comme un con, à te croire sobre alors que t'es bien défoncé et impossible à faire dormir, puis tu psychotes des fois également (la fameuse pile qui disjoncte).
La conservation du
speed est pas excellente selon moi, surtout quand il est "frais"/pâteux, c'est pas comme le
LSD mais faut faire un minimum gaffe en mettant au frais (en fait surtout à l'abris des changements de températures) dans un pochon bien hermétique dans une boîte en fer, y'a énormément d'impuretés (involontaires plus ou moins, les restes de solvants d'une fabrication à l'arrache) et de
coupe (volontaire). Je déconseille de conserver ça, et puis le
speed c'est un peu comme un "consommable" dans les milieux technos.
La quantité ? Franchement c'est dur à dire, à cause de son aspect "consommable", en redroppant sans arrêt tu ne sais pas ce que tu as pris vraiment ; tiens, comme l'
alcool, "consommable" des fêtes mainstream
(ie opposé de underground, pas de jugement). prends une pointe déjà pour savoir si le sample est pas exceptionnellement costaud puis vas-y petit à petit. Pour débuter, une trace toute fine qui fait ton auriculaire c'est déjà bien je crois.
PS : Pense à te nettoyer les naseaux de temps en temps (disons après 30 minutes, le temps que quasiment tout soit absorbé par les muqueuses nasales), et quand tu as finis de priser.