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Dernière modification par Terson (21 juillet 2017 à 16:52)
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Dernière modification par Anonyme9404 (22 juillet 2017 à 05:28)
Dernière modification par Mascarpone (22 juillet 2017 à 06:24)
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Anonyme6408 a écrit
Mascarpone : Alors j'ai envie de dire faux, les médecins préconisent seulement de laisser passer un peu de temps après la dernière prise d'opiacé, le temps que le corps élimine au max, et d'attendre les premiers signes de manque : nez qui coule, yeux larmoyants, premières douleurs... En aucun cas on ne dit d'attendre d'être en chien complet.
Tu as mal compris ma question...Je ne parle pas du tout du temps qu'il faut AVANT de prendre le sub pour la 1ere fois, mais bien, des 1ers jours où l'on est sous sub...
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Dernière modification par Anonyme9404 (22 juillet 2017 à 08:12)
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Dernière modification par Anonyme9404 (22 juillet 2017 à 08:28)
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Dernière modification par Mascarpone (22 juillet 2017 à 12:29)
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Galaad a écrit
Bariolo, ne t'excuse pas. Tu es évidemment le bienvenu.
Au vu de mon expérience de ce soir avec 8mg je trouve ça fou que tu es réussi à tenir avec 0,8mg alors que tu prenais plus de codeine que moi.
Tu ressens un manque physique tout de même ?
C'est largement plus supportable qu'un sevrage sec, j'ai plus de courbature, plus de sensation de chaleur désagréable... En revanche légères migraines et diarrhées sont toujours là.
Mon médecin est en vacances un mois et j'ai 8 boites de sub à 0.4g (7 maintenant) pour tenir jusque là.
Je pense que je vais essayer d'augmenter les doses pour voir mon ressenti quitte à aller voir un autre médecin si je me retrouve en chien à la fin du mois.
Autre chose, je n'avais eu aucune expérience avec le subutex avant cette semaine, donc je suppose que l'effet placebo doit jouer un peu sur le fait que ça atténue mon manque.
Un ami a réussi à se faire prescrire pas mal de codé (9boites par mois alors qu'il n'en prend qu'une par semaine environ) , je vais lui échanger quelques boites contre un peu de subutex, comme ça j'aurai toujours une solution si le manque psycho devient trop fort, ou que j'ai tout simplement envie d'avoir un effet récréatif!
-Mascarpone : Je pense pas que le début soit vraiment dur, je pense qu'au bon dosage (dans mon cas j'ai pas envie de généraliser non plus) le manque physique disparait vraiment, et que l'effet de la burpé à défaut d'être récréatif en sublingual doit quand même te passer l'envie de consommer. Sinon c'est sur que ce serai naze, quitte à être accro à un truc, autant que ça te procure du bien être
Courage à vous,
Bariolo
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Anonyme9404 a écrit
La transition n'est pas facile pour tout le monde.
Ceux qui passent de l'héroïne à la buprénorphine en général retombent dans l'héroïne par manque d'effet euphorique, ou par manque tout court, mais no physique, puis ils basculent de l'un à l'autre jusqu'à un jour finir par mettre les deux pieds dans le sub...
J'en fais pas une généralité, mais je suppose que d'autres membres ici pourront en témoigner en ce sens là.
Donc quand bien même avec la buprénorphine vous ne serez pas en manque, il y a quand même un sevrage psy à faire de la codéine, ça va de quelques jours, à quelques semaines, ce deuil vous conduira vers une stabilisation avec la buprénorphine et peu à peu à y découvrir de nouveaux effets...
Des effets qui n'auront pas grand chose à voir avec la codéine.
Tout comme nous lorsque nous sommes passés de l'héroïne, au sub.
Eh perso, 8 mg ce n'est pas un faible dosage, un petit dosage, c'est 0.4 mg, 1 mg, voir 2 mg mais au dessus de 4mg, ça commence à être dans le moyen, puis le fort (selon moi) !
Certains peinent à lâcher le 0.4 mg, et expriment qu'à l'arrêt en chie bien comme il le faut, s'ils s'arrêtent sec, donc voilà quoi, alors à 8 mg non, ce n'est pas petit.
Le sub il faut simplement le laisser fondre tout seul sous la langue.
Puis autre chose, peut-être que le dosage de départ ne sera pas le même d'ici quelques jours, parce que vous verrez au bout de quelques jours que ça s'accumule, le sub reste longtemps dans le corps, et si vous êtes en surdosage, vous vous sentirez apathique, ou comme je moi l'appelle, vous vous sentirez subuté...
Qui n'est pas un état agréable, être subuté ce n'est pas nécessairement vomir.
Donc il vous faudra vous ajustez. Au départ, ça sera peut-être par exemple 6 mg, mais au bout de quelques jours, ça sera peut-être de trop, il vous faudra diminuer, ou bien répartir votre prise, le prendre en 2 fois, un peu le matin, et un peu le soir afin que vous ne vous sentiez pas subuté dans la journée.
Je dis ça pour ceux qui commencent avec un dosage assez élevé. C'est important sinon vous ne vous sentirez pas bien.
Par contre pour ceux qui se sentent encore en manque, bah vous savez quoi faire, augmenter ! Mais dîtes vous bien que ça se cumule de jour en jour, donc possible qu'au bout d'une semaine (par exemple), ça sera de trop.
Bises,
Bonjour, enfin je ne sais plus... je ne dors quasiment plus depuis le 14 juillet je n'avais jamais autant maté de défilés! sachez une chose la légion ne scinde JAMAIS ! bref j'ai vu des toubibs, je suis alléé lunbdi dernier à ste Anne revenue avec 6 comprimés de valium 10mg que le toubib m'a represcrit bon ! le problème, à part que je dois me tenir aux murs pour ne pas me casser la gueule, j'ai tjrs es même symptomes dont celui des jambes et bras sans repos, ce qui m'empêche de dormir. Depuis le 14 juillet ça commence à faire long. je prenais depuis 7 ans du codoliprane ( 3boites par jour au plus) le valium me calme un peu mais j'ai tendance à en prendre trop pour essayer de dormir ce qui ne marche pas ! je ne fais que depuis plusieurs jours marcher en long et en large ds mon appart pour calmer mes jambes. je revois tout à l heure mon géhé , j'ai seulement rdv au CSASPA le14 août .... Que faire !!!!!?????
j4AJOUTE QUE J4AI UNE FILLE DE 21 ans qui m'aide bien mais comme elle a deja subi les affres de l'aloolisme de son pere, et de sa violeence envers moi et elle et sa soeur je ne voudrais pas déjà que ce soit elle qui me prenne en charge !!!
je reprends le taf ds une semaine, je suis cadre et j'aime mon taf mais je ne voudrais pas, qu'à leur tout mes collaborateurs soient eux auss en arrçet tellement je suis me mauvause humeur et changeante. ref qu'est qu'on fait ? j'ai pas du tout envie de retomber dans unopiacee surtout apres 10 JOURS DE SEVRAGE ;merci à ceux qui me répondront !
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streetzey a écrit
Je suis a la recherche d'un remplaçant a la codéine, y'a moyen de s'en procurer en vente libre? J'ai pas trop envie de devoir me faire une ordonnance ...
Tu ne pourras te procurer en vente libre que de quoi atténuer les symptômes du manque physique (immodium, donormyl..) sinon c'est ordo désolé
Bariolo
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Bariolo a écrit
streetzey a écrit
Je suis a la recherche d'un remplaçant a la codéine, y'a moyen de s'en procurer en vente libre? J'ai pas trop envie de devoir me faire une ordonnance ...
Tu ne pourras te procurer en vente libre que de quoi atténuer les symptômes du manque physique (immodium, donormyl..) sinon c'est ordo désolé
Bariolo
Ah dommage merci quand même
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C'est largement plus supportable qu'un sevrage sec, j'ai plus de courbature, plus de sensation de chaleur désagréable...
-Mascarpone : Je pense pas que le début soit vraiment dur, je pense qu'au bon dosage (dans mon cas j'ai pas envie de généraliser non plus) le manque physique disparait vraiment, et que l'effet de la burpé à défaut d'être récréatif en sublingual doit quand même te passer l'envie de consommer. Sinon c'est sur que ce serai naze, quitte à être accro à un truc, autant que ça te procure du bien être
Et Syam, en ne s'adressant pas à moi en particulier (car je pense qu'il n'a pas pigé non plus ce qui me posait question )
répond aussi d'une certaine manière à mes questionnements , là :
en Europe les études ont montré que le succès du TSO dépend du fait d'avoir donné une dose de VRAI confort au patient. Et partout les addictologues ont appris à ne pas hésiter à donner une bonne dose de bupré. Sauf en France. Les addicto français semblent préférer se raccrocher à leur superstition comme quoi moins on en prend mieux on se porte, comme si chaque milligramme de plus était un péché.
Alors il faut certes commencer en-dessous (pour le cas où la molécule soit très active sur le patient, pour le cas où il se soit trompé dans les doses de sa consommation etc. Bref par sécurité. Et ensuite il faut monter le dosage jusqu'à trouver la dose de confort! Et la dose de confort c'est pas juste celle où la douleur disparait, c'est aussi celle où le consommateur cesse d'être tiraillé par le craving et cesse de penser jour et nuit à son produit d'origine!
Et si vous voulez savoir comment, moi, j'ai arrété, en cherchant sur le forum, vous devriez trouver... Mon cas est assez atypique, car que ce soit pour l'héro ou la codéine, finalement, j'ai fini par arreter sans jamais le vouloir et sans jamais vraiment l'avoir fermement décidé...C'est venu comme ça petit à petit avec les évolutions de ma vie....
Cependant, si l'héro était légale et pure à 98% (parlons plutôt d'heroine pharmaceutique ou même la morphine ou l'opium (ne soyons pas sectaires ) je n'aurais jamais arreté et même je m'y remettrais dès demain...
Dernière modification par Mascarpone (22 juillet 2017 à 18:47)
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Mascarpone a écrit
Je ressens beaucoup d'agressivité dans certaines réponses...
Et encore une fois, je pense que c'est parce que vous n'aviez pas pigé sur quoi je m'interrogeais...
A des années lumières de moi, de remettre en cause l'interet d'un tso à long terme pour quelqu'un qui veut vraiment arréter;
En fait, je ne sais pas comment poser la question pour que vous compreniez ce qui me chiffonne et sur quoi je m'interroge aprés avoir lu plusieurs témoignages d'usagers qui entamaient un tso sub...
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Finalement, au moins une personne , Bariolo, me donne ce que je voulais savoir :C'est largement plus supportable qu'un sevrage sec, j'ai plus de courbature, plus de sensation de chaleur désagréable...
-Mascarpone : Je pense pas que le début soit vraiment dur, je pense qu'au bon dosage (dans mon cas j'ai pas envie de généraliser non plus) le manque physique disparait vraiment, et que l'effet de la burpé à défaut d'être récréatif en sublingual doit quand même te passer l'envie de consommer. Sinon c'est sur que ce serai naze, quitte à être accro à un truc, autant que ça te procure du bien être
Et Syam, en ne s'adressant pas à moi en particulier (car je pense qu'il n'a pas pigé non plus ce qui me posait question )
répond aussi d'une certaine manière à mes questionnements , là :en Europe les études ont montré que le succès du TSO dépend du fait d'avoir donné une dose de VRAI confort au patient. Et partout les addictologues ont appris à ne pas hésiter à donner une bonne dose de bupré. Sauf en France. Les addicto français semblent préférer se raccrocher à leur superstition comme quoi moins on en prend mieux on se porte, comme si chaque milligramme de plus était un péché.
Alors il faut certes commencer en-dessous (pour le cas où la molécule soit très active sur le patient, pour le cas où il se soit trompé dans les doses de sa consommation etc. Bref par sécurité. Et ensuite il faut monter le dosage jusqu'à trouver la dose de confort! Et la dose de confort c'est pas juste celle où la douleur disparait, c'est aussi celle où le consommateur cesse d'être tiraillé par le craving et cesse de penser jour et nuit à son produit d'origine!
Et si vous voulez savoir comment, moi, j'ai arrété, en cherchant sur le forum, vous devriez trouver... Mon cas est assez atypique, car que ce soit pour l'héro ou la codéine, finalement, j'ai fini par arreter sans jamais le vouloir et sans jamais vraiment l'avoir fermement décidé...C'est venu comme ça petit à petit avec les évolutions de ma vie....
Cependant, si l'héro était légale et pure à 98% (parlons plutôt d'heroine pharmaceutique ou même la morphine ou l'opium (ne soyons pas sectaires ) je n'aurais jamais arreté et même je m'y remettrais dès demain...
Je crois que j'ai compris ce dont tu parlais dés la lecture de ton premier message !
Je pense que Mascarpone disait ça dans le sens : "si quelqu'un arrive à tenir les 72 heures séparant sa dernière prise d'opiacé à demi vie courte, sans prendre son Subu, pourquoi ne pas attendre 24 heures de plus afin de se sevrer COMPLETEMENT sans avoir à passer par un TSO, qui de toute manière n'apporte pas la satisfaction obtenue avec le produit duquel on veut se sevrer" (Perdu pour perdu, autant se sevrer définitivement que d'avoir à prendre un produit de substitution qui ne nous satisfait pas)
Personnellement, je me posais la même question que lui.....mais concrètement, les 72 heures ne sont que théoriques car j'ai lu que la buprenorphine était prise chez beaucoup de personnes à 12 heures de leurs dernière prise d'héro (codo) sans problème particulier !(chez moi, c'est 48 heures minimum si non c'est sevrage précipité ) ! Il y a aussi le fait que ça empêche les craving chez une bonne partie des consommateurs)
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