Salut,
Autant le titre m'a attiré, autant certains passages m'ont choqué.
De nombreux usagers ne trouvent pas " facile " d'arrêter de consommer du
Tramadol. Et ils sont nombreux à ne pas vouloir consommer du
cannabis.
Ne crois tu pas qu'avec la législation actuelle, tu conseilles pour stopper une molécule qui est presçrite par un medecin de consommer... Un stupéfiant ?
Si je comprends bien, cela fait un mois que tu souffres pour passer de 300 mg ( qui est une dose thérapeutique en dessous du maximum autorisé ) à rien.
Euh... Mais pourquoi avoir choisi des paliers aussi courts avec une baisse de dosage aussi important ?
Certes, cette méthode a fonctionné sur toi mais j'ai tendance à penser qu'avec un peu plus de patience, avec la détermination de supprimer cette molécule de ton quotidien, il y avait moyen de supprimer la majorité de la souffrance ressentie.
Je te conseille de faire un peu de sport ( la marche sera un bon commencement si tu es sédentaire ).
Cela favorisera la fabrication d'endorphine.
La probabilité que la perte de l'effet
ISRS ( le deuxième effet kiss cool du
Tramadol ) entraîne quelques conséquences est importante.
Il se peut que tu ressentes des moments de
craving ( de très fortes envies de consommer ). Ce n'est là encore qu'une probabilité ( néanmoins qui parait importante ) mais c'est bien de savoir de quoi il en ressort :
https://www.psychoactif.org/psychowiki/ … de_sevrageN'hésite pas à prévenir ton généraliste ( la personne qui devait te prescrire le
Tramadol ) si tu devais ressentir des difficultés suite à l'arrêt du
Tramadol, particulièrement s'il devait y avoir un retours des douleurs pour lesquelles étaient prescrites cet anti-douleur.
Pour en revenir à ton protocole d'arrêt, je le trouve un peu brute. Pour une dose qui n'est pas supérieure à 400 mg par jour.
Comme le risque de convulsions, voir de
syndrome serotoninergique augmente sensiblement au delà de ce dosage, si l'usager consomme au delà des 400 ( voir 450 mg, mais c'est la recommandation suisse ) , il est préférable de revenir rapidement " dans les clous ".
Si ce n'est pas le cas, j'ai tendance à préfèrer la douceur.
Elle laisse généralement moins de séquelles sur l'organisme.
Des paliers plus long, en passant par des baisses de dosages moins important.
Convertir une partie ( voir l'intégralité ) du traitement en format de 50 mg.
Voir demander à son médecin une prescription de
Tramadol en goutte.
S'il s'avère qu'une baisse de 25 mg est difficile, il est possible de ne baisser que d'une seule goutte par palier ( qui pourront être un peu plus rapprochés au départ ).
30 gouttes = 1 ml = 100 mg de
Tramadol donc 1 goutte = 3,33 mg de
Tramadol @ +
Reck.