A ce jour, voici mon traitement, en d'autres termes ma
came remboursée SS
(je refuse coute
ke coute les
neuroleptiques -ancienne ou nvelle génération, atypiques ou pas, qqsoit leur classe, JAMAIS, ces médocs sont de la lobotomie chimique pr moi, &je ne changerai jmais d'avis sur la question- ce
ki signifie l'emploi 2doses conséquentes de benzo).... jsépa si jpeux citer d princeps sr le forum, ds le doute jme contente dé molécules, en mg/jr :
buprénorphine 8mg +
oxazepam 125mg +
clonazepam 6mg + valpromide 600mg (là , jcomprends pas : ni épileptique, ni bi-polaire- je souffre d'1 dépression mélancolique &d'insomnie rebelle- pkoi on me prescrit cette merde? j'envisage d'arrêter progressivement) +
venlafaxine LP 225mg + hydroxyzine 50mg +
mianserine 60 à 90mg +
zopiclone 7.5 à 15mg + 1hypnotique associant meprobamate 400mg & acéprométazine 10mg.
Pas d'
alcool (j'm pas), bcp de
tabac, 1peu de
shit....
J'en arrive à l'objet de ma question : l'
iboga est décrit sur tous les sites traitant du sujet comme 1moyen de décrocher 2pamal de prods, notamment les
opiacés, & éviter le
craving..... Mais n'y a-t-il pa1risque grave d'interaction entre les alcaloïdes de l'
iboga (parfois présentés, selon les sources, comme des
IMAO) & la
venlafaxine?
Mon but n'est pas de prendre 1dose massive d'
iboga ds 1but "visionnaire" selon la méthode d "cures d'
iboga" inspirées d1 culte pygmée (désormais officiellement interdite en Fr).
En fait, en me documentant sur la question des addictions et des dépressions parfois masquées à l'origine de telle ou telle consommation, j'ai trouvé une théorie "émergente" qui selon les auteurs, voudrait que certains individus présentent naturellement (pt-être génétiquement) un déficit en certains neuro-transmetteurs impliqués dans les sensations de plaisir, bien-être, élan vital (sérotonine, noradrénaline,
dopamine, octopamine). Et justement, ça rejoint mon but de consommer de l'
iboga quotidiennement, à faibles doses, sans aucun effet hallucinogène, mais 1simple effet neuro-stimulant (1 médicament à
base d'extrait d'
iboga ayant cette indication était commercialisé en Fr ds les années 50).
Je pense vraiment que ça peut être sympa de tenter, faire d'1 pierre 2coups : me débarrasser de mon addiction
opiacés/benzo & m'aider à refaire surface côté dépression (ou inversement, c complexe, vous le savez bien). Car si la
venlafaxine a bien 1effet sur les taux cérébraux de
sérotonine &noradrénaline, il n'en n'est rien concernant la
dopamine. A l'heure actuelle, aucun
AD à action dopaminergique ne subsiste sur le marché français. Dans mon cas, mon médecin lui-mme (qui a 2la bouteille!) le regrette, car il m'affirme que l'
AD qui correspondrait le+ à mon double profil dépressif/addict a été retiré du marché pr faire place o nvelles molécules (dont la sacro-sainte fluoxétine)...... il s'agissait du "Survector" (amineptine). Il n'y a que la sélégiline qui soit 1
IMAO B dopaminergique, et sa seule indication chez nous est Parkinson..... Alors qu'aux Etats-unis, cette mme sélégiline est prescrite comme traitement de 2ème intention de la dépression, sous forme de patchs trans-dermiques.
J'ai passé l'âge de prendre d risques inconsidérés, à mélanger ceci/cela advienne que pourra. C'est pquoi j'ai vraiment besoin de l'avis d'1 pro :
1/
Iboga à faibles doses &
venlafaxine sont ils compatibles?
2/ si la réponse est négative, 1arrêt (progressif?) de la
venlafaxine (&buprénorphine) au profit de l'
iboga est-il envisageable et raisonnable?
Merci par avance à tous ceux qui voudront bien m'éclairer!