SOS d'un papa en détresse

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darko homme
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champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
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Bonsoir à toutes et tous,

Je suis un père qui s'investit ad fundum pour ses enfants.
Ils vivent chez moi une semaine sur deux.

Je suis alcoolique presque abstinent, l'alcool a faille me tuer à plusieurs reprises (hospitalisé plusieurs fois pour dégâts ravageurs au niveau gastro).
Je suis également en TSO suite à des années de vie sous opiacés 24/7.
La cerise bien pourrie sur ce gâteau vomitif, c'est une rechute de conso de cocaine, depuis quelques temps je craque régulièrement (mais pas quotidiennement) et je tape, je tape...
J'avoue que ça m'est arrivé de squatter les wc durant de trop longues et fréquentes minutes durant la semaine où mes enfants sont chez moi, et de me voir lâchement prétexter des diarrhées ou autres fallacieux déguisements de ma réalité, de ma vérité.
J'ai lu des bouquins, des sites de doc sur le sujet, mais, rongé par la culpabilité qui alterne avec des cravings redoutables, je suis démuni face au fait d'aborder les poisons démoniaques qui me tourmentent jusqu'à scenariser mes pires cauchemars, et mes rêves saupoudrés de ces gestes de conso et de ce faux plaisir si éphémère masquant des heures sans dormir, de son heures à passer d'un livre à l'autre, de me donner l'illusion d'être énergique et volontariste, avec au bout de la nuit l'épilogue prévisible et sournois de la parano.
Mes enfants sont des pré ados, je suis fier d'eux je le sais aime et ils le ressentent.
Dois-je attendre encore quelques années avant de leur avouer?
À quel âge des enfants peuvent-ils soupçonner un parent d'être addict et de se détruire sous la blanche?
D'avance merci pour me lire et de m'éclairer dans les brumes  de ma vie.

Tout est permis mais tout n'est pas utile.

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Wonderland femme
Borderline & beyond
France
champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 19 Dec 2017
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Salut à toi,

Je ne suis pas parent donc je ne sais pas ce que ça fait d'être addict avec des enfants. Jusque là je me suis toujours dit que mes enfants ne me verront jamais consommer quoi que ce soit.

En revanche, la réalité est différente. Un ado, avec l'âge, découvre de plus en plus de choses et remarque aussi mieux les comportements. Certains arrivent à déceler les vices cachés de leurs parents tandis que d'autres non, tout dépend de la capacité des parents à cacher leurs actes.

La question qu'il faut te poser c'est est-ce que TOI tu es prêt à leur faire face, aujourd'hui ou plus tard ? A leur dire, cash, ce que tu consommes et comment, à leur dire que tu leur as menti pendant des années ? Es-tu prêt à peut-être voir la déception dans les yeux de tes enfants (ce n'est pas méchant, mais les ados peuvent avoir une réaction brutale vis à vis des parents, lorsqu'il s'agit de leur "défauts") ? Les réponses à ces questions détermineront si tu dois ou non leur parler. J'imagine que ça pèse sur les épaules de porter cela, et ça n'est pas facile d'être toujours caché, surtout qu'on le remarque généralement (moi en tous cas, je le voyais).

Aussi, si j'ai bien compris, tu es séparé de la mère de tes enfants. Sache qu'une information pareille peut être utilisée contre toi pour une garde exclusive (voire d'éventuelles poursuites judiciaires si on arrive à prouver que tu consommais quand tu avais la garde de tes enfants). Donc là aussi, tout dépend de tes rapports avec la mère de tes enfants et du degré d'honnêteté que tu as avec elle. Une chose de sûre en tous cas, je trouve -personnellement- qu'il n'y a rien de pire que de demander à son enfant de mentir à son autre parent. On instaure un rapport de méfiance et de défiance et on leur apprend surtout qu'il est normal de mentir en famille.

Parler est difficile, j'ai du mal à parler de mes consommations à mes parents, ça doit être encore plus dur. Mais ça n'est pas une nécessité, du moins tant que les choses ne sont pas totalement hors de contrôle...

Bon courage

"I've never had problems with drugs. I've had problems with the police." Keith Richards

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darko homme
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champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 20 Mar 2014
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Merci pour ta réponse et tes conseils, ainsi que ton point de vue.

Fondamentalement, je sais qu'un jour je leur en parlerai. Mes enfants sont déjà au courant pour mon passif sur l'alcool et je leur ai dit que j'ai failli passer l'arme à gauche, c'était avant leur naissance que j'ai du être hospitalisé plusieurs fois, et que depuis lors, je veille à ne plus boire même si l'occasion de prendre un verre se présente lors de repas familiaux, par exemple.
Une de mes progénitures ne manque jamais de me rappeler à mon souvenir que l'alcool est plus risqué qu'un soda...
Quant à leur mère, elle a eu également des déboires avec l'alcool, et les enfants aimeraient qu'elle ne fume plus de clopes.
A leur âge ils sont donc "anti-tabac-alcool-drogue" et se montrent protecteurs envers leurs parents.

Je crains également qu'ils ne paniquent et s'angoissent en apprenant "la totale" du paternel.
Je pense aussi qu'un parent a droit à sa part de jardin secret, et ne doit pas nécessairement raconter sa vie dans les moindres détails à son enfant...

Salutations

Tout est permis mais tout n'est pas utile.

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Recklinghausen homme
Adhérent PsychoACTIF
France
champi vert1champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 09 Mar 2015
6185 messages
Salut,

Je suis responsable de ( avec mon remariage ) 5 enfants et papa de 3 enfants. L'âge des enfants va  de 12 à 17 ans.

Je consomme quotidiennement... Des opiacés et tout ce qui me passe sous la main ces derniers temps.

Je ne consomme que mes traitements médicamenteux devant mes enfants, en les prévenant que l'ensemble des médicaments que je consomme sont très dangereux pour eux.

Dans mon traitement, passe allègrement l'oxycodone et les quelques benzos que je m'autorise à nouveau de temps à autre mais comme il y a aussi les comprimés pour le diabète, le coeur, les triglycérides,... Ils passent inaperçu ( surtout que l'oxy ne me défonce plus sauf à des doses très importantes ) et ils savent que ma santé n'est pas des meilleures.

Pour ce qui est des Noids, voir du cannabis, sortir les chiens est un alibi sans faille et il m'arrive régulièrement de passer dans ma chambre ( avec toilettes ) pour m'assoir sur le trône, me sentir le roi et tirer sur mon tank Psychoactif ( mes enfants ne vont jamais dans la,chambre et ma femme est ok )

Par contre, ce que JE consomme ME regarde. Je ne me vois pas dire à mes gosses que je tape tel ou tel produit. De peur qu'ils ne prennent exemple, peut-être ? Ou simplement par pudeur et pour éviter qu'ils ne s'inquiètent encore plus  et éventuellement pour ne pas être balancé naïvement ( je ne me vois pas leur dire : Je me défonce avec des produits interdits et si tu le dis, papa peut aller en prison ", JE trouve le discours culpabilisant envers les gosses ).

Je ne sais pas s'ils consommeront des drogues ( voir si certains en consomment déjà, je ne suis pas pour les tests à faire aux enfants pour vérifier qu'ils consomment ou pas ). Mais mon discours est : " Même si tu es attiré, trouvez la patience d'avoir fini votre croissance ".

Par contre, je suis toujours disponible pour discuter de tel ou tel drogue qu'ils ont croisés à l'école, à la télé ou simplement parce qu'ils se posent des questions.

Je ne regrette pas ma vie ( loin de là ) mais avec la législation en vigueur, je dormirais plus tranquillement s'ils s'abstenaient avant l'évolution de la Loi sur l'usage de stupéfiant ( ce qui devrai avoir lieu dans les quelques années qui vont suivre, j'espère ).

JE pense que tu adoptes la bonne façon avec tes enfants quand ils sont à ton domicile. Certes, tu passes pour une personne ayant le systeme gastro digestif défaillant mais les enfants ne s'inquiètent pas de voir un papa qui consomme des produits qui sont si mal décrit par la presse et la télévision.

Le problème risque de se poser éventuellement si les questions viennent de tes enfants...

Mon aîné m'a posé la question pour le cannabis. Je lui ai dit que je connaissais et quand il m'a demandé si je consommais toujours, je lui ai répondu que cela ne le regardait pas et que cela relevait de mon intimité. Et que la seule chose qu'il devait voir, c'est si j'étais disponible pour eux... Ou pas.

Comme je suis disponible ( avec mes moyens car ils sont un peu limités en ce moment, j'ai quelques soucis... Je n'arrive pas rester debout 5 minutes sans qu'une sale douleur me plie en deux et me coupe littéralement les jambes ), tant pour ce qui est de la cuisine que pour discuter de tout et de rien ( et quelques rares trucs que je veux faire car ma femme n'a pas signé pour être une esclave mais pour être mon épouse )... Les choses se sont arrêtées là ( pour le moment ).

Lorsque le dernier sera majeur, j'aurai peut-être un discours qui évoluera...

Mais il me reste encore pas mal d'années pour cela wink

Je pense que tant que tu n'es pas HS devant tes enfants et que ta façon d'être n'est pas diffèrentes quand tu sors des toilettes que lorsque tu y es rentré, je ne vois pas comment tes enfants pourraient penser que tu te drogues ( à moins que des tierces personnes aient pris malin plaisir à leur dire ).

A titre personnel, JE pense que mes consos sont privés et que la seule chose qui regarde mes enfants est que je m'occupe bien d'eux et qu'ils puissent vivre dans un endroit propre et bien rangé et qu'ils puissent manger à leur faim, avoir les habits qu'il faut ainsi que leurs affaires scolaires et comme cerise sur le,gâteau, que je sois disponible pour chacun d'eux.

Que je me défonce ne les regarde pas ( même si de temps à autre ils ont dû se demander ce qu'il se passait, car quelquefois, complètement bourré ou totalement HS avec des Noids, ça a tendance à changer ma façon de m'exprimer ).

Dernier motif qui me ferait me taire, c'est la perte de la garde alternée. Si ton ex femme apprend tes penchants pour te repoudrer le nez, elle pourrait saisir le JAF et demander une garde avec droit de visite ( sous surveillance d'un travailleur social si c'est une garc... Une pas gentille ) et elle aura de forte probabilite d'avoir gain de cause.

Maintenant, si ce mensonge par omission te fait culpabiliser ou engendre d'autres sentiments négatifs, il sera bon de réfléchir quoi leur dire et surtout quand leur dire.

Prends soin de toi,


Reck.

PS : Tu consommes plus quand tes enfants sont chez leur mère ?
Reputation de ce post
 
Merci pour ton témoignage. Boris Vian

L'amour d'une famille, le centre autour duquel tout gravite et tout brille.

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Anonyme2996
Invité
Salut darko
J ai aussi une fille près ado pour le shit
Je lui ai dit que maman fume ça c est naturel ça vient des plantes
Ici en suisse c est bientôt légal
Pour la blanche par contre je prends que si elle n est pas là
J ai adoré le film dont tu as le profil dallas club très dur très vrai
Prends soin de toi
Lotus :)
 

Kibi32 femme
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champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 21 Jan 2018
28 messages
Bonsoir!

Difficile comme question..

Pour commencer par une petite anecdote, avec ma meilleure amie on s'amusait à crapoter les fins de joints de nos parents en cachette, on était jeunes genre 7/8 ans mais on savait déjà plus ou moins ce que c'était alors qu'ils tentaient au mieux de se cacher. Si tes enfants sont des préado ils vont vite être exposé à la drogue, du moins savoir ce que c'est. Les soupçons peuvent très vite arriver! Par contre jusque là à te l'entendre dire c'est différent.

Je t'invite à lire un post que j'ai ouvert "mon père et le crack" dans cette même categorie qui explique comment j'ai découvert la conso de mon père et je t'avoue que j'ai pris une grosse claque à 23 ans. Le contexte n'est pas le même car depuis la séparation de mes parents mon père est quasi absent de ma vie, je me suis toujours posé 10000 questions sur les raisons de son absence, ses galeres de fric, je n'avait jamais fais le lien entre drogue et mon père.

Je crois que ce qui est le plus douloureux ce n'est pas le fait de consommer en soit mais plutôt la dépendance et ce  que ça engendre. Pour moi (et dans mon contexte personnel je précise) sa dépendance est signe d'une souffrance qu'il éprouve, c'est difficile à accepter tout en étant impuissante face à ça. Sur mon post, nombreux m'ont dit qu'ils ne fallait pas inverser les rôles, que je ne pouvait l'aider et que les parents se doivent de préserver leurs enfants. Et ils ont tout à fait raison. Avec un peu de recul j'aurais préféré ne rien savoir de sa conso déjà que son absence et sa détresse sont douloureuses et d'autant plus durant mon adolescence.. ce n'est qu'une source supplémentaire d'inquiétude.

Tout ça pour dire que je te déconseille de leur en parler, je pense qu'ils sont encore jeunes, d'autant plus que tu prends ton rôle de papa très à coeur, il serait dommage de "fausser" l'image qu'ils ont de toi parce que tu veut te décharger de ce poids. Cela ne va rien leur apporter de bénéfique de le savoir et tu risques de le regretter.  Comme tu le dit dans ton post, tu te détruit à la blanche, la culpabilité et les cravings sont difficiles à gérer,  il n'y a rien de bon à leurs annoncer ça.

Par contre un peu de prévention et d'information sur le sujet ne peuvent pas leurs faire de mal si ils entrent dans l'adolescence! wink Surtout que j'ai l'impression que la tentation et l'exposition à la drogue est de plus en plus précoce et "démocratisé"..

Continue de prendre soin de tes enfants et de toi aussi, à profiter d'eux un maximum. Ils doivent être une force pour toi, ton addiction ne doit pas être un poid pour eux. Voilà j'espère que ça pourra t'aider :)
Reputation de ce post
 
C'est un point de vue vraiment sensé je trouve, et très intéressant. BoilingBlood
 
Réponse intéressante, dans la lignée d'un topic intéressant; TCC

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Anonyme2996
Invité
Après attention si je fume c est toujours dehors même à - 10
Je lui expliqué dès 4 ans que maman roulait etc ...
un souvenir on faisait un pic nic et elle a lancé pour 50 € de shit le prenant pour un caillou lol
 

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filousky homme
Modérateur
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champi vert77champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 14 Dec 2008
12338 messages
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J'ai fusionné les deux threads identiques créés hier mati par darko. Bon, mystère de l'informatique, les derniers messages ne sont pas venus s'insérer aux bonne heures.
Au revoir

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Si tu pisses contre le vent, tu vas mouiller tes sandales !

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clean homme
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Inscrit le 21 Jan 2018
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Salut darko,

Pour ma part j'ai eu cette expérience avec mes petites sœurs, certes ce ne sont pas mes enfants mais la vie a fait que je me suis aussi occupé d'elle tout comme.

Un jour elles se sont posées des questions toutes petites déjà, elles voyaient que quelque chose n'allait pas avec moi. Heureusement pour moi à cette époque je suis parti en cure de trois mois, une cure basée sur le modèle Minnesota. Je me souviens qu'il y'avait un questionnaire famille, sur ce questionnaire toute ma famille chacun de leur côtés ont rempli. Ensuite il y eu une lecture à haute voix des courriers et la je me suis rendu compte de ce qu'elles ressentaient et leur regard sur moi, ça a été émotionnellement super dur.

Et je me souviens qu'on leur a expliqué que j'avais une sorte de maladie et j'étais ok avec ça, que j'étais dépendant à des drogues et cachets, car j'avais des émotions assez fortes que je n'arrivais pas à gérer et pour ne pas souffrir je consommais, mais que ces drogues m'ont rendu malade. Et elles étaient rassuré car elles ont pu mettre un concept des mots sur que nous vivions, et je dois dire que ça leur a été bénéfique même pour elles.
Je me souviens qu'ils avaient demandé à mes petites sœurs quand tu vas pas bien tu fais quoi et une de mes petites sœur avait répondu bah je m'enferme et je mange des bonbons, et on lui a expliqué bah tu vois ton frère s'enferme et utilise des drogues et comme les bonbons ça a des conséquences...  la solution et de dire ce que tu ressens et ne pas rester seule avec ça, c'est ce qu'on apprend à ton frère.




voilà c'était il y a 10 ans elles en ont retiré une bonne expérience au final, ont appris même des choses sur elle, et surtout elles ne se posent plus de questions souffrantes, n'ont plus de tristesse de culpabilité ou de colère envers moi.



Amicalement.

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Gradak homme
Le Diplomate
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302 messages
Nos enfants ne sont pas aveugle.
Ils ont depuis tout petits appris à reconnaître nos attitudes, nos émotions.
Ils nous ont testé, appris à nous connaître.

Même si ils ne connaissent pas le produit exact si s'en est un ou non. Je suis persuadé qu'ils sentent, sans forcément pouvoir mettre des mots dessus; la difference entre un papa / une maman sobre et High.

Mais si cela n'est pas une contrainte a leur épanouissement.
Et que ça ne les mets pas en danger. What else?

No more money, no more fancy dress
This other kingdom seems by far the best
Until it's other jaw reveals incest
Prefer a Feast of Friends

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groovie
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Angola
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5107 messages
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darko a écrit

Merci pour ta réponse et tes conseils, ainsi que ton point de vue.

Merci de nommer la personne à qui tu parles, vu qu'il y en a plusieurs

tu peux commencer le paragraphe par @pseudo : merci pour ta réponse ; citer la personne

personne a écrit

blabla

merci pour ta réponse etc.


Analyse de produits psychoactifs aux effets indésirables ou inhabituels et de manière anonyme, gratuite et par courrier. modos@psychoactif.org
https://www.psychoactif.org/sintes
Compte inactif!

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