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ORCIERES-MERLETTE Le cannabis, de père en fils
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De la chance, Pascal Fresquet n’en a pas eu beaucoup. Dans ce dossier de trafic de stupéfiants, jugé devant le tribunal correctionnel de Gap hier, la fortune s’est plutôt présentée aux gendarmes.
La première fois qu’il se fait attraper c’est en 2017. Au fin fond d’un bois de Châteauneuf-de-Chabre, un homme enterre le chat de sa compagne. Pas de bol pour le prévenu de 47 ans, l’homme creuse à l’endroit où le prévenu a planqué 44 grammes de cocaïne. Tandis que le félidé repose en paix, les gendarmes s’activent pour retrouver le propriétaire du butin qu’ils croisent en se rendant sur les lieux.
Il explique être la nourrice de Marseillais menaçants. Il est relâché le temps des vérifications. Quand ils reviennent le chercher, les serrures ont été changées et la famille s’est évaporée.
« Je voulais juste faire quatre récoltes »
Pas pour longtemps. Le 25 novembre dernier, les gendarmes toquent à la porte d’une maison à Orcières. Un voisin a volé du cuivre à un autre et les forces de l’ordre font une enquête de voisinage. « Et là, ils découvrent le pot aux roses, enfin le pot au cannabis », résume Isabelle Defarge, la présidente du tribunal. Les effluves s’échappent du premier étage de la maison occupée par… Pascal Fresquet, qui s’était mis au vert dans la station champsaurine.
Mais, dans ce deuxième dossier il a entraîné son fils et un copain de son fils. « J’avais quatre mois de loyer en retard, ma femme était partie travailler au Canada, explique-t-il. J’ai eu la mauvaise idée d’acheter ces graines. Je voulais juste faire quatre récoltes. C’est moi qui ai appelé le copain de mon fils. Je voulais garder une partie de la récolte pour qu’ils fument tranquille l’hiver et le reste, il avait plus de contact pour le vendre. » La présidente hallucine : « Mais vous vous rendez compte de ce que vous dites ? »
L’homme, qui a l’air d’un biker engoncé dans sa veste en cuir colorée, se débat pour tirer d’affaire les deux jeunes. « C’est moi le responsable », répète-t-il.
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Mister No a écrit
Je trouve cette histoire bien alambiquée
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ORCIERES-MERLETTE Le cannabis, de père en fils
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De la chance, Pascal Fresquet n’en a pas eu beaucoup. Dans ce dossier de trafic de stupéfiants, jugé devant le tribunal correctionnel de Gap hier, la fortune s’est plutôt présentée aux gendarmes.
La première fois qu’il se fait attraper c’est en 2017. Au fin fond d’un bois de Châteauneuf-de-Chabre, un homme enterre le chat de sa compagne. Pas de bol pour le prévenu de 47 ans, l’homme creuse à l’endroit où le prévenu a planqué 44 grammes de cocaïne. Tandis que le félidé repose en paix, les gendarmes s’activent pour retrouver le propriétaire du butin qu’ils croisent en se rendant sur les lieux.
Il explique être la nourrice de Marseillais menaçants. Il est relâché le temps des vérifications. Quand ils reviennent le chercher, les serrures ont été changées et la famille s’est évaporée.
« Je voulais juste faire quatre récoltes »
Pas pour longtemps. Le 25 novembre dernier, les gendarmes toquent à la porte d’une maison à Orcières. Un voisin a volé du cuivre à un autre et les forces de l’ordre font une enquête de voisinage. « Et là, ils découvrent le pot aux roses, enfin le pot au cannabis », résume Isabelle Defarge, la présidente du tribunal. Les effluves s’échappent du premier étage de la maison occupée par… Pascal Fresquet, qui s’était mis au vert dans la station champsaurine.
Mais, dans ce deuxième dossier il a entraîné son fils et un copain de son fils. « J’avais quatre mois de loyer en retard, ma femme était partie travailler au Canada, explique-t-il. J’ai eu la mauvaise idée d’acheter ces graines. Je voulais juste faire quatre récoltes. C’est moi qui ai appelé le copain de mon fils. Je voulais garder une partie de la récolte pour qu’ils fument tranquille l’hiver et le reste, il avait plus de contact pour le vendre. » La présidente hallucine : « Mais vous vous rendez compte de ce que vous dites ? »
L’homme, qui a l’air d’un biker engoncé dans sa veste en cuir colorée, se débat pour tirer d’affaire les deux jeunes. « C’est moi le responsable », répète-t-il.
Mr No, Alambiquée est un bien faible terme....
Mais je n'en trouve pas d'autres :)
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Dernière modification par Mister No (01 février 2019 à 09:56)
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Dernière modification par Mister No (04 février 2019 à 09:25)
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Une sexagénaire à la tête d’un trafic d’acide, un dealer intermittent du spectacle à la mairie de Nouméa mort d’une overdose en Thaïlande, une fausse transaction qui tourne mal… Des nakamals aux soirées électro, voici les dessous de l’une des plus grosses affaires de trafic de LSD de l’histoire du pays, que les policiers ont mis au jour après une enquête de fond.
Martine a hanté certaines de leurs nuits. Depuis des années, les policiers de la brigade des stupéfiants cherchent à mettre la main sur cette femme que certains, au fils des dossiers de « stups » et des interrogatoires de consommateurs, décrivent comme « indienne », « hippie », « inséparable de sa fille », « bavarde » et « sans adresse fixe ». Les indices sont à chaque fois maigres, les surveillances discrètes aux abords des nakamals ou dans les soirées électro ne donnent rien et les enquêteurs courent inlassablement après Martine. Comme si elle avait toujours un coup d’avance. Comment savoir si ce personnage, considéré à la tête d’un trafic de LSD depuis plus de cinq ans, existe vraiment ? Les policiers n’ont même pas son visage en photo…
Et si tout cela n’était que rumeurs et mensonges ? C’est comme ça dans les dossiers de « stups », les policiers tournent souvent en rond jusqu’au jour où…
Ce « jour » remonte au 3 mars 2018. Il faut un coup du sort pour faire renaître l’espoir chez les enquêteurs. La douane contrôle un véhicule à Rivière-Salée. La passagère, une Javanaise au titre de séjour permanent, transporte quelques grammes de cannabis. Rien de bien méchant. Mais les douaniers flairent « le coup ». Visite domiciliaire, la Javanaise est piégée.
Il voulait se mettre au vert pour échapper aux surveillances
Chez elle, douaniers et policiers découvrent deux kilos d’herbe, un kilo de résine et un autre de beurre de cannabis, du LSD, de la MDMA… Cette femme, acculée, se met rapidement « à table », dans le jargon des policiers. Elle a acheté pour plus de 600 000 francs de MDMA pure à un certain « Djo » qu’elle coupe pour multiplier les gains. Le LSD ? C’est cette fameuse Martine qui lui aurait vendu pour plus de 200 000 francs et qu’elle-même a revendu, à la goutte, entre 2 500 et 3 000 francs. Une fois encore, la police se rapproche de Martine l’insaisissable. Une information judiciaire est ouverte, un juge d’instruction prend l’affaire en main.
Transaction surveillée
Un mois plus tard, le 3 avril, le téléphone d’un enquêteur vibre. Il apprend que le fameux « Djo », un Métropolitain installé depuis quelque temps sur le Caillou, a été retrouvé mort dans une chambre d’hôtel en Thaïlande. Une overdose à la kétamine. Les policiers ont la conviction que cet intermittent du spectacle qui intervenait pour la mairie de Nouméa et qui recevait entre deux et trois colis par mois, contenant jusqu’à cinquante grammes de MDMA et de kétamine, « voulait se mettre au vert quelque temps pour échapper aux surveillances », indique une source proche du dossier. « Djo » était parti de Nouméa en Thaïlande sans billet retour… Le trafiquant aurait peut-être pu guider les policiers jusqu’à Martine… Il faut tout recommencer. Audacieusement, la brigade des « stups » réussit à entrer en contact avec Martine, le 20 août. Un deal est passé. Elle pense vendre dix sucres de LSD pour 30 000 francs sur un discret parking d’une résidence de Magenta.
Qui allait contrôler cette sexagénaire aux allures de hippie ?
C’est en fait un traquenard. « Halte, police ! », hurlent les enquêteurs qui sortent de nulle part. Martine panique. Elle démarre en trombe sur la voiture des policiers mais un second véhicule, positionné plus loin, l’empêche de s’enfuir. Après des années à prospérer à la tête d’un trafic de LSD, là voilà enfin menottée. Elle n’est pas la seule. Sa fille, 23 ans et qui ne se sépare jamais de sa mère, est aussi interpellée.
Débutent alors quatre jours d’interrogatoires. Martine et sa fille parlent volontiers. La maman, née en 1956 et mariée à un Calédonien, raconte qu’elle achetait des fioles de 300 gouttes de LSD dans les quartiers branchés de Londres et Brighton et les cachait dans ses bagages direction Nouméa. Et cela depuis, au moins, 2012. « Elle était au-dessus de tout soupçon, elle passait inaperçue. Qui allait contrôler cette sexagénaire aux allures de hippie ? », résume une source. La goutte était achetée en Angleterre 700 francs. Revente : entre 3 000 et 4 000 francs sur le territoire. Où ? Et à qui ? Martine a été moins loquace. La marchandise était écoulée aux abords des nakamals et dans les soirées électro du Mont-Dore ou de l’île aux Canards, a-t-elle succinctement répondu. « Elle essayait de vendre le maximum de produit pour s’en débarrasser et disparaître », indique une source. Les gardes à vue terminées, Martine et sa fille ont été présentées au juge d’instruction et mises en examen. Contrôle judiciaire et interdiction de quitter le pays.
Au total, plus d’une quinzaine de personnes, revendeurs et consommateurs, ont été identifiées et entendues. Le dossier d’une des plus grosses affaires de trafic de LSD sur le Caillou pourrait bientôt être définitivement bouclé.
C’ est certain, le Caillou préfère l’herbe aux drogues de synthèse. Le cannabis pousse à peu près partout et son fort taux de THC contente les Calédoniens aux envies de « trip ». Contrairement à la Métropole, la Calédonie est globalement épargnée par les drogues dites dures : cocaïne, ecstasy, kétamine, LSD, MDMA, héroïne… Le territoire n’en est pas pour autant dépourvu. Ces drogues circulent. Elles auraient même tendance « à se démocratiser », selon un fin connaisseur de ce milieu. D’ordinaire, on a tendance à dire que ces substances sont réservées à une population de type métropolitaine, à fort pouvoir d’achat. Cela n’est plus vrai. Ces produits infiltrent sournoisement certaines couches de la population calédonienne jusque-là épargnées.
De plus en plus de jeunes tentés
« Il y a effectivement une consommation qui n’est pas anodine dans le Grand Nouméa et dans les lieux festifs comme les baies de Nouméa », reconnaît Alexis Bouroz, citant, notamment, « la mort d’un homme par overdose lors d’une rave party à Yaté en 2018 ». Estimant que « les trafics de drogues dures ne concernent pas la Brousse », le procureur de la République affirme « surveiller comme l’huile sur le feu ces trafics. On redoute d’arriver à des situations comparables aux Antilles avec des consommations de crack car nous avons une population, de squat notamment, n’ayons pas peur de le dire, qui pourrait être adepte de ce type de drogue ».
Les statistiques seraient sans appel. « Nous constatons une diversification et une augmentation significative des quantités de drogues saisies sur les trois dernières années, explique Sonia Lecomte, directrice adjointe au directeur régional des douanes. Il faut tout de même relativiser, les quantités restent en dessous du kilo sur l’année ». Épargné le Caillou ? « Oui, on est plutôt à l’abri. Peut-être parce que les contrôles sont efficaces, peut-être, aussi, parce qu’il n’y a pas beaucoup de consommateurs qui se réfugient vers ces drogues ».
Peu de consommateurs, certes, mais aux profils de plus en plus diversifiés. « Avant, les trafiquants vendaient le gramme à 25 000 francs. Aujourd’hui, ils coupent en dixièmes de grammes pour la revente. Le produit n’est plus qu’à 3 000 ou 4 000 francs. Forcément, des gens, qui n’étaient pas consommateurs auparavant, sont désormais tentés », analyse un enquêteur. « On remarque qu’il y a de plus en plus de jeunes entre 16 et 25 ans qui nous disent avoir déjà consommé de la MDMA », s’inquiète-t-on à la brigade des stupéfiants de la police.
« Sur le territoire, la difficulté est que le consommateur, qui s’approvisionne le plus souvent par colis et par petites quantités, est aussi vendeur. Pour des cercles d’amis très restreints », souligne le procureur de la République. Qui reconnaît que « le seuil de tolérance sur le cannabis est beaucoup plus élevé que les autres drogues avec des alternatives aux poursuites ou des rappels à la loi ». Et « assume être beaucoup plus répressifs avec les drogues dures. C’est une volonté de politique pénale partagée car les enjeux sanitaires et financiers ne sont pas les mêmes qu’avec le cannabis ».
Repères
Le Coréen et l’agent OPT
Il était soupçonné de profiter de son poste pour faire entrer en douce de la drogue. Il y a quelques mois, la police a mis la main sur un agent OPT. Lors de la perquisition à son logement, les policiers sont tombés sur un Coréen détenteur d’un passeport australien. Un homme qui va très vite avouer détenir de la drogue. L’enquête prouvera qu’ils ont importé plus de 100 grammes de cocaïne qu’ils ont coupés avec de la créatine pour multiplier les gains. Ceux-ci, jugés en CRPC (plaider-coupable à la française), s’en sont bien tirés : huit mois avec sursis.
De la coke cachée dans les intestins et dans le… vagin
Un Congolais avait été arrêté à Nouméa par la police aux frontières, en 2005. Il venait de régurgiter 17 boules de latex contenant 200 grammes de cocaïne pure. De quoi faire 500 doses. Un pactole entre sept et dix millions de francs. L’homme avait écopé de trois ans de prison ferme. Plus récemment, en 2011, les douaniers avaient interpellé à La Tontouta une jeune Calédonienne, de retour de Thaïlande, avec deux grammes de coke et un gramme d’Ice enveloppés dans un préservatif et dissimulés dans son vagin. Résultat : trois mois avec sursis et une amende.
Un culturiste et ses dopants
Un culturiste de 31 ans, faisant partie de la délégation tahitienne lors des Jeux du Pacifique, avait été arrêté, en 2011, à La Tontouta. Dans sa valise : diurétiques, stéroïdes anabolisants, corticoïdes… Des produits dopants interdits pour lesquels le sportif avait été condamné à quatre mois avec sursis.
LE LSD
est une drogue psychédélique synthétisée à partir d’un champignon qui procure des hallucinations. Il peut être vendu sous la forme de morceaux de papier buvard ou sous forme liquide.
3 000
à 4 000 francs la goutte de LSD, c’était le tarif proposé par «Martine ». Elle achetait le produit à Londres à 700 francs la goutte. De quoi faire de gros profits.
« On assume être pénalement plus répressifs avec les consommateurs de drogues dures que de cannabis »
Alexis Bouroz, procureur de la République.
Tyson était précoce :
Légende parmi les légendes du sport, Mike Tyson est considéré comme l’un des plus grands boxeurs de l’histoire. Il est revenu sur son enfance compliquée
Véritable terreur du ring, Mike Tyson est une icône du sport. Par sa personnalité tourmentée, le poids lourd intrigua et intrigue toujours énormément. Invité du podcast de Joe Rogan, il reste revenu sur son enfance compliquée : « J’étais un enfant de 10 ans et 9 ans. Fumer et boire. En vieillissant, j’ai essayé l’acide, j’avais probablement 11 ans. Vraiment jeune. » Il révéla aussi qu’il buvait énormément dans ses meilleures années. Il n’y avait que lors des camps d’entraînements qu’il était sobre. Joe Rogan lui demanda aussi quand il commença la marijuana : « depuis mes 10 ans ».
https://lasueur.com/mike-tyson-5-2-2019
Dernière modification par Mister No (08 février 2019 à 11:16)
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Les époux, âgés de 31 ans, ont ouvert en janvier 2013 le «Lazy Lion», un club privé vendant de la marijuana et permettant aux amateurs d'y consommer leurs emplettes dans la foulée. Comme la loi continue, au niveau fédéral, à interdire l'exploitation commerciale du cannabis, les heureux propriétaires de l'établissement se faisaient payer exclusivement en liquide pour éviter les ennuis.
Non contents d'avoir «oublié» de déclarer aux impôts plus de dix millions de dollars de recettes sur trois ans, ils ont été jusqu'à réclamer au fisc le remboursement d'un trop-perçu.
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Dernière modification par JC (28 février 2019 à 23:12)
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LLoigor a écrit
Hélas je trouve pas la vidéo ailleurs donc faut aller sur Facebook, j'ai failli m'etouffer au déjeuner et chialé de rire pendant 5min
https://www.facebook.com/34093961634996 … 369236585/
Le mec est décédé peu après je pense.
Édit
Je l'avais peut être déjà posté, mais ce vieux me fait tripper.
Dernière modification par RandallFlag (20 mars 2019 à 10:32)
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RandallFlag a écrit
Je l'avais peut être déjà posté, mais ce vieux me fait tripper.
Haha nice le papy a 4 poumons
PS: du même groupe, y a des perles :
https://www.facebook.com/34093961634996 … 171910538/
Genie !! :
https://www.facebook.com/34093961634996 … 750037447/
Wolfverine : https://www.facebook.com/34093961634996 … 857747003/
Et lui il m'as tué aussi ^^ :
https://www.facebook.com/34093961634996 … 928487996/
Fin j'ai pas fait le tour, je viens de trouver ce groupe ce matin y a des perles apparemment
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Dernière modification par Mister No (03 mai 2019 à 20:06)
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Dernière modification par Mister No (21 mai 2019 à 22:28)
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Dernière modification par ZVMV (25 juin 2019 à 15:39)
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Dernière modification par Cusco (11 août 2019 à 05:08)
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Dernière modification par Cusco (31 août 2019 à 22:15)
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Dernière modification par marvin rouge (03 septembre 2019 à 00:28)
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Dernière modification par Mister No (01 octobre 2019 à 08:46)
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Mister No a écrit
http://uberhumor.com/awesome-costume
Salut MrNo
C'est quoi au juste ton lien ?
À mon avis je n ai pas tout vu ni compris
Amicalement
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Dernière modification par Mister No (05 octobre 2019 à 23:54)
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Mister No a écrit
2 kids déguisés en cheech et chong.
J'arrive pas à intégrer les fotos.
https://images.app.goo.gl/urdpa6MpB22FbUqq5
Si si ! J'ai vu les photos mais je pensais qu'il s agissait d autre chose (sur les prods)
Effectivement les gosses sont biens déguisés et marrant.
Toute mes excuses.
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