1
Dernière modification par Nutmeg (14 septembre 2013 à 01:13)
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Dernière modification par prescripteur (14 septembre 2013 à 08:29)
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
dareel a écrit
sinon la solution pour bien s endormir, passez une bonne nuit apaisée et un lendemain heureux, c est de faire l amour...(au cas ou certains le sauraient pas ou l auraient oublié).
Et toi tu ne sais pas ou as peut être oublié que pour certaines personnes les troubles du sommeils ou les personnes insomniaques, ils ne le font pas exprès, et que c'est pour eux un vrai troubles ?
Ou oublié que des gens vivent tout seul ? (Pour faire l'amour c'est déjà plus difficile.)
Donc les insomniaques ou les gens qui ont des troubles de l’endormissement toi tu leurs conseilles de passer une bonne nuit apaisés ?
Tu crois pas que c'est a ce qu'ils s'aspirent le plus ? Mais que justement il n'y arrive pas ? qu'il passe 08h a tourné dans leurs lits et compter les minutes, ou être réveillé constamment par diverses choses (cauchemar, plus envie de dormir, etc ..) pour au final ne dormir qu'une heure, et enchainer sur le boulot, et recommencer le lendemain ... Ce qui épuise physiquement la personnes, tant physiquement que mentalement ...
Après heureusement qu'il y a plein de choses pour aider a passer une "nuit apaisée"
Mais je doute que ce soit de leurs conseiller de passer une "nuit apaisée"
J'aurai plutôt parlé du fait d'attendre le bon moment pour aller se coucher, se mettre dans le noir total, pas de télévision, etc ...
Enfin bref ...
PS : Passe donc te présenter et nous raconter un peu ton parcours a l'occaz.
LLoigor
Hors ligne
monada a écrit
Salut!
Mon médecin m'a mise en garde, il te faudrait faire un sevrage dans une clinique appropriée.
Salut . Faudrait peut etre pas trop exagérer non plus...
Je connais bien la réticence de nos généralistes face à se genre de produits , mais de la à insinuer qu'il faille faire une désintox pour un hypnotique faut pas pousser...
Effectivement cela ne s'arrête pas d'un coup du jour au lendemain, mais pas besoin de se faire hospitaliser ( dans la plus grande majorité des cas du moins, et selon moi )
Hors ligne
Hors ligne
tu considères que seul le stilnox te pose des problèmes ?
Tu as une maladie qui justifie vraiment les neuroleptiques ? Si oui tu as essayé d'autres neuroleptiques (changer de neuroleptique peut se faire à l'hôpital). Parce que la plupart du temps il en faut 4-5 avant de trouver le bon (celui qui te fait être bien sans trop d'effets secondaires et qui ne te donne pas l'envie de te défoncer tout le temps).
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
mia1506 a écrit
après ma 1ère peine de coeur, mon médecin de famille m'en a prescrit. De temps en temps, j'en prenais pour les effets que tout le monde connais (j'en volais également à ma mère) mais je n'étais pas addict.
mia1506 a écrit
recommencé à prendre du stilnox, à plus forte dose, pour être stone
mia1506 a écrit
j'ai repris du stilnox, mais à très grosse doses cette fois
mia1506 a écrit
le matin avant d'aller au taf et j'en prenais tout au long de la journée.
mia1506 a écrit
je suis allée chez lui et je l'ai gazé, après avoir pris 2 boîtes de stilnox
mia1506 a écrit
Convoquée le lendemain, avec 1 boîte dans le sang
Etc ...
Alors j'ai bien compris certains épisodes malheureux de ta vie, et comme beaucoup ici, suite a des épisodes malheureux on se tournent soit vers l'alcool, les drogues, les médicaments, toi c'était le zolpidem.
Mais je pense qu'il ne faut pas tout mélanger, si on prend par jour 14 a 28 fois la dose normale, donc forcement qu'a la longue cela aura des répercussions ...
Vu les quantités et dans les conditions ou tu le prenais, cela me semble un peu trop facile de remettre la faute sur le médicament.
Le zolpidem c'est 1 voir 2 maximum par jour ! (c'est écrit sur la notice) Juste avant le coucher et pour dormir !!
Forcement que si on en prend, hors de ce cadre, dans des proportions largement dépassé (a coup d'une boite ou plus par jour), il y a aura des problèmes.
Et ceci est valable avec n'importe quel médicament, benzo, etc ... Comme avec les drogues, comme avec l'alcool, comme avec tout.
Bref : c'est la dose qui fait le poison !!
PS : sur ce forum on est pas trop pour dire "ca c'est de la merde etc ...", tu remet la faute sur le zolpidem, (comme certaines personnes qui remettent la faute sur l’héroïne) mais est ce bien le produit le "coupable", moi personnellement et comme d'autres ici, je ne remet en rien la faute de mon addiction, de mes 10 piges pas terminé de méthadone, sur l’héroïne ...
Personne ne m'as forcé a en prendre, on m'as averti 100 fois de ce que je risquai, j'ai a l'époque presque choisi on peu dire.
C'est certes pas facile a admettre au début, mais avec le temps ...
LLoigor
Hors ligne
Hors ligne
mia1506 a écrit
Et tu ne penses pas qu'en commençant et en augmentant les doses car les doses normales ne font plus d'effet il n'y a aucun soucis ?
C'est comme tout les produits, plus tu augmente les doses, plus tu explose ta tolérance et plus tu aura surement besoin d'en prendre plus.
C'est écrit la encore sur la notice, qu'il est inutile de dépasser 2/jours.
Si le but c'est de s'endormir, ce n'est pas en prenant 1 boites que cela va arranger les choses, oui tu va t'écrouler, mais exploser ta tolérance, et par conséquent bien entendu qu'ensuite en reprendre "un/jour" ne te ferra plus rien.
C'est le même principe qu'avec tout les produits (médicaments/drogues)
De plus si j'ai bien compris, tu n'en prenais pas vraiment pour dormir, mais pour être "stone", en prenais du matin au soir (je présume que c'est pas pour dormir).
Donc évidement que ta tolérance a littéralement explosé !
Si on les mange comme des bonbons, effectivement beaucoup de médicament peuvent amener beaucoup de complications. (Et nombreux sont ceux ou cela sera largement plus pire que le zolpidem ...)
Autre extrait issue de la notice :
"Ce traitement médicamenteux ne peu a lui seul résoudre les difficultés liées a une insomnie. Il convient de demander conseil à votre médecin. Il vous indiquera les conduites pouvant favoriser le sommeil.
En cas de persistance ou d'aggravation de l'insomnie après une période courte de traitement, consultez votre médecin"
Le consommateur a quand même une responsabilité tu ne pense pas ?
mia1506 a écrit
Ce qu'il faut, à mon avis, c'est ne jamais commencer à en prendre.
A ce moment, c'est comme l'alcool, le tabac, les drogues, et tout les médicaments ?
Non je ne suis pas pour l'interdiction de tout les produits, on est même un peu a l'opposé de ce genre de pensée sur le forum.
LLoigor
Hors ligne
Hors ligne
mia1506 a écrit
Et tu ne penses pas qu'en commençant et en augmentant les doses car les doses normales ne font plus d'effet il n'y a aucun soucis ?
Ce qu'il faut, à mon avis, c'est ne jamais commencer à en prendre.
Ca doit faire 10 ans que je consomme de temps en temps du stilnoxx et de l'imovane (que je préfère vraiment pour toutes les raisons que cites Lloigor - à part que lui parle du stilnox ) comme quoi on est tous si différents...
pareil pour le Lexomil, j'ai fait mes premieres cures... il y a 19 ans.
Bref, donc bientôt 20 années d'expérience avec les benzos et je n'ai toujours pas encore ressenti la moindre "sujétion".
Je précise que je consomme à dose thérapeutique, sur des cycles relativement court et que je n'ai jamais consommé ces molécules en continu, ou au maximum 15 jours.
Ces molécules sont excellentes et aident à notre qualité de vie.
Maintenant si j'en venais à avaler 28 fois les doses prescrites, je me poserai des questions sur mon propre comportement plutôt que d'accuser le produit, qui lui est et reste (jusqu'à preuve du contraire) inerte et ne demande rien.
Pour évoluer face à nos dépendances, le premier pas important est de regarder en nous la part active de dépendance car... les 28 cachets, il n'arrive pas dans l'estomac par hasard et il faut bien prendre la décision ou non de les avaler.... La dépendance n'est jamais dans le produit, cela n'aurait aucun sens. C'est pour cela que ceux qui s'acharnent à combattre uniquement "les produits" ont souvent de tres mauvaises surprises quand ils aperçoivent enfin leur part active de toxitude...
Hors ligne
Hors ligne
mia1506 a écrit
Ma mère en prend depuis plus de 10 ans et ne sait pas s'endormir sans (malgré le fait qu'elle n'a jamais dépassé les doses). D'après ce que j'ai compris, tu en prends aussi. Sais-tu t'endormir sans ? Si non, comme pour ma mère, c'est de la dépendance pour moi.
Prendre du zolpidem pendant 10 ans, la encore c'est parfaitement écrit dans la notice, le traitement ne doit pas excéder 1 mois, et il ne sera pas a lui seul celui qui va résoudre les problèmes d'endormissements. (j'ai fait une citation précise du texte).
Par conséquent, comme ta mère, si moi j'en prend depuis bientot 8 ans, c'est entièrement mon choix, je le fait en connaissance de cause !!
Je sais qu'un jour (une fois que j'aurai fini mon sevrage de méthadone), j'entamerai un sevrage, progressif (la encore comme il est préconisé avec tout les benzo, bien que le zolpidem n'en soit pas une).
Après "oui" il faut accepter d'être dépendant, moi cela ne me pose aucun problème
J'étais au courant qu'il ne fallait pas en prendre pendant tant d'années, j'ai continué, et bien pas de soucis, quand je serai prêt je ferrai un sevrage "progressif" :)
Ceci dit, moi je ne me suis pas contenté de demander du zolpidem pour mes problème d'endormissement qui date depuis que je suis ado.
J'ai parfois eu besoin de voir un psychologue quand le zolpidem ne me faisais pas dormir, et ensuite c'est rentré dans l'ordre.
Mais ce que je n'ai surtout pas fait, et qu'il ne faut surtout pas faire, c'est s'envoyer 4, 8, 10, 1 boites, etc ... pour dormir quand la posologie normale ne fonctionne pas.
Il faut alors plutôt s’interroger et en parler a son médecin (comme il est écrit sur la notice de tout hypnotique ou somnifères)
Voila en gros, ce qu'on veux dire, c'est qu'on a une responsabilité, responsabilité qu'il ne faut pas peut être pas remettre sur le produit.
mia1506 a écrit
Après, chacun fait ce qu'il veut de sa santé mais même à faible dose, tous ces médocs ont une incidence sur notre corps et même si cela ne se voit pas pour le moment, dans 20-30 ans, les problèmes arriveront.
La il va falloir nous donner une source de ce que tu avance.
Car on entends la même chose sur tout les produits, que ce soit des drogues ou des médicaments.
Le zolpidem ou l'imovane ça date pas d'hier qu'ils sont en circulation, on a le recul nécessaire je pense depuis le temps.
Donc si tu as une source de ce que tu avance, je suis preneur.
Mais je doute que tu en trouve une seule, qui dise qu'a faible dose ces médicaments causeront des problèmes dans 20 ans. (surtout si ils sont prit correctement, dans le temps recommandé de prescription et avec la bonne posologie ... )
Pour le reste de ce que tu disais, il existe des psychologues quand on a des soucis, cela peu aider, et (je me répète) mais en lisant la notice de ces hypnotique/somnifère, il est clairement dit :
"Ce traitement médicamenteux ne peu a lui seul résoudre les difficultés liées a une insomnie. Il convient de demander conseil à votre médecin. Il vous indiquera les conduites pouvant favoriser le sommeil.
En cas de persistance ou d'aggravation de l'insomnie après une période courte de traitement, consultez votre médecin"
Cela sous entend, qu'en cas de "pépin" de la vie qui empêche de dormir, la prise d'hypnotique ou de somnifère ne réglera pas a eux seul le problème (autrement dit que le problème est très certainement psychologique, et qu'il est utile d'en parler a un médecin, qui pourra a ce moment appronfondir.
Idem, pour la 2eme phrase, la personne a quand même la responsabilité au bout d'un certain temps, si le sommeil ne viens pas, d'essayer de chercher d'autres piste, en commençant par en parler a son médecin.
Si on ignore tout cela, et qu'on se contente de manger des somnifères tout les jours, en augmentant chaque jour la dose, il est évident qu'on va aux devant de complications
LLoigor
Hors ligne
Hors ligne
PRÉCAUTION D'EMPLOI :
Mises en garde
Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au lactose.
TOLERANCE PHARMACOLOGIQUE :
L'effet sédatif ou hypnotique des benzodiazépines et apparentés peut diminuer progressivement malgré l'utilisation de la même dose en cas d'administration durant plusieurs semaines.
DEPENDANCE :
Tout traitement par les benzodiazépines et apparentés, et plus particulièrement en cas d'utilisation prolongée, peut entraîner un état de pharmacodépendance physique et psychique.
Divers facteurs semblent favoriser la survenue de la dépendance :
· durée du traitement,
· dose,
· antécédents d'autres dépendances médicamenteuses ou non, y compris alcoolique.
Une pharmacodépendance peut survenir à doses thérapeutiques et/ou chez des patients sans facteur de risque individualisé.
Avec le zolpidem, cet état de pharmacodépendance a été rapporté de façon exceptionnelle à doses thérapeutiques.
Cet état peut entraîner à l'arrêt du traitement un phénomène de sevrage.
Certains symptômes sont fréquents et d'apparence banale : insomnie, céphalées, anxiété importante, myalgies, tension musculaire, irritabilité.
D'autres symptômes sont plus rares : agitation voire épisode confusionnel, paresthésies des extrémités, hyperréactivité à la lumière, au bruit, et au contact physique, dépersonnalisation, déréalisation, phénomènes hallucinatoires, convulsions.
Les symptômes du sevrage peuvent se manifester dans les jours qui suivent l'arrêt du traitement. Pour les benzodiazépines à durée d'action brève, et surtout si elles sont données à doses élevées, les symptômes peuvent même se manifester dans l'intervalle qui sépare deux prises.
L'association de plusieurs benzodiazépines risque, quelle qu'en soit l'indication anxiolytique ou hypnotique, d'accroître le risque de pharmacodépendance.
Des cas d'abus ont également été rapportés.
TROUBLES DU COMPORTEMENT :
Chez certains sujets, les benzodiazépines et produits apparentés peuvent entraîner un syndrome associant à des degrés divers une altération de l'état de conscience et des troubles du comportement et de la mémoire.
Peuvent être observés :
· insomnie exacerbée, cauchemars, agitation, nervosité,
· idées délirantes, hallucinations, état confuso-onirique, symptômes de type psychotique,
· désinhibition avec impulsivité,
· euphorie, irritabilité,
· amnésie antérograde,
· suggestibilité.
Ce syndrome peut s'accompagner de troubles potentiellement dangereux pour le patient ou pour autrui, à type de:
· comportement inhabituel pour le patient,
· comportement auto- ou hétéro-agressif, notamment si l'entourage tente d'entraver l'activité du patient,
· conduites automatiques avec amnésie post-événementielle.
Ces manifestations imposent l'arrêt du traitement.
SOURCE (oui c'est mieux de citer la source) : http://sante-az.aufeminin.com/w/sante/m … etail.html
(ou n'importe quelle notice incluse dans une boite de tout les médicaments).
C'est on ne peux plus clair !! Il faut stopper le traitement quand ce genre d'effet secondaire observé extrêmement rare se manifeste !!
Cela ne veux en rien dire, que tout le monde va avoir ces troubles dans 20 ans !!
(ou bien tu nous montre la source, comme une étude scientifique)
Et encore je m'arrête a cette classe de médicaments, mais y a tellement de médicaments on tous des mises en gardes concernant des chances absolument infimes d'avoir tel ou tel effets secondaires ...
Si demain tu doit prendre un anti-viral pour te soigner, un médicament anti-parkinsoniens pour te soigner, et tellement de classe de médicament.
Tu trouvera les mêmes genre de mise en garde, sur des effets indésirables parfois grave, observé chez "certaines personnes", avec pour demande immédiate de stopper dessuite le traitement (et ensuite de trouver avec un médecin une alternative).
mia1506 a écrit
Si j'ai voulu raconter ce qu'il s'est passé pour moi, c'est pour faire prendre conscience à des personnes qui pourrait ne pas se méfier que le stilnox est apparenté à une drogue. Il a même été demandé qu'on le retire du marché.
Quand au fait que ce soit une drogue ...
C'est l'utilisation qu'on en fait qui va faire que cela va devenir une "drogue", la même utilisation que tu en as faite, a en prendre le soir, le matin, la journée ... jusqu’à 2 boites par jours.
Et même dans l'absolue, imaginons que le zolpidem, les somnifères, les benzo, etc seraient des drogues ? En quoi cela serait il gênant ?
Tu est sur un forum d'usagers de drogues, et qui les aiment (les usagers et les drogues) !! (c'est écrit sur notre jolie bandeau )
On est pas ici pour dézinguer les drogues, les médicaments, etc ...
LLoigor ...
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Tout à fait raison, les médocs ne viennent pas seuls dans l'estomac mais à partir du moment ou tu en prends, "pour améliorer la qualité de vie", c'est qu'il manque quelque chose dans ta vie
par qualité de vie, je n'entend pas forcément utiliser la molécule pour nécessairement colmater une breche qui ferait office de trou ou de vide dans l'existence... il y a bien des façons d'améliorer sa qualité de vie en utilisant sporadiquement une benzodiazépine sans pour autant avoir à un vide à combler par la substance.
Je peux donner une liste d'exemples ou le Lexomil m'a permis, de temps à autre, d'améliorer ma qualité de vie sans pour autant devenir une nécessité : certains moments de stress intense et des moments de fatigue nerveuse passagère lié au boulot, des moments relativement pénibles de la vie (période post-opératoire, maladies...), également dans le cadre de déplacement comme faire 24h d'avion donc pour aider à se relaxer et à dormir dans des conditions pénibles, également dans des moments extrêmement désagréables et fortement anxiogènes comme parfois passer devant un juge ou un magistrat, ou avant certain type d'examen...
ou dans des moments d'anxiété très fortes, une prise isolée me permet de rompre le cercle vicieux de l'angoisse, qui se nourrit d'elle meme et des symptômes physique qu'elle crée et qui ne font que l'augmenter... à ce titre, j'ai toujours eu une boite de Lexomil à portée dans ma pharmacie et après 20 années, je n'ai toujours pas eu de problèmes avec cette molécule - ni de dépendance, ni autre chose....
je n'ai pas le reflexe de me jeter sur la boite si j'ai un problème et la plupart du temps, dans 95% des situations je n'y pense même pas et je n'ai pas l'idée d'en faire usage... mais quand le niveau d'inconfort commence à tendre vers la souffrance, c'est là que je vais éventuellement (et pas à chaque fois) faire usage afin de m'aider, et dans l'ensemble cela marche plutôt bien meme si c'est pas magique. Et bien évidemment, cela n'a pas vocation à résoudre quoi que ce soit mais cela permet à certains moments de ne pas se laisser envahir par le "trop", quand celui ci prend une mauvaise tournure , cela permet donc de réduire la souffrance dans certaines situations , ce qui souvent aide aussi à résoudre le probleme là ou continuer à souffrir ne fait que renforcer le probleme. A ce titre, je le clame, cette molécule m'aide chaque année à améliorer mon confort de vie dans certaines situations. Mais je précise quand meme que je consomme très peu, il s'agit de prise isolée et que je me fais prescrire rarement plus d'une boite dans l'année... et je vis les benzos comme des milliers de français le vivent, c'est à dire en prendre quand cela est thérapeutiquement nécessaire. Il ne s'agit pas de s'envoyer une barre pour se relaxer en rentrant du boulot... nuance donc !
Hors ligne
Hors ligne
1
[ Forum ] Sevrage de Stilnox ...
|
15 | |
4 | ||
2 | ||
[ PsychoWIKI ] Zolpidem (Stilnox), effets, risques, témoignages | ||
[ PsychoWIKI ] PAWS, le syndrome prolongé de sevrage |