[ Dépistage ]

Dépistage des drogues au travail

Désolé, aucun dépistage dans ma boîte (une des + grandes administrations françaises) juste des questions au sujet de l'alcool.
Et d'après moi il serait bien d'en faire dans ma boite vu le nombre de consommateurs (alcool, produits licites et illicites) surtout pour la conduite des véhicules et les tensions causées entre collègues et entre clients (surtout avec l'alcool)
Si je devais en privilégier un ce serait un excitant, coke, amphét etc... l'alcool donne un coup de fouet mais vis à  vis de la clientèle (qui nous invite ou pas pour l'apéro) ça peut engendrer des problèmes aussi.
Mais la police nous a à  l'oeil (toujours pour l'alcool)
Bref certains connaissent mon job, d'autres le devineront peut-être.

DC

Dernière modification par drugstore cowboy (15 novembre 2013 à  22:10)

Aucun test pour moi non plus de drogue alors que je taff dans une tres grosse boite. Mais je ne conduis aucun vehicule, pas de danger portentiel lié à  cela.

sphax a écrit

un voisin qui bosse en interim dans le btp a le droit a chaque debut de mission a soufflet dans un ballon plus un test salivaire du coup il stop la fume vers 16/17h la veille du debut de mission et n'a jamais été détecte positif (ou en tout cas ça n'a en rien influancé sa présence sur le chantier )
;p sphax

Je pensais que par un test salivaire on pouvait détecter plusieurs jours voir plusieurs semaines les consommations de produits stupéfiant alcool compris, je pense que selon les substances il doit y avoir plus ou moins de temps pour que la substance recherchée ne soit plus détectable.
Encore beaucoup de choses à  apprendre...
D'ailleurs sur les lieux de travail, quelles genres de substances sont recherchées en priorité ? (alcool, cannbis, opiacés... ok, mais d'autres encore ? Anxiolitiques, rc, tso...?)

Dernière modification par BASE95 (29 mai 2014 à  15:21)

Je ne pense pas laura zerty que ce soit uniquement en cas d'accident, certaines entreprises font régulièrement des tests justement pour éviter les accidents (soi disant)
Par exemple dans l nucléaire tu es soumis à  des contrôles réguliers une fois par mois et parfois même des contrôles surprises en plus.

Dernière modification par BASE95 (29 mai 2014 à  15:45)

je bosse aussi en milieu hospitalier, aucun tests

ma direction est au courant de mon (ex)vie car j'ai paru dans les journaux locaux lors de mon arrestation avec tout le debalage, nom prenom, ville, employeur et service ou je travaillais, et malheureusement toute mon entreprise (2000 salariés) ont été au courants, mais contarairement a ce que je craignais les retours ont été assez positif, et encore plus quand j'ai repris une vie clean et repris 20kg...

tout ca pour dire que même avec mon passé ils ne m'imposent aucuns controles ni urine ni salivaires ni sanguins...

Pour moi, c'est simple : le depistage devrait etre toléré dans les cas ou la vigilence de l'employé est primordial, vitale meme. Par exemple : chauffeur routier, manipulateur d'engins de chantier, medecins/chirurgiens etc, les métiers ou tu mets ta vie et/ou celle d'autrui en jeu quoi. Par contre, je trouve ca intolérable dans d'autres secteurs. Par exemple, le mec qui travail derriére un PC et qui réponds a des appels téléphoniques, qu'il soit raide ou pas, il mets la danger personne. Si ca affecte son efficacité ca c'est un autre sujet donc on s'en fous ici.

En tout cas, personnellement, je n'accepterais jamais un depistage de quelque sorte que ce soit, seulement par principe. Je me considére libre de mes faits et gestes sans etre fliqué jusqu'au taff. Sachant que je ne cache pas mon passé ni ma situation a mes employeurs a la base, j'ai l'honneteté et le courage d'avouer que je suis sous TSO lors d'un entretiens parce que je préfére le faire a ce moment, plutot que le patron le découvre de lui meme et me mette la misére, la pression et tout parce que ca lui plait pas par la suite. Bref, a partir de là , si le patron me prend, c'est pas pour me fliquer, ca je ne l'accepterais jamais. C'est d'ailleurs pour ca que je ne supportais plus mon ancien taff (patron anti tox, avec une vision arriérée de la toxicomanie).

Mon nouveau taff, je l'ai dit lors de l'entretiens, le patron et le DRH sont donc au courant et m'ont dis qu'ils resteraient discrets là  dessus et qu'ils me laissaient la décision de le dire ou non a mes collégues. Ce que je ne compte pas faire, je pense, j'en vois pas l'utilité. Ils ne m'ont pas jugé, ni l'un ni l'autre, j'leur ai bien dit que j'etais suivis et sous traitement sans aucune autre consommation, et ils m'ont dit que ca ne leur posait aucun probléme, que tant que mon taff etait accomplit, que mon traitement n'etait pas une entrave a mon efficacité, je pouvais faire ce qu'il me chante une fois chez moi. Z"ont été tres cool, tres compréhensifs. J'peux vous dire que ca a pas été le cas lors de tout mes entretiens

Voilà  pour mon point de vue sur la chose. Certains se cachent car ils savent que là  ou ils travaillent leur situation serait totalement mal vue, et travailler deviendrait un supplice pour ces personnes. D'autres ont la chances de s'assumer car ont un cadre de travail tolérant et compréhensif. Pour moi, un UD ne devrait meme pas a avoir a se cacher. Du moment ou il fait son taf comme les autres, ce qu'il fait le week end ou le soir une fois chez lui ne regarde pas les autres ! Nous, UDs, on ne demandent pas aux autres s'ils mangent leurs crottes de nez, et on les met pas dans une "case" en les insultant/rabaissant/etc. au travail. Fin bon, pour moi y'a le travail et la vie privée, et quand tu sort du taf, y'a une ligne, une coupure qui se fait ! Et notre vie privée (donc notre statut de tox) ne regarde pas notre taf, tant qu'on ne se droguent pas au taf et qu'on est pas a la bourre tout les matins etc ... Et pour moi c'est de la discrimination ni plus ni moins que de rejetter un UD dans le cadre du travail comme c'est le cas pour de nombreuses personnes malheureusement. Alors rajouter des tests de dépistage par dessus, mon cul ouais ! Ou alors que le patron le fasse avec moi, et me prouve qu'il est pas bourré lorsqu'il me donne ses ordres. Namého.