Crises d'angoisses, je n'arrive plus à fumer

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Wyomingg femme
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Bonjour à tous !

Il y a déjà pas mal de discussions sur ce sujet mais je préférais en re-créer une, chaque cas est unique après tout

J'ai commencer à fumer de manière régulière à 13 ans, j'ai fumer tout les jours pendant 2 bonnes années et je n'avais jamais vraiment eu de problèmes physiques ou mentaux liés à ma consommation. C'est à 16 ans, après avoir passer mes 2 mois de vacances d'été imbibée d'alcool et de cannabis (2 mois pendant lesquels je me suis bien éclatée et n'ai eu aucuns problèmes) que mes problèmes ont commencés. 2 semaines avant de reprendre les cours, je suis tranquillement chez moi devant une série et comme d'habitude, je m'allume un pet' de weed. Je le fini, et là une sensation horrible m'envahit, j'avais l'impression que mon canapé m'avalait, que j'étouffais, j'avait des vertiges, je suis sortie prendre l'air, j'avais l'impression que j'allais mourir quand je m'asseyais, alors j'ai passer 2h dans mon jardin à faire des allers et retours en essayant de me calmer, quand c'est enfin passer j'ai mis ça sur le compte de mes abus de l'été et de la fatigue, et me suis dit que j'allais faire une pause de quelques jours et que tout rentrerait dans l'ordre.
2 ou 3 jours après je sors avec des amis, je bois quelques bières mais ne fume pas, tout se passe bien, mais en fin de soirée cette sensation horrible me reprends, vertiges, sensation d’oppression au niveau du coeur, difficulté à respirer. Le lendemain, alors que je suis tranquillement chez moi, pareil, je m'allonge en attendant que cela passe mais là bam, grosse crise d'angoisse, je me mets à pleurer, à suffoquer, sans aucunes raisons, je n'arrive plus à respirer alors direction l'hôpital. Là la plus horrible période de ma vie commence, j'ai passer plus de 10 jours enfermée dans cet hôpital à me sentir mal tout le temps, à faire de grosses crises d'angoisses incessamment voir même des crises de paranoïa, j'avais l'impression de devenir complètement folle, et on me gavais d’anxiolytiques, je suis sortie contre avis médical et j'ai passer des semaines horribles à me gaver de calmants et à faire des crises. En sortant j'ai ré-essayer de fumer pas mal de fois, mais à chaque fois je me sentais mal, alors au bout d'un moment j'ai abandonner, l'arrêt brusque du pet et de l'alcool à été particulièrement difficile, vraiment.
L'année qui a suivi je tirais 2 ou 3 barres ou buvait quelques gorgées d'alcool de temps à autres, mais à chaque fois, sans faire de crises pour autant, ce n'était pas agréable. 1 an après, pendant une semaine j'ai réussi à reprendre un peu la fumette et même à me sentir défoncée de manière agréable, mais c'est très vite reparti laissant place aux sensations désagréables.
Aujourd'hui cela fait deux ans que j'ai arrêter, et même sans rien consommer je fait de la tachycardie, des chutes de tensions et j'ai toujours de l'angoisse, mais je ne fait plus de crises. Je ne prends plus de calmants, aussi. La fumette et l'alcool me manquent toujours énormément, et j'ai toujours pour but de reprendre. Seulement je pense que je me suis créer une sorte de blocage vis-à-vis des substances, craignant que l'épisode de l'hôpital ne se reproduise, alors avant même de prendre quoi que ce sois j'angoisse, et ça se passe forcément mal..
Au bout de deux ans je commence à en avoir plus que marre de ne plus pouvoir me défoncer. En ce moment j'ai l'impression d'avoir un peu repris le contrôle sur ma vie, je suis plus rationnelle vis-à-vis de tout ça, je sais que c'est essentiellement psychologique et j'arrive à me contrôler un peu mieux. Il y a une semaine j'ai réussi à boire un peu d'alcool en teuf (vraiment peu) sans avoir trop de sensations désagréables, j'espère vraiment être sur la bonne voie, car je ne me vois vraiment, mais vraiment pas tirer un trait sur les joints et autres substances.

Voilà, j'ai été un peu longue mais je voulais tout expliquer de manière claire. Donc si vous avez des avis ou des conseils à me donner sur tout ça, je vous en remercierai beaucoup..

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linec13 femme
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566 messages
Salut, peut-être que tu peux faire de la sophrologie ou de la méditation, et si quand tu consommes tu sens que l'angoisse arrive, tu auras des stratégies pour la calmer grâce au yoga ou autre.
Et vraiment y aller mollo, une taf à la fois, et tester des variétés d'herbe plutôt stone que high; pour l'alcool pareil voir si un verre de vin te met moins en bad que quelques gorgées de punch ou l'inverse.
Et aussi ne pas mélanger dans un premier temps.
Ou enfin faire le deuil de ces produits et consommer des tisanes apaisantes, faire du sport pour trouver de la détente "naturelle "

A kiss makes my whole day, anal makes my hole weak

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Aime Rode homme
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36 messages
Bonjour,
Suite à une histoire comme la tienne mais en moin intense, j'ai moi même totalement arrêter de fumer du cannabis pendant 1 ans, car je me disais que c'était la source d'un grand nombre de mes problèmes.
Seulement, plus le temps passait durant cette année, plus je me rendais compte que mes problèmes n'étais pas du tout liés au cannabis, et que c'était donc simplement la paranoïa induite par le fait que je consomme qui me poussais à me poser les mauvaises questions. Cette paranoïa était le fruit d'une culpabilisation constante des fumeurs (même si je savais que le cannabis ne me faisait que très peu de mal, je n'arrivais pas au fond à garder cette conviction car mon entourage me répétait directement ou indirectement que c'était mauvais et extrêmement mal vu).
Quand j'ai décidé de reprendre la fumette, ce n'était pas facile : seulement 2 taff me faisaient partir dans un autre monde et je finissais souvent en bad trip. J'avais donc développé une phobie du cannabis, car je l'avais rendu pendant un an entier responsable de tous les problèmes que j'ai pu avoir. Je fumais alors surtout en soirées sur la conso de mes amis, mais souvent mélangés à l'alcool, je n'appréciait pas du tout.
Mais petit à petit, les mauvais effets devenaient de moins en moins fréquent : je me réconciliait avec Marie Jeanne. Aujourd'hui, j'ai retrouvé tout l'amour que j'avais pour le canna, et je fume avec plaisir chacun de mes joints.
Ce que j'essaye de dire, c'est que ce n'est pas le cannabis qui va faire un effort pour s'adapter à vous, mais c'est à vous de prendre du recul sur votre rapport avec cette substance : si il y a crise d'angoisse, c'est qu'il y a angoisse quelque part, mais alors, est ce que c'est le cannabis qui provoque cette angoisse dans ma vie ? Probablement que non. Est ce que c'est autre chose ? Le travail, le couple, les amis, et toutes les autres variables que nous côtoyons chaque jours ? Probablement que oui. Au final, après avoir pris du recul, après avoir retirer du cannabis tous les problèmes dont je le croyais faussement responsable, après avoir réellement su ce qu'il représentais pour moi, j'ai vu en lui l'euphorie, le goût, l'odeur, la légèreté, bref, tout ce qu'il était, tout simplement. Et vous ? Qu'allez-vous trouvez ? La réponse ne dépend que de vous, mais une fois les choses remises à leurs places et les problèmes traités dans l'ordre, j'espère que votre goût pour cette substance refera jour, en tout cas, tout ce qui peut accélérer ce phénomène, c'est de faire confiance aux vertus du cannabis, comme chacun de ses adeptes le font, pour fumer tranquillement, et "réellement". wink

« Rien n’est poison, tout est poison: seule la dose fait le poison. »   
- Paracelse (1537)

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Wonderland femme
Borderline & beyond
Inscrit le 19 Dec 2017
626 messages
Bonjour,

Je suis consommatrice de cannabis quotidienne depuis un peu plus de 10 ans maintenant. Je dois avouer qu'à chaque fois qu'on m'a parlé de grises d'angoisses (pas forcément aussi violentes que les tiennes) cela me paraissait invraisemblable.
Puis en échange universitaire à l'étranger, un ami qui fumait également est revenu d'un voyage de quelques jours en nous disant : J'arrête de fumer. Il explique que pendant leur weekend de malade où ils ont quand même beaucoup bu (et va savoir ce qu'ils ont consommé), lorsqu'il a fumé son petit joint avant de se coucher, il est parti en bad total, avec tachycardie et les symptomes que tu décris. Il a réessayé le lendemain, ça lui a fait pareil. Depuis, il a arrêté de fumer, et l'idée même de tirer une latte l'angoissait à mort. On lui a dit de laisser le cannabis tranquille quelques temps, de ne pas chercher à réessaye pour voir et surtout de laisser le temps à son corps de se reposer (des fêtes...).

Pour ma part, je pense que le cannabis en lui-même n'est pas forcément responsable de ces crises mais il les a potentialisées. Je m'explique (et je ne suis pas une scientifique donc ce n'est pas une vérité) : le cannabis a tendance à augmenter notre paranoia, même sans qu'on la ressente de trop, quand j'habitais chez mes parents, presque à chaque fois que je fumais j'étais angoissée à l'idée d'être chopée la main dans le sac (ou le pétard en bouche...), et c'était le cas dans des situations hors familiales aussi. Tout ça pour dire qu'il suffit que tu aies subi une période festive, ou angoissante, ou stressante... et que ça ait été favorisé par ta consommation de cannabis et d'alcool.

A mon avis, le meilleur c'est de ne pas attendre d'arrache pied de pouvoir reprendre la fumette mais de relativiser ça en te disant que ça te fera le meilleur bien de te relaxer et en plus, tu en ressentiras que mieux les effets. Après, je te comprends lorsque tu parles du manque et d l'envie de pouvoir refumer, donc courage à toi et surtout j'espère que ça ira mieux wink
Reputation de ce post
 
Très bon post. YOSHI

"I've never had problems with drugs. I've had problems with the police." Keith Richards

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groovie
Adhérent
Inscrit le 13 Feb 2016
5107 messages
Perso si j'avais le même problème que l'auteure je ferais une pause ininterrompue de 6Mois à 1an avant de reprendre le cannabis. Histoire que le cerveau perde la mémoire du traumatisme et de l'association cannabis=toxique

Analyse de produits psychoactifs aux effets indésirables ou inhabituels et de manière anonyme, gratuite et par courrier. modos@psychoactif.org
https://www.psychoactif.org/sintes
Compte inactif!

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Wyomingg femme
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Inscrit le 21 Oct 2015
5 messages
Merci à tous pour vos réponses

linec13
En sortant de l'hôpital j'ai dû consulter plusieurs personnes (psychiatre etc.) dont un homme enseignant des "pratiques psycho-corporelles", il devait m'aider à me contrôler mais j'étais très peu réceptive à cette époque donc j'ai arrêter d'aller le voir au bout de quelques mois, j'ai repris contact avec lui il y a peu, en espérant qu'il puisse m'aider.
J'y vais doucement, je n'ai pas envie de trop forcer la chose.. Et j'ai remarquer que le shit passait mieux que la weed.




Aime Rode
Ton message me redonne espoir ^^
Je sais que j'arriverai à reprendre un jour, mais je sais aussi qu'il va falloir que je fasse un grand travail sur moi même. C'est un peu cliché dit comme ça mais je pense qu'il va falloir que je fasse un long chemin spirituel afin de me réconcilier avec moi même dans un premier temps, et avec Marie Jeanne dans un deuxième.
Mais, entre le moment où 2 taff te faisaient partir, et le moment où tu t'es réconcilier avec Marie, que s'est il passer ? As-tu insister, malgré le fait que tu n'appréciais pas ?




Wonderland
Ton ami a été assez suffisamment rationnel pour décider d'arrêter de fumer.. J'espère que ça ira mieux pour lui.
C'est dommage que ce genre de choses arrivent, et je remarque que ça arrive à beaucoup de fumeurs, même à des personnes qui fument depuis très longtemps et de manière régulière. Je sais que ça ne vient du produit lui même, je pense que c'est quelque chose que l'on a déjà dans la tête mais que le cannabis dévoile et, éventuellement, amplifie.. C'est juste que je ne comprends toujours pas pourquoi est-ce que le produit mets autant de temps à dévoiler l'angoisse ou les autres troubles que l'on peut avoir.
Et c'est vrai que le canna à tendance à rendre certaines personnes un peu paranoïaques. Je me souviens d'un jour où j'étais bien défoncée, j'attendais le bus pour rentrer chez moi, et tout d'un coup je me suis mise à grave flipper car je pensais que tout le monde autour de moi me regardais, me jugeais, et savait que j'étais complètement stone. ça n'a pas été bien violent, je devais juste avoir l'air un peu bête à regarder partout autour de moi frénétiquement.. x)
Merci pour tes conseils



groovie
En effet c'est une bonne idée, seulement ça fait 2 ans que je fait une pause, et j'en ai vraiment marre de ne plus fumer.. J'ai ré-essayer de fumer pendant ces deux ans mais je ne dépassais pas vraiment les 3 taff à chaque fois, alors je n'estime pas ça comme avoir réellement fumer. J'ai un peu relativiser quant à l'association cannabis=toxique car je sais maintenant que le problème viens en majeure partie de moi, mais j'ai tout de même beaucoup de mal à tirer une taff sans me dire "ça va mal se passer, je vais encore me sentir mal".

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Aime Rode homme
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36 messages
Wyomingg,

Entre le moment où j'ai arrêté de fumer et celui où j'ai repris les "deux taff", il s'est écoulé 1 an.
C'est pendant cette année que je me suis intéressé au monde des drogues psychotropes, aux limites de nos consciences, de nos capacités cognitives. Toutes les expériences et les renseignement m'ont grandement aidés à mieux me cerner moi même ainsi que le cannabis, tout simplement, en faisant des calculs rationnels ( le cannabis me rapporte plus de bien que de mal ), et puis des analyses de ma consommation ( qui contrôle qui ? Suis je dépendant ? Victime du cannabis ? ). En répondant honnêtement et concrètement à mes question, je me suis grandement rassuré sans vraiment le savoir. Je pense que ce qui a vraiment marquer la fin de mes angoisses, c'est de m'être renseigné suffisamment pour pouvoir dire non aux mensonges anxiogène des campagnes prohibitionistes, en tout objectivité.
Quand j'ai recommencé à tirer mes deux taffs, j'étais donc déjà dans ma période de réconciliation, et plus les jours passaient plus je me rapprochait de la beuh. Au départ, oui, ces deux taff me faisaient partir en bad, mais très rapidement les mauvais effets sont partis, et ce n'était plus qu'une différence de tolérance qui restait.
Je vois que tu sais ce qu'il te faut : une prise de recul sur toi même, c'est très bien, car tu as déterminé et jaugé toi même le problème. Convaincre quelqu'un, c'est parfois dur, mais se convaincre sois même, ça peut l'être encore plus. Bon courage à toi. :)

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Dont give a fuck homme
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29 messages
J'ai quand même l'impression que ma génération commençait déjà à confondre cannabis et alcool, mais la c'est encore pire.

On voit clairement dans ton premier message que tu fais aucune différence entre les deux ! 

A mon avis tu peux te mettre des mines a l'alcool mais écoute toi et ton corps quand il s'agit de refumer, vas y progressivement.

La canna c'est subtil..

"Un peu de kief soulage, trop de kief brûle"

Proverbe arabe wink

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Recklinghausen homme
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Salut,

Comme le soulève groovie, ton cerveau a apparemment associé forte dose avec toxique.

Pour ce qui est de l'alcool comme du cannabis, il conviendra de consommer des petites doses.

Pour ce qui est de l'herbe, il serait surement préférable d'éviter celle qui sont à tendance sativa et qui procure un high prononcé.

Je pense qu'il pourrait également être intéressant que tu te documentes sur la blue dream, l'herbe qui ne contient que du CBD.
En association avec une autre herbe de cannabis ( surement déséquilibrée en ratio THC / CBD ), cela pourra surement rééquilibrer le ratio et ne pas te procurer le,high qui se transforme en crise d'angoisse.

La prudence voudrait néanmoins que si ton organisme ne supporte que peu un produit, la meilleure option serait surement de ne pas les consommer.

Prends soin de toi,


Reck.

L'amour d'une famille, le centre autour duquel tout gravite et tout brille.

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Aime Rode homme
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36 messages
Je pense que le fait que l'alcool ET le cannabis procure du mal être est révélateur d'un problème non avec les substances mais avec le sentiment de "défonce" en général.
Wyomingg, est ce que le sentiment d'irréalité que procure la beuh et l'alcool (l'impression d'être différent, que il y ait un voile entre toi et la réalité) te déplaît ? Si oui, est ce que cette mauvaise sensation se manifeste aussi quand tu es seul ? Peut être que tu as un problème avec le sentiment de défonce et/ou avec le fait d'être défoncé devant d'autres personnes ( l'impression qu'ils te jugent, qu'ils te trouve different ) ?

« Rien n’est poison, tout est poison: seule la dose fait le poison. »   
- Paracelse (1537)

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Wyomingg femme
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Inscrit le 21 Oct 2015
5 messages
Aime Rode
Tu t'en est bien sorti, c'est cool. Profite bien !
Le sentiment d'irréalité ne m'a jamais déranger lorsque je fumais, que je sois seule ou non. Être défoncée devant d'autres personnes ne m'a jamais gêner non plus. Après l'impression que l'on me juge ou que l'on me trouve différente peut tout autant me venir quand je suis clean, mais c'est une autre histoire. Je n'avais vraiment jamais eu de problèmes vis-à-vis de mes défonces avant tout ça




Dont give a fuck
Je fais la différence, ne t'inquiète pas. J'en ai juste parler de manière commune dans mon premier message car mon impossibilité de consommer est la même pour les deux produits.
Après au niveau de ce que cela fait à mon esprit et mon corps, je sais que c'est différent. J'ai d'ailleurs en effet plus de facilité à boire quelques gorgées de bières qu'à fumer quelques taff sur un pet, mais actuellement je n'arrive pas vraiment à aller plus loin que quelques gorgées, le problème est le même qu'avec les joints. Je reste néanmoins plus prudente avec le canna que l'alcool dans mes tentatives de reprise 
Bon proverbe !




Recklinghausen
En effet, et le pire c'est que j'en ai tout à fait conscience, mais je n'arrive pas à me débarrasser de cette association qui s'est ancré dans mon esprit, plus ou moins inconsciemment
Pour les joints je préfère m'en tenir au shit pour le moment, la beuh étant plus anxiogène..
Mais je te remercie pour tes informations, je me renseignerai sur cette variété, ça peut m'être utile.
Je sais bien, mais j'ai tellement fumer que je ne vois vraiment pas de raisons pour lesquelles je ne pourrais pas reprendre un jour. Si ça a marcher auparavant, ça peut très bien recommencer (je l'espère).
Merci à toi

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