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Dernière modification par Wonderland (20 décembre 2017 à 02:40)
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Wonderland a écrit
Le médecin m'a prescrit du Donormyl à la place de mon zopiclone adoré que j'aurais préféré. J'ai vu que certaines personnes arrivaient à triper avec à une certaine dose.
Pour ma part, je souhaite autant lutter contre l'insomnie (problème depuis l'enfance) et avoir un effet différent qui m'éviterait d'avoir cette impression de retomber en dépression. Je ne sais pas si inconsciemment, j'ai envie de trouver des effets récréatifs à ce qui était/est un traitement (pour une période sombre).
Je testerai le Donormyl ce soir pour voir ce que ça fait (et si ça aide d'une quelconque manière à la détente).
Je te déconseille de faire des essais récréatifs avec la doxylamine (molécule active du Donormyl - deux fois moins cher en générique qu'en Donormyl). J'en prends un demi comprimé le soir pour dormir et suis bien habitué à ce que ce produit me fasse m'endormir sans ressentir le moindre effet psychotrope récréatif.
N'attends pas, comme avec une benzodiazépine d'effet de "détente" de cet anti-histaminique, Je l'ai essayé jusqu"au dosage de 2 comprimés sans sentir la moindre différence entre 1/2 et 2 quant aux résultats sur mon sommeil.
La description dus symptômes de surdosages ne sont pas bien alléchantes :
4.9. Surdosage
Les premières manifestations de l'intoxication aiguë sont une somnolence et des signes de la série anticholinergique : agitation, mydriase, paralysie de l'accommodation, sécheresse de la bouche, rougeur de la face et du cou, hyperthermie et tachycardie sinusale. Délire, hallucinations et mouvements athétosiques sont plus souvent observés chez les enfants ; ils annoncent parfois la survenue de convulsions qui sont des complications rares d'intoxications massives ou même d’un coma. Même en l'absence de convulsions, l'intoxication aiguë par la doxylamine est parfois responsable d'une rhabdomyolyse qui peut se compliquer d'une insuffisance rénale aiguë. Cette atteinte musculaire n'est pas exceptionnelle, ce qui justifie son dépistage systématique par la mesure de l'activité de la créatine phosphokinase (CPK).
Le traitement est symptomatique. Lorsque la prise en charge est précoce, l'administration de charbon activé (50 g chez l'adulte, 1 g/kg chez l'enfant) est souhaitable.
Source : http://base-donnees-publique.medicament … ;typedoc=R
Une personne avertie est juste avertie...
Amicalement
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MA seule contrainte est l'addiction; je sais que je ne me testerai jamais à l'héroine par exemple car je n'ai connu personne qui n'a pas été accroc à la première prise (ou n'a pas tellement kiffé qu'il en a repris direct).
Le bruit chelou derrière toi, c'est le sous forum héroïne qui grince des dents en lisant ça :p Ceci est un cliché infondé. Rien que sur ce forum, tu peux lire de nombreux témoignages de gens qui ont réussi à consommer de l'héro très occasionnellement sans tomber dans l'addiction. A titre personnel, je pense que la consommation ponctuelle de psychédéliques comme le LSD ou la salvia peut avoir des conséquences aussi (voire bien plus) fâcheuses qu'une consommation ponctuelle d'opiacés.
Si l'addiction est vraiment ce que tu crains, alors poses toi de sérieuses questions sur ton envie de consommer de la codéine / dihydrocodéine : la problématique est exactement la même, ni plus, ni moins, que celle de l'héroïne. Il s'agit d'opiacés dans les deux cas, le potentiel addictif est comparable, seul le contexte (légal-médoc ou illégal-street) change (après ça fait une grosse différence).
Je comprends ta démarche et ton envie d'évasion, surtout si tu subis (ou sort) d'une dépression. C'est une très bonne chose que tu te renseigne sur ces molécules et que tu sois plus responsable sur les dosages, et il n'y a aucun mal à se faire plaisir. Par contre, il ne faut pas sous estimer ces molécules pharmaceutiques, qui sont aussi dangereuses (et parfois plus) que les drogues de rue, et je te garantis que certaines peuvent te faire passer un sale quart d'heure (entre autre les anti histaminiques).
Ce qui est important à mon sens, c'est de te méfier de toi même et surtout des rationnalisations type "je prends un peu pour m'amuser, un peu pour régler mes soucis" parce que c'est là qu'on risque de trébucher à mon avis, et on a vite fait de gober tout ce qui passe "pour voir". Pour vivre avec une compagne qui a dû affronter une dépression sévère, j'ai pu constater que les médicaments peuvent devenir un gros problème dans ce contexte, et qu'une consommation récréative pour être bien peut vite se transformer en une béquille pour pas être mal.
Bref, j'arrête de t'embêter :p désolé si le post est un peu confus, mais tes posts m'ont interpellé, fais attention à toi et profites bien de ce nouveau monde en essayant d'éviter les erreurs potentiellement regrettables qui viennent parfois avec.
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Dernière modification par Stylez (20 décembre 2017 à 22:11)
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