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Fenouil Nous sommes tous ici pour témoigner et donner des conseils. Et je ne trouve pas le conseille de better weed hors de propos !
Effectivement,
témoigner et donner des conseils, pas prendre la place d'un médecin spécialisé a moins d'en avoir les compétences bien sur et même si tout comme toi je pense que l'auteur du sujet devrait changer de médecin/addicto le plus vite possible, je continue de pensée que ce n'est pas vraiment a "nous" (quand je dis nous, je parle des membres de PA) de conseiller a quelqu'un d'arrêter un traitement initié et tout ce que cela implique !
Voila pour quoi je me permet de reprendre calmement beter.weed , car même si je suis du même avis, je ne trouve pas ca judicieux de dire a quelqu'un de tout arrêter comme ca. Qu'est ce qu'elle ferait si elle arrêterait tout immédiatement sans consulter personne, ce ne serait pas l'ideal..
Amicalement.
-Fenouil
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Fenouil2 a écrit
Effectivement,
témoigner et donner des conseils, pas prendre la place d'un médecin
Dixit le mec qui s'est autoproclamé "docteur fenouil" sous son pseudo
(patapé hein^^ ça me semblait juste marrant à souligner vu le propos)
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Dernière modification par Fenouil2 (01 octobre 2017 à 15:49)
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Par ailleurs, La parole de medecin n'est pas sacrée, et nous avons aussi à être critique dessus. Et si nous pouvons / et meme devons dire quand nous pensons qu'un medecin se trompe totalement.
Mais je n'ai jamais dis le contraire!
Énormément de médecin font de grosses bourdes, tu le dis toi même "quand nous pensons" ce n'est donc pas a nous de dire quand stopper un traitement.. Le conseil le plus judicieux de notre part devrait plutôt être "va voir un maximum d'autres médecins pour avoir plusieurs avis, voir si il faut arrêter la bupre, comment l'arrêter , par quoi remplacer".
M'enfin... Ce n'est que mon avis, possible que je me trompe.
Edit: et non justement la ou j'ai reppris betterweed c'est parce qu'il ne fait pas que raconter comment ca n'a pas marcher pour lui, il fait de sa situation un cas universelle.
Et j'ai juste dis non a ca.
Dernière modification par Fenouil2 (01 octobre 2017 à 16:00)
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Lauryn a écrit
Pour l'alcool vu le constat de brûlures post alcoolisation (même après 1 demi verre de vin maintenant) je me suis résolue à stopper.
J'en ai sous la main et on m'en propose et n'y touche pas.
Bonjour
Perso ce que je retiens pour le moment c’est ça. C’était l’objectif, il est atteint apparemment.
Alors à savoir si c’est fait dans les règles ou pas on s’en fou à la limite.
Lauryn, prend le un peu comme tu l’sent ton traitement tant que tu ne dépasse pas ta dose journalière prescrite pour moi c’est pas gênant.
Fais pour te sentir au mieux toute la journée.
Moi je faisais 4 fois 0.4 et c’était pas mal. Ça me permettait de ne pas monter trop haut en dosage tout en restant " bien " les 24h.
Normalement c’est pas recommandé (en substitution) mais bon., faut savoir ruser quand le traditionnel ne fonctionne pas correctement ..
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Il existe un rationnel pour essayer de moduler le système opioïdergique tant pour essayer de modérer des conduites addictives que pour avoir un impact sur l’humeur (cf références d’articles ci-dessous)., néanmoins le niveau de preuve scientifique ne permet pas actuellement de proposer de traiter une dépression, qui plus est associée à un abus d’alcool, par un médicament agoniste opioïde comme la buprénorphine. Compte tenu de la probable nécessité de maintenir un tel traitement pendant plusieurs mois au minimum (les traitements de la dépression durent au minimum 6 mois), il faut aussi se poser la question de l’arrêt de ce traitement et notamment du risque de développer une accoutumance. Cette réflexion est d’ailleurs aussi valable avec les prescriptions prolongées de benzodiazépines chez les personnes avec un trouble lié à l’usage d’alcool.
Dans le cas de cette personne chez laquelle l’addictologue a identifié un intérêt autothérapeutique des consommations d’alcool, il semblerait, si un traitement médicamenteux est nécessaire, d’abord plus pertinent et sécure de proposer des médicaments validés (antidépresseurs ou thymorégulateurs) qui s’avéreraient de véritable traitements de fond plus d’un trouble de l’humeur que des abus d’alcool qui pourraient être considérés comme un « symptôme » de son altération ancienne de l’humeur. La dimension anxieuse semble très présente et pourvoyeuse des épisodes de consommation et la aussi un médicament opioïde, bien que pouvant donner l’impression de les réduire (c’est un dépresseur du système nerveux central comme l’alcool, les benzo, l’héroïne …), ne sera pas un traitement de fond c'est-à-dire permettant à la personne de véritablement changer de trajectoire de vie.
Use of Buprenorphine in treatment of refractory depression-A review of current literature.
Stanciu CN, Glass OM, Penders TM.
Asian J Psychiatr. 2017 Apr;26:94-98. doi: 10.1016/j.ajp.2017.01.015. Epub 2017 Jan 27. Review.
Investigational drugs in recent clinical trials for treatment-resistant depression.
Garay RP, Zarate CA Jr, Charpeaud T, Citrome L, Correll CU, Hameg A, Llorca PM.
Expert Rev Neurother. 2017 Jun;17(6):593-609. doi: 10.1080/14737175.2017.1283217. Epub 2017 Jan 29. Review.
Opioid Modulation With Buprenorphine/Samidorphan as Adjunctive Treatment for Inadequate Response to Antidepressants: A Randomized Double-Blind Placebo-Controlled Trial.
Fava M, Memisoglu A, Thase ME, Bodkin JA, Trivedi MH, de Somer M, Du Y, Leigh-Pemberton R, DiPetrillo L, Silverman B, Ehrich E.Am J Psychiatry. 2016 May 1;173(5):499-508. doi: 10.1176/appi.ajp.2015.15070921. Epub 2016 Feb 12.
Evaluation of opioid modulation in major depressive disorder.
Ehrich E, Turncliff R, Du Y, Leigh-Pemberton R, Fernandez E, Jones R, Fava M.
Neuropsychopharmacology. 2015 May;40(6):1448-55. doi: 10.1038/npp.2014.330. Epub 2014 Dec 18.
Safety, tolerability, and clinical effect of low-dose buprenorphine for treatment-resistant depression in midlife and older adults.
Karp JF, Butters MA, Begley AE, Miller MD, Lenze EJ, Blumberger DM, Mulsant BH, Reynolds CF 3rd.
J Clin Psychiatry. 2014 Aug;75(8):e785-93. doi: 10.4088/JCP.13m08725.
The anti-suicidal potential of buprenorphine: a case report.
Striebel JM, Kalapatapu RK.
Int J Psychiatry Med. 2014;47(2):169-74. doi: 10.2190/PM.47.2.g.
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