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Dernière modification par pierre (25 mars 2020 à 20:16)
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Dernière modification par prescripteur (26 mars 2020 à 08:17)
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Dernière modification par TheRealSlimShady (26 mars 2020 à 15:26)
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Durée de contagiosité allongée
Pourtant, un élément restait incertain: la durée de contagiosité des malades. Une publication du Lancet vient répondre à cette incertitude. Une équipe de médecins chinois qui a pris en charge les 191 premiers malades infectés et hospitalisés, à Wuhan, dans deux hôpitaux, et a pu les suivre jusqu’à leur guérison (ou leur décès). Le suivi attentif des malades montre que nombre d’entre eux restent contagieux après leur guérison clinique.
En effet, alors que la durée moyenne d’hospitalisation des patients guéris (n=137 sur 191) est de 21 jours (17 à 25 jours) après le début de la maladie, une excrétion du coronavirus est observée chez un tiers d’entre eux jusqu’à 4 semaines après les premiers symptômes. La détection de l’ARN viral est observée en médiane pendant 20 jours (16 à 23 jours) après le début de la maladie.
voir l'article du Lancet cité + haut
https://www.thelancet.com/pb-assets/Lan … 305663.pdf
Attention il concerne des malades hospitalisés.
Voici une traduction des règles du CDC américain. Il est clair que le testing est bien préférable à l'évaluation "au doigt mouillé".
https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-nc … ients.html
For Persons with COVID-19 Under Home Isolation:
Pour les personnes avec COVID-19 en isolement domestique:
La décision de mettre fin à l'isolement au domicile doit être prise dans le contexte des circonstances locales. Les options incluent désormais à la fois 1) une stratégie basée sur le temps écoulé depuis la maladie et le temps écoulé depuis le rétablissement (non basée sur les tests) et 2) une stratégie basée sur les tests.
Temps écoulé depuis l'apparition de la maladie et stratégie depuis le temps de récupération (stratégie non basée sur les tests) *
Les personnes atteintes de COVID-19 qui présentent des symptômes et ont été invitées à prendre soin d'elles-mêmes à la maison peuvent interrompre leur isolement dans les conditions suivantes:
Au moins 3 jours (72 heures) se sont écoulés depuis le rétablissement défini comme la résolution de la fièvre sans l'utilisation de médicaments anti-fièvre et l'amélioration des symptômes respiratoires (par exemple, toux, essoufflement); et,
Au moins 7 jours se sont écoulés depuis l'apparition des premiers symptômes.
Stratégie basée sur les tests (simplifiée par rapport au protocole initial) Les recommandations précédentes pour une stratégie basée sur les tests restent applicables; cependant, une stratégie basée sur les tests dépend de la disponibilité de nombreuses fournitures de test et de la capacité des laboratoires ainsi que d'un accès pratique aux tests. Pour les juridictions qui choisissent d'utiliser une stratégie basée sur les tests, le protocole recommandé a été simplifié afin qu'un seul écouvillon soit nécessaire à chaque échantillonnage.
Les personnes atteintes de COVID-19 qui présentent des symptômes et ont été invitées à prendre soin d'elles-mêmes à la maison peuvent interrompre leur isolement dans les conditions suivantes:
Résolution de la fièvre sans l'utilisation de médicaments anti-fièvre et
Amélioration des symptômes respiratoires (par exemple, toux, essoufflement) et
Résultats négatifs d'un test moléculaire autorisé par la FDA en cas d'urgence pour le COVID-19 à partir d'au moins deux échantillons d'écouvillons nasopharyngés consécutifs prélevés à ?24 heures d'intervalle ** (total de deux échantillons négatifs). Voir les directives provisoires pour la collecte, la manipulation et le test des échantillons cliniques des personnes sous investigation (PUI) pour le nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) pour des conseils sur la collecte des échantillons.
Les personnes atteintes de COVID-19 confirmé en laboratoire qui n'ont présenté aucun symptôme peuvent interrompre l'isolement à domicile au moins 7 jours après la date de leur premier test de diagnostic COVID-19 positif et n'ont eu aucune maladie ultérieure.
note de bas de page
* Cette recommandation empêchera la plupart, mais ne pourra pas empêcher toutes les instances de propagation secondaire. Le risque de transmission après la guérison est probablement très sensiblement inférieur à celui de la maladie.
** Tous les résultats des tests doivent être définitifs avant la fin de l'isolement. Les conseils de test sont basés sur des informations limitées et sont susceptibles de changer à mesure que de plus amples informations deviennent disponibles.
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (26 mars 2020 à 16:41)
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Mais il semble que le gouvernement aie enfin décidé de developper les tests largement.
Il faudrait encore le pouvoir.
Loin de moi l'idée de vouloir défendre les indéfendables, mais je ne pense pas qu'il s'agisse réellement d'une directive stratégique, c'est de la manip pour ne pas avoir à avouer que nous ne parviendrons pas avant un bail à tester suffisamment de personnes...
L'Allemagne s'est appuyée sur un maillage national de labos, une capacité de tests bien supérieure à la notre tandis que nous avons débuté avec un seul et unique labo parisien.
Agir vite et optimiser le confinement local, c'est une capacité que nous n'avions pas en début d'épidémie.
Malheureusement des stocks énormes de masques ont été jetés il y a quelques années alors qu'ils seraient efficaces bien au dela de la date de peremption !!
C'est pire que cela encore...
Il a été décidé que plus de stock stratégique, cette mission a été confiée en partie aux hôpitaux qui ont déjà du mal à travailler humainement en termes de moyens, avec les patients, avec les soignants.
Que ce soit une merdouille naturelle, ou une merdouille sortie d'un labo, l'humanité savait qu'une épidémie de grande ampleur allait se produire.
C'est cyclique et ce bien avant que les hommes ne manipulent les virus comme des armes bactériologiques.
Prévoir des masques pour les populations, pas que pour les soignants, c'est comme prévoir des gilets de sauvetage quand on part en bateau.
Nos décideurs ont décidé sciemment de nous faire prendre la mer sans gilet de sauvetage depuis un certain temps, avec de moins en moins de canots de sauvetage, l’hôpital, la santé, qui prennent l'eau à la moindre épidémie de grippe.
Dernière modification par Mister No (27 mars 2020 à 09:48)
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prescripteur a écrit
Totalement d'accord. Mais il semble que le gouvernement aie enfin décidé de developper les tests largement. Donc il est aussi d'accord avec toi.
Surtout que 14 jours de confinement si on a la maladie sont probablement insuffisants dans certains cas.
La durée de 14 jours est surtout valable pour les contacts car il est très improbable qu'en cas d'infection elle apparaisse plus de 14 jours après le contact.
https://www.dailywire.com/news/new-stud … lf-isolate
Par contre pour les cas les règles sont plus difficiles à définir et certains peuvent etre contagieux plus longtemps.
https://www.pourquoidocteur.fr/Articles … e-guerisonDurée de contagiosité allongée
Pourtant, un élément restait incertain: la durée de contagiosité des malades. Une publication du Lancet vient répondre à cette incertitude. Une équipe de médecins chinois qui a pris en charge les 191 premiers malades infectés et hospitalisés, à Wuhan, dans deux hôpitaux, et a pu les suivre jusqu’à leur guérison (ou leur décès). Le suivi attentif des malades montre que nombre d’entre eux restent contagieux après leur guérison clinique.
En effet, alors que la durée moyenne d’hospitalisation des patients guéris (n=137 sur 191) est de 21 jours (17 à 25 jours) après le début de la maladie, une excrétion du coronavirus est observée chez un tiers d’entre eux jusqu’à 4 semaines après les premiers symptômes. La détection de l’ARN viral est observée en médiane pendant 20 jours (16 à 23 jours) après le début de la maladie.voir l'article du Lancet cité + haut
https://www.thelancet.com/pb-assets/Lan … 305663.pdf
Attention il concerne des malades hospitalisés.
Voici une traduction des règles du CDC américain. Il est clair que le testing est bien préférable à l'évaluation "au doigt mouillé".
https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-nc … ients.html
For Persons with COVID-19 Under Home Isolation:Pour les personnes avec COVID-19 en isolement domestique:
La décision de mettre fin à l'isolement au domicile doit être prise dans le contexte des circonstances locales. Les options incluent désormais à la fois 1) une stratégie basée sur le temps écoulé depuis la maladie et le temps écoulé depuis le rétablissement (non basée sur les tests) et 2) une stratégie basée sur les tests.
Temps écoulé depuis l'apparition de la maladie et stratégie depuis le temps de récupération (stratégie non basée sur les tests) *
Les personnes atteintes de COVID-19 qui présentent des symptômes et ont été invitées à prendre soin d'elles-mêmes à la maison peuvent interrompre leur isolement dans les conditions suivantes:
Au moins 3 jours (72 heures) se sont écoulés depuis le rétablissement défini comme la résolution de la fièvre sans l'utilisation de médicaments anti-fièvre et l'amélioration des symptômes respiratoires (par exemple, toux, essoufflement); et,
Au moins 7 jours se sont écoulés depuis l'apparition des premiers symptômes.
Stratégie basée sur les tests (simplifiée par rapport au protocole initial) Les recommandations précédentes pour une stratégie basée sur les tests restent applicables; cependant, une stratégie basée sur les tests dépend de la disponibilité de nombreuses fournitures de test et de la capacité des laboratoires ainsi que d'un accès pratique aux tests. Pour les juridictions qui choisissent d'utiliser une stratégie basée sur les tests, le protocole recommandé a été simplifié afin qu'un seul écouvillon soit nécessaire à chaque échantillonnage.
Les personnes atteintes de COVID-19 qui présentent des symptômes et ont été invitées à prendre soin d'elles-mêmes à la maison peuvent interrompre leur isolement dans les conditions suivantes:
Résolution de la fièvre sans l'utilisation de médicaments anti-fièvre et
Amélioration des symptômes respiratoires (par exemple, toux, essoufflement) et
Résultats négatifs d'un test moléculaire autorisé par la FDA en cas d'urgence pour le COVID-19 à partir d'au moins deux échantillons d'écouvillons nasopharyngés consécutifs prélevés à ?24 heures d'intervalle ** (total de deux échantillons négatifs). Voir les directives provisoires pour la collecte, la manipulation et le test des échantillons cliniques des personnes sous investigation (PUI) pour le nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) pour des conseils sur la collecte des échantillons.
Les personnes atteintes de COVID-19 confirmé en laboratoire qui n'ont présenté aucun symptôme peuvent interrompre l'isolement à domicile au moins 7 jours après la date de leur premier test de diagnostic COVID-19 positif et n'ont eu aucune maladie ultérieure.
note de bas de page
* Cette recommandation empêchera la plupart, mais ne pourra pas empêcher toutes les instances de propagation secondaire. Le risque de transmission après la guérison est probablement très sensiblement inférieur à celui de la maladie.
** Tous les résultats des tests doivent être définitifs avant la fin de l'isolement. Les conseils de test sont basés sur des informations limitées et sont susceptibles de changer à mesure que de plus amples informations deviennent disponibles.Amicalement
Merci, très intéressant ça fait relativiser sur mon petit coup de gueule
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as-tu des sources ?
Justement je me demandais la corrélation (s'il y en a une) entre drogues (spécialement opiacés) et abaissement des défenses immunitaires...
Et les sevrages, ont-ils une incidence sur le système immunitaire ?
prescripteur a écrit
Si quelq'un a des textes scientifiques (ou des données valables et intéressantes) là dessous je sui grave preneuse !
Merci
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Dernière modification par hanzo98998 (27 mars 2020 à 13:12)
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Dernière modification par Mister No (27 mars 2020 à 13:48)
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cependant a écrit
Salut,
as-tu des sources ?
Justement je me demandais la corrélation (s'il y en a une) entre drogues (spécialement opiacés) et abaissement des défenses immunitaires...
Et les sevrages, ont-ils une incidence sur le système immunitaire ?prescripteur a écrit
Si quelq'un a des textes scientifiques (ou des données valables et intéressantes) là dessous je sui grave preneuse !
Merci
Je n'ai pas de sources mais de mon expérience, les 3 dernières fois que jai pris de la md je me suis retrouvé chez le doc avec une creve. J'ai aussi vu d'autres témoignages sur pa.
C'est intéressant d'élargir aux autres drogues, j'imagine qu'une binge de stims ne laisse pas le corps indemne non plus.
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Abracabrantesque a écrit
Je n'ai pas de sources mais de mon expérience, les 3 dernières fois que jai pris de la md je me suis retrouvé chez le doc avec une creve. J'ai aussi vu d'autres témoignages sur pa.
C'est intéressant d'élargir aux autres drogues, j'imagine qu'une binge de stims ne laisse pas le corps indemne non plus.
ok, mais c'est vrai que j'aimerais bien en savoir plus...j'ai l'impressio aussi que les sévrages forcés font prendre un coup au corps et au système immunitaire, mais j'aimerais bien en savoir plus.
Peut-être j'ouvre un fil de discussion ?
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L'immunosuppression induite par la MDMA se traduit-elle par un risque sanitaire important pour les abuseurs?
Sur la base des études décrites ci-dessus, il est clair que la MDMA supprime l'immunité innée et adaptative chez les animaux et les humains. Par conséquent, il est possible que les effets immunosuppresseurs de la MDMA entraînent une réponse immunitaire anormale en cas d'infection ou de maladie.
Par exemple, des études précliniques ont démontré qu'une carence en cytokines pro-inflammatoires, telles que l'IL-1 ou le TNF-?, peut avoir un impact significatif sur la résistance de l'hôte aux maladies infectieuses.
Plus précisément, les souris knockout TNF-? ont une résistance réduite de l'hôte à l'infection à Listeria monocytogenes, 82 et l'antagonisme des récepteurs IL-1 avec IL-1ra interfère avec la résistance de l'hôte à l'infection par Mycobacterium avium.83 En outre, compte tenu du rôle important de Th1- induite par la production d'anticorps IgG2a dans l'immunité antivirale29, il est possible que l'abus de MDMA puisse interférer avec une résistance réduite de l'hôte aux infections virales.
En outre, l'appauvrissement à long terme du nombre de cellules NK signalé à la suite d'un abus de MDMA chez l'homme suscite des inquiétudes compte tenu du rôle important que jouent les cellules NK dans l'immunité à médiation cellulaire et, plus particulièrement, dans la surveillance des tumeurs.84,85 il est difficile de prédire l'impact de l'immunosuppression induite par la MDMA sur la sensibilité aux maladies, car nous ne savons pas quel degré de réserve fonctionnelle est présent dans le système immunitaire, et aussi car il n'y a pas de données disponibles concernant l'impact de l'administration de MDMA sur la résistance de l'hôte dans les modèles d'infection.
Cependant, il a été démontré que l'administration de d-amphétamine (le composé parent de la MDMA) a entraîné une résistance réduite de l'hôte à l'infection par le virus de la grippe A et Listeria monocytogenes.11,57 Néanmoins, des études examinant la sensibilité aux infections bactériennes / virales sont nécessaires pour déterminer si les altérations de l'immunité innée et adaptative, induites par la MDMA, ont un impact majeur sur l'infectiosité et la progression de la maladie.
Il existe très peu d'études dans la littérature clinique qui ont examiné l'incidence des infections chez les utilisateurs de MDMA. Cependant, un rapport récent a présenté les résultats d'une enquête auprès de 282 utilisateurs d'ecstasy qui ont participé à une étude sur Internet86.
L'échantillon comprenait 109 utilisateurs novices (une à neuf fois), 136 utilisateurs modérés (10 à 99 fois) et 36 gros utilisateurs. (100+ occasions). Dans cette étude, des réponses oui / non ont été enregistrées à une série de questions couvrant les problèmes rencontrés en l'absence de drogue, qui ont été attribuées par les répondants à leur consommation d'ecstasy.
Dans cette enquête, les infections ont été citées comme l'un des problèmes qui étaient significativement associés à l'étendue de l'utilisation de l'ecstasy86.
Il est également possible que l'environnement dans lequel la MDMA est consommée et / ou les effets psychoactifs induits par la MDMA, puissent synergiser avec les effets immunosuppresseurs du médicament, entraînant une sensibilité accrue aux maladies infectieuses. Par exemple, l'utilisation de la MDMA est traditionnellement associée à la scène du rave dance club, un environnement surpeuplé où les adolescents se rassemblent. Un tel environnement est optimal pour transmettre une infection aéroportée entre individus.
De plus, les résultats d'une étude récente ont indiqué que l'abus de MDMA était fortement et significativement associé à des comportements sexuels à haut risque (relations sexuelles anales non protégées) dans une population d'hommes gays / bisexuels échantillonnés dans trois clubs de danse de New York88. combine ces facteurs environnementaux avec l'effet immunosuppresseur de la MDMA, il est raisonnable de suggérer que les utilisateurs de MDMA peuvent avoir un risque plus élevé de développer une maladie infectieuse que les sujets sans drogue
.
Dernière modification par prescripteur (27 mars 2020 à 17:35)
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Dernière modification par Mister No (27 mars 2020 à 22:55)
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Mister No a écrit
C'est un des rares très grands à ne penser qu'au bien être des patients
Heheheh,
Je suis aussi assez enthousiaste à son propos ( en ce qui concerne les recherches sur le Sarah Cov 2) mais fait pas oublier non plus que c est un putain de pervers, il est anti vax, et qu il remet en cause le changement climatique donc bon...
Ocram
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Dernière modification par Mister No (28 mars 2020 à 00:05)
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Comme pour les autres produits, beaucoup de theorie et peu de preuves sur le terrain ! Rappelons que, toutes pathologies confondues, l'usage d'opiacés double la mortalité (la surmortalité de 1000% de l'article suivant n'est pas le consensus le plus accepté mais en GB et aux USA le taux d'OD est bien + élevé que chez nous, donc ça peut expliquer) . La baisse la plus importante de mortalité est avec les TSO. Avec le sevrage il y a une surmortalité importante à court terme puis une surmortalité à plus long terme.
http://www.infos-psychotropes.fr/pdf/bmjTSO.pdf
L'article suivant parle d'une surmortalité chez les veterans du vietnam qui ont utilisé des opiacés vs ceux qui n'en ont pas utilisé, ajusté (donc en supprimant en principe l'effet) sur le fait qu'ils aient ou pas continué au retour aux USA. Mais c'est assez controversé.
https://www.sciencedirect.com/science/a … 160100134X
Amicalement
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4790459/
The traditional notion of opioids is immunosuppressive. Recent studies indicate that the role of opioid receptors on immune function is complicated, working through various different mechanisms. Different opioids or opioids administrations show various effects on the immune system: immunosuppressive, immunostimulatory, or dual effect
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28213891
The link between opioids and immunosuppression has been investigated both in vitro and in vivo as well as in patients. However, the results are inconsistent:
Dernière modification par prescripteur (31 mars 2020 à 17:39)
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