Hello, merci de vos réponse. En effet je n'avais pas de réponse sur ce post car il y a beaucoup de post qui parle sûrement d'une problématique à peu près similaire. La
kétamine ayant en effet des proprietés anti-dépresseur avérée qui sont utilisée en traitement comme dernier recours.
Moi je parle plutôt d'un effet calmant je dirais plus qu'anxiolytique, j'ai la sensation que ça me remet un peu les idées claires (enfin le terme n'est peu être pas adaptée quand on connait l'état induit par la
kétamine ^^), mais qui me détache et calme les angoisse la tristesse et la douleur psychologique qui sont souvent des éléments qui brouillent ma pensée.
Oui je consomme seule, comme toute les drogues d'ailleurs, et au jour d'aujourd'hui j'estime ma consommation problématique, surtout de
3MMC en intraveineuse, cela fait un petit moment que j'ai arrté, avec une ou deux rechute mais je suis sur la bonne voie.
J'ai eu une histoire d'addiction à la
kétamine assez violente mais il y a un moment, avec des prise en
IV. J'ai repris un peu « par hasard » de la
kétamine en décembre, et c'était en
sniff à part deux fois en intra-musculaire, et à des doses bien moindres. Mais me connaissant que je sais que toute consommation finira par être problématique, déjà parce que je ne sais pas me contrôler, et parce que c'est «LE » truc qui fera dégommé mon couple, la drogue ayant été un peu comme « la troisième » personne du couple, avec des mensonges, des cachoteries, des engueulades... J'ai malheusement après ce post, repris de la
kétamine mais comme j'avais pris de la
3mmc avant (massivement car ma conso de 3 est très problématique), j'étais épuisée et la
kétamine ne m'a pas réellement fait du bien cette fois-ci, en tout cas rien à voir avec les fois suivantes.
Enfin je fais très attention car je sais que c'est une pente glissante, surtout que oui je consomme seule, avec une tolérance qui grimpe en flèche, et l'on est pas à l'abri d'un accident.
Surtout que j'ai un projet de grossesse, pas tout de suite, mais d'ici quelques années, et donc ça veut dire zéro drogue. Déjà que je suis dans une phase de diminution de mes médicaments (valium et
méthadone) pour lesquelles je vise soit l'arrêt totale, soit les plus petites doses possibles.
Et oui silae je vois bien cette sensation de recul, mais comme du tout on ne peut pas compter dessus sur le long terme, et selon les profils, ça peut tomber dans une consommation pathologique si on a un terrain très propice à l'addiction.
De plus il y a des effets sur la vessie assez dévastateurs.
Bref, voilà pour mon expérience et l'état dans lequel je suis aujourd'hui.