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Dernière modification par Stelli (13 août 2021 à 05:10)
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Isabelle.11 a écrit
Bonjour juste un petit message pour t encourager et te feliciter de ton courage et de ta perceverance tu tiens le bon bout car je suis moi meme sous sub depuis plus de dix ans et je n ai pas ron courage pour arreter a cause de la peur du manque cimme tu dis j ai par contre beaucoup beaucoup diminue dont j en suus fiere d ailleurs mais j ai pas encore le declic pour arreter.En tout cas felicitation et bon courage....
Merci pour bcp tes félicitations et tes encouragements, ça me va droit au cœur !
C'est super que tu aies réussi à baisser, tu tiens le bon bout, ne lâche rien !
Je n'ai pas eu de déclic particulier pour arrêter, c'est surtout une suite d'événements extérieurs qui m'ont motivé à arrêter. Comme quoi sans réel déclic on peut quand même y arriver !
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Sdmk77 a écrit
Bonjour,
Bravo pour ton sevrage !! Ça motive de lire ton message.
Moi même étant ancienne addict à la codé et d'autres substances, depuis deux ans et demi sous buprenorphine (8mg) j'ai commencé mon sevrage mardi j'en suis à mon 3 eme jours et aujourd'hui fut une journée très difficile !!! Sans compter le manque de sommeil et le syndrome de jambes sans repos...
Grosse migraine cet après midi heursement que mon mari et ma soeur sont la pour me soutenir...
J'ai pri un triptan pour mes migraines ca va un peu mieux... j'espère vraiment que ça ira avec les jours parceque pas évident de pas craquer surtout avce cette énorme fatigue et démotivation...
Courage à toi !
Salut,
Galatis, pour réussir son sevrage a quand même baissé doucement jusqu'à 0,2mg...
Je te souhaite ne pas t'être infligé un 8>0mg d'un coup, car ça doit être super dur à vivre et encaisser !
Si le sub ne te convient pas, il y a d'autre molécules pouvant servir de TSO, avec lesquelles descendre doucement avant d'arrêter si on le souhaite...
Perso je trouve que ne pas être trop mal est une condition importante pour que je ne "recraque" pas...
Parce que après le sevrage parfois il y a le PAWS qui suit et on a tout intérêt à ne pas être épuisé...
Bon courage à toi aussi
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Parfois mais pas toujours. Sinon personne ne se sèvrerai jamais.
Pour ce qui concerne les personnes substituées, si le sevrage est bien mené, sur une longue période et avec la méthode des 10%, sans nouvelle consommation, il m'est avis qu'il n'y aura pas plus de PAWS qu'il n'y en avait avant.
Je me suis sevré selon cette méthode après 27 ans de substitution et ce que j’ai constaté c’est le contraire du PAWS, c’est à dire un retour d’énergie et des conditions psychologiques améliorées. Est-ce du au sevrage ou cela s’était-il déjà un peu installé avant et amené l'idée du sevrage, je ne le sais pas.
Quoiqu'il en soit, le PAWS n’est pas automatique et certainement loin de là.
Pour ceux qui sont vraiment motivés par leur sevrage, attention à ne pas considérer le PAWS comme le croquemitaine des usagers d’opiacés.
Ne pensez pas non plus que l'on doive obligatoirement souffir lors de la diminution ou de l’arrêt, et encore une fois si et seulement si vous êtes sûrs de vous, que votre vision de l’existence post-sevrage est claire, ne vous laissez pas limiter par la peur.
C’est un élément à prendre en considération mais pas forcément un frein au sevrage.
Bonne journée.
Dernière modification par prescripteur (13 août 2021 à 09:51)
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Salut,
C'était ça que je voulais appuyer...juste de faire gaffe si c'était un passage direct de 8 à 0 !
Mais en y allant doucement je vois bien que ça passe mieux...après perso moi j'essaie plus de gérer ma conso que de faire un sevrage net, mais c'est des choix personnels...
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cependant a écrit
Salut,
C'était ça que je voulais appuyer...juste de faire gaffe si c'était un passage direct de 8 à 0 !
Oui, je sais que tu sais.
Ce que je voulais rajouter c’est que le PAWS c’est pas comme les impôts ou les feux rouges, on est pas obligé de se le taper.
Je voudrais pas qu'il y ait des usagers, nouveaux ou non, qui considèrent ça comme une fatalité ou qui commencent à le craindre d'une manière irrationnelle .
En attendant c’est bien pour tout le monde d'être informé que ça existe.
Salut cependant, bien à toi.
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NEW101 a écrit
Mon système digestif me joue toujours des tours un an après mais c'est de mieux en mieux, reste la codé a arrêter aussi
Je te cite à cause de la fin de la phrase : "reste la codé à arrêter aussi" !
Mon intervention n'a pas pour but de diminuer la joie que tu montres dans ton processus.
Le but est juste de prévenir que la codéine est un opiacé et que son arrêt peut s'avérer aussi difficile et douloureux que pour un opiacé de niveau 3.
Son arrêt demande les mêmes précautions que pour le Sub ou autre, cad une diminution progressive lente avant l'arrêt, méthode douce, sinon, ça peut être cuisant.
Amicalement
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Dernière modification par Sufenta (07 septembre 2021 à 10:16)
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