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rastaskadjess a écrit
Maintenant, je pense qu'il faudra qu'il trouve la solution pour arrêter pour lui et non pas "juste" pour moi.
Ça viendra avec le temps, j'imagine, de toute façon il faut toujours des motivations extérieures, boulot, copine, gamins, passion, etc etc, parce que arrêter juste pour arrêter, c'est quasi impossible!! Plus que de chercher le "pourquoi" on arrête, c'est plutôt le "comment" qui est important :)
N'empêche, encore une fois, je trouve beaucoup de positif à ce que tu racontes: même si c'est pas facile tous les jours, on voit qu'il veut s'en sortir et toi tu es là pour l'aider, vous parlez, tu essayes de comprendre etc etc
Et puis, le fait de s'éloigner quand une dispute commence pour se calmer, c'est une très bonne manière d'éviter de faire/dire des trucs qu'on regrettera après!! Ca demande déjà une certaine force et prise de distance de pouvoir se dire "maintenant, je vais partir pour me calmer, sinon ça va dégénérer", c'est bien
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lalilloise a écrit
Neamoins chaque fois qu'il vient à Lille voir ses parents (1fx par mois) il passe par le quartier et se fait une défonce.
Perso Je vois pas le problème vu que c'est une parenthèse. Il ne ramène rien chez lui, il ne prend plus ça pour apaiser des angoisses ou faire face aux difficultées.
Waouh, qu'est-ce que j'aimerais pouvoir en arriver à une consommation occasionnelle comme ça en plus, à cette fréquence là , ça doit encore être trop bon à chaque prise
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Akhéane a écrit
Après, je me soigne, avec l'héro justement, parce que les crises de violence sont dues à des moments d'angoisse ou de mal être terrible
Pourquoi ne pas allez consulter unE psy en plus ? Tu comprendras sûrement le pourquoi tu réagi comme-ça et réussira à trouver une solution autre que chimique.
Akhéane a écrit
La tendance addictive, ça partira jamais, faudra toujours faire gaffe, et c'est bien le grand malheur^^
Je pense que tu confond désir et addiction. Ancien polytox, je ne suis plus addict mais lorsque l'occasion se présente et que je sais que je n'ai aucune responsabilité il m'arrive de consommer car ça me manque, mais je ne le prend pas comme une addiction. Ça devient un plaisir.
Akhéane a écrit
Plus que de chercher le "pourquoi" on arrête, c'est plutôt le "comment" qui est important
Je pense que tu te trompes sur ce coup. Beaucoup de personnes arrivent à décrocher mais rechute justement parce-qu'ils n'ont pas travailler en amont le "pourquoi".
Sinon rastaskadjess, à te lire je n'ai pas l'impression que sa consommation soit un problème. Je pense que tu devrais arrêter de te questionner sur ce sujet et le laisser gérer ses prods.
En dehors de tout ceci, qu'est-ce-qui te dérange ?
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mikykeupon a écrit
Pourquoi ne pas allez consulter unE psy en plus ? Tu comprendras sûrement le pourquoi tu réagi comme-ça et réussira à trouver une solution autre que chimique.
Dans l'absolu l'idée n'est pas mauvaise mais ma dernière expérience avec une psy s'est soldée par un échec cuisant, c'était très décevant, donc je vais attendre un peu avant de remettre ça^^
mikykeupon a écrit
Je pense que tu confond désir et addiction. Ancien polytox, je ne suis plus addict mais lorsque l'occasion se présente et que je sais que je n'ai aucune responsabilité il m'arrive de consommer car ça me manque, mais je ne le prend pas comme une addiction. Ça devient un plaisir.
Arf c'est le but qu'à terme j'aimerais atteindre, pouvoir consommer sans en avoir envie le lendemain, mais bon, je n'en suis pas encore là et pour le moment j'ai d'autres chats à fouetter dans ma vie^^
Par contre, je crois que "tendance addictive" est la bonne expression pour dire qu'une fois qu'on a été addict à quelque chose, il restera une faiblesse qu'on traînera toute notre vie de risquer de devenir accro à autre chose ou de retomber dans notre première addiction.
mikykeupon a écrit
Akhéane a écrit
Plus que de chercher le "pourquoi" on arrête, c'est plutôt le "comment" qui est important
Je pense que tu te trompes sur ce coup. Beaucoup de personnes arrivent à décrocher mais rechute justement parce-qu'ils n'ont pas travailler en amont le "pourquoi".
Ne pas confondre "pourquoi on arrête" et "pourquoi on consomme"!!!!! ()
Je disais ça c'est parce que rastaskadjess (arf, compliqué à écrire lol) s'inquiétait que son mec n'arrêtait pas "pour les bonnes raisons", je voulais dire que dans son cas, vu qu'il est déjà arrivé à un résultat, c'est que ses raisons d'arrêter sont bonnes ou en tout cas suffisantes.
Les raisons pour lesquelles il consomme, c'est encore autre chose, l'histoire de toute une vie quoi^^
Après, pour ce qui est de le la problématique du comment arrêter/pourquoi on a commencé à consommer (sonyons préééécis), je crois que, relativisons, relativisons, les deux sont importants. Dans l'urgence, il faut commencer par se préoccuper du comment, c'est à dire commencer un traitement etc etc, et puis, une fois qu'on est sorti de l'urgence, alors on peut/doit commencer à examiner les raisons qui font qu'on es tox.
Les différentes écoles de psychologie se battent pour savoir si c'est l'examen du pourquoi ou l'examen du comment qui vont pouvoir gurérir le patient, perso je crois qu'il faut prendre une perspective d'ensemble.
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Akhéane a écrit
Les différentes écoles de psychologie se battent pour savoir si c'est l'examen du pourquoi ou l'examen du comment qui vont pouvoir gurérir le patient, perso je crois qu'il faut prendre une perspective d'ensemble.
Ils en sont encore là les pauvres. Quelle tartuferie. Bien sûr qu'un être humain ne peut se traiter que dans sa globalité. Remarque que tu écris bien "écoles", ce qui veut dire qu'ils en sont à apprendre sans avoir commencé à comprendre de quoi il s'agit.
C'est là qu'un forum d'usager prends toute sa richesse car il sort de ce cadre d'écoles si bien calées dans leurs petites boites bien gardées.
Là on a les usagers de drogue, ici les Hépatants hépatiques, là les TMD (trouble maniaco dépressif), ici les hyperactifs, sans communication entre les vases.
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rastaskadjess a écrit
Seb par contre ce sent pas pret a aller voir des specialistes et a en croiser d'autres comme lui ou souvent pire que lui dans des salles d'attentes. Yen a t'il d'autres dans cas parmis vous?
Ouais, je peux comprendre, c'est vrai qu'il y a l'effet, quand tu vas dans ces centres, tu sais pourquoi les autres sont là quoi, et y'a fort à parier que tu vas surement en croiser un ou deux qui a de la came sur lui ou qui a un bon plan dans les environs^^
J'avais été voir un psy dans un de ces centres, et il y avait un gars pas loin de l'entrée qui proposait à chaque personne qui sortait ou rentrait dans le centre de lui acheter de la métha Mais bon, c'est arrivé qu'une seule fois et à mon avis, dès qu'ils l'ont capté ils lui ont demandé de partir. Seulement ça faisait une bizarre impression pour la première fois où j'allais voir un psy là -bas
Après, ça dépend surement des endroits, de là où ils sont situés et du public qui les fréquente: tu peux rencontrer autant des personnes en fin de traitement qui veulent vraiment s'en sortir que d'autres qui veulent juste avoir quelque chose pour les jours sans came...
Donc, oui, croiser d'autres (ex-)toxs c'est une tentation comme plein d'autres quoi, si ton copain se sent pas prêt et que le médecin qu'il voit est bon, alors pourquoi changer?^^
Après (je précise sinon on va encore dire que je raconte des choses dangereuses et que je suis entrain de conseiller à tout le monde de n'absolument pas fréquenter des centres/médecin spécialisés dans le domaine ) il y a plein de gens qui arrivent à arrêter grâce à ces centres, et heureusement que ça existe :) Chacun ses méthodes et ses limites quoi^^
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