[ Première fois ]

Premier trip au LSD et questions

Porygon a écrit

Hoffie a écrit

Si tu te poses autant de questions c'est que tu n'est pas prêt pour le LSD.

Il pose des questions pertinantes, et depuis quand il ne faut pas se poser de question pour prendre du lsd ?
Il vaut mieux qu'il demande que de se taper un bad.

Je suis bien d'accord, je suis juste étonné que vous connaissez pas cette phrase... pas besoin de mettre des etoiles rouges pour sa. Je suis au boulot mais je répondrais à  toutes tes questions par la suite bien que beaucoup de tes questions ont déjà  été posées avant.

Hoffie'

Dernière modification par mikykeupon (28 octobre 2016 à  10:03)

Dernière modification par VALD Seigneur (27 octobre 2016 à  14:41)

Porygon a écrit

VALD Seigneur a écrit

Je vois donc qu'au final je n'aurai aucune aide ici

Bien si, pourquoi tu dis ça ?

Bah je dis ça notamment parce que les gens ont fait que dévier la conversation, et ne restent que fixés sur mon âge.
Sérieusement, si j'avais dit que j'avais 23 ans et que j'étais un cadre, on m'aurait déjà  répondu depuis longtemps.
Même si je suis toujours en attente d'une âme charitable (mais surtout motivée) pour me répondre.

J.

Dernière modification par JC (27 octobre 2016 à  16:50)

Porygon a écrit

Hoffie a écrit

Et conseil personnel j'attendrai d'avoir 18 ans.

L'âge n'a rien à  voir, c'est pas parce qu'il attend deux mois que tout cas changer
L'âge n'est qu'une variable et ne définit en aucun ta maturité, ni si tu es prêts ou non à  prendre du LSD

La plasticité du cerveau n'est qu'à  terme entre 18 et 22 ans. J'ai fais 6 ans d'études en pharmacologie et des formations en biologie et chimie organique je connais le sujet sans être vantard. J'ai eu également la chance d'avoir pu synthétiser légalement du 5-MeO-DiPT et du DiPT à  Purdue au US avec le fils du Dr Nichols dans un cadre de recherche sur les diisopropyl. Bref des que je rentre du boulot je répondrais à  tes questions.

Hoffie

Dernière modification par Hoffie (27 octobre 2016 à  17:12)

Hoffie a écrit

Porygon a écrit

Hoffie a écrit

Et conseil personnel j'attendrai d'avoir 18 ans.

L'âge n'a rien à  voir, c'est pas parce qu'il attend deux mois que tout cas changer
L'âge n'est qu'une variable et ne définit en aucun ta maturité, ni si tu es prêts ou non à  prendre du LSD

La plasticité du cerveau n'est qu'à  terme entre 18 et 22 ans. J'ai fais 6 ans d'études en pharmacologie et des formations en biologie et chimie organique je connais le sujet sans être vantard. J'ai eu également la chance d'avoir pu synthétiser légalement du 5-MeO-DiPT et du DiPT à  Purdue au US avec le fils du Dr Nichols dans un cadre de recherche sur les diisopropyl. Bref des que je rentre du boulot je répondrais à  tes questions.

Hoffie

J'attends avec impatience ton post. J'adore la chimie moi aussi. (Bien qu'à  un très très moindre niveau)

Agartha a écrit

-Cette même fille qui nous a trouvé le plan pour avoir un buvard (10€ le buvard) nous a conseillé de prendre tout d'abord 1/4. Et d'après tous les threads que j'ai lu sur ce forum, ça me semble être pertinent. Et de prendre un autre quart 2 à  3h après, si on le sent bien, et de ne pas se "forcer à  le faire". J'ai moi-même répondu à  ma question je pense, mais mieux vaut prévenir que guérir non? (Un petit con de 17 ans qui compte prendre du LSD qui dit ça, ah la la...)

Hello ! 1/4 c'est vraiment pas beaucoup, même si tu as un buvard de 200ug (pas très courant). Je te conseillerais de commencer avec 1/2, histoire d'avoir quand même quelques effets :)

Agartha a écrit

-J'en parle au-dessus ; Je ne connaîtrai probablement pas la concentration en substance(s) active(s). Du coup, j'ai cherché et trouvé une méthode artisanale pour connaître la concentration, et, pour être franc, je suis largement prêt à  "gâcher" un quart pour savoir ce que l'on prend : Ma question, à  votre avis, faisable ou pas?

C'est quoi la méthode? Si c'était aussi facile de connaître la concentration, tout le monde le ferait. Ca me semble un peu farfelu comme idée, mais si tu n'as pas peur de gâcher 1/4 autant essayer.

Agartha a écrit

-On s'est prévu un programme complet, une liste des choses à  préparer à  l'avance, une liste qu'on prendrait avec nous quand on se balade, pour faire un checkout complet des choses essentielles à  toujours avoir sur nous (Téléphone, carte d'identité, weed, etc...). Bref, on est plutôt organisés j'ai l'impression. On a prévu d'aller dans un musée se taper des barres (Et se cultiver ofc), aller à  La Bastille à  Grenoble (pour ceux qui connaîtraient), aller dans des parcs, dans des endroits entourés par la "nature" si je puis dire. On n'a pas forcément prévu de tout faire obligatoirement, juste d'avoir quelques idées sous le coude pour s'occuper et rigoler à  en crever. Du coup je me demandais : Selon vous, votre expérience personnelle, votre vécu, est-ce qu'il y a des choses qui seraient "prohibées"? Genre des phases pas agréables, que beaucoup de personnes auraient vécues et plutôt fréquentes, leurs déclencheurs et leurs solutions.

Votre planning me semble top ! :)
Rien de prohibé sous LSD, tout est cool même ne rien faire. Evitez peut être d'aller dans des endroits avec trop de monde, ça peut être un peu difficile à  gérer avec des grosses doses. Mais vu que vous ne comptez pas en prendre beaucoup, ça devrait aller.

Agartha a écrit

-Fumer des joints et se retrouver sur la voie lactée, bon plan? Est-ce qu'il y a un moment plus approprié qu'un autre pour ça? Ça a un effet de relanceur, ou plus?

Les joints intensifient un peu les effets, donc si vous sentez que vous en voulez encore un peu plus dans les mirettes vous pouvez y aller. C'est sympa en descente aussi, histoire de se poser un peu.

Agartha a écrit

-Il y a deux ans et quelques, en été 2014 (J'avais donc 15 ans 1/2 à  l'époque), je fumais beaucoup (Un de mes potes avait de la New-York Diesel et de la Orange Bud gratuite de son frère, et ouais, même dans des petits villages Alsaciens on a ce genre de bails). Et il s'est avéré qu'à  un certain moment donné, où je fumais environ 8 à  10 joints par jour, j'ai eu une période de 2-3 jours où j'avais un peu l'impression de devenir schizophrène ; A chaque action que je faisais, j'avais l'impression que quelqu'un m'avait ordonné de la faire, alors même que cette "personne" me   "parlait" après avoir effectué ne serait-ce que le moindre mouvement). Assez weird, et après ça, j'ai arrêté de fumer pendant 2 ou 3 mois, et c'est passé. J'ai jamais plus eu de problèmes de ce genre. Tout ça pour vous demander ; On a prévu d'être complètement à  jour niveau du taff', d'être dans une ambiance des plus optimale. Cependant les bad-trips sont, apparemment, monnaie courante. Quels déclencheurs? Que faire si ça arrive, encore une fois, d'après votre vécu et vos expériences personnelles? (J'en profite pour vous dire que j'ai conscience que les expériences sont uniques, ainsi que leurs maux et leurs solutions, mais quand même, ça me semble pertinent.)

Les bad trips, ils arrivent quand on a peur qu'ils arrivent. C'est en général une angoisse à  la con qui prend des proportions démentes. Deux trucs utiles à  se rappeler pour ne pas faire de bad trip :

1. Se rappeler qu'on a pris de la drogue
2. Se rappeler que les effets vont s'arrêter dans les heures qui viennent

Il est possible qu'à  un moment vous vous disiez que vous êtes en train de devenir fous et que vous n'allez jamais redescendre. C'est la drogue qui parle. Vous allez bel et bien redescendre, et vous n'êtes pas en train de devenir fous.

Agartha a écrit

De famille, notamment ma mère et moi, avons des migraines occasionnellement ; Pour ma part, c'est soit une migraine intense qui surgit subitement, soit à  cause de mes petits yeux fragiles qui forcent trop pour apercevoir ce beau monde qui nous entour. J'ai donc, et ma mère aussi, des codéinés à  portée. Est-ce que ça peut être utilisé en guise de calmant? Pour une personne comme moi qui en ai déjà  pris, et pour une personne comme F., qui m'accompagnera et qui n'en n'a jamais prit.

Alors là  aucune idée, mais à  priori je dirais qu'il n'y a pas de problème de mélange entre opiacées et LSD. Au pire si tu as mal aux yeux mets des lunettes de soleil :)

Agartha a écrit

Une sensation de "chauffe" ou tout autre déformations des perceptions liées à  la température ambiante et corporelle semblent êtres monnaie plus ou moins courante ; Prévoir beaucoup d'eau (Et un peu de bouffe aussi, genre des snacks) semblent être importants, non?

Beaucoup d'eau ça dépend de ce que vous faites, mais buvez de l'eau régulièrement oui. Et quelques snacks c'est toujours pratique, vu que cuisiner sous LSD c'est un peu la galère. Un bon sandwich ça passe très bien, c'est en général ce que je prévois.

Agartha a écrit

J'y viens donc à  la nourriture, j'ai lu que pour une expérience optimale, il est idéal de ne pas être à  jeun, mais aussi de ne pas avoir mangé trop lourd après : Après combien de temps après le repas est-ce idéal de prendre la dose?

J'ai jamais entendu ça concernant le LSD, contrairement à  la MDMA par exemple où ce que tu as avalé avant de gober compte pas mal. Mais dans le doute prévois de prendre ton buvard 1h après avoir pris ton repas.

Agartha a écrit

On finit les cours à  13h ce fameux vendredi 04/11. On a prévu de manger vers 13h15, assez light genre une salade, une soupe, une connerie dans le genre, et de prendre la dose à  la 14ème heure de cette douce journée. A votre avis, on sera pas trop "décalés" post-trip selon vous?

Si vous prenez à  14h vous risquez d'avoir du mal à  dormir avant 2h du matin, mais bon au pire le lendemain c'est un samedi donc c'est pas très grave. Quand je prends du LSD je sais que je vais pas réussir à  dormir dans les 14h qui suivent, mais ça dépend des gens, de la dose, de ton état de fatigue, etc.

Agartha a écrit

J'ai lu pas mal de trucs sur les hallucinations et autres dingueries qui resteraient très longtemps post-trip, comment l'éviter, est-ce que c'est arrivé à  beaucoup de gens? Comment se rassurer?

Légende urbaine, à  moins de prendre des doses énormes tes hallucinations ne vont pas rester.

Amusez vous bien ! :)