Ma relation avec l alcool

Je m exprime mal j espère que vous m avez compris je suis pas trop agin?

il ne te viendrait pas en tête d'essayer l'expérience, je dis bien l'expérience (donc être fier après ça d'avoir fait ça) d'arrêter + de temps que d'habitude, le tout dans un état d'esprit positif ?

car entre toi et moi je sais pas si tu en est conscient mais tu risque de regretter tes choix plus tard, tu semble têtus et qui l'est finis souvent en tort, boire quotidiennement pense tu que c'est l'option ?

tu n'aimerais pas avoir dur un bon moment pour être libre apres ? ou alors est vraiment insuportable au point de ne pas avoir la force de faire ça pour ta copine ? jusqu'ou est tu pret a te privé et te battre ?

quel age à tu ? tu me semble encore jeune, dans la vie il faut être fort, se privé, prendre des choix
si tu succombe aussi rapidement au oui je vais boire sa risque d'être compliquer

ont peut pas vraiment t'aider la dessus précisément car beaucoup de facteurs entre en compte et il y a besoin de savoir beaucoup + de parammetres
une chose a dire : force à toi et calme, il faut s'occuper et apprendre a aussi aimer la vie tel quel

Dernière modification par supermoon11 (17 avril 2018 à  09:12)

Xtc420 a écrit

J'ai 22ans l effet que l'alcool me fais dépend defois je peux être cassé fatigué tête qui tourne ou defois je peux être casse couilles où l alcool sociable je parle de tous est n'importe quoi je suis joyeux c'est cette phase que je préfère j'ai déjà eu l'alcool agressif bref je passe pars plusieurs phases ça dépend de mon état d esprit avant de consommé mais je suis près à faire un sevrage pour gardé ma copine mais c'est dur quand y a une dispute j aphone mes verres ou prend 4 somnifère d'un coup pour être tranquille et me réveillé le lendemain à 18h mais ça arrange rien le lendemain ça repart en couilles cars j'ai dormi toute ma journée et je la laisse seul je me demande comment elle peux supporté tous ça j'ai des réaction d ados mais elle est vraiment à bou elle supporte plus si je continue je suis à deux doigts de la perte j'ai pris pas mal de drogues dur mais je supporte pas les décentes elle ma déjà vu en mode zombi juste descendre au salon pour allé pisser puis passé toute la journée dans la chambre à chialer comme un gosse bref elle à du supporter vachement de moi elle à du courage je suis conscient qu'elle m'aime mais l'amour fais pas tous si je me calme pas je vais la perte et si je la pert j'ai vraiment peur de la décente au enfer sans elle j'aurais déjà passé à l héro...

Hello,

Ces informations supplémentaires que tu nous donnes précisent un peu les choses, mais j'ai l'impression qu'en creux il y a pas mal d'autres trucs que tu ne mentionnes pas et qui pourraient expliquer tes consos. Et je ne te demande pas de nous les raconter, il s'agit juste de suggérer que tu dois les prendre en compte.

Vous vous disputez à cause de l'alcool (et éventuellement d'autres substances puisque tu mentionnes la weed), ou bien est-ce parce que vous vous disputez que tu te jettes sur l'alcool ou les somnifères? Ce n'est pas tout à fait la même chose, même si ça peut aussi être un cercle vicieux : disputes --> alcool ou somnifères --> HS le lendemain --> dispute. Ce n'est pas très clair dans ce que tu dis, d'autant que tu indiques avoir l'alcool gai, rarement agressif, etc.

En gros, est-ce que tu as véritablement un problème avec l'alcool, ou est-ce que c'est plutôt au départ un problème relationnel ou de mal-être ou autre qui te conduit à l'alcool ce qui derrière empire le relationnel et le mal-être?

J'insiste un peu parce que c'est frappant finalement, tu ne considères pas vraiment avoir un problème avec l'alcool au départ si tu te positionnes de ton point de vue, mais dès que tu adoptes le point de vue de ta copine tu te bats la coulpe et admets un grave problème, et l'on ne sait pas si tu ressens la gravité du problème ou seulement t'angoisse des éventuelles conséquences: être abandonné.

Effectivement c'est évident que le côté zombie éploré toute la journée le lendemain n'est pas normal et indique qu'il y a eu un abus la veille (mais sûrement davantage que juste l'abus de substance), mais tu donnes l'impression de sombrer dans un schéma auto-entretenant d'anxiété où l'anxiété appelle à la consommation de substances qui derrière la font redoubler et du coup tu n'en sors pas. A te lire tu sembles extrêmement stressé.

Je ne sais pas trop comment on peut t'aider car il faudrait que tu puisses sortir de cette logique qui semble découler d'une double dépendance destructrice, relationnelle (tout, trop attendre de ta copine) et aux produits psychoactifs (escompter qu'ils fassent s'évaporer les problèmes).

Le truc serait peut-être d'aller chercher de l'aide à l'extérieur, d'aller en parler à un médecin de confiance, ou de faire la démarche d'aller en CSAPA où tu auras une écoute bienveillante et accès à différents professionnels. L'idée serait de te permettre de commencer à reprendre confiance en toi, à te redresser en quelque sorte, pour pouvoir affronter sans angoisser quelques difficultés avec lucidité pour éviter de sombrer dans les très grosses.

C'est juste mon point de vue extérieur, je ne sais pas ce que tu en penses.

Oui, alors raconté comme cela c'est vraiment sérieux. Le seul point rassurant c'est que cela ne dure pas depuis longtemps, donc plus rapidement tu agiras plus tu minimisera les conséquences physiques.

Comme visiblement tu n'as pas tout à fait conscience, ou insuffisamment, des conséquences de la consommation abusive d'alcool, en dehors des conséquences sociales et comportementales, tu pourrais mieux cerner l'ampleur du problème et renforcer ta motivation à te soigner en faisant des recherches sur les risques associés à l'intoxication aigue, l'intoxication chronique, l'installation de la dépendance physiologique, les risques psychiques et les complications neurologiques, l'impact sur les voies digestives et sur le foie, l'impact sur le statut nutritionnel, mais aussi sur toutes les complications associées au sevrage alcoolique, dont le delirium tremens, mais aussi le phénomène de rekindling en cas de sevrages répétés.

Un des problèmes avec l'alcool, c'est que sur le long terme ça stresse énormément, donc en auto-soignant ton anxiété avec l'alcool tu ne fais que l'aggraver, tout en ajoutant un tas d'autres problèmes, certains dont tu auras certainement conscience s'ils se manifestent, sans nécessairement réaliser que c'est l'alcool qui en est à l'origine.

Même si cela ne dure que depuis peu de temps - mais tu t'es initié jeune à l'alcool-, si tu t'alcoolises de façon massive quotidiennement du matin au soir, une tentative de sevrage brutale et isolée, c'est-à-dire suivie très à distance par un médecin qui t'a prescrit des anxiolytiques, peut-être très dangereuse (au pire: risque de delirium tremens et d'encéphalopathie alcoolique), et tu expliques bien que tu as déjà essayé le sevrage en ambulatoire et a échoué, puis que tu n'as pas la force de te relever tout seul. Alors peut-être qu'il ne faut pas faire de catastrophisme et qu'à l'heure actuelle tu ne cours pas ce danger lié au sevrage, mais plus tu prolongeras ton abus d'alcool plus le risque augmentera.

Je comprends qu'à l'heure actuelle tu espères sans trop y croire que la relation avec le psy seule puisse résoudre l'abus d'alcool, mais c'est un pari franchement aléatoire si tu ne trouves pas la moindre force ou motivation au fond de toi. C'est bien de consulter un psy, mais il ne pourra pas faire de miracles seul, si tu règles d'abord ton problème d'alcool tu pourras derrière bien mieux profiter de la thérapie que tu mettras en place avec ton psy, avec de grandes chances de succès (y compris le maintien de l'abstinence alcoolique).

Aux grands maux les grands moyens. Tu as des problèmes avec la justice qui t'imposent des obligations dans un avenir proche, mais dans ton cas un sevrage sous surveillance à l'hôpital, pour aller sans danger jusqu'au bout du sevrage tout en étant totalement encadré, me semble une solution intéressante. Je ne sais pas comment on peut obtenir cela, peut-être que certains membres en ont une idée plus concrète que moi. Eventuellement en se pointant aux urgences pour un sevrage alcoolique.

Hello Xtc240,

Je vois bien tes réticences, je ne pensais pas à un séjour en hôpital psychiatrique, mais à un sevrage alcoolique hospitalier, plutôt dans un hôpital avec un service d'addictologie. Pour que tu puisses profiter d'un suivi médical complet.

http://www.alcool-info-service.fr/alcoo … alcoolique

J'ai eu aussi les symptômes que tu as eus lorsque j'ai arrêté l'alcool, même sous une forme peu marquée pour certains d'entre eux, cela m'a suffisamment inquiétée pour que quelques jours après j'aille consulter un médecin généraliste pour en discuter. Ces symptômes sont une indication de dépendance à l'alcool. Derrière cela peut dégénérer en DT ou non. Plus tu accumules les sevrages successifs, plus tu as de chances que le suivant se passe plus mal que le précédent. Le fait que ce soit bien passé dans le passé de ton point de vue n'est pas une indication que tu n'es pas à risque.

Prends soin de toi

Xtc420 a écrit

J'y songerait mais je vais d'abord essayer avec le psy et normalement je suis obligé d aller au alcoolique anonyme à cause de ma médiation pénal ça pourrais m aider aussi mais je stress à mort... Je suis déjà agarophobe ça aide pas on verra bien comment ça se passe de toute façon j'ai pas le choix sinon c'est quelques semaines de prison... si tous ça fonctionne pas j irai me faire hospitalisé mais ça me fais peur...

Les AA? Mais c'est une secte! Et c'est la justice qui t'y envoie? Tu n'es pas en France tout de même?

Au secours !

Espaces tes phrases, fais des paragraphes, mets des virgules.
J'ai même pas eu le courage d'aller au bout avec ce manque de structure.

Un peu d'organisation ça fait énormément de différence.
Un retour à la ligne et on retrouve le sourire.

Merci.

Anonyme1756 a écrit

Xtc420 a écrit

Non je suis en Belgique est oui c'est la justice qui m envoie labas...

Personnellement je ne suis pas très favorable à ces entreprises que je trouve infantilisantes, sans base scientifique mais avec un épais socle idéologique; et autant cela ne me gêne pas lorsque ça part d'une initiative personnelle (un peu comme la religion), autant lorsque c'est plus ou moins prescrit par la justice - plus ou moins parce que tu avais au moins une alternative ...  Bref.

C'est fait, tu n'as plus le choix, et c'est quand même plus constructif que la prison. Cela aura le mérite de te permettre d'échanger avec d'autres usagers, ne serait-ce que de les écouter, et d'avoir un regard extérieur sur le sujet ; je parle de ton regard sur les autres usagers.

Même si je te souhaite de trouver en toi-même les ressources morales qui déclencheront un déclic, réfléchis à l'hôpital ou autre type d'établissement spécialisé; beaucoup considèrent l'alcool comme une drogue dure, plus dangereuse que bien d'autres substances que l'on nomme "drogues dures"et certainement pour certains consommateurs il l'est vu les dommages que l'alcool occasionne et la difficulté à s'en défaire.

Je vais y réfléchir sérieusement,

J essaye de moi même d abord si cela ne fonctionne pas j irai voir pour une hospitalisation

C'est pas possible que je reste dans cette état je vie plus je survie et ça crée beaucoup de conflit dans mon couple j'ai pas envie de perte ma copine pour de l alcool

Merci de tes conseils en tous cas ça fais plaisir :)

Je te souhaite du courage pour remonter la pente l'ami ! J'ai le même âge que toi donc ton histoire me touche. Grosse pensée pour toi ! Hésite pas à venir nous faire part de ta situation, tu sembles réaliser que tu es sur une pente très savonneuse et c'est l'important ! Le deuil du père est toujours une phase très dure chez un jeune homme. Je pense qu'une fois que tu auras réglé ça, et sûrement d'autres soucis qui te procurent du mal-être quand tu es sobre, tu diminueras tout seul tes consos au fur et à mesure... Mais il est clair que pour ta santé physique et sociale, il est préférable que tu ralentisses pour l'instant avant d'avoir trouver une certaine stabilité. Car comme tu le constates, mettre sous les tapis ces histoires ne fait qu'accumuler la poussière...

C'est pas simple j'en conviens totalement, je tiens pas à te faire culpabiliser de le faire évidemment, mais la vie vient avec ses mauvais côté et ses bons côtés. Et des fois, même si c'est très dur, il faut prendre le temps de voir le côté sombre des choses pour pouvoir au mieux remonter. Je pense que trouver un psychologue qui sera à ton écoute te sera d'une très bonne aide !

Bon week-end à toi en tout cas :)

Salut je viens donner des nouvelles,

Pour l instant le plus dur c'est l envie de boire les tremblements la transpiration l anxiété où la nervosité avec la boule au ventre impossible à dormir même avec un somnifère j'ai l'impression de devenir fou j'ai des gros coups de cafard, des angoisse

J'ai plus vraiment d appétit j'ai des nausées je suis fort irritable je pensais pas que ça allais être aussi dur je suis à deux doigts d aller prendre le bus demain pour allé chercher à boire mais je vais être plus fort que ça je vais résisté avec les jours les symptôme vont s atténué fin je l'espère...

Anonyme1756 a écrit

Xtc420 a écrit

Salut je viens donner des nouvelles,

Pour l instant le plus dur c'est l envie de boire les tremblements la transpiration l anxiété où la nervosité avec la boule au ventre impossible à dormir même avec un somnifère j'ai l'impression de devenir fou j'ai des gros coups de cafard, des angoisse

J'ai plus vraiment d appétit j'ai des nausées je suis fort irritable je pensais pas que ça allais être aussi dur je suis à deux doigts d aller prendre le bus demain pour allé chercher à boire mais je vais être plus fort que ça je vais résisté avec les jours les symptôme vont s atténué fin je l'espère...

Bonjour Xtc240,


Tu parlais de 10 bières de 50cl par jour, ce qui même à 5% d'alcool correspond à 200g d'alcool par jour ce qui est ultra élevé. Et d'après ton avant-dernier message, tu n'as pas bu depuis samedi soir donc est en sevrage depuis moins de 36h si je comprends bien?

Cela ne me semble pas anormal que tu aies ce genre de réaction violente au sevrage. C'est assez typique, avec l'intensité qui correspond aux excès passés. Ton cerveau et ton corps qui s'étaient adaptés à l'alcool sont subitement totalement déréglés et ça part dans tous les sens. Idéalement il faut que tu boives beaucoup d'eau pour hydrater ton corps, te force à bien manger malgré les nausées (pour apporter des nutriments utiles à ton corps car pendant l'excès alcoolique tu as sûrement eu un régime alimentaire carencé compensé en calories par l'apport d'alcool), et prenne des vitamines (B1 surtout). Si tout se passe bien les symptômes devraient s'atténuer chaque jour qui passe mais peuvent se poursuivre pendant une dizaine de jours. Le craving c'est autre chose, mais s'il perdure, ce sera dans la tête.

TOUTEFOIS, ce serait beaucoup plus prudent que tu consultes un médecin, ou ailles te présenter aux urgences de l'hôpital : là on peut te proposer un traitement anxiolytique adapté, et s'assurer que tu es bien alimenté en vitamines (B1 en particulier), eau et autres nutriments, au besoin on te mettra sous perfusion. Au pire tu peux téléphoner à un numéro d'urgences médicales (type SAMU en France), évoquer tes symptômes et voir ce que l'on te conseille pour la suite du sevrage.

L'autre possibilité, si les symptômes s'intensifient ou empirent, pour réduire les risques, c'est de reprendre un peu d'alcool mais tu pourrais te laisser entraîner à en reprendre beaucoup trop, arriver à maîtriser la quantité ingurgitée pour rester dans une logique de sevrage demande peut-être encore davantage de volonté qu'un arrêt brutal. Certainement même...  Ce serait dommage, tu montres que tu es très motivé et que tu as la volonté d'arrêter. Tu as entrepris quelque chose de très dur et difficile qui est de se sevrer tout seul...

Pour le sommeil je ne sais pas trop quoi te conseiller, sinon d'essayer d'exploiter toute occasion de repos, même en journée, si tu sens que ton corps va s'autoriser à s'assoupir. Eviter le café et autres excitants... C'est vraiment temporaire mais ça peut durer plusieurs jours c'est sûr.

Je te mets les liens vers ce site très bien fait que tu connais sûrement:

Symptômes de sevrage

Les risques de l'arrêt brutal

Surtout surtout: boire, boire de l'eau, manger, prendre des vitamines (à acheter en pharmacie par exemple), et si tu sens que cela dégénère, si tu as des hallucinations par exemple, tu contactes des services médicaux tout de suite.

J'espère que tu auras réussi à un peu dormir, et bon courage, on pense à toi en ces moments éprouvants.

IILE

Oui j'ai réussi à dormir 3h mais je suis encore fort fatigué et je me suis réveillé dans un lit rempli de transpiration c'est pas agréable...

Je bois déjà beaucoup d'eau mais pas mal de café aussi je vais diminuer mais le café c'est une drogue pour moi aussi j'ai besoin de ma tasse du matin

Je viens de prendre un anxiolytiques les tremblement semble s atténuer et je suis plus aussi agité mais j'ai toujours cette boule au ventre je me sent tous faible comme si je venais de faire 2jours de nuit Blanche j'ai des vitamine à dissoudre dans de l'eau ils contienne de la vitamine b1

J'ai pas le soutien de ma copine elle ma dis moi j'ai bien arrêté de boire j'ai pas fais tous se cinéma j'avais pas tous les symptôme que tu décrit pourtant elle voie bien que je suis pas bien comme si j inventer mes symptôme elle me prend pour un hypocondriaque...  bref c'est compliqué

Anonyme1756 a écrit

Xtc420 a écrit

Oui j'ai réussi à dormir 3h mais je suis encore fort fatigué et je me suis réveillé dans un lit rempli de transpiration c'est pas agréable...

Je bois déjà beaucoup d'eau mais pas mal de café aussi je vais diminuer mais le café c'est une drogue pour moi aussi j'ai besoin de ma tasse du matin

Je viens de prendre un anxiolytiques les tremblement semble s atténuer et je suis plus aussi agité mais j'ai toujours cette boule au ventre je me sent tous faible comme si je venais de faire 2jours de nuit Blanche j'ai des vitamine à dissoudre dans de l'eau ils contienne de la vitamine b1

J'ai pas le soutien de ma copine elle ma dis moi j'ai bien arrêté de boire j'ai pas fais tous se cinéma j'avais pas tous les symptôme que tu décrit pourtant elle voie bien que je suis pas bien comme si j inventer mes symptôme elle me prend pour un hypocondriaque...  bref c'est compliqué

Oui, le réveil en nage avec les draps et oreillers détrempés c'est désagréable et cela peut inquiéter mais c'est juste l'histoire de quelques jours.

Oui, comme le café est un excitant il peut amplifier certains symptômes ou contrecarrer leur apaisement (et l'effet des somnifères). Tu peux essayer le déca (j'en bois des tonnnes) mais ce n'est pas tout à fait pareil c'est sûr...

3 heures de sommeil c'est mieux que rien mais ce n'est pas beaucoup, cela peut expliquer ton état de faiblesse, et c'est normal que tu sois fatigué et peut-être te sentes comme si tu étais malade.

Je ne sais pas comment tu peux expliquer les choses à ta copine... si elle n'est pas réceptive... Chacun a une histoire différente de consommation d'alcool, l'expérience de sevrage d'une personne ne peut pas préjuger de celle d'une autre (j'ai envie de dire que c'est le degré zéro de la réflexion), et de toute façon il est parfaitement établi que le sevrage alcoolique peut être très violent lorsqu'on en est devenu physiologiquement dépendant (tout le monde ne le devient pas, et pas dans les mêmes proportions). Peut-être peux-tu l'orienter vers des sources officielles, l'inciter à lire des explications sur internet qui décrivent précisément les symptômes possibles du syndrome de sevrage alcoolique... Il est possible aussi que le fait que tu sois habitué aux benzodiazépines agrave tes symptômes (pas le fait que tu en prennes maintenant, mais que tu en aies souvent pris dans le passé).

En tout cas il est certain que tu n'es pas hypocondriaque; c'est vraiment un moment à passer, même si ce moment peut se prolonger au-delà d'une semaine. Après, petit à petit, tu te sentiras mieux, tu dormiras mieux et te réveilleras en bien meilleure forme qu'avant, tu auras plus d'énergie dans la journée, meilleur appétit, meilleur mine, une meilleur capacité de concentration, sans compter l'amélioration de tes relations avec les autres, enfin plein de bénéfices qui valent le coût de perdre une semaine ou 10 jours pourris, de passer ce cap très pénible, pour profiter de ce qu'il y après.

Continue à rester indulgent avec toi-même pendant cette période, le sevrage est ton objectif immédiat, c'est une épreuve pour le corps et l'esprit et ce n'est pas la peine de te mettre la pression pour d'autres choses en même temps. Une fois que tu auras atteint l'objectif principal tu en sortiras plus fort et pourras t'attaquer au reste. Peut-être que ta copine peut comprendre cela et montrer davantage d'indulgence...

En tout cas je suis plutôt impressionnée par ta détermination et ta volonté. :)

Je peux lui montré ce que je veux elle le crois pas même quand c'est des sources officiel elle est têtu mais bon pas grave je vais prendre sur moi sinon ça va finir en dispute si je lui parle encore de ça...

En tous cas merci de tes conseils ça fais du bien un peu de soutient :)

Anonyme1756 a écrit

Coucou Xtc420, comment ça va aujourd'hui?

Salut, J'ai craqué je suis revenu en bus en ville pour allé chercher à boire j'en pouvais plus fallais que je décompresse sinon j allais explosé ces derniers jours à été mouvementé beaucoup de dispute avec ma copine plus le sevrage l irritabilité qui à fais beaucoup qu on se dispute, mais je vais pas reboire tous les jours je bois un peu aujourd'hui et je stop mais j'ai quand même 13 bière à ma disposition...

J'ai tenu que 3jours j allais explosé et je peux être très dangereux quand j explose du genre à mettre ma vie en danger après mes 13 bières je recommence en espérant tenir plus cette fois si...

Dernière modification par Xtc420 (25 avril 2018 à  09:20)

Anonyme1756 a écrit

Xtc420 a écrit

Salut, J'ai craqué je suis revenu en bus en ville pour allé chercher à boire j'en pouvais plus fallais que je décompresse sinon j allais explosé ces derniers jours à été mouvementé beaucoup de dispute avec ma copine plus le sevrage l irritabilité qui à fais beaucoup qu on se dispute, mais je vais pas reboire tous les jours je bois un peu aujourd'hui et je stop mais j'ai quand même 13 bière à ma disposition...

J'ai tenu que 3jours j allais explosé et je peux être très dangereux quand j explose du genre à mettre ma vie en danger après mes 13 bières je recommence en espérant tenir plus cette fois si...

Salut, ne te décourage pas. Je t'ai envoyé un MP.

J'arrive pas à t envoyer d mp y a pas un autre moyen que je puisse te parlé en privé ?

Anonyme1756 a écrit

Xtc420 a écrit

Salut, J'ai craqué je suis revenu en bus en ville pour allé chercher à boire j'en pouvais plus fallais que je décompresse sinon j allais explosé ces derniers jours à été mouvementé beaucoup de dispute avec ma copine plus le sevrage l irritabilité qui à fais beaucoup qu on se dispute, mais je vais pas reboire tous les jours je bois un peu aujourd'hui et je stop mais j'ai quand même 13 bière à ma disposition...

J'ai tenu que 3jours j allais explosé et je peux être très dangereux quand j explose du genre à mettre ma vie en danger après mes 13 bières je recommence en espérant tenir plus cette fois si...

Salut, ne te décourage pas. Je t'ai envoyé un MP.

Je vais resté bref merci de ton message ta une bonne vision des choses pour acquérir le bonheur ou être en paix avec soie même

Le problème que ma copine me soutienne pas trop dans mon sevrage c'est qu'elle traverse une phase difficile aussi je dois être là pour elle lui donner beaucoup d attention mais quand je suis en sevrage je suis centré sur moi même mes mal être ect déjà en temps normal je suis égocentrique quand je suis en sevrage c'est encore pire

Oui je devrais arrêter l alcool pour moi même est pas pour les autres du moin pour retrouver un travail c est déjà une cause principal que j'ai perdu mon ancien travail et plus avoir cette culpabilité ça sera que du bénéfice si j'y arrive le plus dur c'est le début  :)