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- Rove
- Nouveau Psycho
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- Inscrit le 16 Apr 2018
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En deuxieme journée de sevrage de morphine ce matin vers 8h je prends 40mg de metha mais rien presqu' aucun soulagement sauf la force mentale de sortir faire des courses.
J y achete une bouteille de pastis et moi qui d habitude déteste les effets de l alcool.
La une forte dose a 10h mais fait un bien fou et m a coupé le manque!
L alcool peut il aider a calmer les souffrance d un sevrage opiacés?
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Dans ce cas pourquoi ne pas augmenter la metha et faire de la substitution carrément ?
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- Rove
- Nouveau Psycho
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- Mascarpone
- Vieux clacos corse pas coulant
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Pour te répondre sur l'alcool:
Moi, perso, qui ne bois quasi jamais d'alcool, il m'est arrivé, alors que j'étais grave en manque et sans aucune possibilité sur le moment de me soulager avec autre chose, de me souler pour au moins réussir à dormir et...Ca marche! J'avais pu dormir quelques heures. Par contre, le réveil était pas folichon...Limite, j'avais l'impression d'être encore plus mal...
Mais j'ai un pote qui parfois, décrochait comme ça, en se mettant une caisse tous les soirs en loucedé (à l'époque, il vivait chez ses parents et ne pouvait pas montrer qu'il était en keum...Il attendait qu'ils soient couchés et tapait dans le bar...)
Le truc où il faut faire bien gaffe, c'est de ne pas y prendre gout, en en faisant une habitude...Sinon, c'est le risque de laisser une addiction pour une autre (et souvent, plus délétère à la fin).
Alors, l'alcool, dans les 1ers jours, oui, ça peut aider, mais pas plus que pour passer le cap le plus hard physiquement.Et, par contre, évites de mélanger avec la métha, car ça, ça peut être trés dangereux.
Bon courage!
Qui pète plus haut que son cul, fini par se chier dessus!
Le pire con, c'est le vieux con, car on ne peut rien contre l'expérience!
Ce qui est bien chez les félés, c'est que de temps en temps ils laissent passer la lumière!
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- Rove
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Bonjour
Enfin j ai pu arrêter de travailler, enfin : Sevrage !
Jai quitté le sub cela fait 3 mois je l ai baissé jusqua a arriver ~3mg quand jai arrêter.
Puis Opium pendant 2 mois, puis moscontin 300mg par j. Puis les derniers jours, dont Dimanche 26 17h :
Dihydrocodeine a 400mg plus 1g de brown du sud donc degueu... pour aller bosser
(Donc voila ou j en été niveau tolérance lors de l arret.)
Lundi 27 : 19h Horrible, il est bien la, bien installé le manque...
Surement vers 22h 180mg de dihydrocodeine + valium , Zolpidem..
Nuit assomée cest du temps de gagné !
Mardi 28 : 8h reveil atroce
40mg de méthadone en gellule
10h : tres tres peu d amélioration physique mais la force mentale de sortir du lit , de chez moi faire des courses en manque total soit..
Alors que je ne bois pas une goutte d alcool depuis des années , j ai acheté une bouteille de Ricard
Ducoup 11h Grosse cuite ( 2 verres de pastis bien dosés... lol)
Euohorie .... plus aucun frisssons et tous ca surpris et trop content puis ... complètement Ko ! Tant mieux le temps passe.
Mercredi 29 : 08h 10h pareil grosse chauffe et bedo qui me font passer le manque avec la chaleur du pastis
Aprem coke ........ ( jaime pas ca , c est chimique, toxique jtrouve et grol mal de cranne)
Jrentre pareil jmassome ac bedos ......
Jeudi 30 : Super reveil avec amélioration physique ressenti comme si la nuit bien en keum mavait fait suée le gros du manque des opiacés) Amélioration psycho aussi , je sors mais ricard bedo valium et puis jsuis rentrer.
Bref je sais plus quoi penser , jai clairement ressenti quil y avait plus de metha en moi mercredi soir.
Toujours pas repris de metha alors que jai des fioles ducoup je m etonne de ce sevrage c est l un des des moins douloureux, et le dernier en date a des bonnes doses de morphine.
Esque j aurais switcher hasardement bien ac le sub puis l opium , la morphine , la dihydrcodeine, héro et trama mon corps ne sait meme plus a quelle opiacés il est accro.
Bon apres ok tolérance croisé des opiacés.
Alors est-ce alcool qui rend ce sevrage si facile ?
J ai l impression que le plus dur physiquement est deja passé ?
Courage a tous ceux qui se sevrent, diminue en cette fin d été !
Amicalement
Rove
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Mascarpone a écrit
Salut,
Pour te répondre sur l'alcool:
Moi, perso, qui ne bois quasi jamais d'alcool, il m'est arrivé, alors que j'étais grave en manque et sans aucune possibilité sur le moment de me soulager avec autre chose, de me souler pour au moins réussir à dormir et...Ca marche! J'avais pu dormir quelques heures. Par contre, le réveil était pas folichon...Limite, j'avais l'impression d'être encore plus mal...
Mais j'ai un pote qui parfois, décrochait comme ça, en se mettant une caisse tous les soirs en loucedé (à l'époque, il vivait chez ses parents et ne pouvait pas montrer qu'il était en keum...Il attendait qu'ils soient couchés et tapait dans le bar...)
Le truc où il faut faire bien gaffe, c'est de ne pas y prendre gout, en en faisant une habitude...Sinon, c'est le risque de laisser une addiction pour une autre (et souvent, plus délétère à la fin).
Alors, l'alcool, dans les 1ers jours, oui, ça peut aider, mais pas plus que pour passer le cap le plus hard physiquement.Et, par contre, évites de mélanger avec la métha, car ça, ça peut être trés dangereux.
Bon courage!
C'est exactement ce qui m est arrivé : je décroche de plusieurs années de metha. Très fier et content de moi. Passer de 5mg à zéro. Erreur fatale j'ai plongé dans l alcool à grande brassée.
Une bouteille de whisky par jour en loussdé aussi j'étais avec femme et enfants.
Au bout d un an je reprends la méthadone pensant me débarrasser de l alcool. 2ème grave erreur. Me voilà sous metha de nouveau + une p****n d addiction à l alcool.
J'ai ramé pendant des années, fais des conneries et je me retrouve seul, sans amis, plus de femme, ni permis etc...
J'ai mis des années pour en finir avec l alcool. Enfin... J arrive à dire non quand il faut et surtout je n'ai plus de consommation régulière avec l alcool.
Fais bien gaffe à ne pas tomber dans ce piège.
Amicalement
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Et je ne suis pas du tout étonné d un sale réveil l'ayant vécu : gueule de bois + en manque au réveil. Pas glop
D ailleurs, ayant mis un bon frein à ma consommation d alcool, à chaque réveil ma gélule de méthadone est retirée du blister et à portée de main sans bouger du lit, sur mon petit meuble qui me sert de table de nuit.
Je l avale dès que j'ouvre un œil et j essaye de me rendormir le temps que la gélule commence à faire effet
Sans cette "routine" j'ai frissons, sciatique (c'est un autre problème) mais ça ne me le faisait jamais quand je consommais encore régulièrement de l alcool.
Pourtant au coucher 1/2 valium 10 + 40 goutte de Théralène.
Parfois les insomnies persistent comme cette nuit. J'ai dormi 3-4h et me revoilà bien éveillé.
Sur ce je retourne, du moins j'essaie, dans les bras de Morphée.
Bonne nuit aux insomniaques.
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