Les neuroleptiques, plus particulièrement le zyprexa détruisent-ils vraiment les neurones ?
Publié par Floelflaco2730,
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Bonjour à tous les consommateurs et spécialistes des neuroleptiques,
Moi-même aussi consommateur de la célèbre molécule Olanzapine 5 mg depuis bientôt 5 ans, je voudrais savoir si elle a des effets nocifs sur notre cerveau (dysfonctionnement à cause de l'instabilité chimique de notre cerveau, destruction des neurones etc...). Depuis maintenant 3 ans après une tentative de sevrage brutale, je me renseigne constamment sur les effets de cette molécules : certaines sources évoquent la destruction des neurones, jusqu'à même en venir carrément à une lobotomie chimique. D'autres évoquent des dégâts irréversibles sur notre cerveau... Mais les psychiatres éprouvent totalement le contraire en disant que le cachet à pour rôle d'inhiber la dopamine et de bloquer les récepteurs D2... Du coup je ne sais pas quoi penser, je suis perdu et désespéré...
Cette question comme la plupart des cas comme moi fait très peur et est terrifiante
Est-ce que je pourrais avoir plusieurs avis sur ce sujet svp
Moi-même aussi consommateur de la célèbre molécule Olanzapine 5 mg depuis bientôt 5 ans, je voudrais savoir si elle a des effets nocifs sur notre cerveau (dysfonctionnement à cause de l'instabilité chimique de notre cerveau, destruction des neurones etc...). Depuis maintenant 3 ans après une tentative de sevrage brutale, je me renseigne constamment sur les effets de cette molécules : certaines sources évoquent la destruction des neurones, jusqu'à même en venir carrément à une lobotomie chimique. D'autres évoquent des dégâts irréversibles sur notre cerveau... Mais les psychiatres éprouvent totalement le contraire en disant que le cachet à pour rôle d'inhiber la dopamine et de bloquer les récepteurs D2... Du coup je ne sais pas quoi penser, je suis perdu et désespéré...
Cette question comme la plupart des cas comme moi fait très peur et est terrifiante
Est-ce que je pourrais avoir plusieurs avis sur ce sujet svp
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Hello,
La destruction des neurones, je ne trouve rien à ce sujet. Il faut savoir que les études portant sur les effets des neuroleptiques sont souvent conduites sur des schizophrènes, qui subissent une destruction de certains neurones à cause de la maladie. Je suppose que c'est du coup dur à évaluer.
Le principal risque avec les neuroleptiques à long terme est le développement d'une dyskinésie tardive : mouvements involontaires, surtout du visage (sortes de tics) qui, contrairement aux effets extrapyramidaux "normaux" induits par les neuroleptiques, sont très souvent irréversibles ... Les anti-parkinsoniens ne sont pas très efficaces. On baisse ou arrête le neuroleptique. Quelques traitements ont montré une certaine efficacité, notamment l'injection de botox dans le visage.
C'est un risque qui est présent surtout pour les traitements à très long terme (10 ans et +), à de fortes doses. Il est dû à une hypersensibiliation des récepteurs de la dopamine à cause de l'inhibition que leur fait subir le traitement.
C'est pour cette raison qu'il est important de chercher la dose minimale efficace avec le médecin, car la balance bénéfices/risques des neuroleptiques est souvent très chargée des deux côtés.
La destruction des neurones, je ne trouve rien à ce sujet. Il faut savoir que les études portant sur les effets des neuroleptiques sont souvent conduites sur des schizophrènes, qui subissent une destruction de certains neurones à cause de la maladie. Je suppose que c'est du coup dur à évaluer.
Le principal risque avec les neuroleptiques à long terme est le développement d'une dyskinésie tardive : mouvements involontaires, surtout du visage (sortes de tics) qui, contrairement aux effets extrapyramidaux "normaux" induits par les neuroleptiques, sont très souvent irréversibles ... Les anti-parkinsoniens ne sont pas très efficaces. On baisse ou arrête le neuroleptique. Quelques traitements ont montré une certaine efficacité, notamment l'injection de botox dans le visage.
C'est un risque qui est présent surtout pour les traitements à très long terme (10 ans et +), à de fortes doses. Il est dû à une hypersensibiliation des récepteurs de la dopamine à cause de l'inhibition que leur fait subir le traitement.
C'est pour cette raison qu'il est important de chercher la dose minimale efficace avec le médecin, car la balance bénéfices/risques des neuroleptiques est souvent très chargée des deux côtés.
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- Floelflaco2730
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Merci pour ce renseignement Fluche 
J'avais oublié de te préciser que je suis psychotique. J'ai vécu un épisode aigu en 2013.
Avant le traitement me convenait assez bien. J'arrivais à me concentrer et maintenir une attention assez longue. Mais depuis 2016 où j'ai arrêté mon traitement brutalement (sans l'accord du Psy) que je regrette énormément, je ne suis plus complètement moi-même. Souvent, je ne suis pas en adéquation avec moi-même. J'ai perdu de ma personnalité. Mes perceptions ne sont plus les mêmes ou sont différentes selon l'environnement mais je pense que c'est plutôt lié à ma pathologie (troubles de la personnalité). Sur le plan cognitif, je suis souvent dans mon monde, je n'arrive pas à me connecter à une simple discussion (ou pendant une très courte durée). En cours ou quand je fais mes devoirs, j'ai beaucoup de mal à me concentrer sur un longue durée, je décroche vite. J'ai aussi une perte de patience. Je me rend compte aussi que je m'intéresse de moins en moins aux choses qui me passionnaient avant. Je dédramatise complètement par exemple pour une chose qui est importante. Quand je réfléchis souvent mes pensées sont désorganisées, et quand je parle j'ai des graves problèmes d"élocutions... J'ai beaucoup de mal à mémoriser, j'ai l'impression d'avoir une mémoire de poisson rouge. Bref, je souffre, je souffre psychiquement...
Peut-être que la solution serait de changer de molécule ? Quand penses tu ?
J'avais oublié de te préciser que je suis psychotique. J'ai vécu un épisode aigu en 2013.
Avant le traitement me convenait assez bien. J'arrivais à me concentrer et maintenir une attention assez longue. Mais depuis 2016 où j'ai arrêté mon traitement brutalement (sans l'accord du Psy) que je regrette énormément, je ne suis plus complètement moi-même. Souvent, je ne suis pas en adéquation avec moi-même. J'ai perdu de ma personnalité. Mes perceptions ne sont plus les mêmes ou sont différentes selon l'environnement mais je pense que c'est plutôt lié à ma pathologie (troubles de la personnalité). Sur le plan cognitif, je suis souvent dans mon monde, je n'arrive pas à me connecter à une simple discussion (ou pendant une très courte durée). En cours ou quand je fais mes devoirs, j'ai beaucoup de mal à me concentrer sur un longue durée, je décroche vite. J'ai aussi une perte de patience. Je me rend compte aussi que je m'intéresse de moins en moins aux choses qui me passionnaient avant. Je dédramatise complètement par exemple pour une chose qui est importante. Quand je réfléchis souvent mes pensées sont désorganisées, et quand je parle j'ai des graves problèmes d"élocutions... J'ai beaucoup de mal à mémoriser, j'ai l'impression d'avoir une mémoire de poisson rouge. Bref, je souffre, je souffre psychiquement...
Peut-être que la solution serait de changer de molécule ? Quand penses tu ?
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Ce que tu décris, ce sont des troubles cognitifs assez courants lors des psychoses chroniques (je te renvois par exemple à http://lesmotsdelaschizo.fr/fr/symptome … -cognitifs ), qui sont malheureusement accentués par la prise de neuroleptiques. Il est difficile de savoir précisément quelle part revient à la prise de neuroleptiques...
Un changement de traitement doit être évalué avec ton prescripteur, qui sera de meilleur conseil qu'un type random sur internet comme moi :p Par contre je t'encourage vivement à te rapprocher d'un centre où l'on pratique la remédiation cognitive et la réhabilitation psychosociale (voir par exemple https://centre-ressource-rehabilitation … ilitation- ). Les résultats de ce type de thérapie peuvent être bluffants !
Edit : je me rends compte qu'en parlant effets secondaires à long terme je n'ai même pas parlé des plus courants qui sont d'ordre cardio-métaboliques (prise de poids, cholestérol, diabète, hypertension, risques cardiaques associés) Je te renvois vers https://www.psychoactif.org/forum/t3649 … .html#divx et vers la discussion suivant l'article https://www.psychoactif.org/forum/t3934 … arche.html pour plus de précision.
Un changement de traitement doit être évalué avec ton prescripteur, qui sera de meilleur conseil qu'un type random sur internet comme moi :p Par contre je t'encourage vivement à te rapprocher d'un centre où l'on pratique la remédiation cognitive et la réhabilitation psychosociale (voir par exemple https://centre-ressource-rehabilitation … ilitation- ). Les résultats de ce type de thérapie peuvent être bluffants !
Edit : je me rends compte qu'en parlant effets secondaires à long terme je n'ai même pas parlé des plus courants qui sont d'ordre cardio-métaboliques (prise de poids, cholestérol, diabète, hypertension, risques cardiaques associés) Je te renvois vers https://www.psychoactif.org/forum/t3649 … .html#divx et vers la discussion suivant l'article https://www.psychoactif.org/forum/t3934 … arche.html pour plus de précision.
Dernière modification par Fluche (13 décembre 2018 à 20:07)
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- Floelflaco2730
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Merci pour tous ses renseignements complémentaires, mais il y a quelque chose que je ne comprends pas, tu dis que les neuroleptiques accentuent les symptômes de la psychose. Normalement, ils sont sensés les diminués au contraire. Mais je suis tout à fait d'accord avec toi. Par exemple, j'ai fais une expérience pendant ces vacances d'été. Je pratiquais un job qui était "photographe filmeur de plage" à Royan qui demande une facilité d'approche irréprochable envers les vacanciers que j'abordais sur la plage. Au début avec le traitement j'avais du mal donc, j'ai décidé de le prendre partiellement (1j/2 voire 1j/3) et j'ai vu la différence. Je me sentais plus libre dans l'esprit, mes pensées étaient organisées, claires, ma mémoire ne faisait plus des siennes, et j'étais très heureux et hypersociable avec les autres et mon boulot se passait à merveille. Rien à voir avec la personnalité que j'ai avec le traitement aujourd'hui...
Conclusion : Avec le traitement, je me sens impuissant et limité, sans le traitement (ou diminué) je me sens comme une personne extraordinaire, sûr d'elle, lucide et qui prend de bonnes décisions.
Conclusion : Avec le traitement, je me sens impuissant et limité, sans le traitement (ou diminué) je me sens comme une personne extraordinaire, sûr d'elle, lucide et qui prend de bonnes décisions.
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Hello,
En fait les psychoses ont deux grands types de symptômes :
-les symptômes positifs (qui ajoutent quelque chose à la personne), productifs : ce sont les idées délirantes, les hallucinations, la perte de contact avec la réalité. C'est sur ces symptômes que les neuroleptiques sont efficaces, voire très efficaces pour certains.
-les symptômes dits "négatifs" (qui enlèvent quelque chose à la personne) : repli sur soi, perte de la capacité à agir, repli social, difficultés cognitives ... je te redirige vers http://lesmotsdelaschizo.fr/fr , décidément un très bon site très bien fait pour comprendre cet aspect, souvent passé sous silence. Sur ces symptômes, les neuroleptiques ont au mieux pas de prise, au pire aggravent la situation (c'est surtout valable pour les neuroleptiques anciens type Haldol)
Bien sûr ce sont des généralités : certaines personnes vont avoir peu de symptôme positifs et beaucoup de négatifs, d'autres l'inverse, d'autre carrément pas de positifs ...
En fait les psychoses ont deux grands types de symptômes :
-les symptômes positifs (qui ajoutent quelque chose à la personne), productifs : ce sont les idées délirantes, les hallucinations, la perte de contact avec la réalité. C'est sur ces symptômes que les neuroleptiques sont efficaces, voire très efficaces pour certains.
-les symptômes dits "négatifs" (qui enlèvent quelque chose à la personne) : repli sur soi, perte de la capacité à agir, repli social, difficultés cognitives ... je te redirige vers http://lesmotsdelaschizo.fr/fr , décidément un très bon site très bien fait pour comprendre cet aspect, souvent passé sous silence. Sur ces symptômes, les neuroleptiques ont au mieux pas de prise, au pire aggravent la situation (c'est surtout valable pour les neuroleptiques anciens type Haldol)
Bien sûr ce sont des généralités : certaines personnes vont avoir peu de symptôme positifs et beaucoup de négatifs, d'autres l'inverse, d'autre carrément pas de positifs ...
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- Floelflaco2730
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Je comprends,
C'est soit négatif soir positif. Le traitement ne peut pas agir sur les 2 symptômes en même temps. Mais dans mon cas, je devrai peut être proposer à mon psy de soit changer de traitement ou diminuer la posologie je pense....
C'est soit négatif soir positif. Le traitement ne peut pas agir sur les 2 symptômes en même temps. Mais dans mon cas, je devrai peut être proposer à mon psy de soit changer de traitement ou diminuer la posologie je pense....
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Les traitements pour les symptômes négatifs sont surtout des psychothérapies (les fameuses remédiations cognitives et consort) parce qu'il n'existe pas à proprement parler de traitement médicamenteux pour ces symptômes ... Je sais que j'insiste un peu, mais cela vaut vraiment le coup de se renseigner !
Plus que de voir pour baisser ou changer de traitement, il me semble judicieux de présenter à ton médecin tout ce que tu nous a dit ici sur ce que tu ressens quand tu es sous neuroleptiques, pour qu'il évalue avec toi si cela vaut le coup. Car l'énorme problème des psychoses, c'est que quand on y est sujet, souvent, on ne voit pas du tout les symptômes positifs. Quand tu dis que tu as l'impression que tes idées sont plus justes quand tu n'as pas de traitement, cela peut vouloir dire que c'est le cas, comme justement que ce n'est pas le cas. C’est le propre des psychoses justement ...
Plus que de voir pour baisser ou changer de traitement, il me semble judicieux de présenter à ton médecin tout ce que tu nous a dit ici sur ce que tu ressens quand tu es sous neuroleptiques, pour qu'il évalue avec toi si cela vaut le coup. Car l'énorme problème des psychoses, c'est que quand on y est sujet, souvent, on ne voit pas du tout les symptômes positifs. Quand tu dis que tu as l'impression que tes idées sont plus justes quand tu n'as pas de traitement, cela peut vouloir dire que c'est le cas, comme justement que ce n'est pas le cas. C’est le propre des psychoses justement ...
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Ok, cette maladie est un vrai cercle vicieux en faite. Mais moi, j'insiste sur le fait de vouloir changer de traitement médicamenteux car à l'époque, je supportais mieux Olanzapine 5 mg maintenant ce n'est plus trop le cas, je suis limite dépressif. Et puis j'avais moins de symptômes négatifs... Après je suis prêt à tout pour suivre une thérapie pour que je puisse guérir de cette maladie... Je veux mettre toutes mes chances de mon côté.
Ca vaut cb ce type de thérapie ?
Ca vaut cb ce type de thérapie ?
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Désolée, je ne peux pas te répondre au niveau du coût. Le mieux serait de prendre contact directement avec le centre le plus proche de chez toi ( https://centre-ressource-rehabilitation … ilitation- ) pour leur poser la question.
Le plus important c'est vraiment de pouvoir avoir confiance dans ton prescripteur. Parle avec lui de tout ce que tu ressens, demande-lui où tu en es des symptômes positifs, s'il pense que tu en as encore ou si le traitement que tu suis est juste un traitement de consolidation (pour éviter une rechute). Évoque avec lui la possibilité de baisser ou de passer à un autre traitement. Si tu sens qu'il est un peu rétif, qu'il est du genre je gribouille l'ordo sans s'adresser au patient, n'hésite pas à chercher un autre médecin. Sans cette relation de confiance, les choses sont beaucoup plus difficiles.
Le plus important c'est vraiment de pouvoir avoir confiance dans ton prescripteur. Parle avec lui de tout ce que tu ressens, demande-lui où tu en es des symptômes positifs, s'il pense que tu en as encore ou si le traitement que tu suis est juste un traitement de consolidation (pour éviter une rechute). Évoque avec lui la possibilité de baisser ou de passer à un autre traitement. Si tu sens qu'il est un peu rétif, qu'il est du genre je gribouille l'ordo sans s'adresser au patient, n'hésite pas à chercher un autre médecin. Sans cette relation de confiance, les choses sont beaucoup plus difficiles.
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D'accord, parfait.
En tout cas, merci vous m'avez aidé à peut-être enfin trouvé la cause de ces symptômes, vous m'avez ouvert les yeux :)
Sans vouloir être indiscret, vous travaillée dans quoi dans la vie ? Comment êtes vous autant calée en psycho ?
J'aimerai bien garder contact avec vous, vous êtes de bons conseils :)
En tout cas, merci vous m'avez aidé à peut-être enfin trouvé la cause de ces symptômes, vous m'avez ouvert les yeux :)
Sans vouloir être indiscret, vous travaillée dans quoi dans la vie ? Comment êtes vous autant calée en psycho ?
J'aimerai bien garder contact avec vous, vous êtes de bons conseils :)
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Je suis traductrice technique spécialisée dans le médical. Je m'occupe surtout de dispositifs médicaux (radiothérapie, chirurgie de la cataracte), mais je fais un peu de pharmaco de temps en temps. C'est comme cela que j'ai atterri sur le forum (je cherchais des informations sur le baclofène pour le traitement de l'alcoolodépendance).
Mes connaissances en psychiatrie (en surtout en psychoses), je les dois malheureusement à ma situation familiale : mon mari est schizophrène.
Tu dois pouvoir me contacter par mp sur le forum si tu le souhaites :)
Bonne journée,
Mes connaissances en psychiatrie (en surtout en psychoses), je les dois malheureusement à ma situation familiale : mon mari est schizophrène.
Tu dois pouvoir me contacter par mp sur le forum si tu le souhaites :)
Bonne journée,
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- Floelflaco2730
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D'accord, je vous souhaites beaucoup de courage pour votre famille et surtout votre mari. Je sais ce que c'est avoir une maladie mentale. Il y a souvent beaucoup d'incompréhension vis à vis de ton entourage. C'est assez difficile à vivre pour les malades et pour les proches...
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