un champ de pavot a mon taf !!!!!!

salut! je pense que tu devrais peut être enlever le lieu d'où tu viens.. tout le monde va te contacter et moi le premier je suis pas loin en plus..
si tu as réussis a faire une entaille tu peux en faire plusieurs?
pourquoi tu es obligé de te faire grillé?
ptetre le fait que t'en parle ici mais sinon?

et ton usine c'est pas une centrale nucléaire.. si tu vois ce que je veux dire..
je crois que je vais me faire engueuler..=__+

ouvre l'oeil clemz dans notre region y parait qu' il y en a beaucoup !!!!!!!!!!!!!!! Parait que c'est pour les pharmaco  et hopitaux , et pour les amateur de sensation forte .lol

Mammon a écrit

Par contre attention à  la concentration, tu ne sais pas avec quel type de pavot tu traficotes, ça pourrait être une variété qui ne serait même pas "somniferum", tout comme ça pourrait être un truc bien puissant.
Bref prudence !

Mammon t'avertis de quelque chose d'important. Tu ne sais pas quelle génétique de pavot pousse et les mauvaises surprises existent. Un de mes potes, très "vieux de la vieille" a vécu une expérience traumatisante l'été dernier avec de l'opium frais français.

Résultat : mauvais trip avec paralysie totale de 4 heures (imposible de bouger un membre). Le pavot cultivé pour les laboratoires peut être manipulé pour donner un opium riche en thébaïne par exemple. Donc Prudence, prudence. Ma propre expérience avec un thé fait avec deux têtes ramassées dans les Alpes il y a trente ans a été un sommeil de 16 heures.

"mauvais trip avec paralysie": ji air raconte que la même chose lui est arrivé sur une autre discussion..
yo mam je stop..   merci de le dire comme sa c'est cool
sinon un champ de pavot, a quoi sa peut servir si c'est pas du somniferum?

maestro: comme pour tout produit dont on ne connaît pas sa puissance c'est mieux de commencer par une (toute) petite dose..
avec une "tète" je pense qui t'arrivera rien..

Dernière modification par clemz (15 juin 2011 à  13:35)

Ok merci les gars pour les mise en garde , je vais tester le popy thea , ce soir j'ai ramener une dixaine de cosses , elle sont enorme 5 cm de diametre !!!! Sinon Keiser tu dit que le rach sa acroche grave , mais je ne crait plus rien car je suis  deja acro a la meta !!! J'aurais une ptite ou deux question a ceux qui ont gouter le thea , es - que sa a le gout de l'odeur que sa sent  ??? Et es que faut attendre que les cosses soi seches pour influser' ?  ( un champ de pavot, a quoi sa peut servir si c'est pas du somniferum?) je trouve la remarque de clemz trés pertinante !!!!!!!!

ok merci Keizer , la je suis en train de faire secher 10 cosses , et j'aurais encore une ptite question , je vais faire un essai de rachacha avec ces 10 cosses , crois tu qu'il y en a asser pour un trip ? En sachant que je vais mettre que des cosses car prendre le pied entier et impossible sa depasserai de partout de mon bleu de travail lol.

les 10 cosses c'est pas pour une influ , c'est pour faire  du rach , ce soir je suis rentré encore avec 10 autre cosses sa m'en fait 20 , hier avant hier j'en avez insiser une , vous verriez la goute d'opium !!!!!!! bien noir . hier j'vais sur youtub mater les champ de pavot d'afhganistan et c'est exactement les memes !!!!!! Des grosse cosses et les petales son des 2 meme couleurs rose et rouge , c'est sur ces du somniferum . Les rares fois ou j'ai pris du rach c'etait a l'epoque ou je shooter l'hero , et sa m'avait depouiller , en faite le meme effet qu'un shoot de bonne came !!! J'ai hate qu 'elles sechent !!!!! Je vais quand meme tester le popy thea mais je vais commencer par 3 cosses , oh faite clemz tkt pas je suis pas tout seul , j'suis en couple cinq bambins , ma femme ne tape aucun prod donc sa va merci .

On ne prend que les bulbes , le reste ... c'est de la paille .


Fais attention d'attendre la fin de la métha pour en prendre , il y à  quand même un risque d'embolie pulmonaire .

Je te l'ai dit , tu commences par une petite poignée et tu vois , ne jette rien , tu peux le rajouter à  la prochaine infu .

Pâte où infu , c'est pareil , même effet , si tu en prends trop tu peux gerber et te gratter comme un shoot .

Je pense que la police à  autre chose à  faire que de s'occuper des ramasseurs de bulbes

Laisse ton bouli s'oxyder et tu le fumeras mais c'est pas pareil et il faut faire ça bien , c'est tout un art .
Moi j'aimais pas trop , ça te scotche grave .

Prends tout !!! ...  c'est cadeau    

Ciao !

Dernière modification par keiser (16 juin 2011 à  20:44)

Ah oui ! ...

J'avais mal lu

Il y en a un champ entier !??

Dans ce cas , ce doit être pour l'industrie pharma mais ça ne change rien , fais juste attention .

Il faut bien que la morphine vienne de quelque part et c'est plus facile de la faire sur place que de la faire venir de je ne sais où .

Tu es donc un petit veinard ... :)

clemz a écrit

maestro a écrit

ne connaisse rien a part le ricard viendrait faire sur ce site . .

mdr!! par contre des flics qui connaisse plus que le ricard viennent ici.. je t'assure.
et je n'y connaît rien en pc mais il peuvent savoir qui tu es des fois..
en fait je suis jaloux a chaque fois que je te lis t'en a toujours plus!

nan c'est clair que tu dois pas risquer grand chose au niveau lois..
peut être "juste" perdre ton taf en ayant pas de chance..

Mdr les paranos... les flics vont fliké Psychoactif pour choppé les ptits tox dans les champs de pavot  LOL Clemz ! tu raconte nawak....

Ensuite de la rachacha c'est beaucoup moins fort que l'héroine, à  l'époque ou tu taper de la de l'héroine maestro tu devais pas bien sentir l'éffet de la rachacha tte manière . je pense pas que la rachacha  te défonce autant que de l'héro et vu que tu es sous methadone fais gaffe quand même a tes dosages on sait jamais.. en infusion ca me parait bien...
Je pense pas comme keiser , avec la methadone tu peux prendre de l'héroine donc tu peux aussi prendre de l'opium... tu risque juste de moins la sentir donc en prendre plus mais je pense pas que ca te foute a la ramasse comme après un shoot ou alors t aura abusé sur le dosage lol , moi (j'arretais mon traitement quand je taper de l'éro sinon je la sentais moins avec la métha.)
Attention a ta cuisine...

Peut -on empecher une abeille de butiner ? Ou un tox chercher a ce fonsdé ? Ah moin que le cultivateur va ce plaindre car il lui manque 20 cosses  crois moi que je c'est pas si il va recolter grand chose car dmain j'y vais a coup de cerpe .

Dernière modification par Shakti_17 (16 juin 2011 à  23:33)

alcaloX a écrit

Les champs de pavots en France pour la pharma.. sont un cultivar spécial qui ne sont pas fait pour l'incision mais pour la paille.
Plus chargé en alcaloides comme la thébaine ou papaverine qu'il transforme en morphine ou codeine en laboratoire.
Donc attention avec le latex récolté dans les champs légaux. Surtout si vous ne le faite même pas oxyder et faire un bain d'eau chaude 80°.

Ouai en gros faut etre expert pour pouvoir cuisiné ça... cool ton info

keiser a écrit

Shakti

J'ai vu , il y a longtemps , un concert de shakti avec cet excellent John Mac Laughlin .
C'était vraiment bien .

A part ça ...

<<  Je pense pas comme keiser , avec la methadone tu peux prendre de l'héroine donc tu peux aussi prendre de l'opium... tu risque juste de moins la sentir donc en prendre plus mais je pense pas que ca te foute a la ramasse comme après un shoot ou alors t aura abusé sur le dosage lol , moi (j'arretais mon traitement quand je taper de l'éro sinon je la sentais moins avec la métha.)
Attention a ta cuisine...   >>

C'est quand même un peu ce que je disais  

Hello Keiser , " Shakti" est pour moi lié la déess-serpent... mais a plusieurs signification notament dans l'hindouisme ainsi que dans le yoga ou le trantrisme associé à  la déess serpent ou a la déesse mère

lol mon clemzouminet  tu as raison sur un point le champ et dans un coin securisé car on ne peut pas si aventurer sans passer par des " cheq point " avant d'acceder dans une zone industrielle truffer de cameras , mais je ne suis pas de rouen j'ai mis cette ville pour me situer sur la carte de france , mais d'aprés google mab je suis a 230 klm de cette ville  .  Et pour revenir a nos moutons je me suis rempli un sac de leclerc ( le grand format ) la sa sechent tranquilou a +.

un petit article paru sur l'express en 95 : C'est entre Champagne, Orléanais et Touraine que sont produites les fleurs. En Provence qu'elles sont transformées en morphine. Pour la bonne cause: traiter la douleur.

Des champs de pavots dans le Val de Loire, une usine de stupéfiants nantie d'un monopole garanti par l'Etat, des camions chargés de morphine-base sous la protection des CRS. Une industrie ultrasecrète fournit les laboratoires pharmaceutiques. Et ceux-ci produisent les médicaments destinés au traitement des douleurs intenses. Un marché prometteur, si le corps médical n'y fait pas obstacle.
Vue de loin, dans le paysage de la Haute-Provence, entre Rhône et mont Ventoux, c'est une distillerie de lavande. Derrière ces murs banalisés, une tout autre alchimie s'opère. On traite, chaque année, des milliers de quintaux de pavots dont les fleurs ont été préalablement broyées et séchées. Discrète activité, dont on tire plus de 40 tonnes de morphine par an, soit 20% de la production mondiale! Et cela en toute légalité, sous la vigilante protection de la gendarmerie locale, afin de décourager les convoitises des gangs de la drogue. D'autant plus redoutées que la pureté du produit fabriqué là  dépasse celle de la morphine-base élaborée dans les labos clandestins de la Côte. Sans parler du rapport qualité-prix, défiant toute concurrence. Chaque gramme sorti d'usine est 100 fois moins cher que celui de la poudre frelatée des dealers de Paris ou de Marseille. Bref, rien d'étonnant à  ce que les secrets entourant cette énigmatique industrie soient aussi bien gardés que ceux des missiles nucléaires du plateau d'Albion, enterrés non loin de là . L'usine ne figure évidemment pas dans l'annuaire, ni la société X qui exploite cette activité à  risque. «Nous redoutons une prise d'otages, explique son directeur-gérant, qui tient lui-même à  garder l'anonymat. Aussi nous imposons-nous une totale confidentialité sur l'identité de nos 130 collaborateurs et sur les sites où ils travaillent.»Bizarrement, c'est le général de Gaulle qui, en 1959, a relancé la production française de morphine. Soucieux d'économiser les dollars de la République, il a décidé la suspension des importations de morphine en provenance d'Iran, de Turquie et d'Inde. D'où la reprise, sur le territoire français, de la culture du pavot à  oeillette, une variété particulièrement riche en principes actifs et dont la qualité a été considérablement améliorée grâce aux techniques agronomiques: plus de 10 millions de francs sont affectés, chaque année, à  cette recherche scientifique. Résultat: les récoltes ne cessent de prospérer. Le «triangle d'or» français est, certes, plus modeste que la célèbre zone de Thaïlande-Birmanie-Laos. Il couvre pourtant un nombre respectable d'hectares, dans la moitié nord de la France, où le climat est très favorable. Grosso modo, il se situe entre trois pôles: la Champagne, l'Orléanais et la Touraine. S'y ajoute une exploitation expérimentale dans la région parisienne, du côté de la vallée de Chevreuse, à  quelques kilomètres d'un autre triangle, celui de Roquencourt, tristement connu des usagers de l'autoroute de l'Ouest. Tout cela à  l'insu des promeneurs - éventuels «junkies» - qui n'imaginent pas que des cultures de pavots puissent placidement voisiner avec des champs de blé ou de luzerne. Comment pourraient-ils supposer que, à  la saison de la récolte, entre le 15 juillet et le 15 août, certaines moissonneuses-batteuses opérant dans ces campagnes sont en train de brasser des fleurs destinées à  «sister morphine»? Attention! Pas cette petite soeur dévoyée chantée par les Rolling Stones, celle que l'on appelait autrefois la «fée grise» et que s'injectait, copieusement, le Tout-Paris toxicomane de la Belle Epoque. Non, cette «morphine agricole», comme disent les spécialistes, est la descendante du «God's own medicine»: le «médicament de Dieu», ainsi surnommé par les praticiens anglo-saxons de la fin du xixe siècle, lorsqu'ils découvrirent les prodigieuses vertus de la morphine contre la douleur.
Elaborés dans l'usine provençale, les produits morphiniques sont ensuite acheminés par la route jusqu'à  un laboratoire de sous-traitance dans les Yvelines. Le trajet s'effectue, là  encore, sous bonne garde: «Il faut éviter tout risque de détournement, explique le directeur-gérant. Le moindre lot de codéine peut être transformé en héroïne par un bon chimiste bricolant dans son arrière-cuisine.» D'où l'indispensable convoyage par des CRS - frais de sécurité assez lourdement facturés par la préfecture. Transformés en divers ingrédients chimiques, les dérivés morphiniques reprennent leur périple vers les usines pharmaceutiques. Ainsi le sulfate de morphine est-il expédié, sous emballage banalisé, aux laboratoires Upsa. Là , il est converti en microgranules ou en sirop de Skanan, un puissant antalgique destiné au traitement des douleurs rebelles, cancéreuses notamment. Comme son concurrent, le Moscontin, il s'agit là  d'une véritable révolution thérapeutique, confirmée par le Pr Patrice Queneau, pionnier en ce domaine, qui salue «l'efficacité et la tolérance, même à  forte dose, de ces produits administrés par voie orale».
Avant l'apparition de ces antalgiques majeurs, il y a une dizaine d'années, la consommation de morphiniques, n'existant que sous forme injectable, était pratiquement nulle. Elle est aujourd'hui en forte progression. Mais elle ne représente que 2% du marché des antalgiques. Une misère. Et pour cause, leur prescription se heurte encore aux réserves de nombreux praticiens, pour qui la morphine est un tabou. Résultat, la France se traîne au 30e rang mondial des pays utilisateurs. Au détriment de centaines de milliers de malades souffrant de douleurs postopératoires, de graves brûlures, du cancer ou du sida en phase terminale. D'où la campagne d'opinion déclenchée, en 1994, par Lucien Neuwirth, sénateur de la Loire, auteur d'un plan de lutte contre les effets dévastateurs de la douleur. Producteurs de morphine et fabricants d'antalgiques ont évidemment intérêt à  ce que ce plan brise les obstacles à  la prescription de leurs produits. Mais la fin - humanitaire - justifie les moyens - industriels.