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Mister No a écrit
Apprendre à gérer ses consommations ça peut prendre du temps mais ça peut valoir le coup.
Accordé toi le droit à l'extra maîtrisé, tu peux essayer de travailler un set and setting comme cela avec le ou les produits qui te posent problème.
Quand c'est bien géré, l'absence de produit peut être un plaisir pour programmer un extra dans de bonnes conditions.
Ce serait pas de refus haha! Le problème viens plus de mon traitement, c'est en majeur partie grâce a lui que je vais mieux aujourd'hui, et même, si je peux me permettre, mieux que jamais. Cependant, il a été prouvé que l'alcool changeait la concentration du traitement dans le sang, et aucune idée pour les autres drogues, c'est la qu'est l'impossibilité ! A par ptêtre un pétard de temps en temps a la regueur !
D'ailleurs, si vous savez si l'acide valproique alias depakote/depakine était incompatible avec la beuh ou la kétamine (les deux seuls choses qui pourrait passer en extra, sans partir dans l'excès, et me paraissant moins dangereuse pour l'équilibre du cerveau sur le court terme, si pris extrêmement rarement, genre 3/4 fois par ans)
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Dernière modification par BobKelso (23 février 2020 à 22:52)
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Dernière modification par Arnaudnïmes (25 février 2020 à 16:50)
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Mister No a écrit
Apprendre à gérer ses consommations ça peut prendre du temps mais ça peut valoir le coup.
Accordé toi le droit à l'extra maîtrisé, tu peux essayer de travailler un set and setting comme cela avec le ou les produits qui te posent problème.
Quand c'est bien géré, l'absence de produit peut être un plaisir pour programmer un extra dans de bonnes conditions.
salut Mister No j'ai une question pour vous c'est quoi un set and setting
merci Hyrda
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Dernière modification par Mister No (26 février 2020 à 13:25)
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Mister No a écrit
C'est un plaisir de consommer ou de ne pas consommer, rien que préparer une cession me donne du plaisir.
Tu as tout résumer , c'est exactement cela.
Cela me fait penser à mes premères traces de rabla ( enfin les ttes premères car j'avais tjrs envie de gerber et c'est pas très agrèable en soit ).
Mais voilà tant, que l'on est dans "LE" plaisir .... tout vas bien , mais après enfin pas pour tout le monde, mais le plaisir par la suite , je ne l'avais que parce que j'étouffer mon manque avec une trace ...
MM
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Dernière modification par Mister No (26 février 2020 à 16:32)
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Dernière modification par Mister No (26 février 2020 à 21:00)
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Spectrum a écrit
salut je connaissais pas ton médoc du coup je suis allé me renseigner comme sa juste pour voir et ça m'a surpris sa à tout l'air d’être une grosse drogue "sale" ce qui veut dire que ça touche beaucoup de récepteur différent module beaucoup de fonction importante comme les enzymes cité plus bas en plus d’être un puissant perturbateur endocrinien de ce que j'ai vu et puis la kétamine je la connais bien et sa pharmacologie et tout aussi complexe j'ai noté en bas les interactions que j'ai pu constater rapidement entre les deux mes vues le touche à tous de ces 2 molécules je pense que le mélange est ce coup-ci particulièrement aléatoire et déconseillé ya de grande chance pour que sa interagissent négativement a plusieurs niveaux dsl mon gars mais ta pas l'air d’être sous le médoc le plus tolérant niveaux combinaison
Le valproate est connu pour être métabolisé par les enzymes du cytochrome P450 : CYP2A6 , CYP2B6 , CYP2C9 et CYP3A5
À la sortie du système porte, lors de son passage dans le foie, la kétamine est métabolisée par des cytochromes du groupe P450, le CYP2B6 et le CYP3A4 par N-déméthylation en norkétamine, son principal métabolite (actif), à hauteur de 80 % environ. Ces transformations se produisent également -chez l'animal- dans les reins, et le tractus digestif. La kétamine semble être elle-même un effecteur des enzymes qui la métabolisent, exerçant ainsi une rétroaction
De plus, la kétamine inhibe allostériquement ce récepteur. Il module et active les récepteurs GABA A des types ? 6 ? 2 ? et ? 6 ? 3 ?
On ne sait pas exactement comment fonctionne le valproate.Les mécanismes proposés incluent l'affectation des niveaux de GABA , le blocage des canaux sodiques voltage-dépendants
Ouaw, alors euh, bha merci déjà, j'ai pas tout compris mais j'ai compris qu'il faut définitivement pas mélanger mdrrr....
Je suis pas sûr que le depakote sois une drogue sale comme tu dis, perso je revis grâce a cette molécule, a la fois anxiolitique, thymoregulatrice et stimulante (oui oui en même temps, vous avez bien lu). Je retrouve des envies, de l'énergie, c'est comme si j'étais en phase hypomaniaque légère tous le temps, sans que ça soit trop fort et que ça pousse trop aux conneries non plus.... Et surtout, ça ne défonce pas! On se sens pas stone sous depakote, malgré qu'on sente un changement flagrant. Molécule très intéressante quand on a des troubles de l'humeur ! Par contre il est vrai que les effets secondaires peuvent faire froid dans le dos, surtout pour les femmes enceintes et les malchanceux...
Je vais d'ailleurs créé un thread par rapport au depakote car j'ai pas mal de question sur cette molécule (valproate de sodium)!
Dernière modification par Psychotropeur (27 février 2020 à 01:52)
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Psychotropeur a écrit
Et c'est là que je me demande : pourquoi est ce quand je vais mieux que je rechutes toujours ? Avez vous eu des expériences similaires ?
Mon mari a exactement encore ajd toujours ce constat, il reconsomme quand il va mieux.
Anatomiquement parlant c'est les réserves de l'ATV qui se reforment et permettent de nouvelle maigre projection dans le noyau accumbens. Ce sursaut est cependant insuffisant car la neuroplasticité a constituer un réseau tellement "gros" que le peu de nouvelle réserve de dopamine ne donne que frustration et rechute compulsive.
Psychologiquement parlant, si ça t'intéresses tu peux étudier le cercle de Prochaska et DiClemente ainsi que le principe de renforcement positif
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Ce sursaut est cependant insuffisant car la neuroplasticité a constituer un réseau tellement "gros" que le peu de nouvelle réserve de dopamine ne donne que frustration et rechute compulsive.
Ce n'est pas vrai avec le cannabis, mais c'est particulierement vrai pour les opis d'où l'intérêt de la substitution y compris à bas dosage, cela permet de mieux aussi comprendre le PAWS.
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Mister No a écrit
Ce sursaut est cependant insuffisant car la neuroplasticité a constituer un réseau tellement "gros" que le peu de nouvelle réserve de dopamine ne donne que frustration et rechute compulsive.
Ce n'est pas vrai avec le cannabis, mais c'est particulierement vrai pour les opis d'où l'intérêt de la substitution y compris à bas dosage, cela permet de mieux aussi comprendre le PAWS.
Le cannabis relâche une quantité beaucoup plus légère de dopamine que les opis, voir les stimulants, dopaminergiques pur pour la majorité.
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Pharmacologue a écrit
Psychotropeur a écrit
Et c'est là que je me demande : pourquoi est ce quand je vais mieux que je rechutes toujours ? Avez vous eu des expériences similaires ?
Mon mari a exactement encore ajd toujours ce constat, il reconsomme quand il va mieux.
Anatomiquement parlant c'est les réserves de l'ATV qui se reforment et permettent de nouvelle maigre projection dans le noyau accumbens. Ce sursaut est cependant insuffisant car la neuroplasticité a constituer un réseau tellement "gros" que le peu de nouvelle réserve de dopamine ne donne que frustration et rechute compulsive.
Psychologiquement parlant, si ça t'intéresses tu peux étudier le cercle de Prochaska et DiClemente ainsi que le principe de renforcement positif
Très intéressant, je comprends mieux effectivement ! Il est vrai qu'on se sens mieux "mais"! On a tellement pris l'habitude d'aller mieux avec des gros rush en rechutant que notre cerveau interprète le sevrage terminé par une forme de "drogue méga légère" et en demande plus! Le travail est alors presque philosophique, il faut re apprendre que le plaisir ne fait pas le bonheur
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Psycho-virus a écrit
Bonjour à tous;
Perso à chaque que j'ai repris c'est la dépendance mentale qui m'a emmené vers le produit.
Ce que je ne comprend pas c'est que je ne retourne plus vers certains produits comme l'héro ou le crack, par contre le cannabis et l'alcool je n’arrive pas à m'en éloigner très loin.
Et puis il y a tout ce que je considère comme festif keta, md, trip... et ça ça reste de temps en temps.
Ce que j'aimerais comprendre c'est pourquoi j'ai réussi à arrêter définitivement l'héro ou le crack, mais que l'alcool j'arrive à l'arrêter par période mais un jour ou l'autre j'y reviens, et en plus je culpabilise de plus en plus à chaque fois que je reprend.
Le confinement me l'a encore prouvé puisqu'en un mois je suis redevenu l'alcoolo que j'étais il y a 1 an.
Mais cette fois j'ai réagi à temps et je suis retourné voir mon doc.
Mais j'aimerais que l'on m'explique un jour pourquoi on arrive à tourner le dos à certains prods et pas à d'autres.
Bon courage à tous.
Deja sache que tu n'es pas seul :) durant le confinement, j'ai reconssomé anxiolitique, tramadol, puis j'ai arrêté ces deux la pour les remplacer par, pour changer, le cannabis. Quitte a être dépendant, je préférais que ce sois à ca. C'est une période difficile pour tous toxicoman ou ancien tox, tu n'as pas a te blamer pour ca. Essaye d'arrêter en douceur après le confinement, la rechute n'es pas la mauvaise fin, ce n'es qu'une étape vers la bonne fin
Perso, je m'autorise durant le confinement 1 joint par soir, dont je profite d'autant plus que je l'attend, avec un set and setting parfait. Toujours de l'eau a côté de moi, mon canapé lit déplié, une série/anime à l'écran, et un ter pas trop chargé, car la recherche est celle de l'anxiolyse, pas celle de la défonce, et souvent, de l'anxiété.
Essaye de trouver ta zone de confort, sand aller dans l'excès, et ne culpabilise pas, tu ne feras que renforcer ton addiction :) accepte la le temps du Confinement, mais fixe toi des règles, et tu verras, tout devrait mieux se passer
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