[ Expériences ]

Les regrets , la honte etc....

Moi je consommait ma coke en IV , et j étais rendu presque psychotiques et ça m est arrivé 2-3 fois en pleine nuit que je me rendre à l hôpital pcq j étais sur que je fesait une infection ou quelque chose du genre à force de me shooter à même place etc... Mais à chaque fois je partait après avoir attendu 3-4 heure sans avoir vu un médecin. Maudite Paranoid

Dernière modification par Anonyme 901 (01 novembre 2020 à  02:42)

J avait une de mes amies qui quand elle se shootait de la coke , elle paranoïais solide que souvent elle était convaincu que la police était l autre côté de sa porte et s appretait à faire une descente ,donc elle  mettait sa coke ds la toilette et tirait la chasse.  Donc elle rappelait  son dealer, ces même arrivée deux fois dans la même nuit. Cette fille la ces shooter à l héroïne pendant 10 ans et personne pouvait le savoir , tout était relativement sous contrôle mais à cause de la coke elle a tout perdu et à même fait des clients.Selon moi y a rien de pire que la coke en iv

Désolée je vais me lancer même si c'est peut-être hors sujet, mais mon plus gros regret avec la cocaïne (le crack plus précisément), c'est de m'être fait choper par les keufs...

Je venais de pécho et un gros policier en civil barbu m'a plaquée contre un mur et m'a étranglée (il pensait que j'avais le matos dans la bouche...), j'ai essayé de me débarrasser du truc pendant que je reprenais mon souffle mais son collègue a cherché dans les buissons où le morceau avait atterri, et il l'a trouvé...
C'était ma première GAV "officielle" (j'avais déjà été séquestrée par des keufs pendant 8h sans être en garde à vue, totalement illégal, je sais...), et ça m'a traumatisée, j'avais pleuré toute la nuit dans ma cellule... J'avais 20 ans, je crois... Et j'avais honte, ils ont voulu me faire bien sentir que j'étais une merde (selon eux), ils ont essayé de me pousser à bout en venant me voir en cellule pour me lâcher des "pourquoi tu refuses de parler ? Si tu parles pas, on va te le faire payer, ça va mal se passer pour toi", tout ça alors que je n'avais même pas encore été entendue par l'OPJ !
Et l'autiste que je suis ne comprenait évidemment pas que c'était juste pour me menacer et me tourmenter, me faire peur, alors je leur avais répondu "mais j'ai même pas été interrogée encore ! Vous vous trompez de personne !" lol

La cata... Et ma mère qui découvre par la même occasion ma consommation de crack, et donc ma rechute... (même si elle se doutait bien de quelque chose, mais n'imaginait pas que c'était du crack, et inutile de rappeler les préjugés qu'ont les gens sur les consommateurs de crack, "la pire des drogues", donc elle tombait des nues...)

Sinon, j'ai pas de regrets de type "interactions sociales" vu que j'ai toujours consommé seule... Et mes autres regrets concernent les effets sur la santé... Par exemple, ce que la fumée du crack a fait à mes dents...

Voili voilou...