Holà amigo !
Oui, le
kratom, j'ai eu moi aussi beaucoup de mal avec les symptômes de
sevrage physique... Pire (pour ma part) que la
codéine.
Le
kratom m'a beaucoup aidé pendant une certaine période de ma vie, le souci c'est qu'il est tellement compatible avec toutes les activités que l'on peut avoir dans une journée que cela soit, de travail, de farniente, de création etc... Qu'il est difficile de s'abstenir d'en consommer. Personnellement, j'en prenais pour tout, dès le réveil, pour travailler, pour sociabiliser avec mes semblables (suis un peu timide...), avant de faire de la musique, pour rester éveillé tard et écrire etc... Etc... Etc...
Après, j'ai tendance à penser que c'est comme n'importe laquelle des substances que l'on consomme dès lors ou on l'utilise pour fonctionner... Apprendre à vivre sans béquille est un travail de longue haleine et pour certains, c'est mon cas, cela s'avère impossible... Lorsque ce n'est pas le
kratom, c'est l'
alcool, puis quand ce n'est plus l'
alcool, c'est le
phenibut, puis quand ce n'est plus le
phenibut, c'est les benzo, puis quand c'est plus les benzos, c'est de nouveau l'
alcool... Enfin bref vous m'avez compris... Je me suis un brin égaré du sujet...
Donc pour en revenir au
sevrage, oui, celui du
Kratom n'est pas anodin... Même s'il y a pire, il peut être difficile à surmonter... Mais... Je me répète, il en va de même pour n'importe quelle substance, vivre sans, ne plus rien prendre ou alors seulement dans des quantités raisonnées, c'est très compliqué pour certains d'entre nous... Je songe par ailleurs, de plus en plus, à lconsulter un psy pour m'aider à être totalement clean... Disons que l'idée fait son chemin même si je n'en n'ai pas encore le courage ni une réelle envie... Peut être la peur de tomber malade à cause de tout ce que j'ingere pourrait me faire sauter le pas... Mais bon... Je ne fais que repousser les examens médicaux comme si je savais déjà au fond de moi que les résultats me contraindrons à devoir tout arrêter...
Bonne soirée
Alfred