Sevrage rapide des opiacés

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GUIL3M homme
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champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
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Un titre qui vend du rêve j entend bien,
Voilà moi s est guilem 41 ans toxicomane depuis l âge de 25 ans sous traitement de méthadone 20mg mais continuant de consommer ponctuellement, je voulais savoir si en France il existe le même protocole qu en Serbie a savoir un sevrage comme il existe dans le lien que je vais mettre ici (Edit Modo: et que j'ai enlevé ) et si oui avez vous des retour d expérience, des avis  sur le sevrage rapide ou ultra rapide d'opiacés ( UROD, ROD ...Google it..)

,Je ne trouve rien sur le sujet en France je compte prendre rdv avec un addictologue pour en parler, qui en pensez vous parlons en ici sur se tread

Dernière modification par meumeuh (28 mars 2022 à  08:27)

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prescripteur homme
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champi vert82champijaune0cxhampi rouge0
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Bonjour, le sujet a deja été abordé. L'article fait sa publicité mais l'efficacité à moyen terme  et la sécurité sont plutot exagérés. Et le prix très élevé.

https://www.psychoactif.org/blogs/Proto … 700_1.html

https://www.pistes.fr/swaps/50_143.htm

https://www.psychoactif.org/forum/t7173 … e-000.html


Amicalement

Dernière modification par prescripteur (28 mars 2022 à  08:28)


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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nemesis1986 homme
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Bonjour, je prenne subotex 8 ans 16 mg par jour,
Et je décide arrêté set merde! Déjà 14 jour je pas pris et je vais bien.. Surtout  psychologismes être sur vous voulez arête ! Premier 10 jour se difficile après 72 vous pouvez prendre méta 10 mg pas plus. 72 h obligateur prendre après subotex méta pas que peut provoque surdose !!!!!
6 jour je pris 50mg tramadol sa pas arête complètement mon douleur non je pouvez dormir 5 h.  Attention tramadol aussi famille morphine et provoque sevrage !!! Pour sa prendre 50 mg comment douleur vient en supporter pas.. Surtout fumé pas cannabis sa amplifié douleur 10 fois !! Cbd on peux. Bonne chances à tous et beaucoup rage. Je réussi !! et vous aussi pouvez faire sa !!!
Reputation de ce post
 
cette merde aide BEAUCOUP de personnes [MM]

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Faust08 homme
Pour vos défenses naturelles
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Oulalah...

Content pour toi nemesis1986 si ton sevrage se passe bien, cependant ton message donne l'impression d'etre formule toutes faites. La formule "toutes faites et pour tous" n'existe pas. Le programme qui a fonctionner pour toi ne donnera pas un résultat identique chez les autres.

Ton message laisse à penser que tu donne la technique pour réaliser un "sevrage rapide des opiacés" (le nom du post je le rappel), n'importe qui pourrais taper ceci sur Google tomber sur ce post et croire à la solution magique. Comprends tu le dangers que ca pourrais engendrer ?

Pour réaliser un sevrage de n'importe quelle substances, il est plus que conseillé d'être suivit par un professionnel de santé (qui différent selon le pays). Suivre un "programme" et "dosage" trouvé sur internet est très dangereux pour votre santé, voir votre vie !!

Je le répète encore, une personne n'est pas une autres et un protocole de sevrage ne se décide PAS SEUL ! Il se doit d'être suivit par un médecin, un addictologue, psychiatre, centre adéquat,...

Bien que je suis content du déroulement que ça a eu pour toi, prudence dans ce que tu écris et conseils aux autres mon amis. Nous sommes tous différents et nous réagissons tous différents aux médicaments et aux drogues. C'est la base de la réduction des risques enclenchée par la prise de substances, ou, ici, par le sevrage de celles-ci !


Félicitation et bonne continuation pour ton sevrage, j'espère que tu ne prendra pas mon message mal. Les conseils sont bons à prendre, mais la prochaine fois met en avant le fait que c'est ton expériences parmi tant d'autres et qu'elle ne peut convenir qu'à toi et personne d'autres. Ensuite inviter les gens à trouver de l'aide chez un médecin comme tu as probablement dut faire dans ton parcours de sevrage super

- J'me prépare à tout on sait pas de quoi sera fait le futur.
- Ouais, moi aussi j'suis survivaliste t'sais, j'ai 30 boîtes de sken sous l'matelas.

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meumeuh homme
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Jolly Roger
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nemesis1986 a écrit

72 h obligateur prendre après subotex méta pas que peut provoque surdose

Euh suivant le métabolisme de la personne certains peuvent n´attendre que 24h d´autres plus de 72h

Et Cela peut provoquer surtout un sevrage précipiter du à l'effet antagoniste de la buprenorphine... pas une surdose .

Mais dans le sens inverse que tu Indique car de la metha après de la buprenorphine pour ce qui est d´ une surdose peut être mais pour une personne qui est naïve aux opiacés ou qui a plus de tolérance ou encore qui a fortement baissé.

Et cette merde comme je l´ai dit avec le champi  aide beaucoup de personnes à reprendre une vie normale
Donc pas de diàbolisation des TSO  sur PA !!

Amicalement,

MM

Dernière modification par meumeuh (14 avril 2022 à  16:04)

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Marco 68 homme
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Selon mon expérience et celle de dizaines de personnes, "sevrage rapide" et "opiacés" ne vont pas ensemble ..
Chi va piano va sano e va lontano, on dit en Italie

Calcio Storico Fiorentino :  azzurri di S. Croce

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Stelli femme
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À moyen/long terme, la majorité des sevrages rapides d’opiacés ou d’opioïdes (et des sevrages d’opiacés/opioïdes de manière générale), se révèlent un échec, en particulier quand ils sont décidés pour de mauvaises raisons (généralement la pression de l’entourage, du corps médical, et de la société de manière globale). Aucune méthode n’est miraculeuse, par contre beaucoup de charlatans et autres sectes vendent des solutions qui n’en sont pas à grand renfort de pub et de propagande plus ou moins subtiles. Sauf que ces méthodes ne profitent pas vraiment aux personnes addictes, mais rapportent beaucoup à ceux qui les vendent.
De plus, les institutions sensées aider les personnes dépendantes sont souvent maltraitantes (volontairement ou pas, l’enfer est pavé de bonnes intentions), et souvent, au lieu d’aider la personne ça l’enfonce un peu plus.
Bref, la solution idéale n’existe pas, sans compter que chaque personne a des besoins différents, un vécu différent, et ce qui fonctionne chez les uns, peut très bien provoquer un échec culpabilisant chez d’autres, et leur faire plus de mal que de bien.

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Dans un coin d'ombre homme
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nemesis1986 a écrit

Bonjour, je prenne subotex 8 ans 16 mg par jour,
Et je décide arrêté set merde! Déjà 14 jour je pas pris et je vais bien.. Surtout  psychologismes être sur vous voulez arête ! Premier 10 jour se difficile après 72 vous pouvez prendre méta 10 mg pas plus. 72 h obligateur prendre après subotex méta pas que peut provoque surdose !!!!!
6 jour je pris 50mg tramadol sa pas arête complètement mon douleur non je pouvez dormir 5 h.  Attention tramadol aussi famille morphine et provoque sevrage !!! Pour sa prendre 50 mg comment douleur vient en supporter pas.. Surtout fumé pas cannabis sa amplifié douleur 10 fois !! Cbd on peux. Bonne chances à tous et beaucoup rage. Je réussi !! et vous aussi pouvez faire sa !!!

Salut,

Heu...mais quand tu dis " je vais bien ", concrètement, tu te sens comment ? Physiquement, psychologiquement, etc ?...c'est une vraie question hein, c'est TON témoignage, et je ne veux pas être sceptique gratuitement.
Mais je suis sous TSO, simplement 0,6 de bupré par jour ( induction à 1 mg ), depuis septembre 2021...et quand je le zappe le matin avant de partir au boulot, je ne peux pas dire que c'est ingérable, mais je me sens quand même plus fatigué, la digestion du midi peut s'avérer bien compliquée, ça me casse le bide quoi, sensations chelous etc...et sachant qu' a priori, le vrai manque de bupré ne peut arriver qu'au bout de quelques jours...bon...sincèrement, si ça se passe bien pour toi, cool ! Vraiment tant mieux, mais vu ma petite expérience sur le sujet, et le nombre de témoignages lus ici ou ailleurs, tu comprends bien que s'arrêter net, alors qu'on est à 16 mg/jour depuis des années, ça à l'air chaud...
Franchement je veux bien que tu développes, enfin si tu le souhaites, mais ça m'intéresse, à titre personnel...

Juste une dernière chose, quand tu dis que c'est juste psychologique, je pense que pour l'énorme majorité des gens, ce n'est pas le cas...
Déjà, les gênes, voire douleurs physiques, existent bel et bien en période de sevrage d'opiacés...et ensuite, est-ce vraiment juste du psychologique, au delà de ça ?
Quand j'ai eu une période à consommer trop de C, le plus dur à l'arrêt était effectivement le facteur psychologique...mais quand j'ai voulu arrêter l'héro à la dure ( 3 fois en 4 mois quand même, comme un con ), et malgré le fait que ça faisait moins d'un an que je consommais au quotidien, OUI, le sevrage physique est chiant, mais ça se fait...mais au delà de ça, pour moi, s'en est suivi un mal-être dur à décrire, comme une vraie dépression, envie de rien, sensations ternes et vide abyssal à l'intérieur...je n'avais jamais ressenti ça, ET je n'ai pas ressenti ça non plus en arrêtant une conso quotidienne de coke de plusieurs moi en sniff et base...
Je précise cela parce que j'ai lui ici des échanges supers intéressants sur le PAWS, et un membre expliquait qu'il ressentait intuitivement que ce mal être à priori psychologique ( et qui l'est en partie aussi de toute façon, lorsqu'on stoppe brutalement une conso ), était aussi physiologique d'après lui, mais dans la tronche quoi, le bordel dans les récepteurs tout ça...
C'est exactement ce que j'ai ressenti aussi ( son post m'a aidé à définir une partie du mal être que je ressentais à l'époque ), et la petite dose de bupré que j'ai eu quand je me suis finalement résolu à aller demander l'aide d'un adicto, m'a tout de suite fait du bien, alors que j'étais à nouveau physiquement sevré ( j'avais juste tapé deux grosses traces la veille du rdv, ça faisait 15 jours que je n'avais pas consommé, pour en avoir dans les urines et avoir la prescription quoi )...
Donc si toi au bout de 15 jours, tu te sens ok dans la tête, le moral et tout, c'est nickel, et je te souhaite que ça dure, mais ça semble un peu ouf quoi...
Après comme je te l'ai dit, je ne remets pas ta parole en doute gratuitement, et on est pas tous égaux dans nos rapports aux produits, juste ça me questionne....

Et désolé pour cet énorme pavé du coup, bon courage à toi dans tous les cas...

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pierre
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nemesis1986 a écrit

Bonjour, je prenne subotex 8 ans 16 mg par jour,

Faire un sevrage sec après 16 ans de TSO, il faut aimer souffrir pour rien... et ca ne marche pas. Et merci de ne pas dire au bout de 10 jours sans rien que c'est gagné... Car c'est la que ca débute plutôt...

GUIL3M a écrit

Un titre qui vend du rêve j entend bien,

Pareil pour l'UROD, c'est une mystification que nous avons combattu pendant des années. Et que nous combattons toujours.

Croire que tu va etre débarassé de l'addiction juste parce que tu fais un sevrage sec, c'est ne pas comprendre l'addiction, qui ne part pas parce que tu te débarasses le produit de ton corps. C'est une pensée qui arrive quand on en a marre et que l'on pense que tout changé par rapport au produit va tout changer dans ta vie. C'est donner beaucoup de pouvoir au produit, qui serait responsable de tout les maux...

Croire que tu va etre débarassé de l'addiction juste parce que tu fais un sevrage sec, c'est une pensée magique, entretenu par certains médecins qui pratiques l'UROD : Je me rappelle de ce fameux Dr Waissman en Israel qui pratiquait (pratique encore ?) cela, et demandait un cheque de 8000 euros ! Et à la fin, quand tu reprenais des drogues, il disait que c'était de ta faute si le sevrage avait foiré. Ce mec, comme les autres sont des escrocs qui vendent du rêve. Quand nous en avions parlé sur le forum, son assistante avait eu le toupet de nous contacter pour savoir si nous ne voulions pas en faire de la pub (moyennement rétribution biensur...)

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kaneda homme
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882 messages

pierre a écrit

Quand nous en avions parlé sur le forum, son assistante avait eu le toupet de nous contacter pour savoir si nous ne voulions pas en faire de la pub (moyennement rétribution biensur...)

Salut, ce sont des commerçants et des charlatans, des pseudo médecins marabout qui ne connaissent rien à l'adiction. A fuir comme la peste.

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Border92 homme
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Faut pas oublier un objectif principal des TSO : réduire la mortalité et ils sont extrêmement efficaces pour cela.
Peu de spécialités médicales disposent d'ailleurs de traitements qui réduisent autant le risque de mourrir de la maladie qu'ils traitent (lorsqu'elle est mortelle, bien sur).
Le corollaire de ca est que la période qui suit d'arrêt des TSO est une période très dangereuse associée à un pic de mortalité important.
La tolérance diminue très vite (à partir d'une semaine, elle peut s'effondrer), en revanche, la dépendance reste et les cravings peuvent être intenses avant de diminuer progressivement : la suite se devine...

Franchement, nemesis, je comprends complètement que tu en aies assez de ton TSO, mais c'est un peu inquiétant ce que tu fais : prends soin de toi, et peut être que ce serait bien que tu fasses un point avec un addicto que tu connais et en qui tu as confiance. Si tu pouvais ne pas interrompre ton suivi, ce serait cool.
Peut-etre que tu pourrais garder ta bupré quand même dans un placard si les cravings sont trop intenses (et pense à titrer avant de reprendre à la dose précédente, même si les risques sont faibles avec cette molécule).

Surtout, si tu envisages ou si tu es en situation de reprendre des opiacés agonistes purs (héro, morphinne...) n'oublie pas que ta tolérance risque d'être très basse et pense à titrer en y allant très doucement et en attendant l'effet de ta prise avant de compléter : on peut toujours en reprendre, en enlever, c'est plus compliqué une fois que c'est dedans wink

Et avoir de naloxone avec soi, c'est jamais too much wink

Enfin, pour ceux qu'un traitement quotidien gonfle, n'oubliez pas que deux formes retard de bupré arrivent (ca y est, elles sont sur le marché), meme si elles ont encore un paquet de contraintes et posent certains problèmes, mais qui se résoudrons certainement progressivement.

Dernière modification par Border92 (21 mai 2022 à  05:39)

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Bonjour, voir en particulier (traduction google d'un chapitre).
C'est sûr que ça reste un risque "relativement" faible, au plus 32 deces/1000 années personnes dans les premieres semaines après le sevrage, mais comparé à 5,8 sous traitement ça fait un risque relatif multiplié par 6.
Tout dépend du point de vue !

Amicalement

https://www.bmj.com/content/357/bmj.j1550

Six cohortes récentes de méthadone ont fourni des données sur la mortalité toutes causes ventilées par intervalle de temps avant et après le traitement (fig 4 ⇓ ). Après avoir exclu une cohorte sélective à haut risque d'injecteurs séropositifs au VIH et recevant un traitement antirétroviral hautement actif, les taux de mortalité toutes causes confondues étaient de 11,4 et 5,8 décès pour 1000 années-personnes au cours des quatre premières semaines et du temps restant sous traitement à la méthadone, respectivement , avec une différence de taux groupés non ajustés pour les périodes de traitement initiales par rapport aux périodes de traitement suivantes de 5,6 décès (intervalle de confiance à 95 % -2,4 à 13,6) pour 1 000 années-personnes et un rapport de taux groupés non ajusté de 1,97 (0,94 à 4,10). De même, la mortalité toutes causes confondues est passée de 32,1 décès pour 1 000 années-personnes au cours des quatre premières semaines après l'arrêt du traitement à la méthadone à 13,5 décès pour 1 000 années-personnes par la suite, ce qui a entraîné une différence de taux combinés non ajustés pour les périodes initiales par rapport aux périodes ultérieures sans traitement de 18,6 décès (2,9 à 34,3) pour 1 000 années-personnes et un rapport de taux combiné non ajusté de 2,38 (1,51 à 3,74).


Dans l'analyse continue des tendances temporelles (fig 5 ⇓ ), il y avait des écarts significatifs par rapport à la linéarité des tendances du risque de mortalité toutes causes au fil du temps dans et hors du traitement à la méthadone (P = 0,04). Les taux de mortalité toutes causes confondues ont fortement diminué, passant de 37,4 à 6,4 décès pour 1 000 années-personnes au cours des quatre premières semaines de traitement à la méthadone et sont restés relativement stables par la suite. En revanche, après que les personnes aient quitté le traitement à la méthadone, la mortalité toutes causes confondues est restée élevée entre 24,1 et 35,2 décès pour 1000 années-personnes pendant les deux premières semaines sans traitement et a diminué progressivement par la suite.


Dans les deux cohortes de buprénorphine rapportant des données désagrégées, la mortalité toutes causes confondues est restée également faible à 4,5 décès pour 1000 années-personnes pendant et après les quatre premières semaines de traitement à la buprénorphine (fig 4 ⇑ ). La mortalité toutes causes confondues, cependant, a augmenté à 32,0 décès pour 1000 années-personnes au cours des quatre premières semaines suivant l'arrêt du traitement à la buprénorphine et a ensuite été réduite à 10,9 décès pour 1000 années-personnes, avec une différence de taux groupée non ajustée pour la période initiale par rapport aux périodes suivantes. de traitement de 21,2 décès (intervalle de confiance à 95 % −5,9 à 48,2) pour 1 000 années-personnes et un rapport de taux combiné non ajusté de 2,94 (1,34 à 6,46).


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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nb= la mortalité "normale" du jeune adulte est d'environ 2 à 6 pour 1000 années personnes.
https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-popu … -sexe-age/

Donc la mortalité sous traitement methadone après les premières semaines de traitement est proche de la mortalité "normale".
Après arret methadone elle est de 6 fois cette mortalité pendant les premieres semaines puis environ 2 fois la mortalité "normale".
Amicalement

S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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Border92 homme
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prescripteur a écrit

nb= la mortalité "normale" du jeune adulte est d'environ 2 à 6 pour 1000 années personnes.
https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-popu … -sexe-age/

Donc la mortalité sous traitement methadone après les premières semaines de traitement est proche de la mortalité "normale".
Après arret methadone elle est de 6 fois cette mortalité pendant les premieres semaines puis environ 2 fois la mortalité "normale".
Amicalement

Je reviens faire un tour, et je ne sais pas à qui tu répondais.
C'est ca (et j'espère que tu n'as pas compris que je disais le contraire, je suis parfois un peu confus) : les TSO effondrent la mortalité chez les usagers/dépendants d'opioides, après un délai d'installation du traitement, et avec des pics aux moments des périodes de grands changements.

C'est un aspect tout de même assez fondamental pour qu'il soit souligné face à toutes les représentations très déconnantes qui sont associées à ces médicaments, y compris chez beaucoup de professionnels de santé : très peu de médicaments sont aussi efficaces de ce point de vue. J'ai même entendu aucun.

Sans compter la qualité de vie : je ne suis pas le seul, je pense, à considérer qu'il y a un avant et un après la mise en place de mon TSO une fois qu'il a été stabiisé... C'est juste... magique. Le TSO, et la Ritaline, 2 moments de renaissance.

Après, j'ai la chance d'avoir un environnement qui s'assoit un peu sur les représentations et une épouse qui va tout chercher à la pharmacie, tellement j'en peux plus du cinéma qu'ils me font, même après tant d'années.

Les traitements courts n'ont que peu de sens, du coup, et l'interrompre mérite cette information dans la balance.

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