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Dernière modification par Morning Glory (21 août 2022 à 14:50)
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Quelques images de cette review récente pour illustrer le post de MG : Comment les chercheurs galèrent à expliquer l'effet antidépresseur depuis la découverte des premiers composés avec une action AD. Le public et les médecins sont restés au 1er stade d'explication des années 60/70...
Et une image bien complexe des différentes voies de signalisation qui conduieraient à un effet antidépresseur, par le boost de BDNF mais aussi d'autres trucs (apparemment dans la review ils avancent que les souris Knockout sans BDNF ne sont pas dépressives haha, donc il nous manque toujours des pièces au puzzle), et ce, dans certaines aires particulières du cerveau, comme tu l'avances MG, et pas partout, pour rajouter une couche de complexité :
Ici : https://www.tandfonline.com/doi/full/10 … 4/gracagni
En bref: oui certaines vies sauvées, mais aussi un scandale sanitaire colossal encore étouffé par bigpharma et les médecins eux-mêmes (sûrement par ignorance pour ces derniers).
Est-ce que tu peux préciser ce qui a été encore étouffé par bigpharma ? Les effets secondaires ? Parce comme je le comprends, ils ont réussi à développer des produits plus sélectifs et avec moins d'effets secondaires et aussi moins dangereux depuis les années 60. Même s'ils n'arrivent pas à augmenter l'efficacité par rapport aux molécules du début. Ce qui a mon humble avis de non expert nécessite un changement de paradygme ! Qu'est-ce que va donner la nouvelle vague de recherche sur les psychédéliques ? J'ai de grands espoirs là-dessus...
D'ailleurs, tu as essayé les IMAO MG ? Me répond pas si c'est trop personnel ou je ne sais pas quoi. C'est juste pour savoir, parce que de ce que j'en ai lu, même si les médecins sont frileux de les prescrire, ils restent autant voir plus efficaces que les nouvelles versions d'ADs qui sortent de nos jours.
Pour finir, je pense que quand tu as un patient suicidaire devant toi, tu essayes de l'inciter à tester des trucs, c'est le ratio bénéfice/risque.
Même leur fonctionnement est aberrant!
Par contre, MG je suis pas d'accord. Ce n'est pas aberrant d'utilité quelque chose si on sait qu'elle a une efficacité sur le problème sans comprendre son fonctionnement, si on n'a que cette solution. Et il ne faudrait pas que ton post décourage d'autres personnes qui en auraient besoin. Les personnes avec le plus d'effets secondaires sont les personnes qui en parlent le plus, c'est ça internet. Encore une fois, ils ont une efficacité et ils sauvent des vies.
Dernière modification par g-rusalem (21 août 2022 à 17:00)
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g-rusalem a écrit
Est-ce que tu peux préciser ce qui a été encore étouffé par bigpharma ? Les effets secondaires ? Parce comme je le comprends, ils ont réussi à développer des produits plus sélectifs et avec moins d'effets secondaires et aussi moins dangereux depuis les années 60. Même s'ils n'arrivent pas à augmenter l'efficacité par rapport aux molécules du début. Ce qui a mon humble avis de non expert nécessite un changement de paradygme ! Qu'est-ce que va donner la nouvelle vague de recherche sur les psychédéliques ? J'ai de grands espoirs là-dessus...
Heuuu tu parles de quoi là de la vortioxétine? xD C'est absolument faux qu'elle ne cause pas de PSSD, j'en ai fait les frais et d'autres ont témoigné avant moi sur les forums anglais.
C'est vrai que SUR LE COUP je n'ai pas eu de désordre sexuel ni apathique mais à l'arrêt... haha...
Donc si, ça continue et c'est bien étouffé.
Par contre, MG je suis pas d'accord. Ce n'est pas aberrant d'utilité quelque chose si on sait qu'elle a une efficacité sur le problème sans comprendre son fonctionnement, si on n'a que cette solution. Et il ne faudrait pas que ton post décourage d'autres personnes qui en auraient besoin. Les personnes avec le plus d'effets secondaires sont les personnes qui en parlent le plus, c'est ça internet. Encore une fois, ils ont une efficacité et ils sauvent des vies.
Pour ta dernière phrase: heu ils ont parfois une efficacité je l'ai dit... pourquoi fais-tu comme si je ne l'avais pas mentionné? Mais à un moment faut arrêter de juste les voir comme des antibiotiques face à une contamination bactérienne. Ce n'est pas si simple et il est temps que les gens soient mis au courant! Comme les médecins ne le font pas, c'est à celleux qui payeront les pots cassés toute leur vie de s'en charger. Je me répète: scandaleux. Comme je le disais dans mon précédent message, oui ils sauvent des vies. Mais ils en brisent d'autres. Ni plus ni moins.
Le fait de créer un SSRI plutôt qu'une autre molécule qui va directement faire ressortir les protéines du raft lipidique, avec tous les effets iatrogènes que ça peut engendrer pour moi c'est une aberration. Pas dans les années 80 lorsqu'on ne savait pas. Aujourd'hui si.
Pour finir, je pense que quand tu as un patient suicidaire devant toi, tu essayes de l'inciter à tester des trucs, c'est le ratio bénéfice/risque.
Sans l'avertir des effets secondaires? Et l'alliance thérapeutique elle est où? "Rooo juste la bouche un peu sèche" qu'on m'a dit à 17 ans quand j'ai demandé!!! C'est pas scandaleux ça? C'est au patient de décider en âme et conscience d'accepter un traitement ou non, avec ses potentiels bénéfices ET potentiels risques. Si on ne lui donne pas les infos nécessaires à cette prise de décision alors il est juste soumis au médecin qui lui-même a été formé à... prescrire, prescrire, prescrire...
kanekilife a écrit
qui dérègle ce système devrait être mise plus en avant et etres traiter par des antiparkinsonien ou la ritaline
Les antiparkinsoniens sont souvent des agonsites dopaminergiques pouvant malheureusement laisser un DAWS, encore bien plus terrible qu'un PSSD.
Dernière modification par Morning Glory (21 août 2022 à 17:53)
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Heuuu tu parles de quoi là de la vortioxétine? xD C'est absolument faux qu'elle ne cause pas de PSSD, j'en ai fait les frais et d'autres ont témoigné avant moi sur les forums anglais.
Houla ok, tu es à fond dans l'émotionnel, est-ce qu'on peut seulement parler ? Je vais essayer. Je n'ai jamais dit qu'elle ne causait pas de PSSD. D'ailleurs je ne dit rien. Les nouveaux antidépresseurs qui sont sortis récemment sont mieux tolérés et plus sûrs que les anciens. Ca a rien avoir avec le fait que tu ne souffres pas d'un effet secondaire dégueulasse. C'est dans la revue que j'ai linké. Tu peux t'énerver contre moi comme tu veux si ça t'amuse.
Mais ça commence à me courir sur le haricot qu'on me rage dessus quand je présente des faits scientifiques. Surtout que j'essaye de le faire calmement, sans froisser personne.
Le fait de créer un SSRI plutôt qu'une autre molécule qui va directement faire ressortir les protéines du raft lipidique, avec tous les effets iatrogènes que ça peut engendrer c'est une aberration. Pas dans les années 80 lorsqu'on ne savait pas. Aujourd'hui si.
Je ne comprends pas de quoi tu parles ? Et j'ai l'impression que toi non plus.
Pour ta dernière phrase: heu ils ont parfois une efficacité je l'ai dit... pourquoi fais-tu comme si je ne l'avais pas mentionné? Mais à un moment faut arrêter de juste les voir comme des antibiotiques face à une contamination bactérienne. Ce n'est pas si simple et il est temps que les gens soient mis au courant! Comme les médecins ne le font pas, c'est à celleux qui payeront les pots cassés toute leur vie de s'en charger. Je me répète: scandaleux. Comme je le disais dans mon précédent message, oui ils sauvent des vies. Mais ils en brisent d'autres. Ni plus ni moins.
Ce n'est pas "ni plus ni moins", c'est "plus". Ca m'énerve ce discours anti-médecine, anti-médicament, de personnes qui croient savoir alors qu'elles n'ont aucune des connaissances élémentaires en statistiques. Ok il y a des scandales, ok, tu as des effets secondaires et c'est très triste, je comprends que t'ai les boules. Mais il faut arrêter la paranoïa. Un médicament qui sort sur le marché, il a prouvé son utilité.
Et en plus ton discours est dangereux. Tout comme un discours anti-vax. C'est ça qui nourri le rejet de la médecine qu'il y a a l'heure actuelle.
Et imagine-toi que tu es médecin, et que tu connais l'effet, l'importance de l'effet placebo et nocebo. Que les effets positifs d'un traitement sont aussi en grande partie comment le patient le reçois. Est-ce que tu as plus intérêt pour le bien du patient à lui lister la longue liste d'effets secondaires qu'il peut avoir théoriquement (alors qu'il ne capte rien aux stats), ou alors, tu ne lui dis rien ou juste le minimum, car tu as confiance au traitement que tu lui proposes qui a été identifié comme bénéfique par la science et ton expertise de médecin ? Je ne sais pas ce qu'en pense prescripteur là-dessus. Il n'y a pas de réponses évidentes à ce dilemme, mais il faut arrêter de prendre les médecins pour des cons ou des ignorants à la solde de l'industrie pharmaceutique qui veut juste te faire claquer pour gagner du fric... Ça m'atterre ce genre de discours.
Dernière modification par g-rusalem (21 août 2022 à 18:03)
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Je ne comprends pas de quoi tu parles ? Et j'ai l'impression que toi non plus.
https://www.nature.com/articles/s41386-018-0016-x
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27432886/
Dernière modification par Morning Glory (21 août 2022 à 18:16)
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kaneda a écrit
Je suis la conversation avec intérêt, quel preuve à tu MG que t'es problèmes viennent bien de ta prise d'AD ?
T'es problèmes peuvent avoir d'autres origines non ?
https://www.psychologytoday.com/us/blog … -condition
Une revue de la littérature de 2018 est allée plus loin, décrivant la condition comme "débilitante" et sous-reconnue, avec des "symptômes communs de la PSSD", notamment "l'anesthésie génitale", ainsi que l'incapacité à être excité ou à avoir un orgasme, "l'orgasme sans plaisir ou faible, la diminution de la libido, la dysfonction érectile et l'éjaculation précoce."
La reconnaissance officielle de cette affection est une victoire pour les milliers de patients qui, depuis la fin des années 1990, ont participé à des études, suite aux effets secondaires sexuels largement rapportés par des patients du monde entier. Une étude portant sur 1 022 patients ambulatoires a déterminé en 2001 que "l'incidence de la dysfonction sexuelle avec les ISRS et la venlafaxine (Effexor) est élevée, allant de 58 % à 73 %, par rapport aux bloqueurs de la sérotonine-2 (5-HT2)." Le citalopram (Celexa) s'est avéré avoir l'incidence la plus élevée, avec 72,7 %, la paroxétine (Paxil) arrivant en deuxième position avec 70,7 %, mais la fluoxétine (Prozac), la sertraline (Zoloft) et la fluvoxamine (Luvox) ont toutes donné des résultats compris entre 58 et 62 %, ce qui est beaucoup plus élevé que les chiffres officiels. À l'époque, cette affection était connue sous le nom de "dysfonctionnement sexuel induit par les antidépresseurs".
La même étude a révélé que "les hommes présentaient une fréquence plus élevée de dysfonctionnement sexuel (62,4 %) que les femmes (56,9 %)", après l'arrêt du traitement, "bien que les femmes présentaient une sévérité plus élevée". Environ 40 % des patients ont montré une faible tolérance à leur dysfonctionnement sexuel." En d'autres termes, quatre patients sur dix ont constaté que, même après l'arrêt du traitement, leurs effets secondaires sexuels étaient largement intolérables. Il suffit d'imaginer le tribut payé aux relations, au bien-être individuel et à la santé sexuelle et, plus largement, à la santé publique, compte tenu du nombre de personnes auxquelles ce médicament a été prescrit dans le monde.
Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
https://rxisk.org/post-ssri-sexual-dysfunction-pssd/
(Il y a plus de sources scientifiques dans cet article que je ne pourrais moi-même en citer directement)
Dernière modification par Morning Glory (21 août 2022 à 18:41)
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Morning Glory a écrit
Hé bien tu t'énerves tout seul... "Aucune connaissance" ba oui bien sur, qui attaque l'autre là? Je ne prétends pas être experte en quoi que ce soit mais tu étais le premier en MP à me dire que mes connaissances étaient impressionnantes compte tenu du peu d'études que j'ai suivies dans le domaine, et maintenant j'en ai plus aucune?^^ Ce n'est pas toi que j'attaque. Mais de mon point de vue tu défends l'indéfendable. Comme je n'aime pas me faire sauter mes propres champis j'ai soumis celui que tu m'as donné au reste de la modération en leur demandant si j'avais été trop incisive envers toi, ils verront ce qu'ils en feront.
Morning je suis réellement impressionné par tes connaissances. Mais moi, je me spécialise au niveau des mécanismes de fonctionnements des récepteurs couplés aux protéines G, c'est mon métier, ET JE n'Y COMPRENDS RIEN ou si peux sur ces mécanismes, et alors dès que tu ne t'éloignes même pas loin, sur la protéine Gs par exemple, j'y comprends encore moins. On peut tenter de l'intéresser à pleins de trucs, à en faire des conclusions à notre niveau, mais il faut rester humble.
Je suis modo je vois quelqu'un comme toi débarquer et cracher sur les antidépresseurs qui sauvent 30% des personnes qui en prennent selon tes dires, dissuader les autres sous la base de connaissances plus que lacunaires, je n'ai pas besoin de beaucoup plus pour te filer un avertissement.
Si un effet nocebo était plus fort que l'effet anti-dépresseur potentiel, ça prouverait qu'il y a un problème quelque part non?
Non... C'est super important le setting, l'alliance thérapeutique. Tout ce que tu vas dire où faire, ou ne pas dire, va avoir un impact sur la qualité du traitement de ton patient. Je ne suis pas médecin, mais j'en ai côtoyé. C'est encore plus important là où l'on touche à la psychopharmacologie, parce que les attentes conscientes ou inconscientes du patient vont avoir un effet très important. Le médicament a fait ses preuves par rapport à un placebo, mais ça ne veut pas dire que le côté psychologique autour n'a pas d'importance. Je pense qu'encore une fois, prescripteur pourra t'en parler plus précisément.
J'ai lu les abstracts. Je sais que ma position est indéfendable parce que tu souffres, et je dois passer pour un gros connard. Mais je te le demande, est-ce que tu peux m'expliquer ce que tu trouves si révoltant dans l'impact des ADs sur les lipidrafts ? Ou plutôt, pourquoi 2 articles extrêmement techniques comme ceux là te permettent de dire "les ADs c'est de la merde, c'est un scandale etc etc etc".
https://rxisk.org/post-ssri-sexual-dysfunction-pssd/
(Il y a plus de sources scientifiques dans cet article que je ne pourrais moi-même en citer directement)
Merci pour le lien. Je vais le lire dés que j'ai le temps, ça m'intéresse beaucoup parce que j'aimerais savoir si c'est un impact silencieux des ADs sur les hormones sexuelles qui provoquent ces effets secondaires. Mais on en a déjà parlé tous les 2, que ça soit à cause de l'AD ou pas, si tu as tes hormones all over the place, ça ne marchera pas dans tous les cas.
Dernière modification par g-rusalem (21 août 2022 à 18:55)
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kaneda a écrit
Re-salut MG, après les troubles sexuelle peuvent avoir différentes origines. Ça peut être la résultante d'un trouble physique, mais aussi psychologique comme le stress ou l'anxiété.
La cause est souvent difficile, voir impossible à cerné malheureusement...
kaneda
My... Tu demandes des preuves mais si même des dizaines d'études scientifiques à la pelle ne te suffisent pas, je sais pas quoi faire^^
Je sais que j'ai un PSSD car je coche l'ensemble des symptômes, que c'est survenu et s'est amplifié à chaque arrêt d'antideps, et qu'il y a des milliers de témoignages à travers le monde en plus des études, de l'effet secondaire de ces drogues et j'en ai épluché plus d'un. Si ça suffit toujours pas, mon psychiatre actuel ne veut rien entendre parce qu'il reste bloqué dans sa tour d’ivoire "ça ne survient pas aux doses normales thérapeutiques madame c'est insensé enfin", mais mon précédent à Lyon m'a bien reconnu le PSSD.
Voilà, je sais plus trop quoi dire d'autre là^^'
g-rusalem a écrit
Je suis modo je vois quelqu'un comme toi débarquer et cracher sur les antidépresseurs qui sauvent 30% des personnes qui en prennent selon tes dires, dissuader les autres sous la base de connaissances plus que lacunaires, je n'ai pas besoin de beaucoup plus pour te filer un avertissement.
Sur la base d'études scientifiques.*
Et je ne dissuade personne, j'expose des faits que certains ne veulent simplement pas voir. OUI ils sauvent parfois des vies, mais pas que, ils en brisent d'autres, et le ratio bénéfice/risque est en train d'être remis en question dans la littérature scientifique. Ce sont des faits. C'est tout, je n'ai jamais dit qu'il ne fallait jamais prendre d'antidépressseur SSRI.
Alors, je n'ai pas dit que c'était de la merde mais que c'était aberrant^^
On dit toujours aujourd'hui que les dépressions sont un désordre biochimique dans le cerveau alors que les études scientifiques les plus récentes le démentent..
Alors pourquoi la sérotonine? On s'est toujours demandé pourquoi les ADs ne faisaient pas effet immédiatement alors que leur fonctionnement repose soit-disant sur l'inhibition du SERT, qui est immédiate.
En fait leur mécanisme d'action n'est pas du tout celui que l'on pensait, et l'inhibition du SERT n'est pas à la source de l'effet antidépresseur des SSRIs. Donc, leur fonctionnement supposé est aberrant. C'est tout ce que je dis à ce sujet^^ Il est absolument nécessaire aujourd'hui de les remplacer par des molécules qui touchent plus spécifiquement la cible connue avec potentiellement des effets iatrogènes réellement amoindris cette fois.
Merci pour le lien. Je vais le lire dés que j'ai le temps, ça m'intéresse beaucoup parce que j'aimerais savoir si c'est un impact silencieux des ADs sur les hormones sexuelles qui provoquent ces effets secondaires. Mais on en a déjà parlé tous les 2, que ça soit à cause de l'AD ou pas, si tu as tes hormones all over the place, ça ne marchera pas dans tous les cas.
En fait il y a plusieurs théories sur le fonctionnement du PSSD https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34627736/, et l'une d'elles c'est ça:
https://www.theresearchzone.com/post/th … epressants
Un médecin a déjà tenté de me soigner à la DHEA, ce qui a fait monter mes taux de testostérone à des taux anormaux d'ailleurs, sans succès. J'ai trouvé des témoignages de personnes s'injectant directement de la testostérone carrément. Apparemment non, pas d'effet.
Kanekilife a écrit
Mais je ne dis pas qu'ils sont totalement à jeter, je dis qu'on n'informe pas assez sur les effets secondaires, surtout sur ceux qui perdurent parfois toute la vie même après arrêt du traitement, c'est ça qui est révoltant. L'aripiprazole par exemple plein de monde ne le supporte pas du tout, moi ça m'a sauvé la vie probablement il y a deux ans lors de la seconde pire période de ma vie, et ça m'aide encore aujourd'hui^^
Dernière modification par Morning Glory (21 août 2022 à 20:36)
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Kanekilife a écrit
Les antidépresseur ne sont pour moi uniquement destiné à engrosser physiquement ce qui les prennent et financièrement ce qui les fabrique ou générique
Je vous laisse me dire si j’ai tort
Après avoir essayer la paroxetine la valenfaxine la fluoxetine lescitalopram le citalopram la duloxetine la mianserine et la mirtazapine la sertraline j ai @tous l’es molécule auquel j’ai eu droit dans les mots clef
Aucun n’a marcher
Je pense que ce genre de Topic n'a rien à faire sur PA , aucun rapport avec la RDR , l'usage de drogues.
Encore ce serait pour une interaction entre AD et tel prod OK mais là c'est niet.
Dernière modification par meumeuh (21 août 2022 à 21:17)
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Dernière modification par Morning Glory (21 août 2022 à 21:20)
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