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«C’est un peu comme si on se lâchait sur la nourriture sans prendre de calories», résume Ronald Evans, le professeur de génétique qui a supervisé une étude sur des souris en Californie. Les rongeurs dopés à l’Aicar ont réussi à courir 44% plus longtemps que leurs congénères.
Les pilules absorbées agissent sur les tissus musculaires, permettent de brûler les graisses et font bondir les capacités d’endurance, la clef d’un effort long comme une étape du Tour de France. Connue depuis plus d’un demi-siècle sous le nom d’acadésine, cette molécule encore interdite dans les traitements médicaux est prohibée par l’Agence mondiale antidopage (AMA), dans la section «dopage génétique». Les premiers détournements remonteraient aux JO de Pékin.
Sans citer son nom en public, l’Agence française (AFLD) suspecte que l’Aicar fut utilisée par quelques concurrents de la Grande Boucle 2009.
Et vu que même aujourd'hui alors que la molécule et son usage ont était découverte, l'AICAR reste toujours indétectable pour le moment dans les contrôle !
On imagine facilement qu'un sportif qui aurai prit de l'AICAR durant les dernières années serait donc passé comme une fleur a chaque contrôle de dopage
Et apparemment (j'ai vu un docu très complet sur l'aicar la semaine dernière) il pourrait y avoir de très grave complication de santé car c'est une molécule méconnue, et selon les scientifiques qui l'ont bien étudié il faut s'attendre a voir dans les années a venir des sportifs qui auront prit de l'AICAR avoir toutes sortes de problèmes de santé ...
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